vendredi 19 juin 2015

Après Le Drian ministre de l'Afrique, voici Lionel Zinsou Premier ministre du Bénin 3° étape de la 4° guerre contre l'Afrique


par Yanick Toutain
REVACTU
19/6/2015

"'Au milieu des années 80, plutôt que de se consacrer à temps plein à son métier de professeur, Lionel Zinsou demande deux ans de disponibilité et rejoint l'entreprise Danone. «Au moment où le Bénin est redevenu démocratique en 1990, je vivais à l'heure de la conquête du monde avec Danone et Antoine Riboud», expliquait-t-il dans les colonnes du Figaro en 2007. Il est loin alors de ses racines africaines. Il consacrera onze années de sa vie à Danone. Jusqu'à une mise en examen pour «tromperie» dans la fabrication de préparations à base de bœuf à la suite d'un contrôle sanitaire effectué en juillet 1996, qui lui fera quitter l'entreprise"
Le Figaro.


Après l'attaque contre la Côte d'Ivoire qui a mis au pouvoir, après 9 ans de guerre de basse intensité contre les socialistes compradores locaux, le terroriste Alassane Ouattara, un pantin du FMI....
Après l'attaque de janvier 2012 par les terroristes MNLA et Ansardine, des terroristes envoyés par Sarkozy (ils l'ont même avoué en janvier 2015) sur financement du Qatar, puis la 2° vague MUJAO, puis l'invasion Serval, la 4° guerre contre l'Afrique est bien avancée.
On voit partout s'installer des violeurs en RCA, des protecteurs des dictatures EUFOR au Tchad, des troupes d'occupation ONU en RDC etc......
C'est maintenant une 3° étape : un ministre français, un banquier, un traître bénino-français dont le père était médecin au service du traître Sédar Senghor

LIONEL ZINSOU UN TRAÎTRE AU SERVICE
DE LA FRANCEàFRIC ET DE LA BANQUE ESCLAVAGISTE

Sa biographie officielle de traitre au service de la banque esclavagiste

Lionel Zinsou a rejoint PAI en 2008, il est Président et Président du Comité Exécutif de PAI.
Lionel a démarré sa carrière professionnelle comme maître de conférences et professeur d'économie à l'Université de Paris ; il a ensuite été conseiller du Ministre de l'Industrie puis du Premier Ministre. En 1986, il est entré chez Danone, où il a occupé divers postes, dont ceux de Directeur du développement, Directeur Général de HP et de Lea & Perrins, et membre du Comité exécutif. En 1997, il est devenu General Partner de la banque Rothschild ; il y a occupé les postes de Directeur du groupe Biens de Consommation et de Directeur Moyen-Orient et Afrique, et a siégé au Comité d'investissement mondial de la banque. Il a été nommé Président et Président du Comité Exécutif de PAI en 2009.
Lionel est diplômé de l'École Normale Supérieure (1975). Il est titulaire d'une Maîtrise d'Histoire économique et Professeur agrégé de Sciences économiques et sociales. Il parle français (langue maternelle) et anglais couramment.
Puisque les terroristes et leur protecteurs font la loi en Afrique. Puisque Le Drian est le ministre de l'Afrique.

MERCREDI 22 AVRIL 2015



Il est logique de nommer un Français dans chaque pays d'Afrique !
Comme il est logique pour la Franceàfric de faire le contraire des Portugais de 1974 : instaurer le fascisme dans la métropole en censurant tous les journalistes et blogueurs anti-Franceàfric

JEUDI 23 AVRIL 2015


Le Drian le ministre de la Défense est #ministredelAfrique un article censuré par l'Obs


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Pas géné, il assume sa traitrise vis-à-vis du continent africain en esclavage
Lionel Zinsou : J’ai 56 ans, deux nationalités, trois enfants et un métier qui est mon troisième métier. Je suis né à Paris, mon père était Béninois et avait aussi la nationalité française. Ma famille paternelle est d’assez longue date située entre le Sud et le centre du Bénin ; mon oncle a été parlementaire, ministre et président du Dahomey en 1969 ; il est aujourd’hui l’un des doyens de la vie politique béninoise. Mon père était médecin et a longtemps travaillé à Dakar ; quant à ma mère, infirmière des hôpitaux de Paris, elle est française de nationalité et d’origine. (terangaweb)

Lionel Zinsou, ce banquier français nommé premier ministre du Bénin

Le président béninois Thomas Boni Yayi a confié à ce normalien devenu banquier d'affaires les rênes du gouvernement. Retour sur un parcours marqué par le sceau de l'excellence.

