mardi 15 avril 2014

L'Havrais Vérité: Delphine Dufau et Emilie Roehm font circuler une fausse page Facebook attribuée dolosivement à l'enseignante diffamée et suspendue Julie Amadis : Font-elle recel ? Qui a fabriqué cette page ?

Un article de plus pour dire L'Havrais Vérité
Au Havre, la justice est un chantier
dont les fondations sont
 contrôlées par OMERTA76
Ensuite, les instituteurs ont parlé du faux messages
de Mme Amadis aux autres instituteurs.
Ce n'était pas le vrai Facebook de Mme Amadis
compte rendu de Mme Séverine Breton déléguée élue des parents d'élèves
"Les deux instits il y a eu que Mme Roehm qui s'est déplacée [pour nous montrer la fausse page Facebook pendant la réunion de l'IA Tillmann]] et Yazid [Meddad autre délégué élu des parents d'élèves] a entendu Mme Dufau dire que c'était bien Julie [Amadis l'auteur de la page Facebook] (...)


Mais elles ne sont coupables que de montrer le faux Facebook elles l'ont reçu"


Témoignage complémentaire à l'article
fait par la déléguée élue
des parents d'élèves de Valmy


On d'abord informer ces dames de ce qu'elles encourent dès qu'une vraie justice se mettra en place. Avec une vraie police pour enquêter sur les vraie agressions commises contre les enfants et pour enquêter sur les diffamations commises en bande organisée sur cette école. Sous l'égide de l'organisateur de la réunion : l'inspecteur d'académie Serge Tillmann. Un responsable qui est donc le 3° élément nécessaire à la caractérisation aggravée de ces délits :
Section 1 : Du recel.
Article 321-1 En savoir plus sur cet article...Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002Le recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d'intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose provient d'un crime ou d'un délit.
Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d'un crime ou d'un délit.
Le recel est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 375000 euros d'amende.
Article 321-2 En savoir plus sur cet article...Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002Le recel est puni de dix ans d'emprisonnement et de 750000 euros d'amende :
1° Lorsqu'il est commis de façon habituelle ou en utilisant les facilités que procure l'exercice d'une activité professionnelle ;
2° Lorsqu'il est commis en bande organisée.

Les enseignantes coupables n'ont fait AUCUNE DEMANDE
 auprès de leur victime pour s'assurer de l'AUTHENTICITÉ
DE CETTE FAUSSE PAGE FACEBOOK
ET LE DIRECTEUR CLABAUT DE CETTE ECOLE
EST LE RESPONSABLE INFORMATIQUE TICE POUR LE HAVRE SUD.

Elles avaient donc un CONSEILLER formé à l'usage des NOUVELLES TECHNOLOGIES susceptibles de les DISSUADER de RENDRE PUBLIC UN TEL RAMASSIS D’INSANITÉS !

CHAPITRE Ier : Des faux.
Article 441-1 En savoir plus sur cet article...Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques.
Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende. 
Article 441-2 En savoir plus sur cet article...Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002Le faux commis dans un document délivré par une administration publique aux fins de constater un droit, une identité ou une qualité ou d'accorder une autorisation est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa précédent est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis :
1° Soit par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ;2° Soit de manière habituelle ;
3° Soit dans le dessein de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunité à son auteur. 

Les deux enseignantes nuisaient à la réputation de l'enseignante Julie Amadis dans le CADRE DE LEURS FONCTIONS.
ON EN EST A 7 ANS DE PRISON 

Article 226-4-1
Le fait d'usurper l'identité d'un tiers ou de faire usage d'une ou plusieurs données de toute nature permettant de l'identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d'autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende.
Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu'elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne.

UN AN DE PRISON SUPPLÉMENTAIRE ?

Delphine Dufau et Emilie Roehm font circuler une fausse pageFacebook attribuée dolosivement à l'enseignante diffamée etsuspendue Julie Amadis : Font-elle recel ? Qui a fabriquécette page ?

