mardi 2 avril 2013

HOLLANDEGATE au Mali:Après les mensonges DGSE de Thomas Cantaloube voici les mensonges DGSE de Sory de Motti alias Sory Haïdara (un article par Yanick Toutain sur Mediapart-blogs)

HOLLANDEGATE au Mali:Après les mensonges DGSE de Thomas Cantaloube voici les mensonges DGSE de Sory de Motti alias Sory Haïdara

Le Jean Hérold-Paquis du Mali -Sory Haïdara-
crie "impunité zéro"
pour "les putschistes et leurs acolytes politico- syndicaux"
" Ces maliens qui étaient en parfaite intelligence
avec Ansardine, MUJAO et AQMI,
uniquement pour prendre le pouvoir ici à Bamako,
quitte à ce que le reste du pays restent entre les mains de l’ennemi,
doivent être traqués, arrêtés et transférés là où,
on a jugé bon de garder Boucary Daou

".....leurs coalisés politico- militaires, travaillaient à une nouvelle

déstabilisation du régime transitoire par le déroulement
d’un nouveau coup d’état, toujours sous la férule de l’ex-junte."
"Grâce à Dieu, le bon Dieu et à la France, leur funeste dessein
est resté enfoui dans leur funeste tréfonds.
Les forces spéciales qui venaient d’atterrir à Sevaré – Hambodedjo
pour la libération du pays, n’auraient pour rien au monde
toléré des faux problèmes dans la capitale.
Elles auraient sans doute fini par marcher
sur Bamako pour mater cette honteuse déstabilisation."
Cette nuit du 10 janvier 2013,
tout Bamako comprit l’entendue du gâchis programmé.
Les putschistes et leurs acolytes politico- syndicaux
rentrèrent dans leurs petits souliers.
La conspiration prit fin, la légalité triompha
extrait des Elucubrations infra
du harki franceàfric Sory Haïdara).

Les Français de 1942 devaient subir la  Propaganda Abteilung Frankreich  de Radio-Paris et les élucubrations du collabo Jean Hérold-Paquis.
Les Maliens de 2013 doivent subir les élucubrations de Sory de Motti alias Sory Haïdara... grand ami des troupes d'occupation, petit cireur des bottes franceàfric de l'armée française.
Ce n'est pas un hasard du tout de voir les mêmes bobards être lancés par ce sbire de l'armée d'occupation, traitre à son pays et le Tintin au Mali dont on se demande s'il se rend vraiment compte des accusations criminelles qu'il profère !
"NOTRE PATRIE" de Sory de Motti
ce n'est pas le Mali
C'EST LA FRANCEàFRIC
Celui-là croit que les Français l'emmèneront avec eux.
Quel niais !
La bourgeoisie esclavagiste française trahit tout le monde  !
Il n'a pas lu l'Histoire !
Les harkis algériens ont été abandonnés sur place !!!!
Sory Haïdara alias Sory de Motti restera au Mali et sera jugé sur place !
DEUX MENTEURS MENTANT AU MÊME MOMENT,
CE N'EST PAS UN HASARD
Peu après minuit, je publiais l'article démontrant que Thomas Cantaloube était devenu fabricant d'intoxication franceàfric
"Sanogo et les siens fomentent un nouveau coup d'Etat qui n'échoue que grâce à l'intervention militaire française le 11 janvier 2013" le nouveau bobard-prétexte de l'invasion du Mali fabriqué par la DGSE et relayé par Thomas Cantaloube (un article Yanick Toutain Mediapart-blogs)
Au bout du compte, [...] Sanogo et les siens [...] in fine,
fomentent un nouveau coup d’État qui n’échoue
que grâce à l’intervention militaire française le 11 janvier 2013
(de nombreux interlocuteurs officiels nous ont confirmé ce point,
ainsi que la décision française qui a consisté
à envoyer 400 soldats tricolores pour les stationner à Bamako,
geste exclusivement destiné à empêcher un second putsch)

(Elucubrations DGSE N°3 propagées par Thomas Cantaloube
envoyé très spécial de Mediapart au Mali)
.
 
"Nous sommes entrés sur le territoire malien
pour stopper la progression d'Ansar Dine et d'Aqmi vers Bamako,
et avons reconquis par anticipation,
à la place de l'armée de l'Union africaine et du Mali,
les territoires tombés sous contrôle djihadiste."
(Elucubrations DGSE N°1 énoncées
par 
Erard Corbin de Mangoux, directeur de la DGSE,
dans l'article p
ar Jean Guisnel Le Point  )
SORY DE MOTTI TRUQUE
SORY DE MOTTI FABRIQUE
SORY DE MOTTI EST FRANCEàFRIC
Deux choses sont à remarquer.
1° Dans les propos du directeur de la DGSE, à l'époque où il les tenait, il n'éprouvait pas le besoin de prétendre que l'intervention française aurait eu comme fonction d'empêcher un quelconque putsch du capitaine Sanogo ou de qui que ce soit.
Il avait une bonne raison : moins la presse parlait de ce qui se passait réellement à Bamako et à Kati et plus le rideau de fumée de l'invasion islamofasciste vers Bamako pouvait fonctionner.
2° Dans ces mêmes propos tenus par Erard Corbin de Mangoux, il n'est ici question d'une 5° colonne d'étudiants qui auraient agi à Bamako et à Kati en coordination avec les islamistes.
C'est pourtant ce brouet indigeste que le petit cireur de Sory de Motti alias Sory
LE RAMASSIS DE BOBARDS DONNE ICI EST INTEGRAL. SEULS DES GRAS ONT ETE AJOUTES POUR METTRE EN RELIEF LES BOBARDS LES PLUS DELIRANTS DE CE SORY DE MOTTI !

