jeudi 15 mai 2014

Mali, Centrafrique, Nigéria, Côte d'Ivoire : la 4° guerre contre l'Afrique est commencée

Aguel Hoc 24 janvier 2012
les victimes de Iyad Ag Ghali à qui
F. Hollande vient de verser de quoi payer
 10000 miliciens islamofascistes pendant 3 ans
Cet article du 15 janvier 2013 avait été recommandé par 118 lecteurs du site en ligne Mediapart. Cela avait du mettre en rage Edwy Plenel et son équipe. Cet article, en effet, donnait à l'avance toutes les clés pour comprendre ce qui allait se passer au Mali mais aussi ce qui allait se passer au Nigéria. Et qui se passera demain au Cameroun, au Burkina Faso, au Niger, au Gabon, au Congo Nguesso etc....Le lecteur naïf qui s'imagine que c'est par compassion que la femme du dictateur mondial étasunisien Barack Obama s'est faite prendre en photo avec un écriteau "Bring Back Our Girls" ignore que, pendant que la compassion mondiale verse des tonnes de larmes de tristesse en faveur des 200 lycéennes enlevées, ce sont plus de 41 000 bébés nigérians qui sont morts de façon scandaleuse. Ils sont plus de 41 000 à être morts et qui seraient vivants si l'Europe et les USA ne volaient pas les ressources et le travail des Africains. Ils sont plus de 41 000 en plus des 2000 bébés morts "normalement" selon les taux de mortalité infantile de Terre du Nord.
41 000 morts d'un génocide sanitaire organisé par Barack Obama, François Hollande et tous les pantins de la bourgeoisie esclavagiste.
Mais le pire c'est que les lycéennes ont été enlevées par une secte dont Claude Angeli du Canard Enchaînée révélait mercredi qu'elle était - elle aussi comme toutes les milices supplétives de la CIA et de la DGSE - financée par les monarchies pétrolières du Golfe.
Deux impostures dont les coupables auront des comptes à rendre au Nuremberg de l'Afrique.



par Yanick Toutain
"C'est donc la quatrième guerre dont est victime l'Afrique.
Après la guerre de prélèvement d'esclaves et de déportation atlantique s'ensuivit la 2° guerre contre l'Afrique. 
(..)  Celle pendant laquelle , les grandes puissances faisaient partager aux Africains leurs propres rivalité ...
Dans cette guerre-là, l'esclave était devenu "l'indigène" et devait travailler sur place. La réquisition avait remplacé les chaines de l'esclavage officiel.
Cette 2° guerre de classe s'acheva quand les Algériens et les Camerounais prouvèrent qu'il était temps de laisser les "évolués" devenir les gardiens du camp...... Au détriment des paysans pauvres." 
LIRE AUSSI MARDI 13 MAI 2014
Mali-Nigeria: Le salaire de 10000 terroristes islamofascistes pour 3 ans : la somme payée par Hollande à Iyad Ag Ghali, le leader des assassins Ansar Eddine du 24 janvier 2012
L'article qui est republié ici est paru initialement le 15 janvier 2013 sur Mediapart. Mais Google ne le voit plus sur le site de Edwy Plenel.
En effet article, comme les autres, les sbires #OmertAfric #Franceàfric de Mediapart l'ont fait disparaître des référencements Google. Comme tous les autres articles qui rencontraient la curiosité du public. (en cliquant sur ce lien vous découvrirez que Edwy Plenel a interdit totalement à Google de signaler l'existence de la totalité de mes articles parus sur Mediapart ! Un fascisme d'un genre nouveau permettait de publier mais pas d'être lu)
Ils ont même fabriqué un bug comme en Tunisie sous Ben Ali pour faire subir une censure totale à l'auteur de ce blog.
Voici donc la republication de cet article fondamental pour que les lecteurs ennemis de l'esclavage en Afrique, ennemis de Bolloré et de la bourgeoisise esclavagiste, ennemis de la Franceàfric, ennemis - eux - des milices islamofascistes financées par Hollande et le Qatar, puissent comprendre ce qui se passe sur la continent martyr.
N'en déplaise à Edwy Plenel dont les techniques ressemblent de plus en plus à celles de Ben Ali !
LIRE AUSSIONU-MINUSMA VS peuple malien : Après Abidjan, c'est Bamako. La 4° guerre contre l'Afrique est commencée. Un article Médiapart-blog Yanick Toutain que Edwy Plenel tente de rendre invisible sur Google
 
