mercredi 30 avril 2014

J'avais développé, en 2008, une analyse convergente à la thèse de Olivier Maurel liant violence coloniale et violences à enfants dans son texte "Rwanda : de la violence sur les enfants aux génocides"



 la « guerre incessante qui assaille
l'enfant dès le jour de sa naissance ».

Maria Montessori
 citée par Olivier Maurel infra


Six ans après m'être porté en défense de l'assistante-pédagogique Julie Amadis, menacée, harcelée, traitée de menteuse et qui avait perdu son emploi suite aux manigances d'un inspecteur Patrick Deplanque soutenu par une hiérarchie délétère - que je n'appelais pas encore OMERTA76 à l'époque-, je découvre un texte extraordinaire signé Olivier Maurel.
Il fait le lien que j'avais aussi fait en 2008 entre violence coloniale - violence esclavagiste - et agressions physiques en France métropolitaine contre ses propres enfants.
Ses thèses sur les violences à enfants sont ainsi présentées sur le site Les super-parents
En fait, ils sont comme nous tous, ces savants, ces chercheurs; ils ont tout simplement subi cette violence éducative durant leur enfance, et ont finis par la « banaliser ». La banaliser au point d’occulter le fait que c’est très certainement cette violence, imposée dès le plus jeune âge (et depuis la nuit des temps), qui est à l’origine de la violence humaine.
Voici l’explication que donne Olivier Maurel, fondateur de l’OVEO (Observatoire de la Violence Educative Ordinaire) :
« En réalité, l’explication de ce phénomène est simple. Comme la quasi-totalité des enfants, les chercheurs ont subi la violence éducative (tapes, gifles et fessées chez nous,bastonnades dans les siècles passés et dans beaucoup de pays aujourd’hui), à un âge où ils étaient entièrement dépendants, et de la main même des êtres qu’ils aimaient le plus au monde et qui étaient leurs modèles. Ils l’ont subie à un âge où ils n’avaient aucun moyen de la contester et où elle les a persuadés qu’ils étaient insupportables et désobéissants de nature et qu’il n’existait pas d’autres moyens de les élever que de les frapper pour les «corriger».Cette certitude, implantée très tôt dans leur cerveau y est devenue un axiome indiscutable et, quand ils cherchent les causes de la violence, la dernière cause à laquelle ils penseraient est le traitement qui leur a été infligé «pour leur bien» par leurs parentsauxquels ils étaient si attachés. Et, malheureusement, les livres qu’ils écrivent ne font que renforcer dans l’opinion publique la certitude que la violence humaine prend sa source dans le psychisme des enfants.La violence éducative est donc un «trou noir» dans les sciences humaines. Sa méconnaissance non seulement nous empêche de prendre conscience de l’origine de la violence, mais aussi altère notre connaissance de la nature humaine et de nous-mêmes. »Dans son livre « La violence éducative, un trou noir dans les sciences humaines », Olivier Maurel étudie cet étrange phénomène d’aveuglement collectif et montre à quel point la violence éducative ordinaire perturbe notre vision de la réalité : n’y a-t-il rien de plus simple à comprendre qu’un enfant à qui l’on n’apprend pas la violence… a peu de chance de devenir violent ?
Il montre aussi que, récemment, de nombreuses études mettent en lumière les capacités relationnelles innées des enfants qui, si elles sont respectées au cours de leur éducation, lesprédisposent à devenir des adultes équilibrés, confiants en eux-mêmes et altruistes.
Il rappelle aussi bien sûr qu’à l’inverse « Il a été prouvé par plusieurs études rigoureusement scientifiques que les enfants qui ont été frappés ont plus de maladies physiques et mentales et d’accidents que ceux qui ne l’ont pas été, et que cette augmentation se constate dès le niveau de coups le plus bas. Autrement dit, il n’existe pas de seuil de violence en dessous duquel les coups infligés par les parents aux enfants seraient inoffensifs » auteur e
J'avais rédigé plusieurs articles après 2008 sur ce thème en reliant les agressions commises en France au génocide sanitaire qui tua 3 millions de bébés africains en 2005 (-3,3% en 5 ans seulement).
En reliant les agressions commises dans les écoles par les enseignants aux agressions militaires commises par l'armée française.