Ensuite, les instituteurs ont parlé du faux messages de Mme Amadis aux autres instituteurs. Ce n'était pas le vrai Facebook de Mme Amadis
Un faux fabriqué de toute pièce était présenté aux parents d'élèves le 8 avril, le jour de la réunion-meeting de Serge Tillmann.
En parlant suffisamment fort pour que toute la salle entendent leur prétendu « témoignage »
Le complément indispensable des mensonges de l'inspecteur d'académie voyou !
Et quel faux !!!
Ce faux, un jour, de vrais juges honnêtes (de la trempe d'un Bernard Borrel assassiné par la Franceàfric) mèneront l'enquête pour en découvrir les auteurs !

L'USURPATION D'IDENTITÉ DÉMASQUÉE
DES LA PREMIÈRE SECONDE PAR LES DÉLÉGUÉS DE PARENTS

Manque de chance pour les deux calomniatrices et receleuses des faux - les deux diffamatrices Delphine Dufau et Emilie Roehm - , il se trouvait que l'une des délégués des parents connaissait très bien la page Facebook de Julie Amadis. Les diffamatrices ignoraient qu'elles étaient devenues amies Facebook. Julie Amadis et Séverine Breton étaient devenues amies Facebook sans qu'elles n'aient pu le deviner : Leur manège diffamatoire tombait dans l’œuf avant même de commencer !!!!

« IL N'Y AVAIT MÊME PAS LA PHOTO DE JULIE AMADIS
 SUR LA FAUSSE PAGE FACEBOOK »

La mère d'élève déléguée connaissait le compte Facebook de Julie Amadis et avait pu constater le caractère mensonger et l'usurpation d'identité dès la première seconde où ces faux lui ont été présentés....
Son compte-rendu est impitoyable pour les deux receleuses de faux et d'usurpation d'identité
«Ensuite, les instituteurs ont parlé du faux messages de Mme Amadis aux autres instituteurs. Ce n'était pas le vrai Facebook de Mme Amadis »
Dès le premier coup d’œil, la déléguée d'élèves avait constaté le caractère frauduleux de cette page.
 « Il n'y avait même pas sa photo de Julie Amadis sur la pseudo page Facebook » « alors que sa page Facebook, je la connais, il y a sa photo »
Elle n'avait pas voulu en voir davantage de ce qui apparaissait comme une tentative de diffamation.
Sauf le début
« Je soussignée Julie Amadis..... qui n'était pas sur la vraie page de Mme Amadis »

L'autre délégué Yazid Meddad avait demandé à l'enseignante diffamatrice
« Mme Dufaux » « Vous pensez que Mme Amadis va vous écrire après ce qui s'est passé au conseil d'école vendredi ? »
Yazid Meddad, qui soutient Julie Amadis, relatait cela en ironisant sur l'absurdité d'imaginer Julie Amadis allant écrire un tel message diffamatoire en le postant à ses collègues.....
Ce délégué a déclaré que ce faux Facebook serait, en réalité, l'élément concret des imputations calomnieuses de l'Inspecteur d'Académie Tillmann. D'après lui, l'absence d'éléments factuels clairs dans le rapport oral fait devant les parents d'élèves le 8 mars, serait comblée par ce faux Facebook.

PRISES LA MAIN DANS LE SAC,
 LES 2 CALOMNIATRICES PERSISTENT

Imaginez-vous que, face au témoignage de la déléguée des parents, les deux enseignantes aient reculé et annoncé qu'elles allaient vérifier la réalité de ces faux ?
Que nenni !
« « Si si c'est bien elle pourtant » a dit Mme Dufau » témoigne le délégué Yazid Meddad..... choqué de l'insistance des deux faussaires.

UNE ENQUÊTE QUI DEVRA METTRE EN LUMIÈRE LE RÔLE DU SPÉCIALISTE INFORMATIQUE PATRICK CLABAUT

Est-il possible que le directeur de l'école ait pu ne pas être au courant de cette nouvelle manipulation ?
Est-il possible que le responsable TICE du Havre Sud ait pu ne pas démonter la manipulation ?
Décharge informatique : mardi vendredi
Est-il possible que le responsable informatique Patrick Clabaut pour le secteur du Sud ait pu ignorer le caractère de faux de cette page Facebook
On pourrait le croire à condition de le considérer comme un incompétent absolu.
Pourquoi pas..... mais quand même ….

TROIS QUARTS DE SON TEMPS SANS ÉLÈVES :
LE DIRECTEUR A LE TEMPS DE FAIRE DES PAGES INFORMATIQUES !


