samedi 13 juin 2015

Avec ses juges voyous faussaires, Christiane Taubira soutient les terroristes de Côte d'Ivoire. Pour sa complicité des crimes elle sera condamnée au Nuremberg de l'Afrique

Christiane Taubira est la chef des juges voyous de France
Michael Janas, Bernard Ors, Robert Miori chargés de
recel et de fabrication de faux en écritures publiques
au service de la dictature esclavagistes de Côte d'ivoire

par Yanick Toutain
13/6/2015


"Le gouvernement demande le départ de l'Onuci et de la force Licorne de Côte d'Ivoire et s'oppose au renouvellement de son mandat". Elle estime que "l'Onuci a fait preuve d'ingérence grave dans les affaires intérieures de la Côte d'Ivoire".





Ils sont peu nombreux les racistes de la Franceàfric qui vont sur le mur de Christiane Taubira tenter de la soutenir dans ses activités criminelles au service du terrorisme.
Ils sont peu nombreux les complices de la dictature meurtrière inspirée de Pinochet qui s'est mise en place en 2010-2010 avec les assassinats massifs commis par les psychopathes dozos de Ouattara-Soro avec le soutien de l'ONUCI et de LICORNE







LIRE AUSSI

 Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel"
complice de 
Chérif  Kouachi et Said Kouachi
NOTA BENE : Christiane Taubira sera interrogée par les juges révolutionnaires sur ses liens avec les assassins du dessinateur Cabu.
En effet, en décembre 2014 le chef du réseau criminel des Buttes Chaumont avait proféré des menaces depuis la Tunisie (protégés par ses protecteurs d'Ennahdha) deux semaines avant le crime de Charlie.
Sans que cette prétendue "ministre de la Justice" ne prenne aucune disposition concernant la mise en cause de Boubakeur Al Hakim.
Etant donné qu'il a donné comme cible Cabu, un dessinateur qui la caricaturait régulièrement, on est en droit de s'interroger sur ses liens avec cette bande criminelle.


LUNDI 5 JANVIER 2015


Christiane Taubira marraine et protectrice de 3 juges voyous faussaires et d'un procureur agresseur et auteur de faux en écritures


Christiane Taubira et ses trois juges voyous
Robert Miori, Bernard Ors et Michael Janas
rédigeant des faux en écritures pour faire gagner 31000€
 au barbouze ONUCI Jean-Marie Bourry
dans cette tentative d'escroquerie en bande organisée
Il manque sur l'image le procureur FrancisNachbar 
LA MINISTRE DE LA JUSTICE CHRISTIANE TAUBIRA PROTEGE TROIS JUGES DELINQUANTS AUTEURS ET RECELEURS DE FAUX EN ECRITURES
ROBERT MIORI BERNARD ORS ET MICHAEL JANAS
C'est sous son égide et avec sa haute protection (délictuelle) que les jugements délictuels de septembre 2012 TGI Angoulême, février 2013 (C App Bordeaux), juillet 2013 (C App Bordeaux) (et jugements annexes) ont été commis par ses juges mercenaires à l'aide de faux en écritures destinés à étayer une abusive plainte en atteinte à la vie privée (maquillage d'une première plainte en diffamation de novembre 2011contre un article RevActu du 2/1/2011  prescrite pour avoir été déposée 11 mois après)

LA MINISTRE DELINQUANTE CHRISTIANE TAUBIRA TENTE D'AGGRAVER LES PERSECUTIONS CONTRE JULIE AMADIS ET MOI-MEME EN LANCANT UNE NOUVELLE PROCEDURE ABUSIVE COMMISE PAR SON MERCENAIRE MULTI-DELINQUANT PROCUREUR FRANCIS NACHBAR DU HAVRE


ROBERT MIORI AUTEUR ET RECELEUR DE FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES en tant que juge à la Cour d'Appel de Bordeaux
BERNARD ORS AUTEUR ET RECELEUR DE FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES en tant que juge à la Cour d'Appel de Bordeaux
MICHAEL JANAS AUTEUR ET RECELEUR DE FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES en tant que juge à président du TGI d'Angoulême
AU SERVICE DE L'ESCROC JEAN-MARIE BOURRY BARBOUZE ONUCI



NOUVELLE TENTATIVE D'ESCROQUERIE AU SERVICE DES PROTECTEURS DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS
INSPECTEUR PATRICK DEPLANQUE
DIRECTEUR D'ECOLE PATRICK CLABEAU

par
FRANCIS NACHBAR AUTEUR DE FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES en tant que PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE AU HAVRE

J'AVAIS INFORME LA MINISTRE DE LA FABRICATION DE CES FAUX EN ECRITURES NACHBAR LE 9 DECEMBRE 2014


VOICI LES TWEETS DONNANT LA PREUVE DE CE QUE LA MINISTRE A ETE INFORMEE DES FAUX EN ECRITURES
La ministre de la Justice esparait naïvement EFFACER CES PREUVES sur TWITTER en me bloquant...
Mais elles sont toujours en ligne


On retrouve la même procédé dans les méthodes utilisées par le "petit frère" de l'islamofasciste Tariq Ramadan (le chanteur Médine Zaouiche du Havre) qui confectionne des listes de cibles à l'intention des terroristes. Un animateur du site fasciste Havre de Savoir qui fait continuellement l'apologie du terrorisme et des meurtres des "laïcards", des amputations des "voleurs"

Terrorisme: Le chanteur havrais Médine Zaouiche désigne 9 cibles. Le frère de Tariq Ramadan prépare les prochaines exécutions-crucifixions


MARDI 3 JUIN 2014









Texte du Tweet
LES CRIMES DE TAUBIRA-HOLLANDE-SARKOZY-




mercredi 21 janvier 2015


"LA PRISON ET LA TORTURE SONT-ELLES DES PROGRAMMES DE GOUVERNEMENT ?"

La question reste posée près de 4 ans  après l'installation par la force et par la France du régime aussi illégitime que liberticide de OUATTARA en Côte d'Ivoire.
                        
Source : ACC-Côte d'Ivoire : Répression de la manifestation du 161213

SITUATION DES PRISONNIERS POLITIQUES DE CÔTE D’IVOIRE 
DEPUIS 2011

Sur la situation des prisonniers politiques en Côte d'Ivoire , nous vous renvoyons sur les liens suivants 
pour des motifs politiques depuis le 11 Avril 2011 (pour des raisons inconnues, cette page a été désactivée et n'est plus disponible)


Hino Rochman prisonnier politique de la MACA.
Témoignage poignant d'Hino Rochman injustement incarcéré à la MACA depuis plus de 30 mois : "Parce qu’on me disait que j’avais des armes et autres. Je ne sais rien. Personne n’a de preuves contre moi. Je ne suis pas combattant : je suis simplement partisan de Laurent Gbagbo. Je reste et je demeure partisan de Laurent Gbagbo." 
Retranscription du témoignage d'Hino Rochman dont vous pouvez retrouver la vidéo sur le lien suivant : 
https://www.facebook.com/video.php?v=1441109129512711
"Bonsoir à vous les frères. Je m’appelle « Hino Rochman ». Je suis né à San Pédro le 13/09/1981 et je suis originaire de Tabou. Je suis partisan de Laurent Gbagbo comme on le dit. J’ai été pris chez moi le 12 juin 2012 à midi et je ne sais pas pourquoi on m’avait arrêté. On me reprochait autre chose que je ne sais plus que je ne reconnaissais pas. J’ai été immédiatement conduit à San Pedro chez le capitaine Bema et le commandant Koné Dramane. A 14h quand je suis arrivé, on m’a demandé si je connaissais une fille du nom de Bénédicte. Automatiquement j’avais su que c’était pour une affaire de femmes qu’on m’avait arrêté. C’est par la suite dans la nuit du 12 au 13 qu’on me demande si je connaissais un gars du nom de « Rasta » le nom que je n’avais jamais entendu. Dans la nuit du 13 au 14, j’ai subi des tortures de Koné Dramane avec un de leurs gars qu’on appelle « Mécano ». Et là-bas à San Pédro, j’ai été castré dans la nuit du 15 au 16. J’ai été conduit sur Abidjan dans la nuit du 18 au 19. Maintenant j’ai perdu connaissance jusqu’à « Irobo ». Vous voyez tout ceci, ce n’est pas, je ne suis pas chirurgien, ni infirmier, ni docteur. C’est juste pour me maintenir. Ca c’est du valium que vous voyez, des seringues, des cathéters, du coton, des perfuseurs. Voilà, c’est comme ça que je vis depuis 30 mois aujourd’hui. J’ai été déporté sur Man. Je rappelle que j’ai été en quelque sorte le seul prisonnier au monde, je dirais au monde, qui fait son transfert lui-même d’une ville à une autre sans même chercher la voie de la maison. Parce que j’ai un seul pays. Je pouvais fuir comme les autres le font, mais je suis digne, je suis Ivoirien. Je dis que je suis malade. Aujourd’hui voilà, je porte une prothèse testiculaire. Voilà le testicule normal ici et voilà l’écorchure que je porte ici. Et ce depuis 30 mois aujourd’hui. Je vous rappelle que j’ai été castré par le capitaine Béma et le Commandant Koné Dramane, le chef de la rébellion. Parce qu’on me disait que j’avais des armes et autres. Je ne sais rien. Personne n’a de preuves contre moi. Je ne suis pas combattant : je suis simplement partisan de Laurent Gbagbo. Je reste et je demeure partisan de Laurent Gbagbo. Je vous rappelle mon nom : je m’appelle Hino Rochman. Je suis arrivé à la MACA ici le 13 7 12ème mois. Donc voilà un peu ce que je voulais vous rappeler. Je souffre. Je ne suis pas le seul; nous sommes plusieurs ici. On ramasse les enfants des gens pour les emmener ici. Vraiment aidez-nous. Aidez-nous. Je ne demande pas de quitter ici mais au moins opérez-moi. Je n’ai pas d’enfant. Je veux en avoir. Je souffre. Vraiment je vous remercie."

