dimanche 20 décembre 2020

La Rectrice voleuse de Rouen vers Grenoble, la juge voleuse d'Evreux (juge aux affaires familiales ayant volé 200€ à une jeune sous curatelle) vers le Havre et les profs agresseurs de Seine Maritime sont les protégées de Hollande, Belkacem, Macron, Taubira, Belloubet et de Dupont-Moretti. Des délinquantes promotionnées et restant à leur poste jusqu'au dernier moment !

par Yanick Toutain
et Julie Amadis
L'Havrais Vérité
20/12/2020 


Jeudi 17 décembre 2020, une magistrate était jugée à Rouen (Seine-Maritime) pour avoir dérobé un portefeuille contenant 200 euros, qu’une jeune femme vulnérable avait laissée au sol dans un supermarché à Évreux.

Quelques jours après les faits, le gérant du magasin reconnaît la personne à l’origine du vol,
feint une panne de caisse pour retenir la cliente et alerte la police. Les fonctionnaires souhaitent alors contrôler l’identité de la femme, mais cette dernière explique ne pas avoir ses papiers, et remet sa carte professionnelle, mentionnant sa qualité de juge.

Les policiers visionnent la vidéosurveillance, et constatent que la magistrate, âgée de 39 ans, « a ramassé le portefeuille au sol avant de le dissimuler dans un sac plastique ».
(source 76 actu) 

En Humanocratie, les juges sont des délégués révocables choisis par la population.
Une juge de tribunal judiciaire (ex TGI)  comme la juge voleuse aurait été accréditée par 625 personnes. (dont elle-même)
625 personnes (moins une) qui auraient le pouvoir à tout moment de quitter la liste de ses soutiens et donc la révoquer.
Une juge qui vole une jeune femme vulnérable car sous curatelle ne pourrait pas rester juge en humanocratie !!!!

En humanocratie, le jour de son interpellation par des policiers, le nom de la juge voleuse aurait été immédiatement rendu publique par les policiers - sur décision d'un juge honnête.
Et cela pour une raison simple : il fallait dans l'heure que les 624 citoyens lui ayant donné accréditation soient informés.
Si dans l'heure, si immédiatement après avoir été informés du vol commis, ces 624 citoyens délégateurs n'avaient pas annulé cette accréditation, ils auraient été solidairement poursuivis comme complices de la juge. Complices pour le passé et complices pour l'avenir. 
Pour le passé, complices de la présentation de sa carte professionnelle. Un acte rendant ses délégateurs co-responsables de ses actes et les faisant au minimum recevoir un rappel à la loi.
Pour l'avenir, complices - s'ils persistaient à donner à accréditation - de la nomination volontaire d'une délinquante abusant de la faiblesse d'une jeune sous curatelle. 


La Rectrice voleuse de Rouen vers Grenoble, la juge voleuse d'Evreux (juge aux affaires familiales ayant volé 200€ à une jeune sous curatelle) vers le Havre et les profs agresseurs de Seine Maritime sont les protégées de Hollande, Belkacem, Macron, Taubira, Belloubet et de Dupont-Moretti. Des délinquantes promotionnées et restant à leur poste jusqu'au dernier moment !



Si l'on en croit Paris Normandie, il y a actuellement dans les locaux du Palais de Justice du Havre une voleuse. La voleuse d'une jeune sous curatelle. Une juge aux affaires familiales qui aurait donc continué à juger des familles d'Evreux et du Havre après avoir volé une jeune femme.
. La prévenue est actuellement encore en poste auprès du tribunal du Havre.
Cette voleuse encore en poste serait une des juges du tribunal du Havre ! Une juge aux affaires familiales chargée de protéger les enfants !
Une juge voleuse que le président du TGI du Havre Thierry Cellier accepterait de la voir être restée en fonction alors que les faits sont avérés depuis le 20 mai dernier. Un magistrat responsable acceptant que les enfants du Havre puissent être protégés par une délinquante qui a volé 200€ à une jeune sous curatelle ??!!!

Ce ne serait pas surprenant : on a vu son prédécesseur faire recel de faux témoignages, de faux en écritures publiques, le tout, en relation avec une entreprise terroriste (contre la Côte d'ivoire) dans la première série de faux, et en relation avec un réseau de profs agresseurs d'enfants depuis plus de 20 ans....

Le nouveau procureur de la république du Havre Bruno Dieudonné accepterait sans broncher de siéger dans les mêmes locaux qu'une juge voleuse ?!!
Un procureur "tolérant" qui entacherait sa carrière d'une faute indélébile en se présentant comme le protecteur des voleurs en costumes de justice.
On a l'habitude au Havre des procureurs délinquants : depuis celui qui lança la procédure en soutien de la directrice de l'école Varlin qui se vantait de frapper un petit (procureur voyous que la chanson La Brute soutient la Brute stoppa net dans son élan) jusqu'au procureur voyou Francis Nachbar protecteur des terroristes de Côte d'Ivoire et donc des flics barbouze que Sarkozy avait envoyé pour attaquer la télévision d'Abidjan

Aucun média ne donne le nom de cette magistrate voleuse - protégée par Nicole Belloubet au moins pendant deux mois et qui l'a probablement promotionnée - à moins que ce ne soit Eric Dupont Aignan qui l'ait mutée d'Evreux au Havre - belle promotion pour une voleuse !
Paris Normandie cache même sa fonction réelle: juge aux affaires familiales.

Voici les faits

C’est une simple affaire de vol de portefeuille qui est renvoyée devant le tribunal correctionnel de Rouen en composition juge unique le 17 décembre dernier. Seule la profession de la prévenue, magistrate auprès du tribunal judiciaire d’Évreux, sort de l’ordinaire. Il est reproché à la juge de 39 ans de s’être délibérément emparée, au carrefour city d’Evreux, le 7 mai 2020, du portefeuille, qu’une jeune fille, placée sous curatelle, avait laissé tomber. Il contenait 200€,qui ont déjà été remboursés par la prévenue, une carte bleue et une carte vitale.