Le président béninois Thomas Boni Yayi' a nommé le banquier d'affaires français Lionel Zinsou à la tête du gouvernement du Bénin ce vendredi. Son nom est inconnu du grand public. Mais résonne à l'oreille des banquiers, investisseurs et politiciens de l'Hexagone comme du Bénin. Car Lionel Zinsou est un homme incontournable des coulisses du pouvoir. En France, il préside notamment à la Fondation Africa France, destinée à soutenir l'émergence économique du continent africain.
Né d'un père béninois, médecin attitré de Léopold Sedar Sanghor et d'une mère française le 20 octobre 1954 à Paris, Lionel Zinsou est le neveu d'Émile Derlin Zinsou, président de la République du Dahomey (actuel Bénin) de 1968 à 1969 et condamné à mort par contumace. Enfant, il se rend régulièrement au Bénin, jusqu'à la révolution de 1974. Il ne retournera dans son pays d'origine qu'à la chute du régime militaire au pouvoir en 1990.
Scolarisé au lycée Buffon, l'élève modèle poursuit ses études à Louis-Le-Grand puis intègre la rue d'Ulm. Il y obtient une agrégation en sciences sociales, puis passe par Science po, la London School of Economics. Il prendra lui-même place au pupitre en devenant professeur d'économie à l'ENA et à Normale Sup, où il deviendra la plume d'un de ses élèves, Laurent Fabius. Un parcours singulier marqué par le sceau de l'excellence.
Au milieu des années 80, plutôt que de se consacrer à temps plein à son métier de professeur, Lionel Zinsou demande deux ans de disponibilité et rejoint l'entreprise Danone. «Au moment où le Bénin est redevenu démocratique en 1990, je vivais à l'heure de la conquête du monde avec Danone et Antoine Riboud», expliquait-t-il dans les colonnes du Figaro en 2007. Il est loin alors de ses racines africaines. Il consacrera onze années de sa vie à Danone. Jusqu'à une mise en examen pour «tromperie» dans la fabrication de préparations à base de bœuf à la suite d'un contrôle sanitaire effectué en juillet 1996, qui lui fera quitter l'entreprise.
Au moment de son arrivée chez Danone, il développe aussi un véritable engagement politique et fonde le groupe de réflexion «Solidarités modernes». Objectif: soutenir l'engagement politique de Laurent Fabius tout juste évincé de Matignon en raison de la défaite de la gauche aux législatives.