Merci à ceux qui risquent leur vie pour nous faire parvenir ces  témoignages des souffrances infligées à nos prisonniers politiques dont la bravoure n'a d'égale que la fidélité aux idéaux de celui qui nous montre le chemin.

Quelques liens qui retracent le calvaire d'Hino ROCHMAN depuis 30 mois :
Le témoignage de Hino Hié : « Ils m’ont torturé au point de me casser un testicule, je souffre et j’ai besoin d’aide »
Enlevé et torturé à San Pedro, puis déporté à Man : Hino Hié Rochman lutte contre la mort, un de ses testicules a été broyé
https://stevebeko.wordpress.com/2013/05/13/les-prisonniers-politiques-de-la-maca-temoignent-inno-rohman-jai-ete-castreils-mont-enleve-les-testicules/Les prisonniers politiques de la Maca témoignent Inno Rohman « J’ai été castre…ils m’ont enlevé les testicules… » mai 13, 2013

Attention !!! Des prisonniers meurent dans leurs cellules sans soins. La régionale Vendredi 15, 08/2014
« Pourquoi le ministère de la justice et des droits de l’homme et de la liberté publique a toujours fermé l’œil sur la souffrance infligée aux prisonniers » ?
Au cours de cette visite, SOPCI a dénombré plusieurs cas de maladies et de meurtre dont les maladies contagieuses de la peau (ZONA) , cas de tuberculose, cas de palpitation de cœur , cas de virus du sida, cas de tension et d’asthme et 14 cas de meurtres, ce constant est alarmant , fort de cela, quelques établissements disposent d’infirmeries mal équipées (manque de lit d’hospitalisation, des gangs, des tensiomètres, des seringues, des pèses poids,…) et sans infirmiers officiant à temps plein, la couverture médicale est insuffisante, manque de dépistage du virus du sida et ensuite pas de suivie pour les infectés et des malades souffrant d’une quelconque maladie.
En somme, des infirmeries n’existent que de manière nominale, sinon elles n’ont rien pour soulager un détenu malade, en cas d’urgence le malade est transféré à l’hôpital de la ville et là-bas le médecin demande la présence d’un membre de sa famille, si ce n’est pas possible, il ne sera pas traité, imaginez la suite.
Une insuffisance de médicaments dans les officines des prisons, le seul médicament servit est le paracétamol et d’ailleurs ce produit est une denrée rare dans les prisons ivoirienne depuis la crise postélectorale.
Face à cette défaillance de l’administration pénitentiaire, les prisonniers sont obligés de mettre à contribution leur famille pour l’achat des médicaments nécessaires à leurs soins, parfois une cotisation est exigée entre les prisonniers pour sauver la vie d’un autre prisonnier agonisant. Chose étonnante, les infirmiers qui sont en service réclament souvent des valeurs pécuniaires qui s’élèvent à 2000 francs CFA pour une simple consultation.
Cet acte n’est-il pas une forme de violation des droits des détenus ? Pourquoi le ministère de la justice et des droits l’homme et de la liberté publique a toujours fermé l’œil sur la souffrance infligée aux prisonniers ?
Notre slogan dit ceci : Pensons aussi aux prisonniers car nous sommes tous des prisonniers en sursis. Au cours de ces tournées, SOPCI a assisté impuissamment à la mort d’un détenu dans sa cellule pour un manque de soins.
ONG SOPCI interpelle les autorités judiciaires de se réveiller et de penser aussi à la situation sanitaire des personnes en détresse qui souffrent dans le s centres de détention.
ONG SOPCI demande au gouvernement d’approvisionner en médicaments les officines des prisons ivoirienne et d’y affecter immédiatement des infirmiers.
ONG SOPCI demande au Président de la République de revoir le budget de fonctionnement alloué aux établissements pénitentiaires.
M.YOHOU ZAHUI HERMAN
Observateur des Droits de l’Homme auprès de l’UA (CADHP)
Président National du SOPCI
GREVE DE LA FAIM DES PRISONNIERS POLITIQUES
"Côte d'Ivoire - ‪#‎Maca : les prisonniers politiques en grève de la faim...
"Tous les prisonniers politiques incarcérés à la maison d’arrêt et de correction d’‪#‎Abidjan (Maca), au moins 300 personnes, observent depuis le lundi 1er septembre dernier une grève de la faim dans ce pénitencier, avons-nous constaté sur place. 
Hier matin (jeudi 4 septembre ndlr) au cours de notre passage, des détenus politiques ont refusé de recevoir de la visite alors que c’était un jour de « communiqué », c’est- à- dire un jour de visite. Cloîtrés dans leurs cellules au bâtiment des assimilés et au bâtiment C (réservé aux criminels), ces détenus se sont abstenus de descendre de leurs immeubles. Selon des sources pénitentiaires, les prisonniers politiques sont incarcérés pour la plupart depuis le renversement du président Laurent‪#‎Gbagbo. « Ils se plaignent des mauvaises conditions de détention et surtout du mépris affiché par les nouveaux dirigeants du pays quant à leur libération ou à tout le moins leur jugement afin qu’ils soient situés sur leur sort. Sinon comment comprendre qu’un homme puisse croupir dans une prison sans être entendu par un juge ni savoir le motif pour lequel il est détenu ?Veut-on le tuer à petit feu sous prétexte qu’il aurait supporté le président #Gbagbo ? C’est absurde ! » s’est offusquée une source qui a requis l’anonymat. Informé de la grève de faim des détenus politiques, le directeur de l’administration pénitentiaire(Dap) a entamé des négociations avec les grévistes lundi dernier pour décanter la situation qui perdure." [Source : ‪#‎Notre Voie N° 4806 du 5/9/2014] via X Jr Malcom 5 septembre, 16:49 










ALERTE ALERTE : GRÈVE DES PRISONNIERS POLITIQUES DE LA MACA: les prisonniers politiques malades font partir des ces grévistes. Ivoiriens, patriotes, panafricains et épris de justice, l'heure est grave... Que devons nous faire pour les sauver de cette situation dramatique? Ne restons pas insensible, ni indifférent, ni dans le silence face à ce qui se passe à la MACA.. Quel est le prix de leur SACRIFICE pour notre LIBERTÉ À TOUS? Combien d'entre eux doivent ils encore mourir pour L'INDEPENDANCE de notre PATRIE pour que chaque ivoirien prenne CONSCIENCE de LEURS CRIS DE SOUFFRANCES ??.. Résistant ivoirien, quel est ton DEVOIR?? OVAJAB Marie Yapo 070914