MARDI 23 JUIN 2009


sur Rue89, un gouvernement pour la violence contre les enfants, pour le crime colonialiste, pour le génocide sanitaire contre l'Afrique

un commentaire sur rue89

 25 juin 22:43 LE LIEN CI-DESSUS NE MENE PLUS NUL PART ; UN CENSEUR SUR RUE89 A EFFACE CE TEXTE
Une copie avait étté faite pour nos cousins africains :

 Depuis j'ai REposté le texte en protestant. Il n'a pas été effacé une seconde fois !

Portrait de Yanick Toutain
Humain sur Terre | 23H28 | 23/06/2009 | Permalien 
« Ministre d'Etat, garde des sceaux, ministre de la Justice et des Libertés. Michèle Alliot-Marie “
Garde des Sceaux une criminelle de guerre en 2004 à Abidjan. Les morts devant l'hôtel Ivoire vaudront à cette dame Michèle Alliot-Marie son extradition vers le Nuremberg de l'Afrique.
Elle dirigeait les Troupes d'Occupation. Ces Troupes d'Occupation qui permettent à tous les Bolloré de contraindre les Africains à travailler pour 50 euros par mois.
Elle sera aussi extradée comme complice - comme les autres - de l'assassinat des 8200 bébés africains chaque jour. Ce génocide sanitaire qui tue 3 millions de babés africains chaque année.
Cette dame et son complice, le général Poncet, ne peuvent pas empêcher la diffusion sur YouTube des images de leur crime
http://monsyte.blogspot.com/2008/12/htel-ivoire-une-chanson-improvise-su…
Sur mon blog il y a le clip de ma chanson ‘Hôtel Ivoire’ et la vidéo originale des crimes.
Je l'avais découverte sur le site africain abidjantalk.com.
Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales. Brice Hortefeux
Le poste de chasseur d'esclaves en fuite lui convient comme un gant. Il va pouvoir montrer l'étendue de ses talents pour renvoyer au Sud les employés camerounais de Bolloré qui auraient fui la misère des Territoires Occupés d'Afrique … comme fuyaient les compagnons de misère de l'Oncle Tom qui fuyaient la Virginie et la Lousiane vers le Nord et la liberté.
Ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité. Xavier Darcos
Il est donc logique que le protecteur de la brute alcoolique José Laboureur soit nommé à la famille.
Celui qui protège tous ces enseignants qui cognent les élèves. Celui qui a laissé le petit Kévin se faire taper par l'Atsem Françoise, celui qui a laissé la directrice Combret de l'école Varlin taper le petit Luciano.
Celui qui a laissé (ou encouragé) le Recteur de Seine Maritime à ne JAMAIS répondre aux faits révélés par Julie Amadis…
Celui qui a laissé le témoin de la fessée - Julie Amadis - être convoqué comme COUPABLE présumée.
Car dans ce monde, la BRUTE SOUTIENT LA BRUTE.
Et c'est la brute qui porte plainte.
Plainte infondée dirait un juriste, un an après cette convocation policière qui - on est sans nouvelle - était basée sur une ‘plainte en diffamation’ dont l'absence d'objet a certainement abouti à un CLASSEMENT SANS SUITE.
Plainte en diffamation DIFFAMATOIRE des ci-devant Véronique Combret et Carole Hervieu - La brute soutient la brute.
Ces deux dames ont raté leur vocation : taper les enfants et protéger ceux qui cognent…. puis diffamer les témoins par des dénonciation calomnieuse.
La Venise des Doges leur aurait convenu.
Avec un ministre pareille elles ont cru pouvoir obtenir l'appui de la justice dans leur plainte.
La révolution appellera ‘crime’ tout geste de violence envers un enfant de moins de 7 ans.
Le règne de Darcos était dans la suite de François Bayrou-la-gifle-en-public.
Nous n'avons pas vu Xavier Darcos taper un enfant comme l'avait fait- devant de caméras - sont prédecesseur Bayrou.
Mais sous son règne, tous les enseignants cogneurs se sont cru impunis. Ils se sont cru à l'abri.
On se demander ce qu'il va faire pour ‘LA FAMILLE’.
Ce serait à rire s'il ne fallait pleurer pour tous ces enfants. Ils sont les martyrs de la bourgeoisie capitaliste et de son Etat.

