dimanche 3 avril 2011

Attaque de Sarkozy-Soro-Ouattara contre la Côte d'Ivoire : Le Journal du Dimanche a-t-il censuré la vérité parue dans .... le Journal du Dimanche signée par Pierre-Laurent Mazars

 Plusieurs sources imputent, en effet, une partie des massacres aux « dozos » . Ces chasseurs traditionnels, réputés jouir de pouvoirs mystiques, se sont placés aux côtés des insurgés anti-Gbagbo au début de la crise ivoirienne en 2002. Il semble qu’ils aient accompagné, voire précédé dans l’Ouest, les FRCI lors de la blitzkrieg qui leur a permis de prendre en quatre jours le contrôle de la quasi-totalité du pays. (Pierre-Laurent Mazars sur le JDD PAPIER 3/4/2011)
 
Tout à l'heure, j'ouvre dans un de mes bars préférés le JDD, le Journal du Dimanche. Je viens de finir une vidéo scientifique révolisationnaire.... et je consulte les éventuels bobards publiés dans ce journal qui était devenu l'ombre de lui-même.
Il m'arrivait - autrefois - de l'acheter malgré mes peu de moyens.
Maintenant je subis - en serrant les dents - le bourrage de crâne publicitaire de l'auto-proclamé rédacteur en chef de ce torchon sur les ondes radiophoniques.
Et là AHURISSEMENT.
La presque vérité est publiée sous la plume de Pierre-Laurent Mazars.
Pour la première fois, depuis la création de Révolisation Actu,, j'envisage de publier de larges extraits ou la totalité de cet article dans lequels les EXACTIONS FASCISTES des GANGSTERS OUATTARA sont mises en lumière.
Seulement voilà, est-ce bug ou CENSURE FASCISTE sur le SITE DU JDD..... l'article A DISPARU !
LES FASCISTES DE LA DGSE ONT-ILS LE BRAS SUFFISAMMENT LONG POUR FAIRE DISPARAITRE EN LIGNE UN ARTICLE PAPIER QUI DERANGE LEUR PROPAGANDE ESCLAVAGISTE en faveur du PANTIN ONUCI Ouattara ?
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  • 3 avr. 2011
  • Le Journal du Dimanche
  • Pierre- Laurent Mazars

La guerre civile tourne au bain de sang

Au moins 800 morts dans l’Ouest, selon le Comité international de la Croix- Rouge. Les forces pro- Ouattara sont les premières accusées

Alors que les combats ne faisaient pas encore rage dans les faubourgs d’Abidjan, c’est dans l’ouest du pays, non loin de la frontière libérienne, que la guerre civile ivoirienne a basculé dans l’horreur. Selon le CICR ( Comité international de la CroixRouge), auquel la FIDH ( Fédération internationale des droits de l’homme) a emboîté le pas hier, au moins 800 personnes ont été tuées, en début de semaine, à Duékoué. Une ville que les Forces républicaines de Côte d’Ivoire ( FRCI), les exrebelles intégrés à l’armée soutenant Alassane Ouattara, contrôlent depuis mardi.
Reuters Hier, dans les rues d’Abidjan, des militaires pro-Outtara devant le corps d’un homme blessé. Le flou subsistait hier quant à la responsabilité des exactions ainsi que sur leur réelle ampleur. Prise de court par ces révélations, la Mission de l’ONU en Côte d’Ivoire ( Onuci) a confirmé des massacres de grande échelle, en évoquant un chiffre pour l’heure inférieur à l’estimation des deux ONG. Elle a indiqué dénombrer « 330 personnes tuées à Duékoué de lundi à mercredi » , selon des « rapports intermédiaires » , lors des combats entre forces pro-Ouattara et militaires restés fidèles à Laurent Gbagbo. Ce qui n’en constitue pas moins la plus lourde tuerie en une décennie de violences.
Toujours selon l’Onuci, « plus de 100 personnes ont été tuées par les mercenaires pro-Gbagbo avant la prise de la ville » par les FRCI. « La plupart » des victimes – 230, selon cette estimation – seraient donc imputables aux soldats proOuattara ou à leurs supplétifs. Le clan Gbagbo, lui, attribue la responsabilité totale des massacres au camp adverse. « Il y a eu 876 victimes, selon nos informations. Ce sont des exécutions sommaires, perpétrées dans une ville sous le contrôle des forces d’Alassane Ouat-
Querelles intercommunautaires
Les FRCI se défendent en rétorquant que les personnes abattues étaient « des miliciens et pas des civils » . « À partir du moment où ils sont armés, ils sont considérés comme des combattants » , a estimé un porte-parole, selon lequel les auteurs des exécutions n’étaient par ailleurs pas membres à part entière des Forces républicaines « mais sympathisants » .
Plusieurs sources imputent, en effet, une partie des massacres aux « dozos » . Ces chasseurs traditionnels, réputés jouir de pouvoirs mystiques, se sont placés aux côtés des insurgés anti-Gbagbo au début de la crise ivoirienne en 2002. Il semble qu’ils aient accompagné, voire précédé dans l’Ouest, les FRCI lors de la blitzkrieg qui leur a permis de prendre en quatre jours le contrôle de la quasi-totalité du pays. Les affrontements politico-militaires se seraient par ailleurs superposés à des querelles intercommunautaires. Celles-ci foisonnent, notamment entre Dioula, originaires du nord et Guéré, l’ethnie locale, dans une région déchirée depuis des années par la violence.
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