mercredi 27 octobre 2010

Famines en Afrique, recherche scientifique en biologie végétale et l'investissement démocratique.

"LA RECHERCHE INTERNATIONALE
TRAVAILLE TRÈS PEU SUR CES PLANTE
S"


Donner 300 euros à chaque Terrien pour qu'il investisse librement, tout en fermant les Bourses et les banques, tout en empêchant les politiques d'avoir la "clé du coffre" modifiera toute l'économie.
Les citoyens, librement, pourront décider d'investir où cela leur semblera le plus utile. Il est plus que probable qu'une grande partie des Terriens cherchera - par son investissement démocratique - à éradiquer la famine.

Dans son ouvrage "Nourrir l'humanité", l'ingénieur en agriculture Bruno Parmentier, relève justement :

"La majeure partie de l'Afrique sub-saharienne, soit 21 pays (comme le Nigéria, la RDC, le Cameroun) consomme, non pas des céréales, mais des racines et tubercules : manioc, igname, taro, patate douce, plus banane plantain.
Ces deux derniers groupes de pays [qui englobent donc l'aire du mil, du millet et du sorgho plus les 21 pays ci-dessus] souffriront vraisemblablement le plus de la faim au 21° siècle. Faute de perspectives de rentabilité, la recherche internationale travaille très peu sur ces plantes. Or, d'un point de vue purement scientifique et technique, il y aurait beaucoup à attendre de l'amélioration de ces cultures."
"d'un point de vue purement scientifique et technique,
il y aurait beaucoup à attendre
de l'amélioration de ces cultures.
"

L'auteur ajoute en note de bas de page :
"A titre d'exemple, des résultats spectaculaires ont été obtenus récemment au Nigéria, en matière d'amélioration de la culture du manioc."
Dans le système mondial capitaliste, on ne finance que les choses qui sont favorables au Nord. Ne pas financer la recherche sur les plantes de la Terre du Sud.... permettra aux colonisateurs de prétendre que l'Afrique n'est ...... pas rentable et doit continuer à dépendre économiquement de l'Occident capitaliste pour vivre.

NOTES :



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