Il ne manquait plus à cette liste que le crétin Mitterrand. Digne membre de cette famille au ‘tonton’ coupable de crime de génocide contre le Rwanda.
Il faudra retrouver dans les archives radiophoniques les propos négationnistes de ce négationniste.
Un négationniste nommé ministre par un des financiers (armes du Hutu Power) du génocide du Rwanda Nicolas Sarkozy…. il est grand temps qu'un coup de balai révolutionnaire vienne mettre de l'ordre à ces écuries d'Augias que sont devenus les salons politiques de la tête de l'Etat bourgeois.
Il est temps que le peuple organisé en délégation révocable générale vienne mettre à bas cette Constitution semi fasciste de 1958, il est temps que la révocabilité permanente des élus vienne en finir avec toutes les Constitutions, il est temps que l'investissement démocratique retire la clé du coffre à tous ces politicards. L'exemple pakistanais est le dernier épisode de la pourriture bourgeoise.
Violences contre les enfants, organisation et protection du génocide contre le Rwanda, crimes de guerre contre des civils africains, génocide sanitaire faisant 3 millions de victimes chaque année.
Ce gouvernement est à l'image des crimes supplémentaires qu'il est chargé de commettre.
Il ne manque à cette liste que le crime écologique que le faux monnayeur Jean-Louis Borloo et ses ‘pseudo-taxes carbone’ que le pollueur se paye … à lui-même… pour que la liste des crimes soit complète ! ! ! Les Français émettent presque que 4 fois plus que la limite.
….Tiens, ils ont ‘oublié’ le crétin Allègre …. Il aurait été ton sur ton !
C'est une thèse similaire que développe Olivier Maurel dans son article.
"Rwanda : de la violence sur les enfants aux génocides
     
Publié le mardi 15 avril 2014 07:19
Le gouvernement français et son armée semblent avoir joué au Rwanda, avant et pendant le génocide, un rôle pour le moins douteux dans la terrible tragédie qu'a vécue ce pays. On ne peut que souhaiter, comme le demande l'association Survie, la levée du secret défense sur le véritable rôle de la France au Rwanda.
Néanmoins, en tant qu'Observatoire de la violence éducative ordinaire, il nous semble indispensable, à l'occasion du 20ème anniversaire du génocide dans ce pays, de rappeler que les méthodes d'éducation violentes sont un facteur déterminant dans les explosions de violence collective. Et il est d'autant plus nécessaire de le rappeler que le rôle de ce facteur est systématiquement ignoré par les chercheurs qui étudient les génocides."
Olivier Maurel relève des points de similitude entre trois pays violents contre leurs enfants.
"si l'Allemagne pré-nazie, le Cambodge et le Rwanda sont trois pays on ne peut plus différents, un point commun les unit : la pratique dans les familles et dans les écoles d'une méthode d'éducation particulièrement autoritaire et violente.
Dans l'Allemagne pré-nazie, les méthodes préconisées par le docteur Schreber (1808-1861), qui s'ajoutaient à la discipline prussienne et visaient à se rendre « maître de l'enfant pour toujours », avaient eu un immense succès. Ses livres ont connu quarante éditions. D'autre part, contrairement à ce qui s'était passé en France, les châtiments corporels ont été maintenus dans les écoles allemandes au moins jusqu'à la Première Guerre mondiale. Au Cambodge, l'éducation traditionnelle bouddhiste est d'une extrême sévérité. « Bastonnades, humiliations, coups de poing et de pied sont monnaie courante », écrit Véronique Chalmet dans le chapitre sur Pol Pot de son livre L'Enfance des dictateurs (Prisma, 2013). Quant au Rwanda, on y frappe les bébés dès le plus jeune âge pour obtenir qu'ils soient « propres » le plus tôt possible. La bastonnade à la « chicote » y est couramment pratiquée tout au long de l'enfance et de l'adolescence, non pas par des parents maltraitants, mais par des parents qui veulent le bien de leurs enfants et qui leur appliquent les méthodes au moyen desquelles leurs propres parents les ont éduqués.
Ce dressage par la violence, auquel très peu d'enfants échappent, a de multiples effets qui tous, en cas de crise collective (conflit social, conflit ethnique, guerre civile, guerre internationale), favorisent le déclenchement et l'accomplissement de génocides.
En effet, les corps et les esprits ont été habitués dès la petite enfance à un niveau très élevé de violence sur autrui. Les gestes violents du fort au faible, du bourreau à la victime, ils les ont enregistrés depuis leur plus tendre enfance quand ils étaient battus par un adulte deux fois plus grand qu'eux, et considérés comme normaux. D'autre part, le blindage intérieur que les enfants doivent mettre en place pour supporter la souffrance des coups les amène à se couper de leurs propres émotions et à ne plus ressentir celles des autres. Une fois réduite leur capacité d'empathie, ils peuvent blesser et tuer sans états d'âme. Il ne faut pas s'étonner que des individus ainsi conditionnés et qui ont appris très tôt que la violence pouvait être un bien (« Je te frappe pour ton bien ! ») puissent devenir les agents dociles des pires meneurs et des pires propagandes. Ils ont pris dès l'enfance le pli de se soumettre non pas à leur conscience ni même à la loi, mais à la violence et aux leaders violents comme ils se soumettaient à l'autorité des parents et des maîtres. Parce qu'ils ont été dressés à obéir à des stimulations extérieures  (les injonctions, les coups) au lieu d’apprendre à agir librement, leur capacité de jugement individuel et d'esprit critique n'a pas pu se former, ce qui rend leur esprit perméable aux pires aberrations et aux appels au meurtre."
On peut trouver étrange la mention (totalement fausse concernant l'application concrète de cette règle) sur la France.
 "D'autre part, contrairement à ce qui s'était passé en France, les châtiments corporels ont été maintenus dans les écoles allemandes au moins jusqu'à la Première Guerre mondiale. "
Il en a de la violence scolaire - interdite officiellement - comme des devoirs à la maison. Ils sont interdits..... mais la pratique est tolérée par les responsables.
Ou même pire !
Je ne parlerai pas des coups que je recevais en 1963 par mon instituteur de l'époque. Quand je signalait à mes parents les coups que je recevais à l'école Gabriel Péri au Havre, je reprenais la même chose ! Une deuxième séance de violences.
Mais, je vis aussi l'autre côté de la "barrière"

