jeudi 24 avril 2014

"Chronique de la violence barbare sur Terre (1)" en 2009: Quand je rapportais la proposition de loi faite par Edwige Antier (dans un article sur Agoravox:)



Ce lobbysite Xavier Bertrand
pro-violences à enfants rendra
des comptes un jour
à notre justice révolutionnaire
Comme les lobbyistes Franceàfric
 pro-esclavage Bolloré
"PROPOSITION DE LOI
Article unique
L’enfant a droit à une
éducation non violente.
Aucun enfant ne peut être soumis
 à des châtiments corporels
ou à toute forme de violence physique."
 (texte complet infra)
Une proposition à l'initative de l'ex-députée UMP Edwige Antier.
CONTREDITE PAR YVES BERTRAND
"
Qu’Edwige Antier s’exprime
en tant que pédiatre, c’est son droit,
elle a sa conception des choses.
Mais des lois sur tout,
 partout, ça va bien...", a-t-il déclaré sur BFM. 
"En plus, une loi qui rentre dans la sphère privée
pour dire « on interdit la fessée »,
qui intervient à la place des parents,
non là, je crois qu’il ne faut pas aller trop loin."
Yves Bertrand en tant que
 secrétaire de l'UMP en 2009

Julie Amadis a déposé sur le Facebook de l'ex députée UMP Edwige Antier un commentaire pour l'inciter à agir contre la bande organisée OMERTA76 des responsables du Ministère de l'Education qui agissent comme protecteurs des enseignants agresseurs d'enfants en harcelant les témoins (Elle a perdu son emploi en 2008 et est suspendue depuis le 28 mars 2014 sans aucun motif officiel).
Dans une tribune libre sur Agoravox, j'avais mentionné la proposition de loi que la députée UMP Edwige Antier avait faite en 2009.

WIKIPEDIA Châtiments corporels des enfants Edwige Antier dépose en 2010 une proposition de loi visant à interdire les châtiments corporels des enfants, dont la fessée. Elle préconise une interdiction dans le Code civil, et non dans le Code pénal. L'élue explique que « plus on lève la main sur un enfant, plus il devient sournois, menteur et agressif »19 et qu'il « n’y a de bonnes fessées que pour ceux qui les donnent, pas pour les enfants qui les reçoivent »20. Certaines personnalités du monde judiciaire ou psychanalytique, dont le pédiatre Aldo Naouri, lui reprocheront de vouloir instaurer une forme de « tutelle permanente » sur les parents ainsi qu'une législation excessive des questions liées à la vie domestique21,22


UN MOIS DE PRISON POUR AVOIR
TAPOTE LA TETE D'UN MAIRE

Dans mon article de 2009, j'avais signalé la condamnation à un mois de prison avec sursis celui qui avait "tapoté" la tête d'un maire.
Fessée violente contre un enfant de 3 ans impunie en 2008, directrice de maternelle se vantant d'en taper un autre. On voit bien les deux poids deux mesures entre la protection des maires et la non protection des enfants.
Mais que dit Edwige Antier contre le harcèlement organisée de la bande OMERTA76 - qui en vient aux insultes les plus délirantes contre l'enseignante témoin - accusée par un inspecteur d'académie Serge Tillmann d''antisémitisme" - brandissant un article de MON blog dont elle a été LECTRICE comme lui-même, en HURLANT qu'il voit une "étoile de David" (symbole religieux quand il s'agissait d'une image Wikipédia avec une "étoile JAUNE" -symbole nazi..
Que dit et que fait cette député pour protéger les TEMOINS DES VIOLENCES ?
'Ce jugement pourrait satisfaire tous les petits Kévin, Luciano et tous ces enfants battus par leurs parents ou, dans les écoles de la République Française par des enseignants barbares ou des femmes de ménage inéduquées. Manque de chance ! La loi protège mieux les maires – même quinquagénaires – que les petits enfants de 3 ou 4 ans. Il nous faut attendre 2009 pour apprendre qu’une député UMP.
«  Mme Antier a annoncé dimanche dans Le Parisien/Aujourd’hui en France qu’elle allait déposer une proposition de loi visant à interdire les châtiments corporels, dont la fessée, arguant que "plus on lève la main sur un enfant, plus il devient agressif".  » Elle ne fait aucune référence au fait que le maire de Nancy aurait pu adopter une politique plus humaniste grâce aux coups sur la tête donnés – de façon pédagogique – par ses administrés en colère. Au contraire, elle avance que « "On ne peut plus laisser entendre que ce n’est pas grave ou, même pire, que ça a une vertu éducative alors que c’est exactement le contraire", selon l’élue de Paris, par ailleurs pédiatre. »Les juges de Nancy protègent donc mieux les élus que le Recteur de Seine Maritime ne protège les petits enfants.
Et ce n’est pas prêt de changer. Un tir de barrage médiatique en provenance de l’UMP vise à discréditer cette dame et sa proposition. Les arguments avancés par son secrétaire général Yves Bertrand « La responsabilité parentale est pour moi un des fondements de notre société", » n’ont pas pour but de soutenir la mise en conformité de la loi française avec la décision humaniste prise par le Conseil de l’Europe en 2008.
Bien au contraire : Défendant la barbarie, il prétend qu’ « Il ne faut pas trop de lois. ». Après avoir préconisé de considérer les coups contre les bébés et les enfants comme « relevant de la sphère privée »"Qu’Edwige Antier s’exprime en tant que pédiatre, c’est son droit, elle a sa conception des choses. Mais des lois sur tout, partout, ça va bien...", a-t-il déclaré sur BFM. "En plus, une loi qui rentre dans la sphère privée pour dire « on interdit la fessée », qui intervient à la place des parents, non là, je crois qu’il ne faut pas aller trop loin.La justice révolutionnaire aura, un jour, à trancher sur pareille propagande en faveur de la barbarie néo-esclavagiste : le pater familias de Rome qui pouvait tuer les membres de sa famille nous choque tout autant que seront choquées les générations futures par les propos abjects de Yves Bertrand.'


