vendredi 12 novembre 2010

Pour Laurent Gbagbo, Alassane Ouattara est un "candidat de l'étranger". Quand Pétain-Gbagbo dénonce - à juste titre - Laval Ouattara.

Sur Facebook, on peut voir les propos sincères du socialiste-colonialiste Laurent Gbagbo. Le larbin de la classe formoise des collabos diplômés de l'Afrique voit la Poule aux Oeufs d'or de la collaboration lui échapper.
Il va donc "insulter" entre guillemets son adversaire du second tour Alassane "FMI" Ouattara.
NOTE : 12/11/2010 18:02 sur Abidjantalk, 10 lecteurs ont lu ce texte. Sur Revolisation Actu 2 lecteurs

"facebook LB :*Bbc : Pendant votre campagne vous et vos supporters utilisez contre Ouattara un langage un peu dangereux, un candidat étranger tandis que vous, vous représentez la Côte d’Ivoire…C’est comme si les autres ne sont pas de vrais ivoiriens…
-Non, c’est faux, j’ai dit que ce sont des candidats de l’étranger, je n’ai pas dit qu’ils ne sont pas de vrais ivoiriens. Ce n’est pas la même chose peut-être parce que vous ne comprenez pas bien le Français…
Bbc : Je ne vois pas la différence…
-lL ya une très grande différence, je vais vous l’expliquer tout à l’heure
Bbc : %Mais dans les têtes des gens au dehors ils pensent que…
-Vous n’êtes pas dans les têtes des gens, laissez les têtes des gens tranquilles, dites moi ce que vous avez compris.
*Qu’est qu’on doit comprendre alors
-A peine a-t-on proclamé les résultats du 1er tour, que Ouattara, on lui envoie un avion et il va à Dakar. Ça c’est un candidat de l’étranger. Et au moment où je vous parle, il est à Ouaga. C’est ça j’appelle le candidat de l’étranger. Des gens qui écoutent ce qu’on leur dit à l’étranger pour faire la politique en Côte d’Ivoire. Ce que vous vous dites là, et que je n’ai pas  dit, a une histoire en Côte d’Ivoire. Et c’est Bédié qui l’a dit et je ne le dirai jamais. Puisque c’est moi qui ai signé les papiers pour que  Ouattara soit candidat. Donc, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit…
Mais le terme candidat de l’étranger, je ne suis pas le premier en politique à l’utiliser. Jacques Chirac, dans son appel de Cochin quand il était à l’hôpital de Cochin, avait dit en parlant de Giscard D’Estaing : « c’est un candidat de l’étranger ». Pourtant, Giscard est un Français comme lui. Donc dire « candidat de l’étranger », ça  veut  dire  celui qui travaille pour les intérêts de l’étranger. Je le maintiens et je le répète...

Le "entre guillemets" (pour le "insulter") était, bien évidemment une tournure de langage. L'insulte de collabo, de larbin des Français colonialistes pouvant tout autant s'appliquer à lui-même Laurent Gbagbo.
Quand en 2004, la criminelle de guerre Alliot-Marie poste ses snipers dans les étages de l'Hôtel Ivoire, quand son pistolero "Général Poncet" met en oeuvre sa politique génocidaire accélérée en tuant des femmes, des enfants, des hommes ddésarmés, pacifiques, des êtres humains dont le seul tort était de chanter des chants patriotiques, elle le fait parce que Laurent Gbagbo n'est pas assez obéissant.

Mais il va rapidement rentrer dans le rang de tous les kapos, les surveillants du camp de travail géant de la France à fric. Ce camp où les esclaves travaillent pour 50 euros par mois pour les Vincent Bolloré, pour tous les Bouygues de l'Afrique.
Laurent Gbagbo n'est qu'un Pétain qui tente de ramasser - au passage - le maximum de miettes pour les traitres formois ivoiriens, pour ceux qui sont les kapos de l'Afrique, cette classe sociale de parasites et d'arrivistes - dont fourmillent les sections de "droit", ceux qui comme celle que je dénonçais le 29 octobre (Les KAPOS de l'Afrique, larbins au service des barbares de la France à Fric : un exemple : la HAUTE FORMOISE Jacqueline Lohouès-Oble (un commentaire sur Abidjantalk.com) sont les larbins de la France à fric

Entre les bourgeois-compradores - base sociale principale de Alassane "FMI" Ouattara - et les formois-compradores, les Ivoiriens n'ont pas à choisir.
Les deux sont au service de la France.
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Quand sonne l'heure prochaine du renversement démocratique de Nicolas Sarkozy, l'heure sonne aussi du jugement de son principal corrupteur.
Apprenons à connaitre l'esclavagiste qui contraint les Africains de Kienké à travailler pour 50 euros par mois, le principal bourreau de l'Afrique, celui qui - à Malte - corrompit en plein jour le récemment élu Nicolas Sarkozy en lui offrant des vacances de milliardaires.
On voit sur la vidéo celui qui se présente aux Ivoiriens comme Pétain se présentait aux Français en 40 : il les protège...
Laurent Gbagbo, dirigeant de l'Internationale socialiste est un larbin du fascisme colonialiste come Pétain était le larbin de Hitler.

Un larbin moins obéissant que Laval.
Gbagbo est moins obéissant que Alassanne Outtara.
Deux pantins, deux parionnettes, deux bourreaux de leurs peuples !

Gbagbo dehors !!! Délégation Générale Révocable en Côte d'Ivoire!
Chassons tous les bourreaux ! Depuis la Guinée jusqu'au Cameroun, il faut des gouvernements révolutionnaires révocables !!!
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Voilà ce que j'écrivais le 23 septembre sur "Pétain-Laurent Gbagbo, le larbin compradore et Vincent Bolloré le corrupteur criminel colonialiste qui a acheté Nicolas Sarkozy"


Voilà les seuls qualificatifs que méritent ces gens.
La seule réponse de l'Afrique devra être "REVOCABILITE PERMANENTE des élus", délégation générale, (UN délégué de base pour 25 délégateurs), "1000 euros par mois pour tous les Africains"

Mais pour cela, le premier mot d'ordre doit être
"TROUPES FRANÇAISES HORS D'AFRIQUE !"

... et la première action de DENONCER tous ceux qui ne veulent pas CRIER cela.
En commençant par placer leurs noms sur Internet.

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