EN SEPTEMBRE 1975, UN COUR DE CHOCS
SUR LES DOIGTS AVEC UNE REGLE EN METAL

Pour avoir reçu, à l'école Jean Jaurès au Havre (France), en septembre 1975 (je débutais depuis janvier 1974 sans formation aucune comme instituteur remplaçant) un cours d'utilisation de la règle en métal donné par le directeur de l'école (qui mimait le geste en feignant de frapper les doigts joints du fils du café jouxtant l'école, servant de "sparring partner" comédien volontaire).... je peux témoigner de ce que la violence scolaire était totalement banalisée il y a 40 ans en France.
J'avais 20 ans cette année-là et un directeur "chevronné" m'indiquait ce qu'il considérait être la technique "pédagogique" la plus efficace pour dresser ces fils d'ouvriers ! Dans la dernière classe de "Fin d'Etudes" de la ville.
J'avais géré l'année d'avant (1974-1975) une CLASSE ENTIERE de 16 élèves dans un collège (Léo Lagrange, une 6° à programme allégé), bien soutenu par un directeur adjoint efficace  (ne résistons pas au rare plaisir de pouvoir citer le nom "Jolivet" d'un rarissime spécimen de chef utile), je trouvais ahurissants ses conseils barbares....
Cette classe de fin d'études dans le quartier des Neiges fut un cauchemar vers lequel je me dirigeais tous les midis avec un stress gigantesque : des enfants dressés ainsi ne pouvaient pas se comporter comme leurs collègues du quartier - voisin - des Champs Barets.... qui avaient eu droit à un collège et à des pédagogies autres.
Avoir un enfant né en 1980 m'avait permis d'acquérir la certitude absolue qu'il était possible d'éduquer un être humain SANS CLAQUES NI FESSES

SAMEDI 12 AVRIL 2014

UNE VIOLENCE D'ENSEIGNANTS DÉLINQUANTS ENCORE PROTEGES
EN 2014 PAR UNE HIERARCHIE DELETERE OMERTA76

Et je peux témoigner de ce que, entre 2008 et 2014, ce sont 7 écoles du Havre (parmi un nombre certainement bien plus importants) qui ont ou on eu des enseignant-e-s cogneurs.
Je peux témoigner de ce que le principal souci de la rectrice en place en Haute-Normandie- Claudine Schmidt-Lainé - n'est pas la protection des enfants ; elle n'a jamais convoqué celle qui lui signalait 4 cas de violences.
Au contraire, elle l'a faite sanctionner la témoin..... par un IA voyou, un responsable indigne Philippe Carrière le DASEN directeur du RESEAU OMERTA76, "AVERTISSEMENT", puis faux en écritures pour construire une faute imaginaire, puis une note délirante de 3 sur 20..... le tout suivi d'une suspension.... sans motif, d'une délirante et diffamatoire accusation - par l'inspecteur d'académie SergeTillmann d'"antisémitisme".