« Sur la bande de vidéosurveillance on vous voit demander un sac plastique au caissier, vous baisser et faire discrètement basculer le portefeuille dans le sachet », détaille la présidente de l’audience. Le gérant du magasin reconnaît la suspecte quelques jours plus tard et la dénonce aux forces de police. Il simule une panne de caisse pour la maintenir dans le magasin pour faciliter son interpellation. Quand les policiers arrivent, la femme présente sa carte professionnelle faisant état de sa qualité. Elle tente de prétexter qu’elle était confinée à ce moment-là et qu’elle ne pouvait pas se trouver sur Évreux à ce moment-là mais est vite confrontée aux vidéos et reconnaît la matérialité des faits.

« Je n’avais aucune intention de le voler. Je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. Dès que j’ai réalisé, j’ai paniqué et j’ai jeté le portefeuille dans une benne à ordure », se confie la juge, des larmes coulent sur ses joues. « Une personne sensée aurait dû retourner au magasin pour le donner au caissier, mais je n’étais pas en état de réfléchir à ce moment-là », explique la prévenue.

 « Le confinement n’a rien arrangé »

L’expert psychiatre chargé d’examiner la femme conclut à un comportement psychopathologique qui aurait pu être entrainé par la pression du confinement. « Je ne me sentais pas bien à ce moment-là, mais pas au point que mon discernement soit altéré », assume la juge. « La vidéo démontre que ce n’est pas un acte irréfléchi. Il y a une volonté de dissimulation. Dans sa position, madame a un devoir d’exemplarité », estime la substitut du procureur qui requiert une peine d’amende de 1000€.

« C’est une situation inédite. Ma cliente n’avait pas besoin de l’argent présent dans ce portefeuille. Bien-sûr, elle aurait dû le rendre au personnel du magasin. Certes le parcours professionnel de madame est ce qu’il est. Mais il y a aussi sa vie personnelle. Son conjoint de l’époque était gravement malade, elle devait s’en occuper au quotidien. Le confinement n’a rien arrangé », plaide l’avocat de la défense. Le tribunal se donne jusqu’au 29 décembre pour rendre sa décision. La prévenue est actuellement encore en poste auprès du tribunal du Havre.


Le procureur de Rouen dans son infini bonté n'a même pas requis de prison à l'encontre de sa collègue !!

Pour le ministère public, les faits sont parfaitement caractérisés grâce à la vidéosurveillance. Il rappelle à la prévenue « son devoir d’exemplarité » au vu de sa profession, et requiert à son encontre la peine de 1000 euros d’amende.

1000 euros ? pour un vol de 200 € !! Quelle farce !

Mais au Havre, on a l'habitude de la protection et de la promotion des voleuses : la rectrice de Rouen Claudine Schmidt -Lainé volait l'Education nationale depuis 2013 quand Hollande l'a missionnée pour harceler Julie Amadis.


Claudine Schmidt-Lainé enfin condamnée à Rouen ! La Rectrice vole et me persécute depuis 2013 ! Je suis révoquée à vie, elle est protégée par Macron, Blanquer après sa récompense à Grenoble par Hollande




 

En humanocratie, le jour de son interpellation par des policiers, le nom de la juge voleuse aurait été immédiatement rendu publique par les policiers - sur décision d'un juge honnête.
Et cela pour une raison simple : il fallait dans l'heure que les 624 citoyens lui ayant donné accréditation soient informés.
Si dans l'heure, si immédiatement après avoir été informés du vol commis, ces 624 citoyens délégateurs n'avaient pas annulé cette accréditation, ils auraient été solidairement poursuivis comme complices de la juge. Complices pour le passé et complices pour l'avenir.
Pour le passé, complices de la présentation de sa carte professionnelle

Quand les policiers arrivent, la femme présente sa carte professionnelle faisant état de sa qualité. 

Un acte rendant ses délégateurs co-responsables de ses actes et les faisant au minimum recevoir un rappel à la loi.
Pour l'avenir, complices - s'ils persistaient à donner à accréditation - de la nomination volontaire d'une délinquante abusant de la faiblesse d'une jeune sous curatelle. 

En Humanocratie, les juges sont des délégués révocables choisis par la population.

Une juge de tribunal judiciaire (ex TGI)  comme la juge voleuse aurait été accréditée par 625 personnes. (dont elle-même)
625 personnes (moins une) qui auraient le pouvoir à tout moment de quitter la liste de ses soutiens et donc la révoquer.
Une juge qui vole une jeune femme vulnérable car sous curatelle ne pourrait pas rester juge en humanocratie !!!!



800 000 #déléguésJustice (vivier de nos juges #JDR révocables) 100 citoyens désignant 25 #déléguésRévocables dont 2 délégués #Justice 5 étudiants 2 profs 5 soignants 6 territoriaux 3 policiers 2 militaires

dimanche 13 décembre 2020

L'escroquerie des tests massifs du Havre ! Edouard Philippe prétend faire en 4 jours autant de tests que ce qui a été fait en Seine-Maritime depuis le 30 septembre

par Yanick Toutain
et Julie Amadis
14 décembre 2020
#IpEaVàEaFàF
L'Havrais Vérité
REVACTU

270 000 tests supplémentaires donc qu'il aurait fallu faire dans l'entourage des gens malades dans toute la France et en priorité  dans les 70 départements aux taux d'incidence plus élevés qu'en Seine-Maritime et pas parmi les électeurs bobos de la haute formoisie embourgeoisées de la rue de Paris et des rues piétonnes autour de l'Otarie et de tous les bars branchés. Des électeurs d'Edouard Philippe ne présentant aucun symptômes, n'ayant côtoyé aucune personne détectée positive et qui vont se précipiter pour voler les tests des cas contacts des gens réellement malades de toute la France.

270 000 tests pour le Havre c'est plus que le nombre de tests 221 773 qui ont été faits pour la totalité des 67 millions de Français le jeudi 10 décembre.
270 000 test, c'est 51% de plus que le nombre moyen de tests faits dans toute la France la semaine écoulée.
Le tableau de bord avec les dernières données gouvernementales publiées dimanche soir en atteste.
La moyenne quotidienne du nombre de tests effectués cette semaine pour toute la France est de 178 625


Edouard Philippe EST une opération publicitaire.
Il gère une ville Le Havre qu'il a mise en faillite depuis 20 ans avec son complice Antoine Rufenacht. (...)
On a vu aussi Edouard Philippe avec Belkacem aller soutenir un instituteur agresseur d'élèves pendant plus de 20 ans à l'école Valmy du Havre avec une opération publicitaire d'une prétendue "machine à lire". Le soir même les tablettes numériques que les enfants avaient vues pour la première fois leur ont été retirées et ils ne les ont plus jamais revues !