Bamako, 2/2/2012, près du Musée National
le début de la Révolution Malienne de mars 2012
A cause des tripatouillages des codes HTML de Mediapart par Edwy Plenel et ses sbires au service de la Franceàfric, la version originale  de cet article devient de plus en plus invisible sur Google .

LUNDI 3 MARS 2014


"Mali : François Hollande est un menteur. Les islamistes sont les pantins du Qatar, membre de la Franceàfric-Francophonie" Les 1400 lecteurs de Médiapart qui avaient recommandé cet article ne peuvent plus le trouver sur Google : Géraldine Delacroix a censuré son... référencement

Mali : Pourquoi cette 4° guerre contre l'Afrique ? (après Abidjan, Bamako)

C'est donc la quatrième guerre dont est victime l'Afrique.
Après la guerre de prélèvement d'esclaves et de déportation atlantique s'ensuivit la 2° guerre contre l'Afrique.
Celle pendant laquelle les gangsters de Léopold, roi des Belges coupaient les mains des Congolais. Celle pendant laquelle , les grandes puissances faisaient partager aux Africains leurs propres rivalité ...
Dans cette guerre-là, l'esclave était devenu "l'indigène" et devait travailler sur place. La réquisition avait remplacé les chaines de l'esclavage officiel.
Cette 2° guerre de classe s'acheva quand les Algériens et les Camerounais prouvèrent qu'il était temps de laisser les "évolués" devenir les gardiens du camp...... Au détriment des paysans pauvres. La formoisie compradore se chargea de mater ses compatriotes : on vit des Houphouet et des Senghor tresser les lauriers de la Françafrique.
On voit sur le Mali fleurir des "articles" apologétiques qui viennent poser, couche à après couche, du cirage sur les pompes présidentielles de François Hollande.
Peut-on réellement croire au rôle positif" de la France au Mali ?
Peut-on s'imaginer avoir compris ce qui se passe en lisant 99% des "articles" paraissant actuellement..
Les "spécialistes" expliquent-ils correctement ce qui se passe ?
Oui..... mais si on oublie la Franceàfric et les milliards d'euros qu'elle accumule, on peut y voir un compte de fée. 
Oui, si on efface le Thuraya du président ATT
 pour coordonner l'attaque MNLA-AnçarDine de janvier 2012, on peut croire aux fariboles du professeur de rhétorique.
Si on cache sous le tapis le financement par le Qatar des "terroristes ennemis de la France", si on dissimule toutes les vérités dérangeantes pour les comploteurs, on peut avoir une belle légende.... Et y croire....
Ces "professeurs", ces "spécialistes" font partie de ceux dont Lénine les appelait des "clowns titrés professeurs". Lui parlait de philosophie, celui-là prétend avoir des compétences encore plus larges.....
Farce !
Que tous ces menteurs commencent par vous expliquer pour quelles raisons les armes de l'armée malienne étaient bloquées à Conakry...... par la CEDEAO !!!
LA 4° GUERRE ESCLAVAGISTE CONTRE L'AFRIQUE

Sur l'ensemble du dossier , il s'agit, plus globalement, d'un changement de stratégie colonialiste.

En voici un bref résumé :
1° En 1850, aux USA, il y avait deux sortes d'Etats. Les Etats esclavagistes du Sud et les Etats non esclavagistes du Nord.
Les lois en décidaient lors de la création de chaque Etat.
C'est la même chose ici. Sauf que toute l'Afrique a le statut de la Virginie, de la Louisiane, de la Caroline etc...
Et la France et l'Europe ont le statut de New-York et de Chicago.
Dans les Etats du Nord, en 1850, on y chassait déjà les esclaves en fuite. Et les mêmes juges que ceux de Valls, Guéant et Sarkozy décidaient de les renvoyer travailler dans le sud, dans les plantations.