En lisant le paragraphe suivant, on va s'interroger sur un aspect étrange de l'étude
"Bien sûr, spontanément, on trouve disproportionné le rapport entre les punitions corporelles reçues par les enfants et la violence meurtrière qu'ils peuvent déployer plus tard, une fois devenus adultes. Mais de multiples études ont montré que ce rapport existe bien. Dans le cerveau en voie de construction de l'enfant, les connections entre les neurones s'effectuent de manière différente selon que l'enfant est respecté ou dressé par la violence. Le cerveau est façonné, sculpté, par l'éducation reçue, et si rien n'est venu la remettre en question, l'homme adulte reste profondément marqué par la méthode d'éducation qu'il a subie durant les années capitales de l'enfance et de l'adolescence. En temps ordinaire, la violence subie dans l'enfance ressurgit à l'âge adulte sous la forme de violence sur les enfants, de violence conjugale, de violence interpersonnelle, de délinquance ou de criminalité. Mais en période de crise, où les pires cruautés paraissent justifiées par les circonstances et les idéologies, c'est sous la forme de tortures, de massacres, de persécutions, de génocides qu'elle refait surface. Ce n'est pas la crise, le conflit qui sont provoqués par la violence éducative, mais bien la violence, souvent démesurée, avec laquelle on croit pouvoir les résoudre. Certains, bien sûr, échappent à cette reproduction de ce qu'ils ont subi, le plus souvent parce qu'ils ont eu l'occasion de le remettre en question, mais la majorité des enfants pensent, une fois devenus adultes, que si on ne les avait pas battus, ils seraient devenus délinquants ou criminels."

OLIVIER MAUREL SAIT-IL QUE DES SOLDATS FRANCAIS PARTICIPAIENT AU GENOCIDE LE 13 MAI 1994 ?

Sait-il que des soldats français, le 13 mai 1994 participaient eux-mêmes aux massacres ?
Olivier Maurel sait-il que le général en chef du génocide au Rwanda fut François Mitterrand lui-même.
Sait-il que les génocidaires ont été formés par l'armée française.... à pratiquer un génocide ?
Sait-il que des soldats français, le 13 mai 1994 participaient eux-mêmes aux massacres ?
LUNDI 7 AVRIL 2014Rwanda: "Fans de la crapule" Mitterrand général en chef du génocide et ses thuriféraires Barbara et RenaudNi l'auteur de cette chanson "Fans de la Crapule" ni personne -sauf les victimes elles-mêmes dont les survivants témoignent maintenant - ne connaissaient la participation directe de l'armée française aux massacres génocidaires quand cette chanson a été écrite.
Le suicide - crime déguisé - de Grossouvre était une des preuves que les véritables dirigeants du génocide étaient Mitterrand, la DGSE et les pourris de l'armée française : un laboratoire pour perpétuer l'esclavage des Africains payés 1/20 du SMIC de France...
Les juges voyous de France sont plus occupés à fabriquer des faux en écritures contre l'auteur de ce blog qu'à enquêter sur les coupables de génocideS (dont le génocide sanitaire qui tue 3 millions de bébés par an (INED 2005) en Afrique sous la botte française) et de crimes contre l'Humanité en Afrique. Ou à enquêter sur les 10 meurtres de policiers ivoiriens du 16 décembre 2010 dont l'ONUCI Jean-Marie Bourry est le CO-AUTEUR avec les gansters Soro et Ouattara
Paul Kagamé devrait exiger l'arrestation préalable de TOUS LES COUPABLES FRANCAIS du Génocide du Rwanda.
La révolution française 2014, (révolution anti-esclavagiste pour instaurer le SMICenAfrique) prend l'engagement de TOUS les extrader au Nuremberg de l'Afrique
http://monsyte.site.voila.fr/de/ARTS/Musique/Chansons/africaunite/12_Fans_de_la_crapule.htm
Et tous les fans de la crapule
Qui défilaient vers le tombeau
Les Barbara et les Renaud
Tous ces poètes qui manipulent
Les rêves bleus d'un peuple absent
Dans ses vies faites de renoncements
Et tous les fans du criminel,
Digne successeur d'un général,
Pour qui le génocide banal
N'était peut être pas mortel
Pour qui les Africains vivants
Allaient rester quand lui absent
Et tous les fans de la crapule
Qui justifiaient l'aveuglement
Qui le protégeaient simplement
De nos colères par une bulle
De poésie et de musique
Pendant qu'il détruisait l'Afrique
Et tous les fans du Mitterrand
De ce tonton pour l'Amérique
Pour ce valet de tous trafics
Pour ce vichyste qui nous ment
Qui passa sa vie à tricher
A bluffer, eux à l'encenser.
Yanick Toutain
COMPLEMENT 