L'escroquerie des tests massifs du Havre ! Edouard Philippe prétend faire en 4 jours autant de tests que ce qui a été fait en Seine-Maritime depuis le 30 septembre

Les 270 000 tests envisagés par Edouard Philippe sont l'équivalent de plus de deux mois de tests pour toute la Seine-Maritime.
237 126 tests ont été faits dans tout le département du 11 octobre au 10 décembre.

LES TESTS MAGIQUES D'EDOUARD PHILIPPE

268 516 tests ont été faits dans tout le département depuis le 30 septembre



270 000 tests supplémentaires donc qu'il aurait fallu faire dans l'entourage des gens malades dans toute la France et en priorité  dans les 70 départements aux taux d'incidence plus élevés qu'en Seine-Maritime et pas parmi les électeurs bobos de la haute formoisie embourgeoisées de la rue de Paris et des rues piétonnes autour de l'Otarie et de tous les bars branchés. Des électeurs d'Edouard Philippe ne présentant aucun symptômes, n'ayant côtoyé aucune personne détectée positive et qui vont se précipiter pour voler les tests des cas contacts des gens réellement malades de toute la France.

270 000 tests pour le Havre c'est plus que le nombre de tests 221 773 qui ont été faits pour la totalité des 67 millions de Français le jeudi 10 décembre.
270 000 test, c'est 51% de plus que le nombre moyen de tests faits dans toute la France la semaine écoulée.
Le tableau de bord avec les dernières données gouvernementales publiées dimanche soir en atteste.
La moyenne quotidienne du nombre de tests effectués cette semaine pour toute la France est de 178 625


Edouard Philippe est le spécialiste des opérations publicitaires.
Edouard Philippe EST une opération publicitaire.
Il gère une ville Le Havre qu'il a mise en faillite depuis 20 ans avec son complice Antoine Rufenacht. La population s'enfuit du Havre, le taux de chômage a battu des records pendant que le reste de la Normandie avaient bien moins de chômeurs que dans sa ville. Le centre ville prend les allures des villes sinistrées de Grande-Bretagne après la purge de Margaret Thatcher. L'avenue René Coty qui était la principale artère commerçante de la ville voit ses vitrines ouvertes devenir minoritaires à côté des magasins fermés tombés en faillite par la politique d'Edouard Philippe.
On a vu aussi Edouard Philippe avec Belkacem aller soutenir un instituteur agresseur d'élèves pendant plus de 20 ans à l'école Valmy du Havre avec une opération publicitaire d'une prétendue "machine à lire". Le soir même les tablettes numériques que les enfants avaient vues pour la première fois leur ont été retirées et ils ne les ont plus jamais revues !
Et on nous annonce une extraordinaire opération de communication relayée par tous les médias du Deep State USAfric-Franceàfric : tester 270 000 personnes.... ou plutôt la moitié

Combien des 270 000 habitants des cinquante-quatre communes de la Communauté urbaine du Havre se soumettront au test anti-Covid ? Le Havre lance lundi matin, en présence du ministre de la Santé, Olivier Véran, une campagne de tests massive, qui se prolonge tout au long de la semaine dans une cinquantaine de sites (pharmacies, laboratoires, cabinets médicaux et vingt centres éphèmères). « Je ne me fixe pas d’objectif. À Liverpool, ils ont réussi à tester un tiers des 500 000 habitants en quatre jours. Si on testait 50 % de la population, je serais le plus heureux des hommes ! », soulignait dimanche Édouard Philippe dans les colonnes du JDD. Avant d’ajouter : « Nous serons sans doute en dessous ». (Torchon Normandie)

Mais pourquoi donc le Havre et pas l'Orne ?

Comment l'ARS pourrait-elle donc motiver son choix de la Seine-Maritime ?

Point de situation au 11 décembre

En Normandie, après plusieurs semaines de baisse, le taux d'incidence régional repart à la hausse pour atteindre 81,22, contre 70,71 le 8/12. Cette augmentation touche tous les départements, même si les différences intra-régionales restent très marquées. L’Orne est le département le plus touché au sein du territoire normand (154,2 pour 100 000 habitants). 

Or le taux d'incidence de Seine-Maritime est de 92 positifs pour 100 000 habitants
Un taux d'incidence inférieur au taux de la France entière comme on le voit sur ce tableau et ce graphique


Quant au taux de positivité il a été légèrement inférieur au reste de la France. Le Havre n'a pas subi un déficit de tests que le reste des Français auraient subi en même temps et qui rendrait éthique un rattrapage local

COMPLEMENT 
CONSULTEZ LES SPLENDIDES TABLEAUX GRAPHIQUES
 DE GERMAIN FORESTIER


Comparaison avec l'Orne



lundi 30 novembre 2020

"Les pétitionnaires du 16 mai 1988" Le traitre Roch Marc Christian Kaboré avait rejoint en connaissance de cause Blaise Compaoré l'assassin de Thomas Sankara. Roch Kaboré a trahi son parti UCL(R) et les jeunes qui voulaient manifester le 20 mai 1988 pour la Journée anti-impérialiste de la Jeunesse qui seront torturés par sa faute

par Yanick Toutain 
et Julie Amadis
1° décembre 2020
REVACTU
#IpEaVàEaFàF,

Comme on pouvait s'y attendre, les manifestations eurent lieu le 19 Mai 1988 et nombreux furent nos camarades étudiants et élèves arrêtés et torturés.

Dans la soirée du 21 Mai 1988, en rentrant chez moi, je fus arrêté par les agents de la Direction de la Sécurité Publique commandée par le Commissaire Alain Ouilma. Le 23 Mai, Alain Coéfé se serait présenté au bureau du Capitaine Yé Bognessan Arsène, coordonnateur national des Structures Populaires, muni de leur pétition pour se justifier et avec lui ses camarades co-signataires.

