lundi 3 mars 2014

"Mali : François Hollande est un menteur. Les islamistes sont les pantins du Qatar, membre de la Franceàfric-Francophonie" Les 1400 lecteurs de Médiapart qui avaient recommandé cet article ne peuvent plus le trouver sur Google : Géraldine Delacroix a censuré son... référencement

Cet article n'est pas censuré sur Médiapart. Que nenni ! Les censeurs fascistes franceàfric ont
 1° Intoxiqué Google-actualité L'article est devenu invisible
2° intoxiqué Google recherche L'article est devenu invisible 
3° Effacé les 1400 RECOMMANDATIONS de lecteurs
Un subtile censure digne de la DICTATURE TRANSLUCIDE gérée par HollandeGATE. Elle va de pair avec la "subtile" condamnation de l'auteur à payer 31000 euros.... sur le point de devenir 149 000 pour un article et une vidéo politiques en défense du président Gbagbo
Tout ce qui a été écrit était VRAI !
Il manquait juste la dernière nouvelle : FRANÇOIS HOLLANDE A VERSE 20 MILLIONS D'EUROS à Iyad Ag Ghali, le LEADER DES ISLAMOFASCISTES Ansar Eddine.

Mali : François Hollande est un menteur. Les islamistes sont les pantins du Qatar, membre de la Franceàfric-Francophonie

Hollande est intervenu parce ses agents d'espionnage fascistes
ont compris, à Bamako, que la gauche malienne allait relever
trois défis. Le premier étant de construire une mobilisation
 populaire efficace.Le deuxième de pousser l'armée malienne
 à agir efficacement et rapidement - ce fut le cas à Konna.
Et le troisième allait être de commencer la construction 
d'un pouvoir du peuple sans ces élections truquées.
C'est cela la raison de l'intervention direct de 
la Franceàfric militaire.Et rien d'autre ! 
(conclusion de cet article)
"Cette résolution autorise le déploiement d’une 
force africaine au Mali pour permettre au pays de recouvrer
 son intégrité territoriale par la reconquête du Nord,
tombé aux mains des narco-terroristes et en proie à
des fondamentalistes.  (...) L’opération sera conduite avec
des troupes combattantes exclusivement africaines et
 une forte mobilisation de l’Union européenne
sur les plans financier et logistique".
Mali - Adoption de la résolution 2085 
par le Conseil de sécurité (21 décembre 2012)

Toute la Franceàfric politique, au garde-à-vous soutient l'invasion militaire du Mali.
Sous couvert d'une résolution proposée par une dictature - le Togo - dont le peuple est dans les rues depuis 3 jours, à manifester pour le 50° anniversaire du "crime fondateur", il s'agit bel et bien d'une invasion d'un pays souverain.
Les pantins islamofascistes ont été financés par l'agence de mercenaire Franceàfric Qatar - dont le Canard Enchaîné vient de nous révéler qu'elle a été intégré à vitesse supersonique au sein de la "Francophonie".
Au moment où la COPAM, le MP22 et toute la gauche malienne ont fait pression sur leur armée pour lancer la contre-offensive, les pantins islamofascistes ont mené, eux, une contre-contre offensive sur la ville de Konna.
Pourquoi ?
Mais tout simplement pour fournir le prétexte nécessaire aux forces spéciales fascistes françaises pour envahir la ville de Sévaré !
Il ne fallait surtout pas que l'armée malienne puisse apparaitre comme capable de résister seule à l'offensive fasciste.
Un nouveau mensonge de plus !
Mais, depuis le début de cette opération d'invasion du pays, tout est faux, tout est truqué.
Il s'agit d'un complot gigantesque.
Un complot, dont le financement des quartiers pauvres de France par la Qatar, montrera un jour qu'il s'agit d'une maneuvre mondiale, un coup d'état fasciste de la bancocratie avec l'aide de ses mercenaires islamofascistes.
En voici les récentes étapes
JANVIER 2012 LE QATAR ATTAQUE LE MALI
Sarkozy a demandé à l'émir du Qatar de fabriquer Ançar Eddine pour attaquer le Nord-Mali.
Dans quel but ?
Economique ?
Evidemment, toujours ! Mais c'est toujours aussi secondaire. Les mobiles politiques sont toujours les premiers : il s'agissait de FABRIQUER un PRETEXTE pour ENVAHIR BAMAKO.
Quatre mensonges principaux
1° mensonge
Ançar Eddine a attaqué en janvier 2012. A Aguel Hoc.
Une attaque coordonnée au téléphone satellitaire Turaya par le président du Mali - lui-même - Amadou Toumani Touré dit ATT.
La première attaque a été repoussée par le leader du syndicat des étudiants maliens Sékou Traoré. Ce militant de la gauche progressiste malienne était devenu militaire et capitaine dans l'armée malienne.
C'est en recevant un appel du président de la république - il appelait ses complices Ançar Eddine - MNLA sur le téléphone satellitaire Thuraya - que le capitaine Traoré a découvert ce complot.
Le résultat a été simple : les comploteurs ont organisé des embuscades contre les troupes maliennes arrivant en renfort à Aguel Hoc (ce n'était pas compliqué : ATT pouvait informer ses complices directement).
La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar DineL’ami d’un capitaine se souvient. Il y a beaucoup de non-dits dans le massacre d’Aguel-Hoc qui a vu l’assassinat froid de 118 soldats de l’armée malienne sur place par les éléments du MNLA, en a fait partie le commandant de l’unité méhariste de la localité, le capitaine Sékou Traoré dit Bad, ancien leader estudiantin.
Lui avait vu la mort venir, mais a préféré la défense de la patrie. Ce snipper hors pair victime d’un complot d’Etat de la part d’ATT, a confié ceci à son ami  avant de mourir : « ce pays va fonctionner comme ça, mais si nous voulons, c’est à nous de changer l’ordre des choses. Restez ici,  je viendrai vous chercher » et fait référence avec sa conversation avec le général ATT sur le téléphone satellitaire des rebelles. 
Neuf mois après le massacre d’Aguel-Hoc, un enseignant rescapé,  Adama Sissoko, ami inséparable et confident du capitaine Sékou Traoré dit Bad, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc, parle et revient sur les dernières heures du capitaine Traoré qui a défendu sa patrie au prix de son sang. Lisez plutôt le récit de ce rescapé.
Sur cette histoire très récente, les gens laissent circuler beaucoup de rumeurs. Il ya eu deux attaques à Aguel-Hoc, celle du 18 janvier et celle du 24 janvier 2012. Ces attaques ont été commanditées par les éléments déserteurs de l’armée avec le soutien des éléments d’Aqmi avec d’autres complicités non identifiées qui donnaient la position de l’armée aux bandits armés. La preuve, un élément de la garde nationale promotion 2007, avait tenté de saboter en mettant des bâtons dans  les obus du 12-7 qui se trouvait au portail du camp, le jour même de l’attaque du 18 janvier 2012.
Ce mercredi la ville a été attaquée très tôt le matin, les tirs sporadiques retentissaient, c’était à 10 heures que les choses ont pris une tournure inquiétante ; les éléments du capitaine ont mis en déroute les assaillants. Dans la nuit du 18 au 19 janvier, moi-même, j’ai personnellement dénombré plus de sept cent corps, je le dit officiellement. Ce que les gens ne savent pas et que le capitaine m’a confié est que ce jour là, vers 22 heures, la position des deux principaux cerveaux de l’attaque, à savoir un certain Abdallah Gamal et Assadeg Ag, un ancien élu à l’assemblée régionale de Kidal,  a été donnée au commandant du camp Sékou Traoré  par un agent de renseignements basé à Sévaré qui était un intime à Sekou.  Leur véhiculé fut pourchassé par un hélicoptère  de l’armée malienne avec à son bord le capitaine lui-même, les deux fugitifs seront appréhendés vers Taoudenni et ramenés au camp d’Aguel-Hoc. Après leurs  auditions et les informations extorquées, ils ont été ramenés derrière le camp et les éléments sont retournés bredouille. En terme clair ils ont été exécutés.
Coup de fil de ATT
Leur téléphone satellitaire communément appelé Thuraya  est resté dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier au matin que le téléphone satellitaire extorqué  aux chefs rebelles a sonné, au bout du fil c’était  le Président ATT qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24 janvier.
Ce coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se présenter et dire : « Allô !  Il ya quoi chez-vous ? Il ya quoi chez-vous ?». Subitement le capitaine, pris de  panique ou habité par la colère ou l’effet de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas du tout compris.

Bad et ses hommes ont préférés la mort plutôt qu’à l’abandon d’une partie du territoire national.

Vous êtes de vrais héros, vous êtes morts pour une cause noble.