S'il le sait, et il semble le savoir...
"Le gouvernement français et son armée semblent avoir joué au Rwanda, avant et pendant le génocide, un rôle pour le moins douteux dans la terrible tragédie qu'a vécue ce pays. On ne peut que souhaiter, comme le demande l'association Survie, la levée du secret défense sur le véritable rôle de la France au Rwanda."

.... pourquoi ne cite-t-il que TROIS pays sans inclure la France dans la liste ?
Les militaires français sont évidemment des ENFANTS BATTUS choisissant de TUER pour être nourris !

OLIVIER MAUREL MET EN LUMIÈRE LE LIEN
 ENTRE FASCISME ET AGRESSIONS D'ENFANTS

Les fascistes en Afrique, les pires fascistes, ce sont évidemment les militaires français. Ils sont dressés pour tuer "proprement". De préférence en manipulant des Dozos, des IB des Soro en Côte d'Ivoire, en manipulant des MNLA, des AnsarDine au Mali, en faisant armer des Séléka en Centrafrique.....
Et en tuant ensuite, si besoin, ces pantins !
C'est avec ce recul qu'il faut analyser la suite, les citations de Maria Montessori :
"Dès 1932, dans son « Discours à l'Office international de l'éducation », à Genève, publié dans L'Education et la paix(Desclée de Brouwer, 1996), Maria Montessori, qui a vu naître le fascisme en Italie, avait analysé les conséquences de la violence infligée aux enfants, qu'elle appelait la « guerre incessante qui assaille l'enfant dès le jour de sa naissance ». Parmi ces conséquences, elle énumérait :
- la dissimulation, « dans le but de se conformer aux attentes de l'adulte qui étouffent [l'enfant] » ;
- « une attitude irréfléchie de respect, presque d'idolâtrie chez les adultes, paralysés face aux dirigeants publics qui en viennent à être considérés comme des substituts du père et de l'éducateur » ;
- le fait de « rester étrangers à [eux-mêmes] pour toujours », d'ignorer « leur nature propre » et enfin de devenir des êtres profondément « isolés les uns des autres », « comme les grains de sable du désert » et qui, « même lorsqu'ils se massent, restent solitaires ». « La moindre brise », alors « peut les emporter ».
C'est donc avec, en pensée, le complot de la DGSE faisant un LABORATOIRE du Rwanda.
Ce que j'écrivais dans mon article cité ci-dessus, ...
"Le suicide - crime déguisé - de Grossouvre était une des preuves que les véritables dirigeants du génocide étaient Mitterrand, la DGSE et les pourris de l'armée française : un laboratoire pour perpétuer l'esclavage des Africains payés 1/20 du SMIC de France..."