Tragique décès de Martin ASSEMIAN ce jeune prisonnier politique ivoirien survenu le 15 novembre 2014 à la Maison d'Arrêt et de Correction d'ABIDJAN. Arrêté le 08/10/2012 sur dénonciation calomnieuse à Aboisso, le camarade avait été conduit dans un premier temps dans l’enfer de la DST où il avait été torturé par les hommes de Bakayoko.
Il avait finalement étéplacé sous mandat de dépôt le 15/10/2012 et conduit à la MACA. H
andicapé à la naissance et ne pouvant même pas tenir sur ses jambes, le camarade avait été transferé à Dimbokro le 24/02/2013, puis ramené par la suite à la Maca le 21/07/2014 pour maladie grave . Un an plus tard, Martin était  ramené à la MACA le 21/07/2014 pour cause de maladie sur ordre du juge du 10è cabinet KRA N'DRI. Il s’en va ,laissant dernière lui un pays toujours aux mains du sanguinaire Dramane qui utilise les enfants des gens comme monnaie d’échange dans les discussions avec ses opposants Que la paix revienne vivement au FPI pour qu’on chasse ouattara Dramane du pouvoir. Merci à Ines Dedior Epse Hermes et ombre Noire pour avoir relayé l'information nous permettant de rendre un dernier hommage à notre jeune compagnon de lutte assassiné par le régime barbare de OUATTARA. PAIX A SON AME ET PUISSENT SES PROCHES UN JOUR PARDONNER A SES TORTIONNAIRES POUR QUE LA CÔTE D'IVOIRE REDEVIENNE UN ETAT DE DROIT... MAIS POUR CELA, IL FAUDRAIT D'ABORD QUE L'OCCIDENT ARRÊTE DE SOUTENIR LES DICTATEURS QU'ELLE INSTALLE PAR LA FORCE ET LA FRAUDE AU POUVOIR EN AFRIQUE COMME AILLEURS !!!
BLE KANON SERGE
 « BLE KANON SERGE de nationalité ivoirienne, née le 24/10/1965 à labia (DALOA) père de 5 enfants, détenu à la MACA. Arrêté à Yopougon le 23/09/2011 et déféré le 14/10/2011 pour atteinte à la sûreté de l’Etat. Une ordonnance de non lieu partiel lui a été signifiéeETAT DE SANTÉ: colonne vertébrale touché après torture. » X Jr Malcom 040914




MINH ZAH GEDEON & ZAGRE GRAHOUL TYNO

« MACA : L'opération s'est très bien déroulée a l'infirmerie de la MACA voici les photos de minh zah Gédéon et de zagre grahoul tyno 2 h après l'opération. Merci a tous ceux qui on contribué au succès de cette opération que Dieu vous bénisse tous » Marie Yapo290814 https://www.facebook.com/photo.phpfbid=756788977719973&set=a.430945730304301.99786.100001666321149&type=1&permPage=1


ZAGRE GRAHOUL TYNO

SOS SOS MACA PRISONNIER POLITIQUE: Zagré Grahoul Tyno arrêté le 10 février 2013 à Yopougon place CP1, après 5 jours de tortures à la DST, il est mis sous mandat de dépôt le 15 février 2013 et jeté à la MACA le même jour... Il souffre d'une hernie due aux tortures il doit subir une opération à hauteur de 120 000fCFA. Veillez me contacter inbox SVP» Marie Yapo 150814



AFFAIRE YVES LAMBLIN: 33 HAUTS GRADÉS DE L'ARMÉE IVOIRIENNE SONT DÉTENUS ILLÉGALEMENT EN PRISON PAR DRAMANE 
                 
Gnakry Obou: Guy Mermoz MD: 16-08-2011 PROFESSION: Militaire pompiste à la garde républicaine ( au temps du SEM GBAGBO Laurent). Il a été arrêté le 20-06-2011 au palais présidentiel et conduit au parquet du plateau devant la doyenne des juges du 8e cabinet CISSÉ MAKOUNI. Après cela il a été conduit au camp de la gendarmerie d'Agban. Le 16-08-2011 il a été transféré à la MACA. Apres 3 ans enquête, la Justice n'a trouvé aucune preuve contre lui et l’a déchargé de toute accusation. Mais jusqu'à présent l'injustice de Dramane le détient toujours à la MACA. Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire a partagé le statut deMarie Yapo 280814
https://www.facebook.com/marie.yapo.3/posts/756237994441738

SOS PRISONNIERS POLITIQUES
 
Dans l'enfer des sous sols de #‎Côte D'ivoire Sous la torture du pouvoir d'#‎Alassane#‎Ouattara     X Jr Malcom 280814
« Droits de l’Homme sous OUATTARA : Ils sont 3 frères d'une même mère et d'un unique père. Les frères DAGO. 3 enfants d'un couple en prison depuis bientôt 3 ans sans procès. DAGO WILFRIED (étudiant) DAGO PASCAL CYRILLE (étudiant) et DAGO ANICET ( coiffeur esthéticien). Arrêté le 29/11/2011 à port bouet par les FRCI sous le toit familial, après avoir été indexés par les voisins comme étant une famille active dans la campagne du PR LAURENT GBAGBO. Apres torture et traitement inhumain pendant des jours, ils ont été déféré a la MACA le 02/12/2012. Les prisonniers DAGO WILFRIED, DAGO PASCAL CYRILLE ET DAGO ANICET sont poursuivis pour atteinte a la défense nationale. Depuis JANVIER 2013, il leur a été notifié une ordonnance de NON LIEU-PARTIEL. 19 mois après notification de cet ordonnance, les frères DAGO sont toujours enfermés a la MACA sans jugement.Une pensée spéciale au camarade Thierry Ibo détenu illégalement depuis le 16/08/2011 à la MACA. Hervé Diomandé 040814

SOS PRISONNIERS POLITIQUES

« URGENCE SIGNALÉE!!!! de vie à trépas dans l’enfer de la #‎Maca
Arrêté le 08/10/2012 à ABOISSO sur dénonciation calomnieuse, ASSEMIAN MARTIN a été torturé près d'une semaine durant à la DST avant d'être placé sous mandat de dépôt le 15/10/2012 et déféré à la MACA.
Handicapé à la naissance et ne pouvant même pas tenir sur ses jambes, le camarade avait été déporté à DIMBOKRO le 24/02/2013 après quelque temps passé à la MACA.
Un an plus tard, ASSEMIAN MARTIN est ramené à la MACA le 21/07/2014 pour cause de maladie sur ordre du juge du 10è cabinet KRA N'DRI.
Actuellement le camarade est interné à l'infirmerie de la MACA SANS ASSISTANCE.
https://www.facebook.com/agino75/posts/10152287136253316

BLOG de Alain DOH BI

L'Afrique, Puissance Mondiale 2050. Dénoncer les ennemis du développement de l'Afrique

19/07/2014

Annoncés parmi les 10 détenus politiques libérés, Dja Sery Franck et Theouman Assoumou Jean recalés

MACA : Ouattara continue de souffler le chaud et le froid sur les prisonniers politiques pro-Gbagbo qu’ils martyrisent dans ses goulags depuis la crise postélectorale de 2011.

Selon nos informations, les prisonniers politiques DJA Sery Franck et THEOUMAN Assoumou Jean ont été recalés alors qu’ils étaient sur la liste de 10 détenus politiques proGbagbo devant bénéficier de mise en liberté provisoire depuis la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).
La raison évoquée par les geôliers de la MACA est qu’il y a eu des erreurs sur les numéros de Mandats dépôts des détenus politiques Dja Sery Franck et Theouman Assoumou Jean. Les Mandats dépôts des 2 détenus sont  11-12-2012, mais le 10ème cabinet a inscrit 12-12-2012 sur dans leur dossier de mise en liberté provisoire.
Selon nos sources, les 2 détenus politiques recalés sont placés dans les cellules du Blindé en attendant que ces erreurs soient corrigées.
Nous osons croire que ces erreurs de frappe ne cachent pas un projet obscure contre les 2 détenus politiques recalés qui ont déjà  fait environs 2 ans de prison. Surtout qu'au nom des intérêts farnçais, le Président Français François Hollande a déjà donné carte blanche à Ouattara en fermant les yeux sur les graves violations de droits de l'homme par le régime Ouattara, pour le féliciter, lors de sa visite du 17 juillet 2014. 