 L'écart Nord-Sud est maintenant plus important qu'en 1850 : Vincent Bolloré payait, en 2008, à Kienké, au Cameroun, des salaires 20 fois plus faibles que le SMIC.
Il disposait donc de 10 000 esclaves salariés directs.
Cultivant l'huile de palme. (Ce n'est qu'une infime partie de son cheptel africain !)
Mais ces salariés, eux-mêmes, exercaient une pression à la baisse sur les salaires tout autour de chez eux : l'épicier du coin ne pouvant évidemment pas pratiquer les mêmes prix que l'épicier du coin à Paris.
C'est donc tout un continent qui passe en esclavage salarié sous le fouet des exportateurs colonialistes.
3° Car la pression de la bourgeoisie esclavagiste doit aussi être violente : en 2008, les planteurs de Bolloré se mirent en grève.
Il fallut donc menacer de mort le leader syndical. Fanny Pigeaud de Libération le rappela à l'époque ; Les Camerounais exploités des palmeraies de Bolloré
C'est un Germinal sous les tropiques qui se joue dans la palmeraie de Kienké, dans le sud-ouest du Cameroun. Dans cette plantation de palmiers à huile de 9 000 hectares de la Société camerounaise des palmeraies (Socapalm) - filiale d'un groupe belge, Socfinal, lui-même détenu à près de 40 % par le français Bolloré aux côtés de son traditionnel partenaire, la famille belge Fabri -, les ouvriers sont en colère. Depuis novembre, ils ont plusieurs fois fait grève contre leurs conditions de vie et de travail. En retour, la police a arrêté et détenu pendant quelques jours leur leader, Michael Agbor.