2 avr 2013 Rubrique: Nation,Politiqu
Boucary Daou, le Directeur de Publication du très sérieux quotidien ‘’Le Républicain’’, paierait – il cadeau pour le peu qu’on lui reprocherait, pendant que, des crimes commises ici à Bamako, restent toujours impunis ? Le FDR demande solennellement la création d’une commission d’enquête judiciaire et parlementaire pour faire toute la lumière sur les événements des 8, 9 et 10 janvier 2013.
Younoussi Hameye Dicko , président Copam
Younoussi Hameye Dicko , président Copam
Le FDR a raison ! Il n’est un secret pour personne, ici au Mali et ailleurs dans le monde, que des crimes plus atroces ont été commis dans notre pays. Ils ont été gérés de la manière que personne n’ignore ici et ailleurs. La marche attentatoire à la vie du président de la république par intérim. C’était le 21 mai 2012, un mois après son investiture.
Pire, les 8, 9 et 10 janvier, pendant que, les forces ennemies rassemblées dans la plaine de Bambara- Maoudé, dans la perspective d’une marche de conquête forcée sur Sevaré – Mopti où, elles se proposaient de prier le Djouma, leurs coalisés politico- militaires, travaillaient à une nouvelle déstabilisation du régime transitoire par le déroulement d’un nouveau coup d’état, toujours sous la férule de l’ex-junte.
Dans la soirée du 10 janvier, pendant que Konna ployait sous le coup d’une honteuse occupation djihadistes, des militaires en parfaite intelligence avec une certaine classe politique putschisante, ignorant ce que les présidents ADO, Hollande et Dioncounda préparaient pour contrer l’invasion, encerclaient la résidence du président par intérim, jubilant déjà du coup qu’ils mijotaient, pendant que le reste du pays était gravement exposé au pire des périls. Le pouvoir à Bamako étant leur seule préoccupation, ils étaient prêts à tout. Grâce à Dieu, le bon Dieu et à la France, leur funeste dessein est resté enfoui dans leur funeste tréfonds. Les forces spéciales qui venaient d’atterrir à Sevaré – Hambodedjo pour la libération du pays, n’auraient pour rien au monde toléré des faux problèmes dans la capitale. Elles auraient sans doute fini par marcher sur Bamako pour mater cette honteuse déstabilisation.
Ces forces se sachant déjà dans la ligne de mire de la France et du président ADO, la mort dans l’âme, renonceront rapidement dès que la nouvelle de la venue des forces spéciales leur fut annoncée.
Mon Dieu, quelle déception, quelle honte et quelle tragédie dans leur rang.
Cette nuit du 10 janvier 2013, tout Bamako comprit l’entendue du gâchis programmé. Les putschistes et leurs acolytes politico- syndicaux rentrèrent dans leurs petits souliers. La conspiration prit fin, la légalité triompha.
Aujourd’hui, au moment où, la justice et la sécurité d’état, les rouleaux compresseurs d’un pouvoir qui reste toujours en place malgré son semblant d’allégeance aux institutions de la république, traque dans la presse et au cœur d’une classe politique intraitable, les maliens ensemble, comme un seul homme doivent se lever, se tenir debout et exiger de l ’AN et de la Présidence de la république, une commission d’enquête composée de maliens et de personnes ressortissant des pays qui aident notre pays à  se libérer après la forfaiture d’autres maliens. Ces maliens qui étaient en parfaite intelligence avec Ansardine, MUJAO et AQMI, uniquement pour prendre le pouvoir ici à Bamako, quitte à ce que le reste du pays restent entre les mains de l’ennemi, doivent être traqués, arrêtés et transférés là où, on a jugé bon de garder Boucary Daou.
En ne le faisant pas maintenant et tout de suite, le président Dioncounda Traoré qui sait pertinemment le bien fondé de ce que nous avançons, l’aura toute sa vie sur sa conscience. Parce que, ce qu’on reprocherait, n’est rien à côté de ce que le pays a failli connaître à partir de la haute trahison des 8,9 et 10 janvier 2013.
Sory de Motti

SOURCE: La Nouvelle Patrie  du   2 avr 2013.  

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