Maintenant, Blaise Compaoré exige de ses commissionnaires la dissolution de l'U.L.C.(R) au sein de l'O.D.P./M.T. Et Basile Guissou ainsi que Rock Kaboré qui se sont d'eux-mêmes exclus de l'Organisation par leur pétition du 16 Mai 1988, ont entrepris d'engager les pourparlers avec l'O.D.P./M.T., au nom de la direction de l'U.L.C.(R) en vue de cette auto-dissolution de l'Organisation. Et pour arriver à leurs fins, c'est la question du bilan critique de notre participation au C.N.R. qu'ils mettent en avant. Paradoxalement, ils n'ont pas attendu de procéder à un tel bilan pour décider de participer au gouvernement du Front «Populaire» de Blaise Compaoré: Rock Kaboré est l'actuel ministre de l'Equipement et des Transports du gouvernement du Front «Populaire».

Extraits de l'Espoir Assassiné de Valère Somé


LIRE AUSSI 

dimanche 29 novembre 2020

80 000 CDR #1pour25 pour que RMC Kaboré DEGAGE ! L'assassin de Sankara et des CDR veut diriger le Burkina Faso sans CDR et avec un quart des adultes contre les trois quarts plus les jeunes

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/11/2020

Thomas Sankara :
"Nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution  parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée. Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR..
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre."

LIRE L'ARTICLE PRECEDENT

samedi 21 novembre 2020

"Les pétitionnaires du 16 mai 1988"
Le traitre Roch Marc Christian Kaboré avait rejoint en connaissance de cause Blaise Compaoré l'assassin de Thomas Sankara.
Roch Kaboré a trahi son parti UCL(R) et les jeunes qui voulaient manifester le 20 mai 1988 pour la Journée anti-impérialiste de la Jeunesse qui seront torturés par sa faute


Quand un contre-révolution est fragile, elle doit embaucher à grande vitesse des traitres pour stabiliser son pouvoir.
RMC Kaboré fut rapidement approché par le groupe des assassins de Sankara pour poignarder dans le dos Valère Somé et tous les révolutionnaires sincères qui restaient sankaristes malgré le déluge de mensonges proférés par les agents de l'ambassade de France.
On verra donc Kaboré rédiger un courrier à la direction de l'ULC(R) pour indiquer à Blaise Compaoré qu'il pouvait torturer les jeunes sans aucun risque.

Comme on pouvait s'y attendre, les manifestations eurent lieu le 19 Mai 1988 et nombreux furent nos camarades étudiants et élèves arrêtés et torturés.

Dans la soirée du 21 Mai 1988, en rentrant chez moi, je fus arrêté par les agents de la Direction de la Sécurité Publique commandée par le Commissaire Alain Ouilma. Le 23 Mai, Alain Coéfé se serait présenté au bureau du Capitaine Yé Bognessan Arsène, coordonnateur national des Structures Populaires, muni de leur pétition pour se justifier et avec lui ses camarades co-signataires.

Maintenant, Blaise Compaoré exige de ses commissionnaires la dissolution de l'U.L.C.(R) au sein de l'O.D.P./M.T. Et Basile Guissou ainsi que Rock Kaboré qui se sont d'eux-mêmes exclus de l'Organisation par leur pétition du 16 Mai 1988, ont entrepris d'engager les pourparlers avec l'O.D.P./M.T., au nom de la direction de l'U.L.C.(R) en vue de cette auto-dissolution de l'Organisation. Et pour arriver à leurs fins, c'est la question du bilan critique de notre participation au C.N.R. qu'ils mettent en avant. Paradoxalement, ils n'ont pas attendu de procéder à un tel bilan pour décider de participer au gouvernement du Front «Populaire» de Blaise Compaoré: Rock Kaboré est l'actuel ministre de l'Equipement et des Transports du gouvernement du Front «Populaire».

Pour entraver le marchandage dont l'Organisation est l'objet, la direction de l'U.L.C.(R) a rendu publique une déclaration par laquelle elle suspend toutes les activités publiques de l'U.L.C.(R) en dénoncant à l'avance tout «trafic» qui sera effectué en son nom. Et c'est pour s'être opposés à cette machination que les membres de la direction de l'U.L.C.(R) restés sur place ont été arrêtés et sauvagement torturés dans le cadre de la prétendue «tentative de déstabilisation» du régime de Blaise Compaoré, par le Capitaine Boukary Kaboré, le 20 Décembre 1989 

REVOLUTION CDR 1984 CONTRE REVOLUTION ANTI CDR 1988

Les évènements du mois de mai 1984 annoncèrent ceux du moi de mai 1988. Mais avec une inversion de la réalité

16 Mai: Le Conseil des Ministres déclare la journée du 20 Mai: «Journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse.»
21 Mai: Eviction du gouvernement de Ibrahima Koné, Ministre de la Jeunesse et des Sports (membre du P.A.I.), suite aux manifestations commémoratives de la «Journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse».
28 Mai: - Découverte d'un complot contre le C.N.R. dirigé par le Colonel Didier Tiendrébéogo, et nombre d'officiers dégagés de l'Armée après le 4 Août 1983. C'est le complot des Mossis du Centre. - Publication du statut des C.D.R 

La Journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse initiée en 1984 sera 4 ans après le point de ralliement de la jeunesse sankariste pour dénoncer les assassins.

Ces jeunes furent torturés par les nouveaux amis de Kaboré.
Le traitre Ibrahima Koné était en 1984 un agent saboteur de la formoisie compradore, comme tous les stalinofasciste, leur objectif était de permettre à la formoisie française et européenne de continuer à profiter des miettes des impérialistes. PAI, LIPAD et autres groupes crypto (pseudo) communistes étaient en réalité des organisations contre-révolutionnaires infiltrées.
Ils étaient les auxiliaires des complots de l'impérialisme pour détruire les CDR.
Ce même 28 mai 1984 vit la publication du statut général des CDR 

MARDI 20 OCTOBRE 2015

CDR Statut général des Comités de Défense de la Révolution 17 mai 1984 + 30 propositions d'amendements 2015


par Yanick Toutain
20/10/2015

"Laissez les tenants de la démocratie dite pure
 à leurs pleurnicheries et à leurs atermoiements. 
Laissez s'indigner et se scandaliser les juristes
 et autres érudits, tous obnubilés par des procédures
 et des protocoles dont ils n'ont pas encore saisi 
les intentions mystificatrices pour le peuple, 
et faisant du magistrat drapé dans sa toge
 et affublé de son épitoge, parfois en perruque,
 un guignol qui suscite chez nous révolutionnaires,
 de la compassion" 
Thomas Sankara

