lundi 12 janvier 2015

Chacun d'entre eux a volé des dizaines de millions d'Africains : les milliardaires français, Bernard Arnault,Liliane Bettencourt,Gérard Mulliez,Axel Dumas,Gérard et Alain Wertheimer,Serge Dassault ,François Pinault,Vincent Bolloré, Xavier Niel, Pierre Castel

par Yanick Toutain
Revactu 
12/1/15

Les terroristes #ribafascistes travaillent pour ces gens-là.
 Les milliardaires, malades de criminelle pathologie consumériste aggravée sont les véritables bénéficiaires des crimes des terroristes. C'est pour sauver leur capitalisme pourri que les services secrets fabriquent, forment, payent des psychopathes en Afrique, en Europe et aux USA. 






Société  patrimoine professionnel en 2014  en milliards d’euros





Bernard Arnault LVMH 27 a volé le salaire annuel de
45 millions d'Africains

Liliane Bettencourt L Oréal 26 a volé le salaire annuel de
43 millions d'Africains

Gérard Mulliez Groupe Auchan 20 a volé le salaire annuel de
33 millions d'Africains

Axel Dumas Hermès International 17 a volé le salaire annuel de
28 millions d'Africains

Gérard et Alain Wertheimer Chanel 14,5 a volé le salaire annuel de
24 millions d'Africains

Serge Dassault Groupe industriel Marcel Dassault 13,5 a volé le salaire annuel de
23 millions d'Africains

François Pinault Kering 13,5 a volé le salaire annuel de
23 millions d'Africains

Vincent Bolloré Bolloré Transport, médias 10 a volé le salaire annuel de
17 millions d'Africains

Xavier Niel Iliad Free 8,5 a volé le salaire annuel de
14 millions d'Africains

Pierre Castel Castel Boisson 7,5 a volé le salaire annuel de
13 millions d'Africains




LIRE AUSSI (la source des données sur l'observatoire des inégalités)


Les 10 plus grandes fortunes de France

11 juillet 2014 - Le patrimoine professionnel de Bernard Arnault (LVMH), première fortune de France, équivaut à 1,9 million d’années de Smic.

Le patrimoine professionnel de Bernard Arnault, l’homme le plus fortuné de France selon le classement 2014 du magazine Challenges [1], représente 27 milliards d’euros. Il faudrait à un smicard 1,9 million d’années pour gagner cette somme.
Et encore, il ne s’agit que de son patrimoine professionnel, fondé sur la propriété partielle ou totale de l’entreprise. Tout ce qui relève du domaine privé ou qui ne repose pas sur un outil de travail est exclu. En un an, sa fortune a augmenté de 2,7 milliards d’euros, soit + 11 %.
Le montant total de la fortune professionnelle des 500 plus riches s’élève à 390 milliards d’euros, soit une hausse de 15 % par rapport à 2013. Ils sont douze milliardaires de plus qu’en 2013, soit un total de 67 super riches. Visiblement, ni la crise, ni la politique fiscale n’entament la progression des grandes fortunes.

Les 10 plus grandes fortunes professionnelles en France
Société Patrimoine professionnel en 2014 
en milliards d’euros
En nombre d'années de SMIC (*) 
Bernard ArnaultLVMH27,01 991 150
Liliane BettencourtL Oréal26,01 917 404
Gérard MulliezGroupe Auchan20,01 474 926
Axel DumasHermès International17,01 253 687
Gérard et Alain WertheimerChanel14,51 069 322
Serge DassaultGroupe industriel Marcel Dassault13,5995 575
François PinaultKering13,5995 575
Vincent BolloréBolloré Transport, médias10,0737 463
Xavier NielIliad Free8,5626 844
Pierre CastelCastel Boisson7,5553 097
(*) Smic net annuel en 2014 : 13 560 euros.
Source : Challenges du 9 juillet 2014 - Classement 2014
Avertissement : le classement de Challenges ne prend pas en compte les dettes dans le calcul de ces grandes fortunes.
Photo / © Jérôme SALORT - Fotolia.com

POUR COMPRENDRE CELA DEUX EXEMPLES






« Vincent Bolloré m'a trahi »

Propos recueillis par Laurent Valdiguié | 28 Nov. 2003, 00h00


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C'EST UNE HISTOIRE de très gros sous entre deux anciens amis. D'un côté, Pierre Aïm, homme d'affaires autodidacte et ami de chefs d'Etat africains. De l'autre, Vincent Bolloré, trente-quatrième fortune française.
Le premier a aujourd'hui tout perdu, son entreprise familiale et sa fortune, soit un pactole de 76 millions d'euros.



