« Je suis vie qui veut vivre, entouré de vie qui veut vivre. Chaque jour et à chaque heure cette conviction m’accompagne. Le bien, c’est de maintenir et de favoriser la vie ; le mal, c’est de détruire la vie et de l’entraver. »
— La civilisation et l’éthique, 1976
« Chaque fois que je suis sur le point d'abîmer une vie quelconque, il faut que je me pose clairement la question de savoir si c'est nécessaire. Jamais je ne devrai m'autoriser à aller au-delà de l'indispensable, même dans des cas apparemment insignifiants
Serge Tillmann était présent en personne dans la cour d'écoleValmy vendredi matin.
Était-ce pour annoncer la suppression de la scandaleuse sanction contre la témoin – un avertissement donné pour s’être plainte en écrivant directement à la rectrice – à cause du recommencement par l'inspecteur Deplanque de son harcèlement de 2008 contre celle qu'il avait accusé « menteuse » concernant les agressions des petits Kevin et Luciano ? (écoutez ma chanson de 2008 "La Brute soutient la Brute" qui fut ma réponse à la plainte en diffamation d'une des coupables Véronique Combret et de sa protectrice la principale Carole Hervieu)
Bien sur que non !
UN INSPECTEUR SE DEPLACE POUR APPORTER UNE LETTRE !
L'inspecteur en résidence au Havre venait, en personne, apporter une lettre à Julie Amadis.Les agresseuses d'enfants bénéficient de bien plus d'égards que celles qui les dénoncent.
Et que disait cette absurde lettre, apportée par son signataire ?
Que Julie Amadis était convoquée, lundi matin à 7h45 à l'inspection académique. Avec un défenseur de son choix. Convoquée à 4 kilomètres de son école 35 minutes avant l'arrivée de ses élèves dans la cour de récréation !
Drôle de convocation !
Et quel était le motif ?
Levée des sanctions ? Vous rêvez !
Annulation du rapport « faux en écritures publiques » du faussaire Basely ?
Vous rêvez !
L'IA se déplace.... pour ne rien dire !
Sauf « il s'agit du dossier »Etait-il question des sanctions ? Il ne le dit pas !
Etait-il question de nouvelles sanctions contre Julie Amadis ?
Il ne le dit pas plus ?
Y avait-il une énumération de faits justifiant une nouvelle sanction ? Justifiant la convocation elle-même ?
Vous rêvez !
Ici on convoque sans dire le motif ! Comme le fut la convocation à Rouen de Julie Amadis – un traquenard de Monique Béaur pour annoncer, par surprise, que son courrier à la rectrice allait lui valoir un avertissement.
Le réseau OMERTA76 est trop puissant en Seine-Maritime pour s'abaisser à respecter la loi !
C'est un ILOT FASCISTE dans la France de Hollande !
Peillon utilise contre les témoins de violences, les mêmes procédés que Valls vis à vis des enfants Roms : AUCUN RESPECT DE LA LOI
DEPUIS SEPTEMBRE 6 MOIS DE HARCELEMENT PROFESSIONNEL CONTRE LA
TEMOIN DES VIOLENCES DE 2008 et qui a eu connaissance de 4 AUTRES CAS
DANS 4 AUTRE ECOLES DU HAVRE ANCELOT, PERCANVILLE, LOUISE
MICHEL, LOUIS BLANC
Les témoins des autres écoles sont
terrorisées.
Telle est la technique du réseau OMERTA76
Julie Amadis ayant téléphoné vendredi après-midi à la secrétaire de l'inspection que, en l'absence de courrier motivé, en l'absence de motif à sa convocation, en l'absence de l'annonce d'éventuelle sanction, elle refusera de déférer à celle-ci, la réponse de l'IA fut à la hauteur de leurs pratiques scandaleuses.
L'IA Serge
Tillmann ANNONCE au directeur de l'école Valmy
QU'IL VA SE RENDRE
LUNDI MATIN A L'ECOLE VALMY
Il semble même que cette
information ait peut-être fuité de la part du directeur qui aurait
donc fait une gaffe pendant le conseil d'école du vendredi. Il
semble qu'il n'était pas prévu que Julie Amadis soit informée de
cette visite impromptue de l'IA Tillmann.C'est ce qu'il fit. C'est en tout cas ce que des parents d'élèves nous ont rapporté ce matin ; ils ont vu « DEUX INSPECTEURS arriver dans l'école » ce lundi matin.
S'ils espéraient pratiquer leur harcèlement de voyous OMERTA76 contre l'enseignante témoin des violences, contre Julie Amadis, ce fut raté :
Celle-ci, épuisée par ces mois de vengeance de l'inspecteur Deplanque, épuisée par la trahison de ces syndicats qui refusent d'appliquer la décision du Conseil de l'Europe de l'abolition des châtiments corporels dans les écoles, épuisée par la trahison du directeur de son école qui vient tenter de dissuader les parents d'élèves mobilisés de soutenir Julie Amadis « Ça va aller très loin », n'était pas au guet-apens tendu par l'IA adjoint Tillmann et son acolyte.