N'GUESSAN VICTORIEN 
« Victorien  est un prisonnier politique atteint d'insuffisance rénale depuis plus de 4 jours. Son mal s'aggrave de jour en jour il est cloué au lit. Il n'arrive plus à manger . Les docteurs lui demandent de faire une dialyse par mois mais pas manque de moyen, la maladie prend de l'ampleur. Il nous revient d'agir et plus vite pour éviter la mort se jeune frère. » Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire 23 juin 2014 


SOS Pour Les #‎Prisonniers #‎Politique En #‎Côte D Ivoire

« Monsieur Pascal Affi N'Guessan, que fais- tu pour les prisonniers politiques en Cote d'Ivoire constamment torturés par les FRCI, DOZOS?? Après " ta négociation " avec ce sanguinaire Dramane, à quand leur libération? À quand ta visite dans ces différents camps de tortures ? François Hollande arrive bientôt en Cote d'Ivoire, quel est ton mot d'ordre ? » Marie Yapo 29 juin 2014
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=254362161423829&id=135106846682695

jeudi, 26 juin 2014

AVANT LA VISITE DE FRANÇOIS HOLLANDE À ABIDJAN,VOICI LES 557 PRISONNIERS POLITIQUES DE OUATTARA

Selon des sources diplomatiques, le Président français François Hollande viendra à Abidjan pour une visite officielle le 26 juillet
2014. Pour donner une idée claire et précise de la situation politique en Côte d’Ivoire, des ONG ivoiriennes dévoilent la liste des prisonniers politiques sous le régime d’Alassane Ouattara. Trois ans de pouvoir et 557 prisonniers politiques. une dictature tenace
1 abale Ciriaque
2 abbe Koua Christ modeste
3 abbe monet
4 abe honore


LA LISTE DES DETENUS POLITIQUES EN COTE DIVOIRE
CENSUREE HIER SOIR... PUBLIEE PAR Michel Galy le 23 juin 2014
« SOURCE COLLECTIF DES FEMMES ( EPOUSES, MERES, ENFANTS, SŒURS ET AMIES) DES PRISONNIERS POLITIQUES DE COTE D'IVOIRE 
PAR ORDRE ALPHABETIQUE 
N° NOM ET PRENOMS MOIS DATE DELITS DETENTION CABINET ET JUGE STATUT REGION / DPT ETHNIE 
1 ABALE CYRIAQUE 24/08/2011 ASA 770 JOURS 8ème CABINET COULIBALY Ousman MILITAIRE LAKOTA DIDA 
2 ABBE HONORE 09/05/2012 ASE 377 JOURS 10EME CABINET KONE MAMADOU CIVIL AKOUPE ATTIE,… lire la suite sur :


BLOG de Alain DOH BI

L'Afrique, Puissance Mondiale 2050. Dénoncer les ennemis du développement de l'Afrique

09/06/2014

Vremen Gauthier, DG d’EIDA, piégé et jeté à la MACA: le récit d’une confiscation d’entreprise

Jeune Abron natif de Tanda, M. VREMEN GAUTHIER, DG l'Entreprise Internationale pour le Développement de l'Agriculture en abrégé EIDA, est


IBO THIERRY INNOCENT

« LIBEREZ IBO THIERRY INNCOENT DETENU DEPUIS 3 ANS A LA MACA
Ex membre de la Sécurité Civile de l’ancien Procureur de Yopougon, il est détenu injustement depuis près de 3 ans sans jugement à la MACA 

Arrêté pour dit-on « occupation illégale du palais de justice de Yopougon », ce patriote ivoirien croupit sans procès depuis 3 ANS dans les geôles d’ALASSANE DRAMANE OUATTARA.

Subissant les pires tortures et traitements inhumains ces Ivoiriens se meurent comme des centaines d’autres avec pour unique faute d’être des pro-GBAGBO

LIBEREZ NOS PRISONNIERS POLITIQUES DE COTE D’IVOIRE… 

SOUS GAGBO, IL N’Y AVAIT NI PRISONNIERS POLITIQUES, NI EXILES ! » Nehemie Zeguen Toure 7 juin


BROU DURAND SERGE PACÔME
« ALERTE INFOS !!! ENTRAVE AUX DROITS DE L’HOMME EN CÔTE D’IVOIRE !!!
LARGE DIFFUSION SVP !!! Le Sergent Chef Brou Durand Serge Pacôme anciennement en service au #GSPR et détenu à la #MACA vient d’être enlevé par des hommes en armes pour une destination inconnue. En effet, le sergent chef Brou Durand Serge Pacôme avait été arrêté au Ghana et transféré en Côte d’Ivoire pour atteinte à la sureté de l'état dans l'affaire Lida Kouassi Moise et le colonel Gnontoua Katé. Brou Durand Serge Pacôme est resté en détention pendant 6 mois à la DST avant d’être transféré à la prison militaire de l'Etat Major (une année durant) puis, à la MACA depuis fin 2012. Voici quelques images de lui à la MACA. LARGE DIFFUSION SVP !!! »  Fréjus Koffi.  4 juin 2014

BLOG de Alain DOH BI

L'Afrique, Puissance Mondiale 2050. Dénoncer les ennemis du développement de l'Afrique

04/06/2014

Le détenu Politique Sgt-Chef BROU SERGE PACOME enlevé de la MACA par le GSPR

Incarcéré sous le Mandat Dépôt 20-03-2013, le détenu politique Sergent-Chef BROU SERGE PACOME vient d’être enlevé de sa cellule à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA), ce Mercredi 4 juin 2014 à 10h, par des hommes armés clairement identifiés comme des agents du Groupement de la Sécurité Présidentielle(GRSP).

Selon nos informations, le Sergent-Chef BROU SERGE PACOME, un ex-FDS aux états de service remarquables, a travaillé au GRSP au temps du Président GBAGBO. Les hommes de Ouattara sont reconnus pour leur triste réputation de tortures sur les détenus politiques, surtout quand ceux-ci sont des éléments ex-FDS (Forces de Défense et de Sécurité). Il faut craindre pour l’intégrité physique du Sergent-Chef BROU. Nous prenons donc à témoin, l’opinion nationale et internationale pour cette autre exaction sur les détenus politiques gisant dans les goulags du régime Ouattara.

http://lafriquepuissancemondiale2050.ivoire-blog.com/archive/2014/06/04/le-detenu-politique-sgt-chef-brou-serge-pacome-enleve-de-la-446133.html

MACA D’ABIDJAN, MOUROIR DU REGIME OUATARA

Côte d'Ivoire, la vraie      JEUDI 9 FÉVRIER 2014

A défaut de les égorger, selon le rituel auquel sa milice armée a habitué les Ivoiriens depuis septembre 2002, le régime Ouattara vient-il d’opter pour la mise à mort à petit feu de certains partisans du Président Gbagbo enfermés depuis des mois sans jugement à la MACA (Maison d’arrêt et de Correction d’Abidjan) ?