Le retour du Fils prodigue

En 1997, ce géant qui mesure près de deux mètres est repéré par David de Rothschild. Lionel Zinsou insiste auprès des dirigeants du groupe pour investir en Afrique, pour lui un marché émergent incontournable. Après la Banque Rothschild, il rejoint Paribas Affaires Industrielles (PAI), dont il devient le grand patron en 2009, un an seulement après son arrivée dans l'entreprise.
Mais ses racines béninoises se rappellent à lui, grâce à l'une de ses filles, Marie-Cécile, son aînée férue d'histoire de l'art. «Mes enfants m'ont ramené à mon pays, à mes racines. Et à 48 ans, j'ai compris que j'avais des devoirs vis-à-vis du Bénin et qu'il était temps de les remplir» confiait-t-il encore au Figaro en 2007. Un devoir qu'il remplit en partie en créant de toutes pièces une industrie de produits laitiers frais au Bénin grâce au groupe Yoplait dont il est le banquier conseil. Son obsession: créer des emplois. Mais il se défend de tout «afro-optimisme». En 2006 dans Le Figaro, il confie: «Les aspects déchirants, inhérents à ce continent, demeurent mais il y a une vitalité économique bien présente qui n'est certainement pas à négliger».
À la fois ambassadeur lucide et mécène en son pays, il s'est déjà vu offrir, en 2006, le poste de ministre de l'Économie du Bénin par Boni Yayi, tout juste élu. Lionel Zinsou refuse alors afin de conserver les revenus qui lui permettront de pérenniser ses investissements. Dans l'aventure Yoplait, il a mis un million d'euros sur la table. Il soutient aussi a Fondation Zinsou, créée à Cotonou par sa fille en 2005, dont le budget global avoisine lui aussi le million d'euros par an. Pour ces engagements, il revient un week-end par mois au Bénin et réside à temps plein en France.
En 2013, il rejoint au Quai d'Orsay, le Conseil des Affaires Étrangères. Cette instance d'évaluation et «boîte à idées» créée en 2006 lui permet d'être aux premières loges des relations entre la France et son continent de cœur. En 2015 il crée encore la Fondation Africa France, inaugurée en février dernier à Bercy, en présence du président François Hollande, du Gabonais Ali Bongo ou encore du président ivoirien Alassane Ouatara. Sa fondation veut mobiliser société civile, entreprises et collectivités locales autour de trois programmes centrés sur la formation de chefs d'entreprises et de «dix clubs sectoriels».
Pour le banquier, la fondation est avant tout un «réseau social» destiné à relier projets et entreprises. Depuis de nombreuses années, le banquier-mécène-politicien fait ainsi partie de multiples groupes de réflexions et cercles prestigieux, sources d'un réseau relationnel considérable qui porte aujourd'hui ce proche de Laurent Fabius au poste de premier ministre du Bénin. Vendredi après-midi, le ministre des Affaires Étrangères a d'ailleurs adressé ses «chaleureuses félicitations» à l'intéressé.

MERCREDI 22 AVRIL 2015


France : "Le ministre de la Défense est ministre de l'Afrique" L'aveu scandaleux du rapport parlementaire bipartisan de Philippe Baumel (PS) et Jean-Claude Guibal (UMP)

par Yanick Toutain
22/4/2015

La Franceàfric se croit, depuis l'attaque criminelle qu'elle a organisé le 16 décembre 2010 à Abidjan, revenue au « Bon temps des colonies ».
Dans un rapport parlementaire rédigé - dans un « esprit bipartisan » comme ils le disent à la Maison Blanche - par deux députés PSUMP, l'aveu est écrit noir sur blanc : 
« Le ministre de la Défense est ministre de l'Afrique » 
Mais pour les héritiers de Harriet Beecher Stowe, pour les abolitionnistes anti-esclavagistes, pour les activistes #SMICenAfrique cet aveu n'est que l'expression publique de ce qui se passe de façon caricaturale depuis 4 ans. Cet aveu n'est que le résumé de ce qui se passe en Afrique, depuis le renversement du président Gbagbo en Côte d'Ivoire par des terroristes financés secrétement par l'ONU et au Mali par l'envoi, en janvier 2012 de terroristes narco-djihadistes MNLA et Ansar Eddine financés par le Qatar, la Suisse et soutenu par la DGSE et l'Union Européenne. 

« Le ministre de la Défense est ministre de l'Afrique » 

Assassiner 10 policiers ivoiriens loyalistes a fait sauter de joie la clique des assassins Franceàfric PSUMP.
L'actuel président François Hollande et son prédécesseur Nicolas Sarkozy avait cru possible de réaliser leur coup d'Etat contre le président Gbagbo, élu en novembre 2010 en deux jours.... les 16 et 17 décembre 2010.
Mais leur putsch dura finalement près de 4 mois : Et les militaires et policiers Français LICORNE-ONUCI qui se trouvaient dans les coulisses en décembre se retrouvèrent en première ligne contre les forces loyalistes qui défendaient leur président.
Rien d'étonnant donc à ce que ce soit « Le ministre de la Défense » français qui soit présenté comme étant le « ministre de l'Afrique » dans le pré-rapport parlementaire. Selon les révélations du Canard Enchaîné d'autres passages sont encore plus précis 
« pour beaucoup de chefs d'Etat d'Afrique de l'Ouest, le ministre de la Défense est devenu l'interlocuteur français numéro 1, d'autant plus aisément que la sécurité est la priorité ».

LES TERRORISTES MADE IN FRANCE
SORO, IB, DOZOS, MNLA, ANSAR EDDINE,
 IYAD AG GHALI sont des pantins de la Franceàfric !

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