Les esclaves de Bolloré (Kienké Cameroun, 50€/mois) © Yanick Toutain
Les Camerounais exploités des palmeraies de Bolloré11 mars 2008 à 02:39   Les esclaves de Bolloré (Kienké Cameroun, 50€/mois)© Yanick Toutain
«Une journée ne suffit pas pour décrire nos souffrances», assure Albert, un ouvrier. Depuis plusieurs années, il vit en permanence dans la palmeraie. Six jours par semaine, il coupe de lourds régimes de noix de palme. Sans gants pour protéger ses mains : ses paumes ont pris la couleur orange des noix que Socapalm transforme en huile de cuisine. Chaque matin, il s'entasse avec ses collègues et le matériel de coupe dans les camions, des épaves, qui s'enfoncent dans la plantation pour charger les régimes. Le soir, il doit marcher, parfois sur une quinzaine de kilomètres, pour rentrer dans un des sept campements d'ouvriers installés au coeur de la plantation.
«Esclaves». Le tout pour pas grand-chose : il gagne 22 francs CFA pour un régime de 15 kg. En moyenne, il touche 35 000 francs CFA (environ 53 euros) par mois, ce qui ne lui permet pas de vivre décemment. Il a néanmoins plus de chance que ceux qui coupent les régimes de 10 kg pour 8 francs CFA. «Les retenues sur nos salaires sont courantes. Nous sommes souvent payés en retard voire pas du tout», précise-t-il. Albert n'est pas affilié à la sécurité sociale et n'a pas de couverture médicale.«Beaucoup voudraient partir mais ne le peuvent pas, parce qu'ils n'en ont pas les moyens et parce qu'ils attendent qu'on paie leurs arriérés de salaire», affirme-t-il. «Nous sommes les esclaves de la Socapalm», soupire un de ses collègues. Ce n'est cependant pas auprès de l'entreprise, qui contrôle 80 % du marché de l'huile de palme au Cameroun, qu'ils peuvent se plaindre : celle-ci ne les emploie pas directement, mais a passé des contrats de sous-traitance avec une soixantaine de sociétés pour la gestion de l'essentiel de la main-d'oeuvre.
«Nous savons que les ouvriers ne s'en sortent pas, que leurs employeurs les paient en retard», reconnaît Marc Mutsaars, le patron de Socapalm. La situation est la même dans les autres plantations du pays, explique-t-il pour tempérer. Il assure que l'entreprise va réduire de moitié le nombre de sous-traitants pour mieux contrôler leurs pratiques. Cette mesure permettra-t-elle d'améliorer aussi les conditions de logement ? «Nous vivons comme des animaux», indique, dégoûté, Albert. Il n'y a pas d'eau, pas de sanitaires et seulement quelques heures d'électricité par jour dans le campement où il vit avec sa famille. Surpopulation, insalubrité et promiscuité font le reste du quotidien de cesvieilles baraques de bois grisâtre et étroites, collées les unes aux autres. Un hôpital, des écoles pour les enfants qui habitent trop loin de l'unique établissement scolaire de la plantation : Michael Agbor tient scrupuleusement la liste des réclamations depuis qu'il a été élu à la tête d'une sorte de syndicat, créé il y a quelques mois par les ouvriers.
«Notre messie». Vulgaire «agitateur» pour Socapalm, il est devenu un héros dans les campements. Ses collègues, qu'il estime au nombre de 10 000, savent que son intransigeance et sa détermination face aux entreprises sous-traitantes sont exceptionnelles dans un pays où les syndicats sont systématiquement achetés. Le lendemain de son arrestation, en décembre, certains ont marché sur 15 km, jusqu'à Kribi, où il avait été amené par la police, en scandant : «No Michael, no work!»«Nous n'avons pas peur, nous sommes tous mobilisés»,commente Albert. Il raconte comment l'électricité a été coupée dans son campement lors du dernier débrayage. «Qu'ils fassent grève. Quand ils auront faim, ils reviendront travailler», leur auraient répondu les patrons.
Si tu continues, on va te tuer.»
«Michael est notre messie», avouent plusieurs salariés de Socapalm, mécontents de leurs salaires et de leurs conditions de vie. De peur des représailles, ils restent cependant à l'écart des mouvements des ouvriers. Michael Agbor a fait également profil bas pendant plusieurs jours en janvier. Après que des représentants des autorités camerounaises lui ont glissé : «Si tu continues, on va te tuer.» Il venait de refuser l'augmentation de 3 francs CFA par régime proposée par les sous-traitants. Depuis, ses collègues lui ont conseillé de ne plus travailler dans la plantation.
Le pillage des ressources minérales des sous-sols viendra en complément de cette mis en esclavage d'un continent complet.
4° Pour que ce schéma fonctionnne, il faut donc une police qui soit une GestapoFranceàfric, elle-même protégée par une armée qui soit une bande de SSFranceàfric....
Et donc il faut des Laval pour gérer ces camps esclavagistes.
Ce furent le rôle des Houphouet-Boigny, des Sédar-Senghor, des Omar Bongo etc....
Ils gérèrent la 3° guerre esclavagiste conte les travailleurs africains : une guerre de classe écrasant les salaires, les revenus.
Cette 3° guerre faisait suite à la 2° pendant laquelle la formoisie compradore locale était persécutée systématiquement. (confer la guerre contre le Cameroun dans les années 50 ou celle menée par la dictature portugaise jusqu'en 1975)
On appelle "décolonisation" le processus de mis en place de cette 3° guerre.
Ce sont les diplômés de la classe formoise qui, en échange d'une partie du butin co-gèrent le système esclavagiste.
Dans ce système, les interventions militaires extérieures devaient être l'exception : Les porte-avions qu'étaient le Sénégal ou la Centrafique devaient être suffisants.
LA FIN DU COMPROMIS HISTORIQUE AVEC LA FORMOISIE COMPRADORE
5° Mais la chute du mur de Berlin, l'effondrement des Etats formois stalinofascistes remirent tout en cause. Cela faisait suite au choix de Thatcher : Elton John au lieu du mineur de fond.
Le compromis historique avec la formoisie était fini.
Il fallut dut remplacer tous les Gbagbo par des Ouattara. Mettre en place des Goodluck de l'Internationale Démocrate Centriste plutôt que des historiens "progressistes".
Mater la formoisie compradore plutôt que la corrompre.
6° Il y avait eu une tentation momentanée. Celle concoctée dans les caves nazies de la DGSE : le scénario rwandais.
Pour en finir avec l'angoisse de voir apparaitres de nouveaux Sankara - assassiné en 1987 ou de nouveaux Amilcar Cabral, il pouvait y avoir la solution néo-nazie directe.
C'est doncdélibérément que l'armée française construisit le groupe des psychopathes tueurs du Hutu Power : Un génocide plutôt qu'un néoguévarisme africain.
Il en résultat plus de 800 000 morts.
Et l'armée française envoya une partie des siens pillonner à l'arme lourde de malheureux paysans calogués "Tutsi". Ce fut le 8 mai 1994 : avoir des tueurs génocidaires dans une armée, c'est toujours utile.
Comme d'avoir des humanitaires capables de se vanter de pouvoir faire snipers si le besoin en était (celui-là me parlait en face, la semaine dernière).
Après la réussite (je parle dans le langage de la hiérarchie nazie de l'armée française) du Rwanda, il allait être possible de reproduire le même scénario à plus grande échelle.
Les agents fascistes franceàfric infiltrés chez le politicien milliardaire houphouetiste Konan Bédié s'en chargèrent dès la l'époque de la préparation du Rwanda : c'est le développment du terme xénophobe d'"ivoirité".
1993 :Henri Konan-Bédié succède à H.B. 
Milliardaire, chouchou de Chirac, il est le "théoricien" de la division "chrétiens/musulmans", "vrais/faux ivoiriens", entre autre pour éliminer Alassane Ouattara du jeu politique.
Mais ce projet génocidaire - dont le mot "ivoirité" n'était que la facette publique - à l'échelle de toute la Côte d'Ivoire va être abandonné : la victoire des anti-génocidaires du FPR rwandais aurait refroidi les ardeurs des néo-nazis franceàfric : la roche tarpéienne est proche du Capitole !
D'autant plus qu'à l'époque, ils pouvaient s'imaginer être mis en cause pour leurs crimes rwandais.
On vit aussi le scénario congolais qui était une variante de ce schéma : des adolescents d'entretuaient en Ninja et Cobara avec les armes offertes par Elf aux camps opposés : Entretuez-vous, la Franceàfric y trouvera les siens !