2° mensonge
Ce que les médias ne vous disent pas non plus, c'est que le coup d'Etat qui s'est produit deux mois plus tard avait pour fonction principale de mettre hors d'état de nuire ce comploteur Franceàfric ATT.
Le capitaine Sanogo ne fut que celui que les militaires patriotes poussèrent sous les projecteurs.
Mais celui-ci avait raison en se comparant au général de Gaulle : ATT et toute la clique de présidents et de 1° ministre qui s'ensuivirent sous la pression de la CEDEAO n'étaient que des Pétain et de Laval que la France et les USA imposèrent à ce malheureux pays.
Même le Wikipédia est pudiquement silencieux sur cet aspect des choses : le fait que le comploteur numéro était le président lui-même
L'armée malienne est engagée depuis le 17 janvier 2012 dans une guerre dans le Nord du pays contre les rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad et contre les djihadistes de l'Ançar Dine. L'armée subit plusieurs revers, elle souffre d'un manque de moyens par rapport aux Touaregs qui bénéficient d'un important matériel et d'armes lourdes récupérées suite à la chute de Kadhafi en 20113. Le moral des troupes est au plus bas, les officiers supérieurs sont soupçonnés de népotisme, de favoritisme et de corruption, de détourner l'argent destiné à l'équipement militaire4 alors que le salaire d'un soldat de base est de 40 000 francs CFA (60 euros) par mois5. Fin janvier et début février, des manifestations de femmes de militaires réclament des « munitions pour leurs hommes »6,7. À un mois d'échéance des élections présidentielles, l'autorité du président de la république Amadou Toumani Touré qui a annoncé qu'il ne se représenterait pas est remise en cause8.(Coup d'État militaire de 2012 au Mali)
Voilà comment les événements commencèrent :
Les sources s'accordent à dire que le coup d'État n'a pas été préparé à l'avance mais est le fruit d'une escalade d'évènements5. Le 21 mars, Sadio Gassama, ministre de la Défense et des anciens combattants, et le général Gabriel Poudiougou, chef d'état-major général des armées, se rendent au camp militaire Soundiata Keïta à Kati pour évoquer l’évolution de la situation au Nord-Mali. Ils sont pris à parti par des militaires mécontents, essuient des jets de pierre, leurs gardes du corps tirent en l'air pour pouvoir s'enfuir9.
Les militaires en colère se dirigent alors vers l'armurerie et font mains basses sur armes et munitions. Ils s'emparent des quatre automitrailleuses BRDM-2 et des deux transports de troupe BTR-60 stationnés à Kati puis partent vers la capitale. À 15h30, ils attaquent la présidence : les bérets rouges, parachutistes qui forment la garde d'Amadou Toumani Touré résistent jusque vers 21h où l'enceinte du palais est forcée : les mutins ne peuvent mettre la main sur le président qui a été exfiltré vers 18h, les bâtiments sont alors pillés et partiellement incendiés5,10,6. En fin d’après-midi, une centaine d'hommes investissent le bâtiment de l’Office de la radio-télévision malienne (ORTM) au centre de Bamako. La radio nationale suspend ses programmes11.
En soirée, une mutinerie éclate également à Gao, siège du commandement des opérations militaires contre les rebelles du Nord, des officiers loyalistes sont emprisonnés9,12. Les soldats envoyés au Nord se plaignent des « évacuations préventives » des camps militaires présentées par le gouvernement comme « une stratégie de protection » de la population civile.
.... Et, à cette époque, la totalité des activités criminelles en faveur de Ançar Eddine commises par ATT n'était pas encore connues.

3° mensonge
Ce que les médias cachent aussi soigneusement, c'est la façon dont les islamofascistes eurent tout le temps nécessaire pour s'organiser sans que l'armée puisse riposter.
La mesure la plus simple, ce fut le blocage (principalement dans le port de Conakry) des armes que l'armée malienne avait commandées pour mener sa contre-offensive.
Qui bloquait ces armes ?
Mais toute la Franceàfric !!!
CEDEAO, Ouattara, Yayi Boni, Compaoré.... TOUS REFUSAIENT que l'armée malienne puisse avoir de quoi RIPOSTER aux fascistes.
Le 7 septembre, RFI se faisait l'écho de cette attitude
Les armes destinées au Mali toujours bloquées en Guinée par la Cédéao Conakry, Guinée.Par RFI
Les militaires maliens sont en colère contre la Cédéao. L'organisation régionale bloque depuis des semaines une livraison d'armes lourdes achetées par l'Etat malien sous Amadou Toumani Touré ou depuis le coup d'Etat. Ainsi, des blindés, des munitions, sont bloqués dans plusieurs ports de la sous-région, notamment Conakry. Depuis une semaine, quatre émissaires de l'armée malienne et une délégation de la Cédéao sont à Conakry pour tenter de déméler cette affaire.
Cette commande d’armement lourd par les autorités maliennes d’alors, qui date de l’année dernière, est arrivée le 27 juillet dernier à Conakry, à bord d’un bateau battant pavillon turc, en provenance de la Bulgarie.
Mais, parce qu’entre temps le pouvoir avait changé de main à Bamako, les autorités guinéennes, très prudentes en la matière, se sont référées à la Cédéao, l’Organisation économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, à laquelle les deux pays appartiennent. C’était surtout pour prendre les instructions de ce qu’il fallait faire de ce colis, dont le vrai contenu n’était pas encore connu.
Le ministre guinéen de la Défense, Maître Abdoul Kabèlè Camara : « Ce sont plusieurs containers qui se trouvent dans ce navire, contenant des armes, commandées depuis l’ancien président ATT. Donc, dans l’intérêt de la République du Mali et de tous les pays membres de la Cédéao – et une délégation de la Cédéao, d’ailleurs, vient d’arriver – nous allons procéder à l’inventaire de ces containers ».
Le départ forcé de l’ancien général président malien Toumani Touré et la prise du pouvoir par une junte dirigée par le capitaine Amadou Sanogo, et surtout l’annexion du nord du Mali par les islamistes, étaient-ils suffisamment inquiétants pour Conakry, qui a jugé utile de retenir ces containers au port de Conakry ? « Non !... Aucune inquiétude ! Mais imaginez si on avait laissé ces containers… Ils seraient tombés entre les mains de qui ? Nous nous sommes conformés aux directives de la Cédéao », explique Maître Abdoul Kabèlè Camara.
On remarquera que une partie de la commande..... a disparu des écrans radar de RFI. Le journal Waat, cité par Maliactu parlait aussi d'hélicoptères.
Ce n’est pas tout. Il semble que la livraison des deux hélicos serait également compromise. Ces appareils avaient été achetés en Ukraine. Mais le coup d’Etat a interrompu le processus de livraison.(Maliactu.net)
Quand on est le haut-parleur des troupes d'invasion, on ne peut pas laisser supposer que des Africains pourraient piloter des hélicoptères !!
Et combattre eux mêmes les fascistes !!!

4° mensonge
On vous présente en vrac "les islamistes"....
Mais les médias oublient de vous signaler que la première attaque fut menée conjointement par le MNLA et Ançar Eddine sans qu'il soit même possible de distinguer qui était qui.
Mais les médias oublient de vous signaler que le MNLA était reçu en grandes pompes il y a quelques jours par le Nigéria (dont les troupes envahissent maintenant le Mali)
Mais les médias oublient de vous signaler que ce groupe avait été protégé et hébergé par l'assassin Compaoré, au Burkina Faso.
Et que , ce même MNLA venait de signer un accord avec le groupe Ançar Eddine.
Alger (sous les ordres du général de l'AFRICOM des USA) venait d'organiser cette alliance entre les gentils coupeurs de mains (Ançar Eddine et MNLA) contre les méchants coupeurs de mains (MUJAO - AQMI)
Par quel mystère, les gentils coupeurs de mains sont-ils devenus - à nouveau - de "méchants coupeurs de mains"..... les médias ne vous l'expliqueront pas !!!
Le 1° octobre dernier, le journal algérien, El Watan rapportait les propos du général commandant l'AFRICOM.
Le commandant de l’Africom Carter Ham«La solution au Mali ne peut être que politique et diplomatique»
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le 01/10/2012 | 10:00