Les parents des détenus et leurs avocats en son convaincus. Ces prisonniers politiques sont exactement au nombre de quinze (15). Jusqu’ici, ils étaient enfermés au bâtiment A, celui réservé aux détenus ou encore prévenus, c’est-à-dire les prisonniers non encore jugés. Voici leur liste :
1- Angenor Youan Bi
2- Yoboua Kouakou Ghislain
3- Tanoh Kassi Emmanuel
4- Meless Gnagne Firmin
5- Essoh Nomel Honoré
6- Gnagne Agnimel Jean-Baptiste
7- Dago Wilfried
8- Dago Pascal Cyrille
9- Dago Anicet
10- Logbo Guédé Isidore
11- Monsia Désiré
12- Bly Marius
13- Mahilé Jean Marc
14- Dié Kéi Dého Serge Pacôme
15- N’Guessan N’Guessan Venance
Depuis hier, selon nos informateurs, ils ont été déplacés au bâtiment C, celui réservé aux grands criminels, des tueurs et autres braqueurs mais dans lequel sont enfermés les éléments des FDS jugés proches du président Gbagbo.
Mais pis, les quinze pensionnaires transférés auraient été hermétiquement enfermés, privés de lumière et d’eau. Sur les raisons de cette expédition aux enfers, les parents des détenues et les avocats qui nous ont alertés n’ont pu fournir aucune explication. «Tout ce que nous avons appris est que les prisonniers politiques ainsi maltraités sont nombreux et tous des pro- Gbagbo», nous a-t-on déclaré. Plus tard, nous avons appris auprès des sources carcérales que ces «prisonniers maltraités ont été placés dans la cellule 102 du bâtiment C. Là, ces prisonniers ne seraient alimentés ni en eau, ni en électricité. Selon nos sources, «l’ordre de cette mesure de mise à mort à petit feu» serait venu de M. Sinaly, un des responsables de la MACA. Il aurait envoyé un autre détenu, chef de cour, le nommé Gnanzou, pour annoncer aux suppliciés que lui, Sinaly, a décidé «de leur mener la vie dure, jusqu’à ce que mort s’en suive !».
Joint au téléphone, un des responsables de l’administration de la MACA, le commandant de Compagnie, nous a appris que ce transfèrement est «la correction d’une erreur des logeurs de prisonniers à la MACA». Selon lui, depuis leur arrestation, tous ces pro-Gbagbo, même civils, devaient être enfermés au bâtiment des criminels. Mais ceux qui les ont accueillis depuis le mois de novembre pour certains et depuis peu pour d’autre, les ont logés au bâtiment A, celui des détenus.«L’administration de la MACA s’est aperçu de cette erreur et l’a corrigée», a dit le Commandant de Compagnie.
 Mais alors, pourquoi les avoir enfermés dans une cellule, la 102, sans eau et sans électricité ? «Ecoutez, des tâches m’ont maintenu hors de la MACA jusqu’àce soir (18h10, NDRL), mais demain j’irai voir ce qui se passe. Ce que je peux vous dire est que la cellule 102 n’est pas privée d’eau et d’électricité», a tenté de rassurer le Commandant de compagnie.
Alors, plusieurs mois après leur enfermement à la MACA, pourquoi a-ton durci les conditions de détention de personnes, même pro-Gbagbo, qui ne sont pas encore déclarées coupables ?
S’agit-il d’une autre phase de la justice des vainqueurs ?
Affaire à suivre donc. »
César Etou     cesaretou2002@yahoo.fr

YAO KOCRE JEAN

« ALERTE! #MACA: Le détenu Politique YAO KOCRE JEAN, Mandat Dépôt 11-01-2013. 10è cabinet, se meurt. Pathologie: Tuberculose, béri béri » Alain Doh Bi 280614 https://www.facebook.com/photo.php?fbid=.0099120740.-2207520000

OKOU WILFRED ALAIN

« Alerte, alerte ! Un détenu politique du nom de Okou Wilfred Alain est gravement blessé par les rebelles de Ouattara. 5 balles dans son corps. Depuis plus de 3 ans,il est sans soin. Il vomit du sang et il y'a personne pour l'aider ; nous appelons à l'aide a tous nos camarades. » Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire a partagé le statut de Cynthia Ncho 12 mai


LE CALVAIRE DES PRISONNIERS POLITIQUES DE SEGUELA

« Le calvaire des détenus politiques de Séguéla continue dans le silence des organisations de défense des droits de l’homme et de l’ONUCI. Il vivent dans la faim, amaigris et sont livrés à eux-mêmes. Ils n'ont qu'un repas par jour, Le riz ou du Kabato avec une sauce non cuite. Telle est la démocratie de Dramane Ouattara !» Letissia Nguessan II 100514

L'Afrique, Puissance Mondiale 2050. Dénoncer les ennemis du développement de l'Afrique

09/03/2014

Des images des détenus politiques Charles Blé Goudé et Jean Yves Dibopieu publiées sur Internet

ABIDJAN : Ce dimanche 9 mars 2014, des images non-datées de Charles Blé Goudé, Président du COJEP et de Jean Yves Dibopieu ont été publiées sur Internet par des sources anonymes.
Si la porte blindée en fer et les murs crasseux de Direction de la Surveillance du Territoire (DST) sont identifiés par des ex-détenus de ce centre de torture du régime Ouattara, nul n’a cependant pas pu donner une date précise à ces photos des deux (2) détenus politiques proGbagbo. Blé et Dibopieu sont méconnaissables, barbus et les visages tuméfiés, accroissant le sentiment de révolte et de colère de leurs parents, amis et connaissances.
Selon certains internautes, en fuitant les photos des détenus politiques Charles Blé Goudé et Jean yves Dibopieu, le Régime Ouattara veut faire croire à l'opinion nationale et internationale que ces détenus sont en bonne santé, compte tenu des inquiétudes sur l'état de santé de Blé et Dibopieu. D'ailleurs, ils ont Choisi de balancer des photos avec des bananes à côté de détenus avec des culottes très propres et blanches. Alors qu'en vérité, les détenus de la DST ne mangent qu'un seul repas par jour, servi entre 15h et 16h, Pis, ils ne se lavent qu'une seule fois par jour.
Si l’objectif du régime Ouattara, en fuitant ces images, est de taire les rumeurs sur l’état de santé de Blé Goudé et Jean Yves Dibopieu, il s’en prend très mal. Puisse que les images ne sont pas datées. Pis, nul ne sait la situation exacte actuelle de Blé Goudé, supposé être en «résidence surveillée», selon Hamed Bakayoko, Ministre de la sécurité de Ouattara
Pour mémoire, Charles Blé Goudé et Jean Yves Dibopieu totalisent plus de 20mois de détention sans jugement. La CPI maintient sa requête de transfèrement du détenu politique Charles Blé Goudé dont la date butoir est dépassée depuis le 13 janvier 2014. Le régime Ouattara a déjà opposé une fin de non-recevoir à la CPI. Et ce ping-pong juridico-politique entre le régime Ouattara et la CPI continue, faisant dire à certains observateurs qu’il y a une complicité triviale entre le régime dictatorial de Ouattara et la juridiction internationale.

Ouattara refuse de libérer Charles Blé Goudé et les détenus politiques de la crise postélectorale. Il refuse également de les juger. Pis, il refuse de transférer Blé Goudé à la CPI. Que veulent Ouattara et son régime sanguinaire?
Charles Blé Goudé dans une cellule de la DST, Cellule reconnue par des ex-détenus grâce aux écritures sur la porte blindée en fer.
Le détenu politique Jean Yves Dibopieu, dans une cellule de la DST, Cellule reconnue par des ex-détenus grâce aux écritures sur le mur crasseux de la DST.

ZIE SIMPLICE


« ZIE SIMPLICE enlevé, pieds et bras brisés à coups de crosse de Kalachnikov, mains brûlées avec de l’acide par des Dozos et FRCI, après la prétendue attaque de Grabo. ZIE SIMPLICE est l'un des 48 jeunes pro-Gbagbo enlevés, torturés par les Dozos&FRCI et jetés hier à la MACA. »Steve Beko via 050314

NEMLIN GNEPA DOMINIQUE
« ALERTE! ALERTE! NEMLIN GNEPA DOMINIQUE enlevé, mains et pieds ligotés par les Dozos pendant 7 jours. Il a été également brûlé au dos avec de l’acide par des Dozos et FRCI, après la prétendue attaque de Grabo. NEMLIN GNEPA DOMINIQUE menuisier et d’ethnie Kroumen le plus touché des 48 pro-Gbagbo enlevés, torturés par les Dozos et FRCI et jetés hier à la MACA. D’où vient que, selon Koffi Koffi Paul "des assaillants venus du Liberia" mènent une attaque le 23f février 2014 et que ce soit des jeunes pro-Gbagbo de Grabo que des Dozos et FRCI enlèvent pour torturer et jeter à la MACA? » 
https://www.facebook.com/alain.dohbi/posts/539640022815964
TAKROUA YETT ELVIS FLORENT

« ALERTE! ALERTE! TAKROUA YETT ELVIS FLORENT enlevé, frappé à coups de crosse de Kalachnikov sur sa tête, mains brûlées avec de l’acide par des Dozos et FRCI, après la prétendue attaque de Grabo. TAKROUA YETT ELVIS FLORENT est l'un des 48jeunes pro-Gbagbo enlevés, torturés par le dozos et FRCI et jetés hier à la MACA. 
D’où vient que, selon Koffi K. Paul "des assaillants venus du Liberia" mènent une attaque le 23fev2014 et que ce soit des jeunes proGbagbo de Grabo que des Dozos et FRCI enlèvent pour torturer et jeter à la MACA ? » – àYopougonAlain Doh Bi

OUYA HIE VICTOR
« ALERTE! ALERTE! OUYA HIE VICTOR, enlevé, brûlé à de l’acide par les Dozos et FRCI, après la prétendue attaque de Grabo. OUYA HIE VICTOR est l'un des 48jeunes pro-Gbagbo enlevés, torturés par le Dozos et FRCI et jetés hier à la MACA. D’où vient que, selon Koffi K. Paul "des assaillants venus du Liberia" mènent une attaque le 23fev2014 et que ce soit des jeunes pro-Gbagbo de Grabo que des Dozos et FRCI enlèvent pour torturer et jeter à la MACA ? — àYopougon. » Alain Doh Bi 5 mars 2014

BLOG de Alain DOH BI

L'Afrique, Puissance Mondiale 2050. Dénoncer les ennemis du développement de l'Afrique

05/03/2014

Attaque de Grabo: 48 pro-Gbagbo enlevés, torturés par les Dozos et FRCI et jetés à la MACA

GRABO – Deux(2) semaines après la « mystérieuse » attaque de Grabo, la face voilée d’une hideuse opération d’enlèvement, de torture et d’incarcération de planteurs, menuisiers et commerçants perpétrés par les Dozos et FRCI est mise à nu au grand jour, ce mardi 5 mars 2014 à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).