LIRE AUSSI

SAMEDI 20 JUIN 2015

DETRUIRE LE STATUT GENERAL DES CDR, ASSASSINER LES REVOLUTIONNAIRES
RMC KABORE RALLIA LE GROUPE DES ASSASSINS DE SANKARA


#ValèreSomé avait donné toutes les preuves de la trahison de RMC #Kaboré qui avait rejoint l'assassin #BlaireCompaoré...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 30 novembre 2020

#ValèreSomé avait donné toutes les preuves de la trahison de RMC #Kaboré qui avait rejoint l'assassin #BlaireCompaoré dès le crime 
#RMCKaboré faisait partie du groupe des traitres qui se sont empressés de cirer les chaussures de #Compaoré !
++++ 
CITATION EXTRAITE DE THOMAS SANKARA "L'ESPOIR ASSASSINE"
1°) L'Union de Lutte Communiste-Reconstruite (U.L.C.(R))
C'est contre cette Organisation et ses membres que tout le poids de la répression du régime du Front «Populaire» s'est abattu.
Lors du ratissage organisé contre les partisans sankaristes, nombre de membres dirigeants de cette Organisation furent arrêtés et torturés: Firmin Diallo, Charles Somé, Basile Guissou ainsi d'ailleurs que l'auteur de cet ouvrage, Valère D. Somé('). Kambiré Gilbert lui a réussi à échapper aux mailles du filet.
Durant cette période de répression, il apparut une tendance au sein de l'organisation, animée par Rock Kaboré et Alain Coéfé, qui chercha à intégrer l'U.L.C.(R) au sein du Front «Populaire». Ces deux camarades usèrent de l'argument de la «préservation de la vie des membres de l'Organisation détenus», pour essayer de faire entériner leurs dispositions personnelles à la collaboration.
De ma cellule de détention, je réussis à influencer les débats au sein de l'Organisation en exhortant les camarades sincères à se tenir fermement dans la voie du refus. Cette attitude fut soutenue par la majorité des membres de 1'U.L.C.(R).
===

LA LETTRE DU 16 MAI 1988 signée par le TRAITRE RMC KABORE et ses 3 COMPLICES "Pour le Bilan Critique, En Avant!...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 30 novembre 2020


LA LETTRE DU 16 MAI 1988 signée par le TRAITRE RMC KABORE et ses 3 COMPLICES 

"Pour le Bilan Critique, En Avant! Salutations communistes.

Ouagadougou le 16 Mai 1988» (Ont signé: Alain Coéfé, Basile Guissou, Blaise Kyélem et Rock Kaboré)"

#ValèreSomé avait donné toutes les preuves de la trahison de RMC #Kaboré qui avait rejoint l'assassin #BlaireCompaoré dès le crime

#RMCKaboré faisait partie du groupe des traitres qui se sont empressés de cirer les chaussures de #Compaoré !

++++

CITATION EXTRAITE DE THOMAS SANKARA "L'ESPOIR ASSASSINE"

Quelques semaines auparavant, l'U.L.C.(R) avait encouru les menaces d'une répression sans précédent au cas où les manifestations d'élèves et étudiants auraient lieu. Ces derniers voulaient profiter de la commémoration de la journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse (fixée au 20 Mai 1987) pour organiser leurs propres manifestations.

Les menaces eurent pour résultat de semer une peur panique dans nos rangs. Il y eut des défections. Aux éléments longtemps disposés à collaborer avec le Front «Populaire», s'est joint Basile Guissou. Détention et tortures ont-elles réussi à briser en lui toute velléité de lutte? Cette capitulation, il allait la justifier après coup par une prétendue «divergence» survenue entre lui et moi quant aux voies et moyens qu'il nous faudrait désormais utiliser pour le triomphe de nos idées.

Lui, Basile Guissou, serait désormais partisan de «la voie constitutionnelle de lutte» tandis que je demeurais attaché à «la voie putschiste militaire» de prise de pouvoir.

Il n'est nul besoin pour moi d'affirmer qu'une telle «divergence» ne s'est jamais exprimée et qu'il s'agit d'une argumentation a posteriori pour justifier une conscience coupable.

Sous l'effet de la peur d'une éventuelle répression, les signataires déposèrent dans la nuit du 16 Mai 1988 la pétition suivante:

«LETTRE AU BUREAU POLITIQUE ET AU COMITÉ CENTRAL DE

L'UNION DE LUTTE COMMUNISTE RECONSTRUITE U.L.C.(R)

Il y a de cela dix ans, en 1978, nous avions rompu idéologiquement, politiquement et organisationnellement avec l'Organisation Communiste Voltaïque (OCV) pour créer l'Union de Lutte Communiste (ULC) devenue en Mars 1984 U.L.C.(R). Dix années au cours desquelles nous avons impulsé et soutenu un courant politique dont les principales thèses ont largement influencé la vie politique de notre pays ces dernières années.

Aujourd'hui, nous sommes de nouveau à la croisée des chemins car il nous faut franchir une étape supplémentaire dans la recherche des solutions les meilleures pour l'émancipation véritable de notre peuple à travers un effort de réflexion critique sur cette période riche d'expériences théoriques et pratiques.

Il y a encore quelques semaines, un consensus s'était dégagé en notre sein pour procéder à un bilan critique de notre Organisation et dégager des perspectives nouvelles. En d'autres termes, prendre acte de la faillite de la ligne politique que nous avions suivie jusqu'alors et, notamment depuis le C.S.P., tirer les enseignements de notre participation au C.N.R. et des événements du 15 Octobre au même titre que toutes les autres forces politiques afin de nous renforcer.

Ce bilan critique, nous le voulions pour une fois, réel et approfondi, suivi d'un engagement de chaque militant à travailler au renforcement de l'Organisation.