Cela fait des années que je regarde les efforts de cette dame contre les agresseurs d'enfants.
Des efforts sans aucun résultats.

LIRE L'ARTICLE ENTIER QUE J'AVAIS PUBLIE SUR AGORAVOX (à signaler que ce site me censure 2/3 de mes propositions d'articles.... j'ai donc cessé de tenter d'y apparaitre)

Marabout, bout d’ficelle : Chronique de la violence barbare sur Terre (1)

« Tapoter » la tête d’un maire vaut un mois de prison avec sursis. C’est ce qu’on apprend en ce mardi 17 novembre 2009.
"L’homme qui avait adressé le 31 juillet dernier une petite "tapette" sur la tête du maire de Nancy, André Rossinot (UMP-Rad), a été condamné vendredi à un mois d’emprisonnement avec sursis avec obligation de soins par le tribunal correctionnel de Nancy." 
On découvre que son avocat avait plaidé "l’abolition du jugement", mais qu’il n’a pas été suivi par les juges, car "Seule l’altération du discernement du mis en cause a été retenue par le tribunal". En effet, l’ "abolition du jugement" "aurait rendu l’agresseur inéligible à toute sanction pénale".
Ce jugement pourrait satisfaire tous les petits Kévin, Luciano et tous ces enfants battus par leurs parents ou, dans les écoles de la République Française par des enseignants barbares ou des femmes de ménage inéduquées. Manque de chance ! La loi protège mieux les maires – même quinquagénaires – que les petits enfants de 3 ou 4 ans. Il nous faut attendre 2009 pour apprendre qu’une député UMP.
«  Mme Antier a annoncé dimanche dans Le Parisien/Aujourd’hui en France qu’elle allait déposer une proposition de loi visant à interdire les châtiments corporels, dont la fessée, arguant que "plus on lève la main sur un enfant, plus il devient agressif".  » Elle ne fait aucune référence au fait que le maire de Nancy aurait pu adopter une politique plus humaniste grâce aux coups sur la tête donnés – de façon pédagogique – par ses administrés en colère. Au contraire, elle avance que « "On ne peut plus laisser entendre que ce n’est pas grave ou, même pire, que ça a une vertu éducative alors que c’est exactement le contraire", selon l’élue de Paris, par ailleurs pédiatre. »
Les juges de Nancy protègent donc mieux les élus que le Recteur de Seine Maritime ne protège les petits enfants.
Et ce n’est pas prêt de changer. Un tir de barrage médiatique en provenance de l’UMP vise à discréditer cette dame et sa proposition. Les arguments avancés par son secrétaire général Yves Bertrand « La responsabilité parentale est pour moi un des fondements de notre société", » n’ont pas pour but de soutenir la mise en conformité de la loi française avec la décision humaniste prise par le Conseil de l’Europe en 2008.
Bien au contraire : Défendant la barbarie, il prétend qu’ « Il ne faut pas trop de lois. ». Après avoir préconisé de considérer les coups contre les bébés et les enfants comme « relevant de la sphère privée »
"Qu’Edwige Antier s’exprime en tant que pédiatre, c’est son droit, elle a sa conception des choses. Mais des lois sur tout, partout, ça va bien...", a-t-il déclaré sur BFM. 
"En plus, une loi qui rentre dans la sphère privée pour dire « on interdit la fessée », qui intervient à la place des parents, non là, je crois qu’il ne faut pas aller trop loin.