Julie Amadis n'était pas avec ses élèves.
Julie Amadis, la témoin des violences de 2008 et la victime du harcèlement de septembre, octobre, novembre, décembre 2013, janvier, février, mars 2014 n'était pas sur le lieu du traquenard.
Julie Amadis était au médecin !
Celui-ci vient de lui donner un arrêt de travail pour HUIT JOURS.Pour des motifs de santé physique directement conséquences du double harcèlement que subit cette enseignante dévouée, cette enseignante qui, comme l'auteur de ces lignes le fit de 1974 à 1991, pratique en classe l'entraide entre les enfants.
Ce sont donc deux groupes d'humains qui s'affrontent : Les premiers travaillent à une humanité faite d'Innovants, de Découvreurs, d'Inventeurs, de Créateurs artistiques.
Et les seconds commettent et protègent les agressions physiques contre les enfants dans les écoles.
A commencer par ceux qui tapent et se vantent de taper les enfants des écoles maternelles. Des enfants de trois et quatre ans qui, donc, n'oseront pas se plaindre.
VARLIN, PERCANVILLE, LOUIS BLANC,
LOUISE MICHEL, ANCELOT
La
directrice de la maternelle Varlin de 2008 et celles qui ont tapé
les enfants entre 2008 et 2014 : école Percanville, école
Louis Blanc, école Louise Michel, école Ancelot. Et leurs protecteurs qui vont mentir et commettre des faux en écritures publiques pour harceler et faire taire les témoins : inspecteur Deplanque, IA adjointe Monique Béaur, inspecteur d'Académie Philippe Carrière directeur du réseau OMERTA76, missionnant le faussaire Olivier Basely pour commettre des faux en écritures et la rectrice indigne Claudine Schmidt-Lainé qui a renvoyé aux bourreaux de Julie Amadis le courrier à elle adressé. Où elle dénonçait le harcèlement dont elle est victime.
"CA VA ALLER TRÈS LOIN"
Il faut ajouter maintenant celui qui, en conseil d'école, a tenter de dissuader les parents d'élèves de Julie Amadis de la soutenir en distribuant des tracts en les menaçant « Ça va aller très loin » , le directeur de l'école Valmy Patrick CLABAUT un harcèlement des enseignantes contre les parents dévoués, allant jusqu'à une enseignante qui ose parler aux parents d'élèves de comportements illégaux au sujet du tract distribué par ces mêmes parents.Il faut ajouter l'inspecteur d'Académie adjoint Serge Tillmann qui pratique la convocation illégale (sans motif donné) puis le harcèlement par visite impromptue dans l'école de Julie Amadis.
UN SYNDICALISTE DÉGÉNÉRÉ QUI .....
"PRONOSTIQUE" DES ... MENACES
A cette liste de la barbarie et du soutien aux agresseuses
d'enfants, il faut ajouter le syndicaliste Vincent Alès qui, après
s'être illustré par sa campagne de défense du putschiste Bourry –
qui avait des raisons de porter plainte contre celui qui l'avait
appelé « criminel fasciste » sur Internet, se présente
maintenant comme celui qui « avertit » la témoin de son
prochain licenciement - « si tu continues ».Il paraît qu'il ne faut pas écrire le nom des agresseurs sur Internet.!
NE PAS ECRIRE "CRIMINEL FASCISTE"
LA NOUVELLE CONSIGNE DU NPA ?
Vincent Alès qui n'a pas bougé le petit doigt pour me
soutenir contre la condamnation fasciste des 4 juges voyous Michael
Janas, Robert Miori, Bernard Ors et leur collègue Bougon verra donc
sans surprise son propre nom associé aux noms des bourreaux des
Africains et aux bourreaux des enfants.Comme ceux de tout le réseau OMERTA 76, comme ceux de tout le réseau OMERTA Franceàfric !
La force des fascistes est proportionnelle à la faiblesse des lâches et à la force des traîtres.
A ce stade, ce syndicaliste n'est plus un lâche : se vanter de coercition physique sur ses propres élèves comme un moyen ordinaire de gestion de classe le range parmi celles qu'il protège.
AUCUNE PRESCRIPTION POUR LES AGRESSEUSES D'ENFANTS NI POUR LEURS PROTECTEURS OMERTA76
Quant aux fonctionnaire de l’État voyou, ils apprendront bientôt de nos juges délégués révocables (nos JDR) qu'il n'existe AUCUN PRESCRIPTION pour les victimes en état de faiblesse. Les victimes dont le poids social de leur bourreau les a mis dans l'incapacité de se défendre.Il n'y aura aucune prescription contre les agresseurs Françoise et Combret des petits Kevin et Luciano.
Comme il n'y aura aucune prescription pour le groupe OMERTA76 coordonné par la rectrice Schmidt-Lainé et diriger par le directeur Philippe Carrière.
Directeur académique adjoint des services de l'éducation nationale
www.ac-rouen.fr/directeur-academique-adjoint-des-services-de-l-educati...
19
nov. 2013 - Directeur académique adjoint des services de
l'éducation nationale - DAASEN secteur du Havre
Serge TILLMANN Bureau
321