Mis en examen à Nanterre pour abus de biens sociaux et incarcéré début octobre, Pierre Aïm, libéré la semaine dernière, rêve désormais de «réhabilitation. Pour se défendre, il attaque.
Devant le juge Philibeaux, il a mis en cause Vincent Bolloré. Révélations sincères ou règlement de comptes ? Le juge va enquêter.
« Petit prince des affaires », Bolloré a bâti en vingt-cinqans d'une carrière sans faute un empire de 22 000 salariés. A-t-il poussé son ami Aïm à la faute ?
Le camp Bolloré, qui surveille l'enquête à distance, dément en bloc. « Il y a effectivement eu à une certaine époque des accords avec Pierre Aïm, admet Jean-Luc Delahaye, directeur juridique du groupe Bolloré, mais nous les avons toujours respectés et nous ne sommes en rien concernés par la déconfiture de son groupe. Nous nous expliquerons devant les magistrats, s'ils l'estiment
nécessaire. » « Pierre Aïm s'est coulé tout seul », résume l'entourage de Bolloré.
Comment vous êtes-vous lancé en Afrique ?

Pierre Aïm.



J'étais à la tête d'une entreprise familiale, la Spad, qui marchait très bien, spécialisée dans la distribution de boissons enFrance . En 1990, Vincent Bolloré, qui était mon ami, est venu me voir pour me proposer de reprendre Saga. Il était intéressé par cette société, spécialisée dans le transport entre l'Europe et l'Afrique, mais ne pouvait pas l'acheter. Seul, je n'avais pas les 700 millions de francs nécessaires au rachat de Saga.
Bolloré m'a prêté de l'argent. Sans lui, je n'aurais jamais bougé.
« Je suis persuadé qu'il peut s'agir d'une manipulation boursière à grande échelle»



Comment s'est déroulée l'opération ?
Nous avons signé un premier accord secret en mai 1991. Je m'engageais à contrôler Saga pendant deux ans seulement, pour lui revendre ensuite, au plus tard en janvier 1993. Je devais gagner 170 MF sous la forme d'une commission de portage. Je suis donc devenu patron de Saga et j'ai découvert un bilan catastrophique, des comptes maquillés, des pertes camouflées,
et des turpitudes, notamment au Nigeria. Je suis allé voir Bolloré qui m'a dit de ne rien faire.
Que se passe-t-il ensuite ?
En janvier 1993, Bolloré traverse une mauvaise passe et ne peut pas
me racheter Saga comme prévu. Il me demande de continuer et me prête à nouveau de l'argent.
Nous signons un deuxième accord secret, dans lequel je m'engage toujours à lui vendre Saga en priorité. J'introduit Saga en Bourse , l'entreprise marche  très fort. Si j'avais vendu la moitié
des actions à ce moment-là, j'aurais pu d'un seul coup rembourser les banques de 700 MF ! Mais j'ai pensé que le cours monterait encore, et j'ai pris la pire décision de ma vie.
Le cours du titre Saga ne va cesser de baisser...
Pour des raisons que je ne m'explique pas, le titre est passé de 650 F à moins de 300 F. Je n'ai rien vu venir, mais je suis persuadé aujourd'hui qu'il peut s'agir d'une manipulation boursière à grande échelle. Autre coup de massue, le Crédit
national, ma banque principale, a exigé brutalement des remboursements. Pris à la gorge, j'ai dû prendre de l'argent de la Spad pour soutenir le cours de Saga, ce qui me vaut aujourd'hui une mise en examen pour abus de biens sociaux. J'ai finalement tout perdu.
Dans quelles conditions ?
En trois mois à peine, le tribunal de commerce de Nanterre a liquidé la Spad, fait brader ses actifs, alors que cette entreprise n'avait jamais perdu un centime ! Pourquoi la Saga, qui neuf mois plus tôt valait 1,3 milliard de francs, a-t-elle été vendue à Bolloré 300 millions ? J'estime aujourd'hui que j'ai été manipulé par Vincent Bolloré pendant toute cette période, trahi par un ami. Lui, en récupérant Saga, a fait une affaire en or.
Pourquoi n'avez-vous pas engagé d'actions judiciaires à l'époque ?
J'étais groggy et, c'est vrai, j'avais honte. Maintenant, les choses ont changé. Je ne peux pas sortir de France, le fisc saisit ma retraite et me laisse le Smic. Je suis obligé de me défendre.
L'entourage de Vincent Bolloré vous accuse de faire du chantage ?
Je travaille à ma réhabilitation, c'est tout.

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