En effet, dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 février 2014, les populations de la ville ivoirienne de Grabo à la frontière Sud-Ouest avec le Liberia, ont été réveillées par des tirs d’armes de guerre.
Le lendemain matin 24février 2014, Koffi Koffi Paul, Ministre délégué à la Défense du régime Ouattara montait au créneau lors d’une conférence de presse, affirmant : "Une vingtaine d’assaillants venus du Liberia sont responsables de l’attaque contre les forces de sécurité ivoiriennes faisant quatre(4) soldats tués dans la nuit de samedi à dimanche à Grabo".
Le lendemain, 25février2014, les autorités libériennes ont apporté un démenti cinglant aux « allégations  mensongères » du Gouvernement ivoirien, par la voie du Ministre libérien de la Défense : "Les autorités Libériennes démentent avec véhémence, les allégations du gouvernement ivoirien accusant des libériens et individus venus du Liberia d’avoir attaqué un poste frontalier au Sud-ouest de la Cote d’Ivoire".
Les jours qui ont suivi, les Dozos appuyés par des FRCI se sont adonnés à une vaste opération d’enlèvement de jeunes pro-Gbagbo dans la localité de Grabo les accusant d’être auteurs de cette attaque, pourtant attribuée la veille à des « assaillants venus du Liberia », à en croire aux dire du Ministre ivoirien délégué à la Défense.
D’où vient que, selon Koffi Koffi Paul  « des assaillants venus du Liberia » mènent une attaque et que ce soit des jeunes pro-Gbagbo de Grabo que des Dozos et FRCI enlèvent pour torturer et jeter à la MACA ?
En fait c’est le schéma habituel des opérations d’enlèvement, de torture et d’incarcération des pro-Gbagbo. Selon des sources dignes de foi, les FRCI ciblent des localités bien déterminées, ils y lancent une auto-attaque et organisent une opération dite de « ratissage » au cours de laquelle ils enlèvent et torturent des jeunes préalablement identifiés comme potentiellement « dangereux ». Le régime Ouattara se chargera par la suite de les incarcérer s’ils ont la chance de survivre à la torture inhumaine.
Pour le cas de mystérieuse l’attaque de Grabo, ce sont 48 proGbagbo dont des planteurs des menuisiers, des commerçants, des chauffeurs et des informaticiens ont été enlevés, torturés et incarcérés respectivement avant-hier et hier à la MACA. Ces détenus ont été inculpés par le 9è et le 10è Cabinet d’Abidjan Plateau pour « atteinte à la défense nationale », le 4 mars 2014 où ils ont été transférés le même jour à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan à 22h. Il s’agit de…

LE DETENU CLARK ANDERSON SE MEURT !
« #SosPourUnDetenuTresMalade

Le détenu Clark Anderson mandat de dépot 21-12-2012 enlevé à San Pedro le 25 octobre 2012 a passé un mois à la DST du commissaire N'gadi Firmin avant d'être écroué à la Maca par le 10ème cabinet du Juge Kone Mamadou.

Clark Anderson pensionnaire du Bat-C souffre d'une douleur atroce du cou causée par les services subies à la fameuse DST et d'un béri béri accentué.


ZAKRA DAKOURI ERNEST

« ALERTE!ALERTE! Le détenu politique ZAKRA DAKOURI ERNEST, Mandat Dépôt 31-12-2013, 10ème Cabinet. Ex-Chauffeur de la 1ère Dame Mme Simone Gbagbo. Pathologie : Infection des pieds. #MACA: 01mars2014. Exigeons que Ouattara libère ce détenu politique pour qu'il se soigne dans un centre spécialisé. Sinon, ZAKRA ERNEST risque de perdre ses pieds. » Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire 1 mars
« ALERTE! ALERTE! MACA : Plus d'une vingtaine de détenus politiques gravement malades se meurent. Le régime Ouattara est cruel. Nous allons publier les photos des détenus malades. 
Sur cette photo: Le détenu politique MADOU THIERRY. Mandat Dépôt 06-08-2013, 10ème Cabinet. Pathologie : Tuberculose, Infection pulmonaire. » 
Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire  1 mars 2014

Liberté provisoire: Les 12 détenus politiques recalés du 7 février2014, pour bilan de santé, croupissent toujours en prison
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ABIDJAN : Ils étaient parmi les 60 détenus politiques ayant reçu des notifications de mise en liberté provisoire le lundi 3 février 2014 du 10è Cabinet dirigé par le juge Kra N’Dri. Mais les 12 ont été recalés parce que, dit-ont, n’ayant pas encore obtenu leur rapport de santé. Plus de 3 semaines après la libération des 48 de leurs codétenus politiques, les 12 autres croupissent encore en prison. Le rapport de santé n’était-il pas un alibi purement politique du régime Ouattara pour maintenir des détenus politiques en prison ? Alors que le Juge en charge du dossier a déjà signé la notification de mise en liberté provisoire. Vous avez dit justice aux ordres?
Par ordre alphabétique, nous vous livrons la liste des douze (12) détenus politiques recalés du 7février 2014, à la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan(MACA) :
1-ACHI AMONKOU SIMON.
2-AMINATA PAHA BELOW PATIENCE
3-ASSO INGOYAUT FRANKLIN.
4-DESSY MBOLO ARISTIDE.
5-EDI NGBESSO EKISSI HERVE CONSTANT.
6-GUEPIE N’DRI KALEB.
7-KOFFI KOUASSI FULGENCE.
8-MONDE WONSEDEO CYPRIEN.
9-TCHIMOU OBO DANIEL
10-THANO HILARION STANISLAS.
11-TIEOUROU BORIS RODRIGUE.
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=225056697687709&id=135106846682695
LA « NOURRITURE » A LA MACA
Transport de nourriture à la Maca Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire 22 février 2014

EFFETS D’ANNONCE ET LIBERATION S ET AU COMPTE-GOUTTE

 « 11 prisonniers sur les 60 dont la libération 
a été annoncée depuis deux jours ont été recalés, car le Médecin de la MACA n'aurait pas encore déposé son rapport. Les autres ont été appelés au greffe. » Patrice Saraka 7 février 2014
« Trois détenus politiques de Seguela viennent d'être libérés : 2 poliviers: Franck Olivier Sagbo (officier) et Fan Derreau Martial (sous officier) et 1 civil :Goho Marcel Désiré. » 
« A LA PLACE DES PRISONNIERS DE LA CRISE POSTE-ÉLECTORALE, SE SONT 50 PRISONNIERS DE DROIT COMMUN QUI ONT ÉTÉ LIBERES EN CE JOUR.... 
SELON AIP LE PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE A DÉCIDE D'ANNULER LA DÉCISION SELON LAQUELLE 60 PRISONNIERS CIVILS ET MILITAIRES, DÉTENUS ABUSIVEMENT DURANT 2 ANS ET DEMI SERAIENT LIBRES...NOUS AVONS UNE PENSÉE POUR CES ÉPOUSES, CES MÈRES, CES ENFANTS QUI ONT VU LEURS JOIES ETRE TRANSFORMEES EN IMMENSE CHAGRIN... NOUS PARTAGEONS LEURS PEINES, MALGRÉ TOUT NE BAISSONS PAS LES BRAS. LA LUTTE CONTINUE...» Collectif des Femmes 6 février 2014

https://www.facebook.com/collectif.desfemmes/posts/213489195511836?fref=nf

NOUVEAU RAID MEURTRIER DES FRCI A LA MACA D’ABIDJAN
Source : dossier concernant les prisonniers politiques ivoiriens du 09 mai publié sur http://indignez-vous.hautetfort.com/media/00/00/4284625072.pdf

« De Alain Doh Bi

Des tirs nourris à l'arme lourde ont éclaté à la Maison d'Arrêt et de Correction d'Abidjan (MACA) dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 février 2014 à 4h du matin jusqu'à l'aube. On enregistre provisoirement 1 mort et des dizaines de blessés parmi les détenus.