.... Olivier Maurel ne semble pas le prendre en considération
"On peut imaginer ce qu'il en est quand il ne s'agit pas d'une « brise », mais d'une véritable tempête de propagande meurtrière comme celle qu'a fait souffler la Radio des Mille Collines sur tout le Rwanda.
Quelques années avant le génocide, une animatrice d’une association qui a séjourné dans diverses régions du Rwanda au milieu de la population a particulièrement étudié le maternage et l’éducation donnée aux enfants. Elle a constaté que les mères, qui portent leur bébé sur leur dos, parvenaient à obtenir des enfants « propres » à l’âge de quelques semaines en les frappant dès qu’ils se salissaient. « Au bout de quelques fessées, l’enfant qui a envie de faire pipi pleure à l’avance, car il sait qu’il va recevoir une correction. Quand la mère l’entend pleurer, elle l’enlève de son pagne et le fait uriner. » Et elle ajoutait : « Cette éducation où les parents sont gagnants et les enfants perdants, donne des enfants très disciplinés et obéissants, mais aussi passifs et perdus dès qu’ils sont hors de leur habituel cadre de vie. En grandissant, ces enfants deviennent des adultes relativement soumis, passifs et fatalistes. »"
(...)
Il faudrait que l'auteur nous éclaire sur le rôle exact des Français dans le passage qui suit. Quelle a été leur éducation. Et le lien entre celle-ci et leur action de protection du Hutu-Power.
Combien de militaires français ont désobéi aux ordres en 1994 ?
Combien sont venus témoigner de leurs crimes ?
"Or, l’un des faits principaux qui ressort du livre de Jean Hatzfeld sur le génocide du Rwanda, Une saison de machettes (Seuil, 2003), compte-rendu des interviews d’un groupe de tueurs, c’est que l’obéissance et le grégarisme ont été les principaux ressorts des tueurs, au moins autant que la haine des Hutus pour les Tutsis, elle-même reçue des parents dans la petite enfance. On pourrait multiplier les citations qui font écho au texte de Françoise Dolto : « On obéissait de tous côtés et on s’en trouvait satisfaits [...]. Je reconnais mon obéissance de cette époque [...]. Tuer, c’est très décourageant si tu dois prendre toi-même la décision de le faire, même un animal. Mais si tu dois obéir à des consignes des autorités, si tu as été convenablement sensibilisé, si tu te sens poussé et tiré [...] tu te sens apaisé et rasséréné. Tu y vas sans plus de gêne [...]. Quand tu as été sensibilisé comme il faut par les radios et les conseils, tu obéis plus facilement même si l’ordre est de tuer tes avoisinants [...]. Il nous fallait donc d’abord obéir aux chefs. » « Nous avons été éduqués à l’obéissance absolue. » (P. 210.) « Quand le génocide nous est arrivé par surprise de Kigali, je n’ai pas reculé d’un pas. J’ai pensé : Si les autorités ont opté pour ce choix, il n’y a pas de raison de tergiverser [...]. Celui que la fuite ne poussait pas vers la lâcheté était tiré vers sa machette par obéissance. » (P. 215.). Jean Hatzfeld insiste aussi sur « la puissance du conformisme social en période de crise » (p. 272). « Dans le brouhaha des tueries, la mise à l’écart n’est pas vivable pour une personne [...]. Être seul est trop risquant chez nous. Donc la personne s’élance au signal et prend sa contribution, même si la contrepartie est le sanglant ouvrage que vous connaissez. » (P. 275.) « Quand tout le monde a commencé à sortir la machette en même temps, j’ai fait pareil sans m’attarder. » (P. 282-3.)
Il faudrait donc élargir l'analyse en prenant en compte les modalités des crimes français au Rwanda..
C'est ainsi qu'on comprendra mieux ce qui suit
"Comment peut-on ne pas tenir compte de cette convergence entre les propos des tueurs et les analyses de Maria Montessori, Françoise Dolto et, à plus forte raison, Alice Miller qui a montré mieux que personne, notamment dansC'est pour ton bien (Aubier, 1981), les rapports entre violences subies dans l'enfance et violences commises à l'adolescence et à l'âge adulte ?
J'ai écrit, il y a quelques années, à Jacques Sémelin et à Jean Hatzfeld pour leur exposer cette réponse à la question : « Comment devient-on bourreau ? » Le premier, qui pourtant retenait comme explication plausible les « fantasmes destructeurs de la petite enfance », autrement dit l'explication de Mélanie Klein qui fait retomber la responsabilité de la violence sur l'enfant, s'était dit « troublé » par mon explication, mais n'a fait aucune allusion dans le débat à la responsabilité possible de la violence éducative. Jean Hatzfeld, lui, m'a répondu que les tueurs qu'il a interrogés n'avaient pas l'air d'avoir été maltraités. Et il est effectivement très probable qu'aucun des tueurs qu'il a interrogés ne pensait avoir été maltraité. Ils ont sans doute tous été élevés de façon « normale » et « pour leur bien », par de bons parents qui croyaient bien faire en les battant. Jamais ils n'auraient pensé et dit que leurs parents les avaient maltraités, même si Jean Hatzfeld le leur avait demandé."
Et les militaires venus de France dresser leurs chiens de garde génocidaires..... ont-il le sentiment d'avoir été battus....?
Telle est la question qu'Olivier Maurel devra se poser...
On notera au passage la thèse archéo-freudienne de la violence inhérente à l'humanité.... thèse absurde que Wilhelm Reich a démonté en même temps qu'il démonta la prétendue "pulsion de mort"...