CÔTE D'IVOIRE 2002 :" LA PARTITION SALVATRICE"
7° Le scénario adopté devint donc celui de la "partition salvatrice" : on casse un pays en deux et on arrive, tel le le chevalier blanc , pour le sauver....
Avec, un fois sur place, la mise en place directe de troupes d'occupation qui permettront de "nettoyer" le pays de toute sa gauche rebelle.
L'apogée de cette tactique étant la mise en place d'élections truquées en 2010 suivies de l'attaque du palais présidentiel et le remplacement du président Gbagbo par un fantoche FMI.

8° C'est ce plan qui a été adopté et réalisé en accéléré pour le Mali : partition du pays par les mercenaires du Qatar.
Assassinat ciblé de militants de gauche (gauche civile ou militaire comme le capitaine Sékou Traoré ex-leader du syndicat étudiant). Blocage des armes par la CEDEAO pour empêcher l'armée de se défendre et laisser le temps aux fascistes de se regrouper au nord du Mali.
Campagnes diffamatoires organisées contre la gauche du pays.....
etc etc....
C'est l'objet de mes texte précédents...

9° La méthode qui pointe le bout de son nez, c'est la généralisation - y compris en France et donc dans toute l'Europe, à terme - de la construction de "coupeurs de mains". La bourgeoisie esclavagiste demande ouvertement à son agence de mercenaires - le Qatar - de venir dans les quartiers pauvres de France financer des AnçarDine pour y faire la loi.


L'invasion actuelle fut précipitée.....
La cause la plus probable reste à élucider précisément : Hollande a probablement cru que Dioncounda Traoré allait être renversé par la mobilisation populaire.

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