mercredi 10 septembre 2014

L'Havrais Vérité: Julie Amadis, convoquée au Tribunal du Havre pour payer 7324,77€ à Jean-Marie Bourry écrit au président du TGI Le Havre


présentation Yanick Toutain
10/9/14



Voici le courrier que Julie Amadis vient de poster au président Rémy Le Hors du TGI du Havre. Celui qui avait décidé de juger celle-ci et l'auteur de ce blog sans exiger du plaignant Bourry qu'il condescende à transmettre toutes les pièces de la procédure.
En France, il n'y a plus de justice.


vendredi 14 mars 2014

#FreeGbagbo Victoire pour Yanick Toutain et Julie Amadis contre le chef de la police ONUCI en Côte d'Ivoire Jean-Marie Bourry débouté par le président du TGI Le Havre et condamné aux dépens


Le juge Rémy Le Hors déboute Jean-Marie Bourry et le condamne aux dépens : Le refus de donner les pièces qu'il camoufle depuis 2 ans entraîne l'ex-chef de la police de l'ONUCI vers l'enfer. Ses avocats ont noyé l'audience d'une épaisse liasse (comportant des articles RevActu sans aucun rapport avec la Côte d'Ivoire par exemple sur la CGT et la stratégie syndicale en 2010) mais en omettant les pièces de la liste de la pièce 23...... délibérément...... mais, et surtout, en omettant un document ..... fatal pour eux..... ils ont perdu !
Jean-Marie Bourry ne touchera pas les 37600 euros qu'il réclamait (4000 euros plus 9000 euros de plus que les 24600 d'astreinte qu'il avait obtenu en septembre 2012 au TGI d'Angoulême). Pire encore pour lui, cet arrêt contient en pointillé la destruction en vol de la totalité des jugements rédigés par les juges voyous Janas du TGI d'Angoulême et Bougon, Miori et Ors de la Cour d'appel de Bordeaux !


Julie Amadis
XXX
76600 Le Havre
julie amadis XXX

à Monsieur le président du TGI Le Havre
DOSSIER 2014/A387
objet : nouvelle sommation à communiquer les pièces de la procédure. En particulier celles mentionnées dans les documents du plaignant lui-même. A évacuer toutes les pièces recels manifestes de faux. Et de communiquer par courriels.
copie Mr le premier président de la Cour d'Appel de Rouen
copie Mr le premier président de la Cour de Cassation
pp.courdecassation@justice.fr,ca-rouen@justice.fr,pp.ca-rouen@justice.fr,tgi-le-havre@justice.fr,ti-le-havre@justice.fr

Monsieur le Président

Je suis à nouveau convoquée demain 11 septembre. Le plaignant est encore le même Jean-Marie Bourry.
Il réclame 7324,77 euros.
Je vous signale que ni lui ni son avocat, ni aucun des services du Ministère de la Justice n'a jamais posté le moindre courriel à mon adresse courriel chez Google.
Alors même que je suis poursuivie pour un article hébergé par Google.

Cette absence totale de communication du plaignant avec moi-même ou avec l'auteur (unique) de l'article par ce MOYEN ORDINAIRE de communication sera, à lui-seul le moyen de CASSER TOUTE LA PROCEDURE depuis le premier jour.
Aucun courrier n'a jamais été posté à l'adresse GMAIL XXX 
Monsieur Toutain m'a confirmé aussi qu'à son adresse GMAIL XXX  aucun courriel n'a jamais été posté ni par le plaignant demandant rectification ni par le plaignant entamant une procédure.
Je vous avais
 écrit en mars 2014 pour vous demander le contenu des pièces mentionnées dans la liasse présentée par le plaignant Bourry.
Vous avez cru bon de juger le 11 mars en l'absence de ces pièces.
Et sans remarquer les nouveaux faux produits par la partie adverse.
Vous avez débouté la partie adverse.
Mais celui-ci a fait appel à Rouen.

En conséquence de quoi je n'ai toujours pas les pièces que je vous avais réclamées.
Y compris les pièces initiales qui avaient lancé toute cette procédure : en particulier la première plainte en diffamation classée dont la mutation en plainte pour « atteinte à la vie privée » est la cause de toute cette seconde procédure. (
Dans la plainte contre une vidéo YouTube de Mr Toutain qui faisait partie de la liasse qui m'avait été communiquée au printemps 2014, figurait la mention de ce que le plaignant Bourry avait été informé du classement sans suite du procureur Nachbar. Encore une autre pièce mentionnée dans votre dossier et dont je n'ai jamais eu copie).
Par ailleurs, je n'ai jamais été informée de ce que devenait cet appel à Rouen. Ni par courrier ni par courriel.
Comme d'ailleurs, la réponse de la Cour de Cassation me refusant l'aide juridictionnelle n'est jamais arrivée au Havre.
Tout cela s'ajoute aux faux en écritures dont j'avais signalé l'existence au président Lamanda de la Cour de Cassation. Fausses les statistiques délirantes du nombre de visiteurs de l'article
« Au regard du nombre de consultations de cette page internet qui s'élevait déjà à 122848 visites au 15 novembre 2011, »