La justice révolutionnaire aura, un jour, à trancher sur pareille propagande en faveur de la barbarie néo-esclavagiste : le pater familias de Rome qui pouvait tuer les membres de sa famille nous choque tout autant que seront choquées les générations futures par les propos abjects de Yves Bertrand.
Il est vrai que l’UMP est un groupe qui s’est spécialisé dans la défense des droits de l’homme - selon ses critères ! - : On découvre, ce même mardi l’ahurissante polémique opposant les dirigeants du parti présidentiel concernant l’accord signé entre l’UMP et le … Parti Communiste Chinois. Heureusement pour Yves Bertrand qui est la cheville ouvrière de cet accord ahurissant, alliant les tenants du « libéralisme » auto-proclamés aux tenants du « communisme » tout autant proclamés …. l’ineffable Frédéric Lefebvre accoure à sa rescousse :
« Frédéric Lefebvre a défendu lundi le secrétaire général Xavier Bertrand interpellé, la veille sur I-Télé, par son prédécesseur Patrick Devedjian sur la récente signature, très controversée, d’un protocole d’accord entre l’UMP et le parti communiste chinois, et sur les adhésions.
"La réalité c’est qu’il y a un parti communiste chinois, et que c’est un interlocuteur. Et ce n’est pas nouveau, c’était déjà le cas avant que Xavier Bertrand soit secrétaire général de notre formation politique", a déclaré à l’AFP le porte-parole du Mouvement populaire Frédéric Lefebvre, interrogé en marge du point de presse hebdomadaire. »
On peut donc continuer à taper les enfants en France et traiter en esclaves les malheureux travailleurs chinois victimes des gangsters stalino-capitalistes : l’UMP veille à la perpétuation de la barbarie sur Terre. Barbarie contre les enfants de trois ans en France, barbarie contre les demi-esclaves min-gong en Chine. Daniel Mermet avait consacré – sur France Inter (4 avril 2007) – un excellent reportage sur ces esclaves soutiers du « miracle chinois ». Ces paysans expulsés de leurs terres par les gangsters pseudo-communistes et n’ayant plus que le « choix » de travailler pour 100 euros par mois en travaillant 7 jours sur 7, 12 heures par jour. Le même reportage révélait que les exécutions des condamnés à mort étaient programmées pour permettre à des Français de venir – sur rendez-vous – se faire greffer des organes vitaux.
C’est ce gouvernement et ce parti politique barbare que l’ineffable rhéteur Lefebvre vient cautionner dans les médias.
« A ses yeux, "c’est une chance pour la France de continuer de développer de bonnes relations avec la Chine".
"Est-ce qu’il fallait aller ou non jusqu’à la signature d’un protocole ? Ce protocole peut être utile sur un certain nombre de points et l’on a tout intérêt à renforcer nos liens avec le parti communiste chinois qui a aujourd’hui une importance essentielle dans le gouvernement de la Chine", a-t-il fait valoir. »
L’importance en question se chiffre simplement : UN euro les 5 heures de travail, c’est ce que les esclaves-mingong interviewés par Daniel Mermet gagnaient en 2007. Nul doute que les Jeux Olympiques, la visite en Chine de Nicolas Sarkozy et la signature de l’accord PCC-UMP a dû augmenter considérablement les conditions de travail et les salaires de ces malheureux !!!




EXTRAIT DU SITE DE EDWIGE ANTIER
  • Dans mon livre “L’autorité sans fessées, je montre comment comment exercer son autorité sans fessées ni violences verbales

    Quelles peuvent être les conséquences physiques ou psychologiques d’une fessée sur un enfant ?