En effet, cette école a une particularité : aucun blog d'école alors que le directeur Patrick Clabaut a TROIS QUART de son temps SANS ÉLÈVES pour diffuser l'informatique dans les écoles....Ou plutôt il a MI-TEMPS SANS ELEVES pour l'informatique et QUART-TEMPS SANS ELEVES pour son "travail" de directeur.
Pour autant..... on peut néanmoins supposer qu'il aurait les compétences suffisantes pour DISSUADER ses DEUX ADJOINTES de faire circuler un FAUX pour pourrait leur VALOIR DES POURSUITES JUDICIAIRES : RECEL DE FAUX, DIFFAMATION, RECEL ET COMPLICITÉ D'USURPATION IDENTITÉ etc etc....
Question à la déléguée de parents Séverine Breton :
"Est-ce qu'il est possible que le directeur Clabaut ne les AIT PAS ENTENDUES quand elles vous ont parlé de cette fausse page FB ?"
Réponse
 
"Non je pense qu'il les a entendues c'est sûr tout le monde s'est retourné

QUAND OMERTA76 SERA-T-ELLE DISLOQUÉE PAR LES MINISTRES ?

Cette lamentable affaire montre bien le degré de pourrissement où sont arrivés les responsables de l’Éducation Nationale en Seine-Maritime. A commencer par une rectrice Claudine Schmidt-Lainé qui avait transmis la lettre de Julie Amadis au Directeur d'OMERTA76 pour qu'il la sanctionne sous le prétexte absurde......d 'avoir écrit à ….. la rectrice...

QUE FAIT LE MINISTRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ?

Le ministre – Benoît Hamon - qui voit cette affaire prendre un caractère de plus en plus délétère va bientôt être questionné personnellement sur son inaction – et sur celle de son prédécesseur Vincent Peillon – quant aux agissements délictuels de ce réseau OMERTA76 de protection des agresseuses d'enfants dans les écoles.

APRÈS LES JUGES VOYOUS,
LES INSPECTEURS D’ACADÉMIE VOYOUS !

De la même façon la ministre de la justice, qui est restée passive devant les agissements – rendus publics – des juges voyous d'Angoulême et de la Cour d'appel de Bordeaux – aura à répondre un jour de sa passivité face aux dénonciations des violences commises dans les écoles Varlin, Percanville, Ancelot, Louis-Blanc, Louise Michel, Raspail, Valmy.... 7 écoles victimes de OMERTA76...... dans l'indifférence totale des « responsables »
On comprend le sentiment d'impunité des deux receleuses (ou auteurs) du faux diffamatoire et de l'usurpation d'identité.



COMPLEMENTS

POUR DEMELER LE VRAI DU FAUX DE TOUS CES MENTEURS IL FAUDRA PLUSIEURS BERNARD BORREL

Paroles :
BRAVO AUX ETUDIANTS DE L'ECOLE DE LA MAGISTRATURE 
Juge honnête
à monsieur Bernard Borrel
(Bravo au courage et à l'humanité de la promotion de magistrats qui viennent de se choisir le juge Borrel comme référence : nous ne serons pas du même camp tant que ces juges en gestation n'auront pas admis qu'ils sont les instruments d'un appareil juridique dont les lois ne sont que rideaux de fumée pour masquer les rapports de classe et pour organiser l'inégalité dans la répartition de la production annuelle mondiale. Je leur dédie, néanmoins, à eux et à la courageuse madame Elizabeth Borrel cette chanson écrite le 14 août 2006. L'avenir s'éclaircit et indique que l'élite du camp des exploiteurs gangsters quittera le navire du crime pour rejoindre le camp de l'avenir de l'Humanité.

(La musique est celle enregistrée dans la nuit (du 14 au 15 août) de l'écriture de cette chanson : j'y chante parfois faux mais l'émotion est dans ces notes, ainsi que la choriste embauchée à 6 heures du matin).


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Juge honnête

En Afrique

Juge en quête

Des trafics
Juge qui meurt
Accident
Procureur
Qui nous ment



Juge Borrel

Pour savoir

Fit du zèle
Sans rien croire
Marionnettes
De la France
Truquent l'enquête
Qui avance






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