Des témoins affirment que l'opération est dirigée par le LT OUATTARA BENJAMIN de la Gendarmerie. Pis, le Régisseur de la MACA, Mr KONE INCLEBAN informé du coup, s'est absenté, précisent les mêmes sources.

Pour rappel, ayant reçu des informations sur les préparatifs de ce nouveau massacre en cours aujourd'hui, nous avions lancé une alerte le 1er février2014 sur Facebook et concomitamment sur Twitter en ces termes: "Depuis 22h hier 31jan2014, un étrange ravitaillement en armes lourdes et munitions des FRCI en poste à la MACA. Tous les Miradors renforcés. Ouattara prépare quelque chose contre les détenus politiques"

Le massacre des détenus politiques par les FRCI, ce 6 février 2014 est la confirmation de cette info que nous avions reçue il y a une semaine. Notre source est catégorique :"il s'agit d'un coup sanglant des FRCI pour mettre fin à la libération provisoire des détenus politiques". Les 60 détenus politiques dont la libération provisoire était programmée ce matin sont contraints de se terrer dans leurs cellules respectives.

Nous prenons la communauté nationale et internationale à témoin. Les détenus tentent de sauver les codétenus atteints par balles. » Steve Beko 6 février, 15:25

« ALERTE ALERTE ALERTE
Depuis 6 heures du matin la MACA est un champ de bataille... CCDO, FRCI, GARDE PÉNITENTIAIRE tirent à l'arme lourde dans le vide....
LA VIE DE NOS PARENTS EST ENCORE EN DANGER... » Collectif des Femmes 6 février

NOUBISSI FABRICE
« Détenu NOUBISSI FABRICE(Mandat dépôt 24-08-2011), citoyen camerounais. Il a reçu un ricochet de balle des FRCI sur sa tête. Etat comateux. NB: le Détenu NOUBISSI FABRICE n'est pas un détenu politique. photo du 6fev2014, offensive des FRCI sur les détenus de la MACA.» Steve Beko 6 février 2014 

GUEHI CYRILLE


« Le détenu politique GUEHI CYRILLE (Mandat Dépôt 21-02-2012) a reçu une balle des FRCI au coup. Il a perdu Bcp de sang. Massacre de détenus politiques MACA, 6fév2014 — à Yopougon. » Alain Doh Bi à Yopougon 



MADOU Thierry
« ABIDJAN - MACA[5fév2014]: Prions pour le détenu politique MADOU THIERRY, Mandat Dépôt 06-08-2013. Il souffre d'atroces douleurs à la poitrine »  à Yopougon. » Alain Doh Bi 5 février 2014


683 personnes sont toujours détenus et les arrestations arbitraires continuent.....

Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire

60 personnes du 10 eme Cabinet ont obtenu une liberté provisoire....

Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire

Le tribunal d’Abidjan a prononcé, lundi, la relaxe de 10 officiers de police poursuivis pour «attentat contre l’autorité de l’Etat, violation de consigne» pendant la crise postélectorale, pour «délit non constitué » a constaté APA, sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Le Contrôleur général, Jean-François Régis Boblae Gossebo (ex-directeur de cabinet adjoint du ministre de l'Intérieur), les Commissaires Philippe Gnépa Kola (ex-préfet de police de Yamoussoukro), César Néglé (ex-directeur de la DST), Traguéré Siegfried, Joachim Robé Gogo (ex- chef de la planification du CECOS), Denis Monnet (ex-membre du GSPR) et Claude Yoro ainsi que les capitaines major Guédé Zagahi et Rémi Kobly, tous deux ex-membres de la garde rapprochée de l'ex-Chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, ont été déclarés « non coupables ».
La décision a été rendue par le tribunal présidé par le magistrat Mahamadou Diallo, qui est par ailleurs, président d'une Chambre de la Cour d'appel. La juridiction a suivi, en cela, le Parquet qui, au terme des débats, avait requis la « relaxe pure et simple » des prévenus.

ETIENNE N’GUESSAN
ETIENNE N'GUESSAN SG de l'UNG
« L’UNG réclame la libération de son SG Etienne N'GUESSAN et de tous les détenus politiques :
L'Union des Nouvelles Générations (UNG), parti du Président Stéphane KIPRE, s'est réuni le Samedi 02 Février 2014 pour plancher sur l'actualité politique nationale. Elle demande en occurrence, la libération de son Secrétaire Général Etienne N'GUESSAN, ainsique de tous les prisonniers politiques (civils et militaires). Pour la direction intérimaire de l'UNG, les libérations au compte-goutte constituent une manoeuvre dilatoire pour maintenir arbitrairement les proches du Président Laurent GBAGBO en détention. Pour l'UNG,la libération très rapide des prisonniers politiques est un gage de confiance qui fera revenir tous les exilés dont le Président Stéphane KIPRE et les autres afin de créer un climat de décrispation sociale véritable. Aussi, l'UNG demmande-t'elle au pouvoir Ouattara d'adresser une note à la Cour Pénale Internationale (CPI) pour exiger l'arrêt des poursuites contre le célèbre prisonnier de la Haye et de le relaxer purement et simplement en vue de favoriser la réconciliation nationale. »  – à YopougonAlain Doh Bi II 3 février 2014

Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire 2 février
Collectif des Femmes : il y'avait 809 détenus et après ces 3 vagues de libération, il reste 737 personnes encore détenues abusivement.

Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire a partagé le statut deAlain Doh Bi.1 février
ALERTE! ALERTE!SEGUELA (592km d'ABIDJAN) : Les 2 détenus Politiques GLEAN WATTO MD 07-01-2013 et BALOU BI TIBÉ ADOLPHE MD 11-01-2013 ont reçu leurs billets de sortie à 17h, ce 31janv2014. Ils sortiront demain samedi 1er fév2014 pour être convoyés à Abidjan, où ils pourront regagner leur famille après plus de 12mois de détention arbitraire. Merci pour votre mobilisation.

Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire a partagé le statut dePatrice Saraka1 février
Les 2 prisonniers libérés de Séguela (BALOU Tibet Adolphe et GLEAN Watto) ont franchi le portail de la MACS (Maison d'Arrêt et de Correction de Séguéla) depuis 21H 30, ce Vendredi 31 Janvier 2014.
Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire a partagé la photo de Alain Doh Bi31 janvier
ALERTE ! ALERTE !
Annoncés libres 31jan2014 selon l’acte de liberté du 10èCabinet, les 2détenus Politiques GLEAN WATTO Mandat Dépôt 07-01-2013(en jaune) et BALOU BI TIBÉ ADOLPHE Mandat Dépôt 11-01-2013(en veste) sont toujours en prison à SEGUELA(592km d’Abidjan). Ne les Oublions pas ! — àSéguela, Côte d'Ivoire

Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire
LISTE DE 32/34 PRISONNIERS PRO-GBAGBO CIVILS ET MILITAIRES (DU 10ème CABINET) LIBÉRÉS LE VENDREDI 31 JANVIER 2014 (PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE)
1. AMALAMA Amour Fidèle
2. ASSIRI Wognin
3. AYÉ Moulo
4. DIOMANDÉ Guédé Sévérin
5. DOUA Zouan Dominique
6. GBAKO N’guessan Raphaël
7. GNAMBA Ossohou Roger
8. GNESSOA Lucien... 
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3 HOMMES JETES A LA MACA LE 29 JANVIER 2014 POUR COUP D’ETAT
Encore 3 hommes accusés d'atteinte à la défense nationale incarcérés à la MACA ce 29 jan2014 à 22h



ABIDJAN - Inculpés pour atteinte à la défense nationale par le Juge Coulibaly Ousmane du 8è Cabinet d’Abidjan plateau, trois (3) hommes ont été jetés à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA)ce mercredi 29 janvier 2013 à 22h, après un séjour dans les cellules de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST). Il s’agit de :



1-AKABLA DALI JEAN, âgé de 67ans, un planteur d’Hévéa, d’ethnie Godié originaire de Sassandra. AKABLA DALI JEAN a été enlevé le 24 janvier 2014 dans la localité de Gnago à Sassandra. Il a été détenu pendant 3 jours à la PJ de San-Pédro et transféré à la DST d’Abidjan où il a séjourné pendant 2 jours avant d’être jeté à la MACA, ce mercredi 29 janvier 2014 par le Juge Coulibaly Ousmane du 8è Cabinet d’Abidjan Plateau qui l’a inculpé pour atteinte à la défense nationale.