    De plus en plus d’études viennent confirmer mon combat contre la main levée sur les enfants.
    Vous me direz qu’une fessée, une gifle, la menace… ne sont pas “maltraitance”. Bien sûr, comme vous en avez reçu, et comme on vous a dit “tu l’as bien méritée!” vous avez fait de même en coryant bien faire. Mais il n’est pas interdit de réfléchir, car voilà encore une nouvelle étude qui montre les dégâts sur la substance cérébrale de toute cette “violence éducative ordinaire”, comme on l’appelle…
    Alors, documentez-vous et vous réaliserez l’absurdité dans laquelle nous sommes en utilisant fessées, gilles, claques… et restaurez votre autorité autrement grâce à mon livre “L’autorité sans fessées”!
    La maltraitance laisse des traces visibles dans le cerveau
    Et participez sur le site:
    Graine de Curieux.
COMPLEMENT
N° 2244
_____
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
TREIZIÈME LÉGISLATURE
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 22 janvier 2010.
PROPOSITION DE LOI
visant à abolir les châtiments corporels infligés aux enfants,
(Renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, à défaut de constitution
d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
présentée par Mesdames et Messieurs
Edwige ANTIER, Marie-Jo ZIMMERMANN, Jean BARDET, Henriette MARTINEZ, Jean-Pierre DOOR, Gilles D’ETTORE, Philippe HOUILLON, Joëlle CECCALDI-RAYNAUD, Arlette FRANCO, Dino CINIERI et Muriel MARLAND-MILITELLO,
députés.
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
L’abolition totale des châtiments corporels infligés aux enfants a été adoptée par la plupart des pays européens après la campagne menée par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe en 2005. Deux ans plus tard, le commissaire aux droits de l’homme a confirmé cette action en précisant le caractère indispensable de l’interdiction de toute sorte de violence contre les enfants, et notamment au sein de la famille.
Ainsi la plupart des pays européens, dernièrement l’Espagne puis le Portugal, se sont mis en conformité avec l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, complété de l’arrêt de la CEDH (Cour européenne des droits de l’homme) rendu dès septembre 1998 et interdisant toute punition corporelle au sein de la famille.
L’abolition des châtiments corporels doit faire partie du plan prévenant de la délinquance. Risque-t-elle de nuire à l’autorité des parents ? Toutes les études internationales démontrent, au contraire, que l’usage de châtiments corporels fait croire aux enfants que la violence est acceptable. Elle devient, dés lors, un outil pour résoudre les conflits ou pour obtenir ce que l’on désire et sont inefficaces comme moyen de discipline. Bien d’autres moyens moins dégradants existent pour instruire ou discipliner les enfants, contribuant pleinement à bâtir des relations fondées sur la confiance et le respect mutuels. La punition corporelle envers un enfant doit être bannie sous toutes ses formes afin que ce dernier puisse pleinement s’épanouir.
Si les enfants sont traités avec respect, les chances qu’ils traitent les autres avec considération sont plus grandes, y compris envers leurs propres enfants. Grâce à cette « parentalité positive », les parents ont de meilleures relations avec leurs enfants. Ces derniers ont une plus grande estime de soi, sont moins agressifs et plus cohérents, pour trouver plus tard un meilleur équilibre entre leurs responsabilités familiales et professionnelles, sans rechercher les conflits avec leurs partenaires.
Contrairement aux idées reçues, abandonner les châtiments corporels ne rendra pas les enfants plus gâtés ou plus indisciplinés. En effet, complètement dépendants à leur naissance, ils s’appuient sur leurs parents à mesure qu’ils grandissent pour être guidés, soutenus et pour acquérir une maturité d’autodiscipline. Si les parents réagissent calmement lorsque leurs enfants font des « bêtises », s’ils leurs offrent d’autres centres d’intérêts, ces derniers canaliseront leurs pulsions afin de se tourner vers des actions positives. Un bon parent n’est pas un chef mais un guide.
Tout châtiment corporel commis sur un adulte constitue une agression illégale. Comment est-il possible de considérer cet acte comme éducatif sur un enfant ?
La loi abolissant les punitions corporelles envoie un signe fort envers les adultes maltraitants. En France, ce sont 300 000 enfants qui sont considérés comme « enfants en danger ». Comme le montre le dernier rapport de l’ODAS (Observatoire national de l’action sociale décentralisée), ces chiffres augmentent d’année en année de plus de 1 000 signalements. La violence, la maltraitance et l’abandon d’enfants ont augmenté en France, entre 2003 et 2008, de plus de 4 327 cas (source OND, Observatoire national de la délinquance). Dans le même temps la maltraitance avec blessures graves s’est effondrée en Suède.
À ce jour, dix-huit pays européens ont interdit toute forme de punition corporelle, la Suède ayant été la pionnière dans ce domaine en interdisant, dès 1979, tout châtiment corporel ou tout autre traitement humiliant envers les enfants. Une étude de l’Université de Manitoba, au Canada, nous informe que depuis l’abolition des châtiments corporels, la Suède a vu chuter ses taux de délinquance juvénile et de suicide.
L’Allemagne, l’Autriche, la Bulgarie, la Chypre, la Croatie, le Danemark, la Finlande, la Hongrie, l’Islande, la Lettonie, la Moldavie, la Norvège, les Pays-Bas, la Roumanie, la Suède, l’Ukraine, et récemment la Grèce, l’Espagne et le Portugal ont adopté des lois nationales interdisant tout châtiment corporel envers les enfants.
En France, une enquête réalisée en 2007 par l’Union des Familles en Europe relève une incohérence : alors que 87 % des parents affirment avoir déjà donné une fessée, ils sont 85 % à déclarer que les enfants sont mal élevés ! Cette étude souligne bien l’inefficacité des châtiments corporels et, au contraire, leur effet paradoxal sur les enfants.
Pour toutes ces raisons, je vous demande, Mesdames, Messieurs les Députés, d’adopter la présente proposition de loi.
PROPOSITION DE LOI
Article unique
L’enfant a droit à une éducation non violente. Aucun enfant ne peut être soumis à des châtiments corporels ou à toute forme de violence physique.

© Assemblée nationale

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