Cependant, force est de constater que ce consensus est remis en cause par des affirmations du genre: "Les conditions ne sont pas réunies pour le bilan" et le refus de convoquer depuis plus de trois mois le Comité Central et le Bureau politique de notre organisation, laissant nos militants dans le désarroi le plus total. Une telle démission a favorisé le développement au sein de notre Organisation des pratiques que nous pensions à jamais révolues; ragots de couloirs, dénigrements et tentatives d'isolement des camarades qui posent la nécessité du bilan. Bref, un effritement quotidien de notre unité idéologique, politique et organisationnelle.

En lieu et place du débat franc et direct qui élève le niveau théorique des militants et renforce l'unité de l'Organisation, on a préféré développer les commérages. Mieux, des initiatives sont prises sans consulter les membres du Comité Central et du Bureau Politique.

Cette volonté manifeste de ne pas faire le bilan, de continuer à contempler la situation et d'être à la remorque des événements vise à liquider à petit feu notre Organisation.

C'est pourquoi, pour parer au blocage qui plonge l'U.L.C.(R) dans une quasi-léthargie et désoriente nos militants au moment où des choix tactiques et stratégiques clairs s'imposent, Nous, membres du Comité Central et du Bureau Politique, Signataires de la Présente, en accord avec les militants qui partagent notre point de vue sur la situation actuelle de l'Organisation, avons décidé de:

- Nous désengager de l'U.L.C.(R) dont les prises de positions et décisions à compter de ce jour ne nous lient plus.

- Nous atteler, sans polémique stérile, à faire un bilan critique de nos dix années de lutte, seule base objective pour participer à la lutte pour l'émancipation véritable de notre peuple.

Pour le Bilan Critique, En Avant!

Salutations communistes.

Ouagadougou le 16 Mai 1988»

(Ont signé: Alain Coéfé, Basile Guissou, Blaise Kyélem et Rock Kaboré)

Des quatre signataires, seul Alain Coéfé était membre du Bureau Politique de l'Organisation.

Basile Guissou, malgré le fait qu'il s'auto-proclamait à l'extérieur du pays «premier dirigeant de l'Organisation» (lors de ses missions en tant que ministre des Relations Extérieures), avait longtemps été maintenu à la base comme simple militant - cette décision ayant été prise pour sanctionner son premier acte de trahison vis-à-vis de l'U.L.C. en Octobre 1979. Ce n'est qu'au mois de Mai 1987, sur proposition d'Alain Coéfé, qu'il fut relevé au rang de membre du Comité Central.

Quant à Kyélem Blaise, il était tellement déconsidéré pour ses pratiques de corruption, que l'Organisation aurait dû l'exclure depuis longtemps.

Telle est la physionomie des pétitionnaires du 16 Mai 1988.

La réaction de la Direction de l'U.L.C.(R) fut prompte. Il était plus que clair que ces quatre camarades couraient au devant des événements pour dénoncer leurs camarades et du même coup se blanchir aux yeux du régime.

Mesurant les menaces qui pesaient sur elle, la Direction entreprit de répondre à la «Lettre» des quatre pétitionnaires. Cette réponse date du 17 Mai 1988:

«Aux Camarades membres du C.C. de l'U.L.C.(R), Co-signataires de la lettre en date du 16 Mai 1988 adressée au Bureau Politique et au Comité Central de l'Organisation (Camarades Coéfé Alain, Basile Guissou, Roch Kaboré, Kyélem Blaise).

Nous accusons réception de votre lettre ci-dessus mentionnée. Afin de mieux instruire les points qu'elle soulève, au sein de l'Organisation, il est de notre devoir d'exiger de vous des éclaircissements supplémentaires:

1°) Nous constatons avec satisfaction, que votre initiative est motivée par votre sincère désir d'empêcher la liquidation entreprise à "petit feu" de notre Organisation. Cependant, force est de douter de votre bonne foi, du fait de certains actes et agissements posés par nombre d'entre vous ces derniers temps.

2°) S'il est en accord avec les principes organisationnels que des membres d'une cellule, ou d'une instance quelconque se concertent et agissent en commun accord pour interpeller une autre instance de l'Organisation, cela devient purement des attitudes anti-organisationnelles, lorsque des militants appartenant à des instances différentes, supposées par conséquent s'ignorer, agissent d'un commun accord pour interpeller une autre instance de l'Organisation.

Vous-mêmes affirmez avoir agi "en accord avec des militants qui partagent (votre) point de vue".

3°) L'unique divergence à partir de laquelle vous avez élaboré votre lettre, se réduit à l'acceptation ou au refus de procéder à un bilan critique de notre Organisation. Vous accusez les autres membres du C.C. et du Bureau Politique de faire preuve de volonté manifeste de ne pas effectuer le bilan critique. Cela nous surprend. D'ailleurs, vous affirmez le non fondement d'une telle accusation lorsque vous écrivez: "Cependant, force est de constater que ce consensus est remis en cause par des affirmations du genre: les conditions ne sont pas réunies pour un bilan".

Quoique inexacte (car il s'est agi de conditions qui ne sont pas réunies pour réunir le C.C. ou le B.P.), vous affirmez cependant l'acceptation de la nécessité du bilan.

En outre des raisons ont été avancées pour justifier l'inopportunité de la convocation de ces deux instances. Il aurait fallu démontrer l'inconsistance des raisons avancées.

4°) Vous parlez d'initiatives qui "sont prises sans consulter les membres du Comité Central et du Bureau Politique". Vous nous aideriez en nous explicitant une telle accusation. Puisqu'à notre connaissance, aucune initiative n'a été prise au nom de l'Organisation.

5°) Il serait utile pour l'ensemble de l'Organisation que vous clarifiez le sens de vos décisions finales:

- que signifie "se désengager de l' U.L.C.(R) dont les prises de positions et décisions à compter de ce jour ne (vous) lient plus"?

Doit-on comprendre que par cette décision vous cessez d'appartenir à l'Organisation?

De quelles "prises de positions et décisions" de l'U.L.C.(R) s'agit-il?

Comment l'U.L.C.(R) peut-elle prendre des positions et des décisions, sans que le B.P. ou le C.C. ne se réunissent?

Votre décision de "(vous) atteler (...) à faire un bilan critique de nos dix années de lutte", dans quel cadre comptez-vous le faire si comme on peut le supposer vous n'avez pas rompu les liens avec l'Organisation?