Les Etats-Unis privilégient pour l’instant la solution politique qui passe par «un gouvernement légitime à Bamako» et un «dialogue avec les groupes du Nord» qui n’ont pas versé dans le terrorisme, sans pour autant fermer totalement la porte à une action armée.
Entre les Etats-Unis et l’Algérie, c’est l’union parfaite ou presque, s’agissant de la crise malienne. Le commandant en chef de l’Africom (commandement des forces armées américaines en Afrique) le général Carter F. Ham, ne s’est en tout cas pas encombré de formules sibyllines pour suggérer la bonne appréciation américaine de l’approche algérienne de règlement de la grave crise au Mali. «Je ne suis pas ici pour discuter de notre présence militaire au Mali, mais pour encourager le dialogue à l’intérieur de ce pays et avec les pays voisins pour le rétablissement de la stabilité à Bamako», glisse, d’entrée, Carter Ham dans la conférence de presse qu’il a animée hier au siège de la chancellerie américaine. Mais auparavant, le général s’est fendu d’une petite déclaration d’amour en soulignant que c’est «avec plaisir que je retrouve l’Algérie, un beau pays et un peuple hospitalier».
Il a aussi pris le soin de «remercier l’Algérie d’avoir renforcé la sécurité autour de notre ambassade ici à Alger après ce qui s’est passé en Libye».  Le «décor» est donc planté pour une plaidoirie, certes d’un militaire, qui épouse globalement l’approche algérienne du règlement de la crise malienne. A travers ses réponses, le commandant de l’Africom a clairement laissé entendre que l’option militaire tant souhaitée par la France est écartée du moins à l’état actuel des choses. Les Etats-Unis sont, a-t-il dit, en train de «s’informer auprès des pays voisins du Mali» pour essayer de comprendre et saisir les enjeux. «Je suis ici pour comprendre et distinguer entre un groupe terroriste et un autre qui ne l’est pas (…). On essaye de comprendre quel est le rôle du Mujao, du MNLA et d’Ançar Eddine», affirme le général.
Solution militaire ? Pas chaud le général
La situation est-elle à ce point confuse ? «Oui, la situation est très compliquée au Mali (…) C’est pourquoi nous pensons que la solution ne peut être que politique et diplomatique.» Voilà qui met l’Algérie et les Etats-Unis sur la même longueur d’onde.
Quid de la position que prendrait son pays si jamais la France, à la demande de la Cédéao, proposait une résolution en faveur d’une intervention armée ? «C’est une question politique à laquelle un général ne pourra pas répondre», lance Carter Ham. Il a cependant concédé vaguement qu’«on ne sait pas encore, il n’y a pas de détails concrets concernant cette question, par ce que comme vous le savez, les Etats-Unis et l’Algérie ne sont pas membres de la Cédéao».  Pour autant, «s’il y a une demande d’intervention militaire, les Etats-Unis   étudieraient la question au Conseil de sécurité». Le général de l’Africom est en revanche formel : «Il n’y aura pas de soldats américains sur le sol malien.»
Une situation compliquée
Comprendre que les Etats-Unis privilégient pour l’instant la solution politique qui passe par «un gouvernement légitime à Bamako» et un «dialogue avec les groupes du Nord» qui n’ont pas versé dans le terrorisme, sans pour autant fermer totalement la porte à une action armée. «Il y a un aspect militaire qui fera partie d’un plan global dans la résolution de ce conflit», a expliqué Carter Ham. Plus explicite, le général a estimé qu’en raison de la présence de groupes terroristes dans la région «une aide militaire peut être requise». Mais il va falloir d’abord séparer le groupe terrorisme de celui qui ne l’est pas. Et les Etats-Unis ne savent pas trop – ou font-ils semblant ? – qui faudrait-il combattre du Mujao, du MNLA et du Ançar Eddine. «L’un des aspects-clés dans la résolution de la crise malienne, c’est de faire la distinction entre les groupes armés dans cette région et définir ceux qui sont terroristes et ceux qui ne le sont pas.» 
Carter Ham n’a pas voulu trancher la question, laissant entendre que le mouvement islamiste Ançar Eddine, qui a érigé un émirat au Nord, pourrait tout à fait être un partenaire des tractations. Ceci, bien qu’il ait pris le soin de préciser qu’il n’est pas question de dialoguer avec les terroristes. Un point sur lequel les courbes algériennes et américaines pourraient se croiser puisque des émissaires de ce mouvement ont pu dialoguer récemment avec les autres groupes du Mali à Alger d’après des sources concordantes. C’est dire que les Américains tablent prioritairement sur la solution politique qui passe d’abord par le rétablissement d’un gouvernement légitime à Bamako, la prise en charge des besoins des populations du Nord, l’aide humanitaire et enfin la lutte contre les terroristes. Des travaux d’Hercule qui ont fait dire au général Carter Ham que la situation au Mali «est compliquée». La solution aussi. 
Hassan Moali

TOUT CELA N'AVAIT QU'UN SEUL BUT : PERMETTRE L'OCCUPATION MILITAIRE DE BAMAKO.
Pendant trois mois, en effet, le Conseil de Sécurité était occupé à une seule et unique chose : justifier le fait que les troupes d'invasion allaient occuper la capitale et non pas la ligne de front.
C'est d'ailleurs l'exact contenu de la résolution 2085 du conseil de sécurité ONU : occuper la capitale et ORGANISER des ELECTIONS TRUQUEES....
L'observateur honnête aura aussi remarqué que cette proposition fut faite par le tyran du Togo Faure Gnassingbé !
Quoi de plus normal que de proposer une invasion impérialiste du Mali quand on matraque son propre peuple dans les rues de Lomé.
Mais, cette info, les médias oublient de vous la donner !