Un total délirant atteignant quasiment le total de tous les articles du blog.
. faux les risques encourus par le plaignant, faux par omission le fait que monsieur Toutain avait écrit cet article afin de dissuader les Ivoiriens à commettre un attentat contre l'Hôtel du Golf, et surtout faux me mentionnant comme signataire de l'article. Sous le prétexte de la présence de mon nom dans la colonne de droite du blog de monsieur Toutain. Faux recélés par le président Janas du TGI d'Angoulême.
Un autre faux patent était mon incrimination comme « administratrice » du blog de Yanick Toutain.
  • DIRE ET JUGER que Monsieur Yanick TOUTAIN et Madame Julie AMADIS, administrateurs d'un site internet de type blog visible sous  le    nom    de domaine «http://revalorisationactub1ogspot.fr/ 2011/01/jean-marie-bourry-criminel-fasciste.html » ont commis un trouble manifestement illicite à l'encontre de Monsieur Jean-Marie BOURRY
Un faux m'accusant d'être « administratrice » d'un blog inexistant puisque le blog de Mr Toutain ne s'est jamais appelé « revalorisation » mais « revolisation »
Ces faux ont été aggravés par les juges Miori et Ors qui ont inventé de prétendus aveux de ma part que j'aurais avoué être « contributrice de l'article ».
Cour d’Appel de Bordeaux Arrêt du 03 juillet 2013
5ème Chambre RG n° : 12/06552
"A titre liminaire ils soutiennent que Mme Amadis n’est que contributeur de cet article et non l’auteur, elle doit donc sur le fondement de l’article 93-3 de la loi du 29 juillet 1982 être mise hors de cause."
(…) Dit qu’il n’y a lieu de mettre hors de cause Mme Amadis.
Un faux en écritures qui invente un aveu « être contributrice de l'article » afin de donner satisfaction à un plaignant menteur et auteur de faux multiples dans toute la procédure.
Un faux patent et évident qui vicie gravement toute la procédure.

Mais ce réseau de Jean-Marie Bourry travaillant à ma perte a fait de nouvelles recrues :
- un conseiller municipal socialiste Christian Bouchard expliquant à une déléguée de parents d'élèves que « mon blog » (celui de Yanick Toutain) était la véritable raison pour laquelle il fallait m'exclure de l'éducation nationale et que le cas de l'enseignant tapant ses élèves ne sera réglé que «quand ils cesseront de la soutenir ». « la » étant moi-même.
- L'inspecteur d'académie du Havre Serge Tillmann, sur la base des mêmes faux en écritures que précédemment et que le justice refuse donc d'appeler comme tels et d'annuler m'a accusée en réunion spéciale de parents (ou je n'avais pas été conviée) d'être l'auteur d'un blog « antisémite », « pro-Soral ».
Il est à noter que l'imputation mensongère du jugement du TGI d'Angoulême que j'aurais été « administratrice » du blog de mr Toutain a été « subtilement » effacée à Bordeaux. Mais des agents de l'Etat continuent à véhiculer le mensonge d'Angoulême.

Suivi par le directeur d'école Patrick Clabaut de l'école Valmy m'accusant dans la même réunion de parents qu'ils avaient convoqué (une sorte de meeting politique contre moi dans les locaux de l'école Valmy) à cause de ce blog « révolisation » présenté comme étant le mien d'être une « intelligence au service d'une puissance étrangère ».

Tout cela a permis un match retour du réseau Franceàfric qui me persécute – ainsi que monsieur Toutain – depuis novembre 2011 en obtenant mon exclusion de l'Education Nationale.

C'est donc une RSAiste depuis aujourd'hui qui attend avec impatience la communication des pièces manquantes. Et surtout, que la Cour de Cassation se décide à me poster (ou m'envoyer par courriel!) la réponse qu'elle ne m'a pas fournie depuis le mois de décembre dernier.
Dans l'attente que vous acceptiez de respecter le contradictoire, que vous me communiquer les pièces manquantes et que vous refusiez de faire recel de pièces manifestement et publiquement dénoncées comme faux en écritures, agréez monsieur le Président l'expression de mes sentiments distingués.


Julie Amadis

VOICI LE PRETEXTE AHURISSANT DE LA CENSURE EXERCEE PAR LE NOUVEL OBSERVATEUR


Bonjour Yanick Toutain Après lecture et analyse attentive de votre article du 10.09.14 18h36 par notre équipe de modération, celui-ci a dû être retiré de la publication en raison de sa non-conformité vis-à-vis de la charte d’utilisation du NouvelObservateur. Nous tenons à vous assurer que nous faisons tout notre possible pour accepter le plus grand nombre de messages et que tous nos modérateurs sont tenus à une stricte obligation d’impartialité. La neutralité de leur analyse est d’ailleurs régulièrement vérifiée par un superviseur. Toutes les opinions sont acceptées dans la limite des règles définies dans la charte éditoriale et sous réserve de les exprimer de manière courtoise, argumentée, et sans agressivité. Le motif de retrait de votre participation est : Propos potentiellement diffamatoires Des éléments de votre article ont été considérés comme étant potentiellement diffamatoires : -Soit parce que les affirmations formulées dans votre article envers des  personnes/entreprises/organisations/associations n’ont pas été attestées de façon formelle par la justice ou les médias (exemple : condamnation par un tribunal, article de journal local ou national) -Soit parce que cette affirmation n’est pas rapidement vérifiable, avec les outils de recherche dont nous disposons, auprès des grands médias, des sites Internet d’information et des encyclopédies. Les pages personnelles, les blogs ou les commentaires sur des forums ne peuvent pas être considérées comme des sources fiables. Cordialement, L’équipe de modération Ps : pour rappel, le texte de votre article était: ---------------------------------------  présentation Yanick ToutainL'Havrais Vérité10/9/14   Voici le courrier que Julie Amadis vient de poster au président Rémy Le Hors du TGI du Havre.



LIRE AUSSI

lundi 24 février 2014


Le juge Rémy le Hors valide trois faux en écritures commis par le réseau Changeur-Bourry. Le président du TGI du Havre crache sur la justice et le droit

samedi 1 mars 2014


Une convocation anonyme au TGI du Havre ! Les voyous crachent sur le droit et la justice



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire