lundi 12 janvier 2015

Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !

Quand Farid Benyettou recrutait les assassins de Charlie,
de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi
les ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi
et Boubaker Al Hakim.image atheisme.org
par Yanick Toutain
Revactu
12/1/15



"Entendu par les enquêteurs dès 2005 sur sa relation avec Farid Benyettou, Chérif Kouachi déclarait devant les enquêteurs à propos des cours coraniques dispensés par son mentor : « J'avais vraiment l'impression que la vérité était là, devant moi, quand il parlait. »" (Adrien Cadorel  Le Parisien 11/1/15)


18 Décembre 2014
C'est une vidéo exclusive de Tunisie-Secret qui a révélé dès 2013 et plusieurs fois réitéré depuis que Boubaker Al-Hakim est l’assassin de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Maintenant qu’il est à l’abri en Irak, ce psychopathe vient de le revendiquer dans un message vidéo. TS a aussi révélé le 7 décembre dernier qu’Abou Iyadh et Boubaker Al-Hakim s’apprêtaient à déserter la Libye pour l’Irak, en bateau et via la Crète.
Ferid El Béji a révélé que la politique étrangère de la Troïka a encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes tunisiens qui se rendaient en Syrie :
« Les djihadistes eux-mêmes ont témoigné sur la chaine Al-Mutawassit qu’ils brandissaient le drapeau noir, emblème de Daech, au sein de l’aéroport de Tunis-Carthage et dans l’avion de Tunisair qui devait les atterrir en Turquie puis en Syrie, sous la protection de la Troïka ».



L'idéologue hypocrite des ribafascistes Tariq Ramadan
 vient de déclarer "Je ne suis pas Charlie"
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JEUDI 8 JANVIER 2015

Thèse du réseau islamofasciste unique à Charlie Hebdo et Chokri Belaïd : Eric Mettout rédacteur en chef de l'Express m'accuse de "diffuser de fausses informations."

VENDREDI 23 MAI 2014



Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !



Quand un criminel exécute le crime pour lequel il a été recruté, formé, hypnotisé.... la logique élémentaire dans un Etat NON policier consiste à se fixer comme priorité absolue l'interpellation de celui qui l'a recruté, formé, hypnotisé.
C'est pourquoi Farid Benyettou aurait dû être interpellé le 18 décembre 2014
Il y a un mois.
C'est ce jour-là que son pantin  a reconnu (s'est vanté) de l'assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi.


JEUDI 8 JANVIER 2015



Terreur islamofasciste en Tunisie et à Charlie Hebdo: Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski, tous assassinés par le même réseau islamofasciste

Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski assassinés par le même réseau islamofasciste dirigé par l'organisateur de la terreur en Tunisie Boubaker al-Hakim et dont le "gourou" Farid Benyettou est membre de Ennahda

 Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel"
complice de 
Chérif  Kouachi et Said Kouachi


par Yanick Toutain
8/1/15





 "son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda."
"
« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'



A contre courant du rideau de fumée médiatique de Libération (samedi ils focalisaient toute l'attention de ses lecteurs sur le Yemen) et de cette presse Omerta, Marie Desnos de Paris Match actualise son article du 8 janvier


LA PISTE TUNISIENNE

Elle abonde dans la piste que ne cesse d'éclairer le site Tunisie Secret et que Revactu citait abondamment




CHÉRIF KOUACHI, AMI D’ENFANCE D’UN TUEUR DE L’ETAT ISLAMIQUE 
L’un des deux principaux suspects dans l’attentat qui a frappé «Charlie Hebdo» mercredi à Paris, Chérif Kouachi, était un des membres de la filière dite des «Buttes-Chaumont», dans le XIXe arrondissement de Paris, qui avait été démantelée en 2004, puis jugée en 2008. C’est donc un proche de Boubaker El Hakim, qui a revendiqué les assassinats de deux dirigeants d’opposition en Tunisie l’an dernier, se dit membre de l’Etat islamique et est toujours en fuite en Syrie.Chérif Kouachi, le cadet des frères soupçonnés d’être les auteurs de l’attentat contre «Charlie Hebdo» mercredi à Paris, faisait partie de la «bande des Buttes-Chaumont», dans le XIXe arrondissement, filière jihadiste bien connue des services antiterroristes, puisqu’elle est accusée d’avoir envoyé une cinquantaine de jeunes Français en Irak entre 2003 et 2005. Parmi ses «membres» également bien connus : Boubaker El Hakim, alias Abou Mouqatel, qui n’est autre que l’homme qui a revendiqué, en décembre dernier, le meurtre de deux dirigeants de l’opposition laïque tunisienne en 2013. Les assassinats de Chokri Belaïd, tué de 14 balles, le 6 février,  et de Mohamed Brahmi, le 25 juillet avec la même arme (avec une arme automatique de calibre 9 mm), avaient fait grand bruit en cette période électorale post-Printemps arabe. «Oui, c’est nous qui avons tué Belaïd et Brahimi», déclarait-il dans une vidéo tournée en Syrie. «Et je jure que nous allons revenir et tuer plusieurs d'entre vous, ajoutait-il».

Mais dans son article d'hier, elle oublie complètement cette piste tunisienne. Le mot "Tunisie" n'apparait même pas sur la page
PARIS MATCH Farid BENYETTOU LE PETIT DÉLINQUANT DEVENU "ÉMIR" PUIS INFIRMIER À PARIS


"Ironie du sort. Farid Benyettou, l'ex-«émir» de la «filière des Buttes-Chaumont» et mentor des frères Kouachi, est infirmier stagiaire à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, l'un des principaux centres hospitaliers qui a accueilli les victimes de la fusillade de «Charlie Hebdo». L’information, glaçante, a été révélée ce dimanche par «Le Parisien». Après un séjour de six années en prison, le jeune homme sort en 2011. L’année suivante, il s’inscrit à une formation au sein de l'Institut de formation des soins infirmiers (Ifsi), avant d'intégrer au début du mois de décembre 2013 le service des urgences de la Pitié-Salpêtrière.
Ses collègues décrivent «un élève studieux et discret». Ils n’en furent pas moins stupéfaits en apprenant son lien avec les assassins de «Charlie Hebdo». «On ne peut pas imaginer que cet homme – que tout le monde présente comme l'un des principaux mentors des frères Kouachi – aurait pu accueillir les victimes de ses anciens protégés», a réagi un médecin de l'hôpital dans les colonnes du quotidien. Soit. Aussi Farid Benyettou, qui ne travaillait pas mercredi et jeudi, mais devait être de garde la nuit de vendredi à samedi, ainsi que les deux suivantes, a été «dispensé».
L’HÔPITAL CONNAISSAIT SON PASSÉ"

Une piste à suivre concernant les liens de cet infirmier dormant avec Ennahdha
Il faut donc retourner chercher d'autres sources.
On retrouve donc Tunisie Secret qui, en 2013 (citant envoyé spécial RTL) accusait Boubaker Al Hakim en éclairant la personnalité de l'un des pantins de Farid Benyettou
 Exclusif : Boubaker Al-Hakim par l’image et par la voix (vidéo)
26 Juillet 2013
L’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi
a une longue carrière de terroriste derrière lui. Français de parents tunisiens, il a vécu toute son enfance dans le XIXe arrondissement parisien. En compagnie de son jeune frère, il a fait le djihad en Irak et il a été arrêté et condamné en France en 2005. Il y avait déjà contre lui un mandat d’amené émis par la police de Ben Ali via Interpol. Pour faire diversion, certains ont annoncé aujourd'hui sa mort en Syrie, il y a déjà quelque temps. C’est absolument faux. La suite dans l’article de Karim Zmerli ce soir.



En Tunisie, le soutien de Ennahdha et de la Troïka aux ribafascistes est un secret de polichinelle


Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes

Sur le plateau de «Liman yojra’ fakat », diffusé ce dimanche, Ferid El Béji a fait des révélations effroyables.
Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes
Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes
Invité sur le plateau de «Liman yojra’ fakat », diffusé ce dimanche 11 janvier 2015, sur la chaine Hiwar Ettounsi, le prédicateur et président de l'Association Dar Al Hadith Al Zeitouni, Ferid El Béji a révélé que la politique étrangère de la Troïka a encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes tunisiens qui se rendaient en Syrie :
« Les djihadistes eux-mêmes ont témoigné sur la chaine Al-Mutawassit qu’ils brandissaient le drapeau noir, emblème de Daech, au sein de l’aéroport de Tunis-Carthage et dans l’avion de Tunisair qui devait les attérir en Turquie puis en Syrie, sous la protection de la Troïka ».
Ils ont encore ajouté, poursuit Ferid El Béji, qu’ils prenaient toute leur aise pour crier Allahou Akbar en plein aéroport,  avant leur embarquement dans l’avion sans que personne n’ose les arrêter, et certains ont avoué sur cette chaine qu’ils étaient protégés et bénis par la Troïka.














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La manifestation du Parti des Musulmans de France à Téhéran sur Seine






Mohammed Latrèche a réussi un grand coup : rassembler plusieurs milliers de personnes à Paris au nom du Coran. La manifestation du 17 janvier 2004 restera un succès personnel pour le chef du Parti des Musulmans de France avec un défilé comportant une majorité d'hommes, les femmes étant reléguées au rang de potiches. Rigoureusement encadrées, elles semblaient plus des marionnettes qu'agitaient les barbus que les égales des hommes. Effroyable constat d'une population fanatisée qui rappelle les heures les plus sombres deTéhéranKaboul ou Alger. Jamais le bitume parisien n'a entendu autant d'"Allah akbar" qui témoignent bien de la supériorité accordée à la religion sur les lois républicaines. Des chants en arabe ont été criés pour exalter l'islam conquérant des origines, ceux-là mêmes qui ont martyrisé l'Algérie contaminée par le FIS et le GIA. 
(...)

Si quelques trotskistes désœuvrés ont distribué des tracts contre la "loi raciste de Chirac", les anarchistes de la CNT, venus pour une manifestation antinucléaire, n'ont, par contre, pas manqué de rappeler aux islamistes les fondements de la lutte antireligieuse. Les barbus et les femmes voilées ont donc récolté de vibrants "Ni dieu, ni maître, ni ordre moral" au travers d'un cordon de CRS.
La manifestation s'est terminée place de la Nation par un discours de Mohammed Latrèche dans la plus pure tradition du populisme. Enonçant des arguments chocs dans des phrases courtes qui accordaient adroitement des intervalles pour l'applaudir, le tribun, grisé par l'évènement, s'est abandonné à quelques confidences qui ne sauraient surprendre : "sur la question du voile, nous sommes des extrémistes", la loi "nous ne l'accepterons jamais". Ou encore, des menaces comme "nous allons vous terroriser avec les élections". Latrèche qui invoque les règles démocratiques pour faire gagner l'islam, c'est le monde à l'envers. Dans l'exubérance des fins de manifestations, avant de terminer par la lecture du Coran, Latrèche accorde le micro à qui le réclame. Bien mal lui en prit : une femme use de cette tribune pour s'insurger face aux insultes qu'il a proférées envers Chirac ! Des huées, et de maigres applaudissements, récompensent la téméraire. Les discussions vont alors bon train dans le public, le PMF ne fait visiblement pas l'unanimité parmi les présents et c'est là la véritable réussite de Latrèche : avoir récupéré, avec la complicité de l'UOIF, la venue de milliers de manifestants au profit de son parti aussi violent que groupusculaire. Il est sûr que ce Le Pen de l'islam saura utiliser cette gloire d'un jour. 


21 janvier 2004 


* : cet individu s'appelle Farid Benyettou, âgé d'environ 24 ans il était le gourou d'un groupe de jeunes fanatiques du 19e arrondissement de Paris partis en Irak pour le djihad (émission Pièces à conviction, France 3, 26 septembre 2005). Il dispensait ses prêches dans la mosquée Addawa de la rue de Tanger, puis dans un foyer après avoir été viré de la mosquée. Il a été arrêté par la police. La prière dirigée par Farid Benyettou le 17 janvier 2004, rue Jean-Pierre Timbaud :



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9 Janvier 2015


Je ne suis pas Charlie Hebdo, vient de déclarer Tariq Ramadan à une chaîne de télévision suisse. Rien de surprenant de la part de ce Frère musulman que les médias français aiment tant ! Déjà en 2011, à la suite de l’incendie des locaux de ce journal satirique, Tariq Ramadan avait montré toute sa haine à l’égard de Charb qu’il accusait alors de « lâche » !