Les 104 lecteurs de Médiapart qui avaient recommandé cet article, eux, savaient
ONU-MISMA VS peuple malien : Après Abidjan, c'est Bamako. La 4° guerre contre l'Afrique est commencée 21 décembre 2012 ParYanick Toutain

Comme étaient aussi informés les 44 personnes qui avaient recommandé
Mali : une autre vérité : La Franceàfric coordonnait les deux attaques. Ançar Eddine contre le nord et CEDEAO contre Bamako 20 décembre 2012 Par Yanick Toutain

EN CONCLUSION : on voyait hier, au Malin, les forces pro-Franceàfric avouer ouvertement quels étaient leurs mobiles : ils sont plus occupés - à Bamako - lutter contre la gauche du pays qu'à résister aux saboteurs pro-islamistes.
Alors que la coalition jihadiste composée d’AQMI, d’Ansar Eddine, du MUJAO et de Boko Haram multiplie les provocations  et menace de marcher sur des villes du sud du pays une coalition hétéroclite de partis politiques et de groupes extrémistes a choisi d’organiser des manifestations violentes à Bamako et Kati  dans le dessein de déstabiliser la transition et le pays, et de créer les conditions d’un second coup d’Etat militaire « .
C’est par ces mots que le Front du refus du coup d’Etat du 22 mars a, dans un communiqué rendu public le mercredi soir, haussé le ton contre les remous qui ont perturbé ces derniers jours, les villes de Bamako et Kati. Des manifestations de protestation émanant des organisations pro-putsch et exigeant la démission du président intérimaire, Pr Dioncounda Traoré et la tenue immédiate des concertations nationales.
Pour le vice-président Iba N’Diaye et ses amis du front anti-putsch, alors que la situation au Nord exige davantage de cohésion nationale et l’union sacrée de tous autour des forces de défense et de sécurité, la coalition du 8 janvier- coalition formée par des organisations pro-putsch comme la COPAM, Yèrèwoloton, MP 22, ADR- tire au flanc du pays en exigeant la tenue immédiate d’une concertation nationale souveraine dont l’objectif clairement affiché est de renverser la Constitution et les institutions républicaines.
 » En ces heures graves où l’existence même de la nation est menacée, il est clair que l’objectif des tenants des  concertations n’est pas la tenue d’assises inclusives, mais plutôt l’instauration d’un régime d’exception qui plongera le Mali dans le chaos et l’anarchie », fustigent les frontistes. Ils « condamnent énergiquement les manifestations violentes » qui ont eu lieu à Bamako et Kati le  9 janvier 2013. Des manifestations qui se sont, selon certaines sources, poursuivies hier jeudi 10 janvier dans la capitale malienne.
Le FDR dénonce ce qu’il qualifie d’instrumentalisation des scolaires. Ce qui a poussé le Gouvernement à décréter la fermeture de tous les établissements scolaires à Bamako et à Kati. Une école malienne qui, il faut le dire, est depuis plusieurs années dans l’abîme le plus sombre dans la mesure où les zones occupées, mais aussi Mopti et certaines contrées voisines n’ont quasiment plus ouvert les classes depuis déjà un bon moment. Toute chose qui pousse certains observateurs à plaider pour une fermeture totale de toutes les écoles sur toute l’étendue du territoire national.
C'est CELA la clé de la situation ! Hollande est intervenu parce ses agents d'espionnage fascistes ont compris, à Bamako, que la gauche malienne allait relever trois défis.
Le premier étant de construire une mobilisation populaire efficace. Le deuxième de pousser l'armée malienne à agir efficacement et rapidement - ce fut le cas. Et le troisième allait être de commencer la construction d'un pouvoir du peuple sans ces élections truquées.
C'est cela la raison de l'intervention direct de la Franceàfric militaire. Et rien d'autre !

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Posted on 28 septembre 2012
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