C'est mus par le désir sincère de comprendre au mieux les termes de votre lettre, convaincus que nous sommes que l'Organisation doit se renforcer par l'engagement non formel mais pratique et conséquent de chaque militant, que nous vous invitons à préciser ces points.

Et le militant ne peut travailler conséquemment au renforcement de l'Organisation, que s'il met en pratique le respect des principes organisationnels.

C'est justement le respect des principes organisationnels qui met un frein aux ragots de couloir, dénigrements et autres attitudes fractionnistes et scissionnistes que vous dénoncez dans votre lettre.

Peut-on être moralisateur, si l'on veut combattre le mal en pratiquant le mal?

Avec toutes nos militantes considérations.

Pour le S.P. du B.P. de l'U.L.C.(R)

Valère D. Somé.»

Cette lettre est restée jusqu'à nos jours sans réponse car l'intention des signataires n'était pas d'engager une discussion positive. Leur pétition avait pour unique but de se doter d'un élément de preuve qui les justifierait le cas échéant aux yeux du Front «Populaire».



=xxx

La lettre du traitre RMC #Kaboré du 16 mai 1988 était un feu vert pour que Blaise Compaoré arrête et TORTURE les jeunes...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 30 novembre 2020

La lettre du traitre RMC #Kaboré du 16 mai 1988 était un feu vert pour que Blaise Compaoré arrête et TORTURE les jeunes manifestants de la Journée anti-impérialiste de la Jeunesse le 19 mai 1988 et interpelle Valère Somé le 21 mai 1988


Comme on pouvait s'y attendre, les manifestations eurent lieu le 19 Mai 1988 et nombreux furent nos camarades étudiants et élèves arrêtés et torturés.

Dans la soirée du 21 Mai 1988, en rentrant chez moi, je fus arrêté par les agents de la Direction de la Sécurité Publique commandée par le Commissaire Alain Ouilma. Le 23 Mai, Alain Coéfé se serait présenté au bureau du Capitaine Yé Bognessan Arsène, coordonnateur national des Structures Populaires, muni de leur pétition pour se justifier et avec lui ses camarades co-signataires.

Libéré le 28 Mai 1988, et ayant été informé d'une machination du Capitaine de Gendarmerie Jean-Pierre Palm pour attenter à ma vie, je me suis résolu à prendre clandestinement le chemin de l'exil.

Ainsi avec Gilbert Kambiré, nous retrouvons-nous deux membres de la Direction à l'extérieur du pays, les autres étant affectés loin de la capitale.

Après que j'aie quitté le pays, Basile Guissou entreprendra de créer une section nationale du Parti Radical en réunissant autour de lui, Salif Diallo, le Directeur de Cabinet de Blaise Compaoré, Allassane Sawadogo, Moustapha Saar, etc.

Fort de cette couverture, il se fera volontiers l'ambassadeur itinérant du Front «Populaire» auprès des Organismes d'aide internationaux. Tel est le prix de la quiétude et des va-et-vient hors du pays dont lui et ses amis (dont Alain Coéfé) jouissent.

Maintenant, Blaise Compaoré exige de ses commissionnaires la dissolution de l'U.L.C.(R) au sein de l'O.D.P./M.T. Et Basile Guissou ainsi que Rock Kaboré qui se sont d'eux-mêmes exclus de l'Organisation par leur pétition du 16 Mai 1988, ont entrepris d'engager les pourparlers avec l'O.D.P./M.T., au nom de la direction de l'U.L.C.(R) en vue de cette auto-dissolution de l'Organisation. Et pour arriver à leurs fins, c'est la question du bilan critique de notre participation au C.N.R. qu'ils mettent en avant. Paradoxalement, ils n'ont pas attendu de procéder à un tel bilan pour décider de participer au gouvernement du Front «Populaire» de Blaise Compaoré: Rock Kaboré est l'actuel ministre de l'Equipement et des Transports du gouvernement du Front «Populaire».

Pour entraver le marchandage dont l'Organisation est l'objet, la direction de l'U.L.C.(R) a rendu publique une déclaration par laquelle elle suspend toutes les activités publiques de l'U.L.C.(R) en dénoncant à l'avance tout «trafic» qui sera effectué en son nom. Et c'est pour s'être opposés à cette machination que les membres de la direction de l'U.L.C.(R) restés sur place ont été arrêtés et sauvagement torturés dans le cadre de la prétendue «tentative de déstabilisation» du régime de Blaise Compaoré, par le Capitaine Boukary Kaboré, le 20 Décembre 1989.

L'U.L.C.(R), malgré les tentatives de certains de ces membres déserteurs, se situe par rapport au Front «Populaire» en situation d'opposition.

jeudi 26 novembre 2020

Attaque terroriste au Black Gold Studio ! Le producteur Michel Zecler agressé par 3 policiers terroristes complices de Jean Marie Bourry le commissaire qui protégeait les terroristes Forces Nouvelles de Guillaume Soro en Côte d'ivoire, le recruteur des jihadistes Ansardine au Mali.

par Yanick Toutain
et Julie Amadis

Une attaque terroriste évidente mais aucun des médias de la bourgeoisie française ne l'a encore qualifiée comme tel. On nous fait croire à une bavure alors que les 3 terroristes étaient encore en liberté pendant plusieurs jours, avant que le scandale ne soit rendu public.
Il n'y a pourtant aucune différence entre les Dozos de Guillaume Soro (protégés par le commissaire de police français Jean-Marie Bourry), les jihadistes Ansardine téléguidés par Ahmada Ag Bibi sous la conduite du colonel Gadoullet et du général Puga et ces 3 policiers terroristes du Black Gold Studio 


LOI SECURITE GLOBALE C'EST POUR PROTEGER LES TERRORISTES PAS POUR LES METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE

 Cette attaque terroriste du Black Gold Studio a le même but que les attaques contre Charlie Hebdo, le Bataclan, la RTI à Abidjan, Aguel Hoc ou Bamako : terroriser les populations.
Mais quand les images sont absentes ou censurées, les victimes n'ont plus de preuves. C'est cela le but de Macron et Darmanin : interdire de FILMER LES TERRORISTES. La loi Sécurité Globale est une loi pour protéger les trois terroristes qui ont agressé Michel Zecler. Une loi pour protéger Jean-Marie Bourry, Guillaume Soro, Ahmada Ag Bibi, Iyad Ag Ghali et tous les miliciens fascistes de la police française

LIRE AUSSI 

Le criminel impérialiste Joseph Biden a choisi Antony Blinken l'adjoint et complice d'Hillary Clinton dans l'organisation du terrorisme en Côte d'Ivoire, au Mali et au Proche-Orient, les créateurs de DAECH et les parrains d'Iyad Ag Ghali, du MNLA et de Guillaume Soro


Attaque terroriste au Black Gold Studio !
 Le producteur Michel Zecler agressé
par 3 policiers terroristes complices de Jean Marie Bourry le commissaire qui protégeait les terroristes Forces Nouvelles de Guillaume Soro en Côte d'ivoire, le recruteur des jihadistes Ansardine au Mali.