De gauche à droite: Youssef Qaradaoui, le grand prêtre de l'islamo-terrorisme, cheikha Mozza, la grande prêtresse de l'islamisme mondial, et Tariq Ramadan, mercenaire du Qatar et mégaphone de l'islamisme très "modéré" !
De gauche à droite: Youssef Qaradaoui, le grand prêtre de l'islamo-terrorisme, cheikha Mozza, la grande prêtresse de l'islamisme mondial, et Tariq Ramadan, mercenaire du Qatar et mégaphone de l'islamisme très "modéré" !
A la suite de l’incendie au cocktail molotov des locaux de Charlie Hebdo, le 2 novembre 2011, Stéphane Charbonnier (Charb) a été invité par Paul Ammar, pour son émission « Revu et corrigé » sur la Cinq. Etaient également présent sur le plateau l’avocat Gilles-William Goldnadel et le représentant suisse de l’islam de France ( !), coqueluche des télévisions françaises, le Frère musulman Tariq Ramadan.

Fidèle à sa rhétorique typiquement islamiste du « Oui, mais » et à sa duplicité légendaire, Tariq Ramadan avait alors condamné l’incendie de Charlie Hebdo mais en ajoutant tout de suite que ce journal fait « de l’humour tout à fait discutable ». « Je dirai même que c’est un humour de lâche » (voir vidéo ci-dessous).

Celui qui s’est érigé en chevalier blanc de l’islam et en défenseur des musulmans accusait les journalistes et les caricaturistes de Charlie Hebdo de racisme et d’islamophobie, ne concentrant leurs attaques que sur l’islam, ce qui est totalement faux. Charlie Hebdo n’épargnait jamais les intégristes catholiques et les extrémistes juifs. Il se moquait de tous les intégrismes et c’est ce qui caractérisait son combat héroïque pour la liberté d’expression et le respect des valeurs républicaines.

Le défunt Charb n’a d’ailleurs pas manqué de rappeler à notre islamiste très « modéré », lors de cette émission de Paul Ammar, « qu’en 19 ans, Charlie Hebdo a eu 14 procès avec l’extrême-droite catholique et un seul procès avec l’islam ».

Maintenant que Charb est mort avec neuf autres courageux journalistes et caricaturistes de Charlie Hebdo, ainsi que deux vaillants policiers, on peut répondre à Tariq Ramadan que Stéphane Charbonnier était tout le contraire d’un « lâche ». C’était un dessinateur à l’humour décapant, un ardent combattant de la liberté d’expression et de la liberté tout court. Après l'incendie criminel au cocktail molotov des locaux de la son journal en novembre 2011, le caricaturiste avait exprimé sa détermination à faire paraître l'hebdomadaire, malgré le manque de matériel. Il affirmait avec assurance au micro de BFMTV: « Il va falloir qu'on trouve dans l'urgence des locaux et du matériel pour sortir la semaine prochaine, parce qu'il n'est pas question que l'on ne sorte pas ».

Réagissant au même événement dans les colonnes du Monde, le quotidien du « Qui tue qui en Algérie ?» et le propagandiste de « l’islamisme modéré », Stéphane Charbonnier avait ainsi rendu compte de son engagement et de son combat en faveur de la liberté d'expression: « Je n'ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. C'est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire, mais je préfère mourir debout que vivre à genoux ».

Nous savons maintenant qu’il avait une compagne, la courageuse Jeannette Bougrab, qu’il voulait protéger, et une petite fille adoptée et désormais orpheline. Mais nous savons aussi qu’il a tenu parole, qu’il n’a jamais capitulé, contrairement aux nombreux journalistes, politiciens et intellectuels français qui se lamentent aujourd’hui sur les plateaux de télévision.

Si Charb et ses compagnons de lutte sont morts debout, le Frère musulman Tariq Ramadan, qui s’exprimait, le 8 janvier 2015, sur les ondes de la RTS Info (Suisse), par skype et en direct de Doha ( !), a eu l’outrecuidance de déclarer : « Non, je ne dis pas "Je suis Charlie", je suis pour la liberté d'expression", et je condamne « la stigmatisation à géométrie variable » de Charlie Hebdo.

On se demande alors qui est le lâche et qui est le courageux ! Celui qui est mort debout, payant ainsi la rançon de la liberté, ou le mercenaire du Qatar, le principal émirat arabe qui soutient les frères musulmans, y compris en France, et qui finance le terrorisme islamiste mondial.

Lilia Ben Rejeb

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