COUPS DE BÂTONS ET DE CEINTURE ?
ET LES COUPS DE CORDE A SAUTER
DE L'ENSEIGNANT COGNEUR DE VALMY PROTÉGÉ
PAR LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE ET OMERTA76 EN 2014 ?


"Rappelons qu'en France, jusqu'à la fin du XIXe siècle environ, on trouvait aussi tout à fait normal d'élever les enfants à coups de bâton et de ceinture. Résultat : le moindre conflit social ou politique pouvait dégénérer en massacre (cf. le nombre de morts à l'occasion des révolutions de 1830 et 1848, de la Commune et même des émeutes lors des funérailles du général Lamarque en juin 1832, ou de la révolte des Canuts en avril 1834 : chaque fois, des centaines ou des milliers de morts).
Quand la Franceàfric tue Syvanus Olympio en janvier 1963 elle envoie un assassin qu'elle a formé ! Charles De Gaulle sait parfaitement quel type de formation a été donné à Eyadéma Gnassingbé.
Mais quand un policier français - Jean-Marie Bourry est nommé comme chef de la police de l'ONUCI en Côte d'Ivoire, il est là pour protéger les assassins dozos et les miliciens de l'Hôtel de Golf - coupables du putsch du 16 décembre 2010 à Abidjan.
Sans parler des crimes multiples de LICORNE entre 2004 - Hotel Ivoire et 2011 le renversement sanglant du Allende de l'Afrique !
Quelle formation avait reçu le policier voyou et faussaire Jean-Marie Bourry. Et ses complices juges voyous ?
Tous ces gens sont des criminels qui seront traduits devant le Nuremberg de l'Afrique !
"Quand donc ceux qui font l'opinion en France accepteront-ils de reconnaître que la manière dont les enfants sont éduqués dès le plus jeune âge joue un rôle capital dans les comportements individuels et collectifs des adolescents et des adultes ? Et qu'on ne peut rien comprendre aux faits de l'histoire des sociétés si l'on ne prête pas attention à la manière dont les enfants y sont élevés ?"
Par Olivier Maurel"

je n'ai encore eu aucune réponse à mon courrier à l'auteur posté le 22 avril, il y a 8 jours
Je découvre à la seconde l'article (EXTRAORDINAIRE) de Olivier Maurel (et votre site)http://www.oveo.org/Découvert sue cette pagehttp://ipa-world.org/society-resources/code/images/10040ac-EU%20report%202013.pdfpage trouvée par la recherchehttps://www.google.fr/search?q=european+council+corporal+punishments&rlz=1C1CHMC_frFR490FR490&oq=european+council+corporal+punishments&aqs=chrome..69i57.77465j0j7&sourceid=chrome&es_sm=93&ie=UTF-8Pouvez vous me donner son contact SVP.....
En le lisant en DIAGONALE je sais qu'il SERA D'ACCORD sur ce que j'écrivais en 2008 et la suite... non encore écrite :LA BRUTALITE de la France en Afrique et dans les ECOLES est un SEUL ET MEME PHENOMENE !Je vais REpublier son article avec une PRESENTATION développant cela....
(pour mon CV tapez "La Brute Soutient la Brute"Et je soutiens actuellement celle qui chantait sur la vidéo (l'adresse de la copie est la sienne)..... Devenue professeur des écoles elle vient d'être suspendue.... SANS MOTIF.... mais la vraie raison... vous la trouverez en TAPANT OMERTA76 sur Google : avoir dénoncé DEUX CAS de violences en 2008 et écrit à la rectrice en novembre dernier en signalant 4 autres cas.... depuis
MerciCordialementYanick Toutain


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COMPLEMENT DE L'ARTICLE DE OLIVIER MAUREL

A lire également :
- la critique par Olivier Maurel du livre de Harald Welzer Les Exécuteurs, Des hommes normaux aux meurtriers de masse ;
- les entretiens d’Alice Miller sur l’enfance et la politique : La destructivité  et Le sadisme .

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