Les médias Franceàfric comme BFMTV s'inquiètent que l'agression terroriste dont a été victime le producteur Michel Zecler devant et dans son local du Black Gold Studio soit connue du monde entier.

#Michel #MichelZecler Michel Blackgold a été victime d'AGRESSION TERRORISTE par l'ETAT PROFOND #FranceàFRIC Michel...

Publiée par Yanick Toutain sur Jeudi 26 novembre 2020

Une attaque terroriste évidente mais aucun des médias de la bourgeoisie française ne l'a encore qualifiée comme tel. On nous fait croire à une bavure alors que les 3 terroristes étaient encore en liberté pendant plusieurs jours, avant que le scandale ne soit rendu public.
Il n'y a pourtant aucune différence entre les Dozos de Guillaume Soro (protégés par le commissaire de police français Jean-Marie Bourry), les jihadistes Ansardine téléguidés par Ahmada Ag Bibi sous la conduite du colonel Gadoullet et du général Puga et ces 3 policiers terroristes du Black Gold Studio 

ATTAQUE TERRORISTE DU 21 NOVEMBRE 2020 BLACK GOLD STUDIO
ATTAQUE TERRORISTE DU 16 DECEMBRE 2010 VS RTI ABIDJAN

Le commissaire de police Jean-Marie Bourry ne dirigeait pas les 3 policiers terroristes du 21 novembre. Il dirigeait les terroristes Forces Nouvelles de Guillaume Soro et leurs idiots utiles. Ces imbéciles croyant rejoindre une manifestation pacifique avaient été appelé à la radio : la radio ONUCIFM que le policier barbouze français Jean-Marie Bourry contrôlait.
Une radio terroriste de l'ONU dont les responsables - à commencer par Ban Ki Moon et Sarkozy (missionnés par Johnnie Carson et Antony Blinken) savait parfaitement qu'elle avait pour but de recruter des figurants pour cacher les lance-roquettes et les kalachnikov des milices de Guillaume Soro.

Cette attaque terroriste du 16 décembre 2010 elle est comme l'attaque terroriste du 21 novembre 2020 nié en tant que telle par les médias voyous franceàfric 
Cette vidéo est même interdite en France sur la base d'une déclaration mensongère (une de plus) du policier terroriste Bourry. Avec un VPN vous pourrez néanmoins la voir pour constater la présence de ces kalachnikov dont les porteurs sont les protégés de l'ONU

      

LE TERRORISME RACISTE
 EST UN PLAN DELIBERE DE L'ETAT PROFOND FRANCEàFRIC

LE BUT DU TERRORISME RACISTE EN FRANCE
COMME EN CÔTE D'IVOIRE, BURKINA FASO, MALI
 ET LES AUTRES PAYS DE LA ZONE ESCLAVAGISTE D'AFRIQUE
EST DE LIMITER LES SALAIRES DES PAYSANS A 50 EUROS PAR MOIS


 

 Des salaires esclavagistes

Salaire moyen en Côte d'Ivoire 160 €/mois :

Le revenu mensuel moyen par habitant en Cote d'Ivoire s'élève à 191 $ (160 euros) , soit 2290 $ par habitant et par an. JDN  

Salaire moyen au Burkina Faso 55 €/mois

Le revenu mensuel moyen par habitant au Burkina Faso s'élève à 66 $, soit 790 $ par habitant et par an. JDN 

Salaire moyen au Mali 61 €/mois :

Le revenu mensuel moyen par habitant au Mali s'élève à 73 $, soit 880 $ par habitant et par an. JDN

 

Esclavage : pas d'abolition pour Bolloré

Embauche systématique de mineurs par Bolloré ! Témoignage inédit d'un ouvrier de SOCAPALM ayant travaillé pour Bolloré pendant 10 ans au Cameroun


LE COMPLOT TERRORISTE DES JUGES VOYOUS
LAISSE EN LIBERTE DES POLICIERS APRES LEUR ATTAQUE RACISTE 



« La préfecture de police de Paris a connaissance des faits depuis lundi, mais jusqu'à aujourd'hui personne n'a estimé qu'il était peut-être dangereux d'avoir ces trois policiers à exercer sur la voie publique » de qui a révélé l'affaire #Michel.
Cela signifie que, avant que le scandale ne soit révélé par les médias, la hiérarchie de Macron, parfaitement au courant, espérait que les 3 terroristes soient maintenus en fonction

On retrouve là, la même méthode que le procureur Molins et Hollande ont utilisée pour le Mali.
Alors qu'on connait les noms des terroristes, on va les protéger et faire annuler les poursuites contre eux


 

LA LOI SECURITE GLOBALE
C'EST POUR PROTEGER LES TERRORISTES
PAS POUR LES METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE

 Cette attaque terroriste du Black Gold Studio a le même but que les attaques contre Charlie Hebdo, le Bataclan, la RTI à Abidjan, Aguel Hoc ou Bamako : terroriser les populations.
Mais quand les images sont absentes ou censurées, les victimes n'ont plus de preuves. C'est cela le but de Macron et Darmanin : interdire de FILMER LES TERRORISTES. La loi Sécurité Globale est une loi pour protéger les trois terroristes qui ont agressé Michel Zecler. Une loi pour protéger Jean-Marie Bourry, Guillaume Soro, Ahmada Ag Bibi, Iyad Ag Ghali et tous les miliciens fascistes de la police française