2-GLAO GNONSEMAN ABEL, un planteur, d’ethnie Guéré originaire de Bangolo. GLAO GNONSEMAN ABEL a été enlevé le 5 janvier 2014 dans la localité de Gnago à Sassandra. Il a été détenu pendant 4 jours dans un camp FRCI de Sassandra, puis 17 jours à la PJ de San-Pédro et transféré à la DST d’Abidjan où il a séjourné pendant 2 jours avant d’être jeté à la MACA, ce mercredi 29 janvier 2014 par le Juge Coulibaly Ousmane du 8è Cabinet d’Abidjan Plateau qui l’a inculpé pour atteinte à la défense nationale.


3-KOUAKOU KOUAME ANTOINE JUVENAL, Mécanicien. D’ethnie Baoulé originaire de Tiébissou. KOUAKOU KOUAME ANTOINE JUVENAL a été enlevé le 6 janvier à Fresco et détenu pendant 3 jours au camp FRCI de la ville puis 3 jours camp FRCI Sassandra et transféré à la DST d’Abidjan où il a séjourné pendant 2 jours à la DST jours avant d’être jeté à la MACA, ce mercredi 29 janvier 2014 par le Juge Coulibaly Ousmane du 8è Cabinet d’Abidjan Plateau qui l’a inculpé pour atteinte à la défense nationale.


https://www.facebook.com/alain.dohbi/media_set?set=a.522487944531172.1073741953.100003099120740&type=1


FRANCK-HERVE TONNE-BI

« Urgent Urgent : le détenu Franck-Hervé Tonne-Bi arrêté en état de convalescence après une intervention chirurgicale le 19 mai 2013 à Alépé et déféré le 24 du même mois à la MACA après des sévices corporels serait dans un état de sante déplorable. Avec la notification de libération des détenus du 10è cabinet au nombre de 34 ce soir où son nom ne figure pas, nous sommes en mesure de nous inquiéter sur cette volonté de libérer des détenus où on ignore les plus mal en point. »


Le 10eme cabinet vient de libérer 34 personnes dont 1 personne en détention à Séguéla...

YOU BI ANGENOR
Mon grando toujours serein Youan Bi Angenor malgré 2 ans 2 mois 11 jours ce 29 janvier 2014 ans d'emprisonnement. Malgré les phases du procureur vous allez tous sortir et bientôt on se retrouvera. OVAJAB !!!! Ky Cho30 janvier

24 PRISONNIERS POLITIQUES CIVILS ET MILITAIRES DU 8 ème CABINET POURRAIENT ÊTRE MIS EN LIBERTÉ DANS LES 24H, SELON DES SOURCES CRÉDIBLES. AU NOMBRE DE CEUX-CI, DEUX (02) MEMBRES DU COJEP: MARTIAL YAVO (Président de l'ex Comité de Redynamisation et de Remobilisation du COJEP) ET GNAKI ANGUIRANT.

« Côte d’Ivoire 11 hauts gradés de la police devant le Tribunal :
Ils seront 11 hauts responsables de la police nationale à la barre du Tribunal Militaire d’Abidjan. Pour répondre de faits qui leurs sont reprochés. Les raisons de cette comparution à en croire le commissaire du gouvernement, Ange Bernard Kessy Kouamé, sont liées à la crise postélectorale. Ils sont effet poursuivis pour violation de consignes de leur corporation en exerçant ou ordonnant de violentes répressions de manifestants pendant la crise postélectorale. Parce que poursuit le procureur militaire, ces ordres étaient « manifestement illégaux ».Ce procès à la différence des autres qui traitent des affaires militaires se tiendra hors des locaux du TMA et pour la circonstance à la Cour d’appel du Tribunal d’Abidjan au Plateau. La raison étant que lorsqu’un général est impliqué dans une procédure criminelle l’audience est présidée par le premier Président de la Cour d’appel ou un magistrat hors hiérarchie.D’autres procès de responsables de la police sont également annoncés notamment celui du Commissaire Viviane Atsin, première femme commissaire de police de Côte d’Ivoire. Elle est poursuivie par le Tribunal Militaire pour abus de confiance portant sur la somme de 400 millions de Fcfa pendant la crise post-électorale. Un délit pour lequel elle pourrait écoper de 20 années de prison si elle venait à être déclarée coupable. » Par Hermann Yao via Sos Pour Les Prisonniers Politique En Cote D Ivoire  27 janvier

GNAGO GNAKI ANGUIRANT et YAVO MARTIAL du COJEP

« GNAGO GNAKI ANGUIRANT et YAVO MARTIAL du COJEP le poing levé: le message est clair, ils viennent reprendre leur place dans le combat. Plus de 700 innocents croupissent encore dans les geôles de Dramane.» Steve Beko 270114


Cote d’Ivoire : Des femmes de prisonniers politiques manifestent à Abidjan 12/17/2013 - 06:21
Les prisonniers politiques de la crise postélectorale de 2010 à 2011 ont été à l’honneur dans la journée d'hier à Abidjan, grâce à leurs épouses qui ont manifesté pour réclamer au gouvernement d’Abidjan leur libération. Ils sont plus d’une centaine à être détenus dans les prisons ivoiriennes depuis cette crise.
Ces prisonniers, tous des proches de l’ex-président Laurent Gbagbo, seraient maltraités et quelques-uns auraient trouvés la mort à en croire certains journaux ivoiriens et selon les organisatrices de ladite manifestation.
Mme Desirée Douati, Chargée de communication au Collectif des femmes de détenus de la crise postélectorale a dénoncé la « détention arbitraire et abusive» dont sont victimes leurs « parents »…Lire la suite sur : http://www.mboaconnect.com/articles/2013/12/17/cote-d%E2%80%99ivoire-des-femmes-de-prisonniers-politiques-manifestent-%C3%A0-abidjan#ixzz3CZScF96N 
ACC-Côte d'Ivoire
Le cri de détresse d'un peuple sous dictature impérialiste
Le régime ivoirien réprime violemment une manifestation des proches de prisonniers politiques
Posted on décembre 16, 2013
Les manifestants de ce jour à Abidjan
Le régime Ouattara a réprimé dans le sang ce jour à Abidjan, une manifestation pacifique organisée par les familles des prisonniers politiques ... Lire la suite sur :
Source : dossier concernant les prisonniers politiques ivoiriens du 09 mai publié sur http://indignez-vous.hautetfort.com/media/00/00/4284625072.pdf

MACA: la CAMORA, milice proOuattara dirigée par Yacou Chinois lynche les détenus politiques
La Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA)a été une fois de plus sécouée ce mercredi 4 décembre 2013 à 8h25mn par le tristement célèbre Yacou Chinois, à la tête de sa milice armée baptisée "CAMORA".
Selon nos informations, tout a commencé lorsque Yacou Chinois et sa CAMORA ont attaqué le détenu AKMEL AKPESS de nationalité Française, au bâtiment des assimilés. Ils l’ont traîné sur 500m jusqu’au Bâtiment C, où ils l’ont battu encore.
Yacou et sa milice armée ont, ensuite, mis le cap sur d’autres détenus politiques dont ils avaient préalablement dressé les liste. On note plusieurs détenus politiques blessés dont :
2-ZIE SEMENE ALAN (Sgt de Police, poignardé qui a perdu beaucoup de sang)
3-
KALOU BI GOLY ALEXANDRE
4-
TOHAHI TOHOUA ANGE HENRI (Mandat dépôt 18-11-2011)

La Côte d’Ivoire compte, à ce jour, 747 détenus politiques dans les goulags du régime Ouattara dont 447 sont incarcérés à la MACA.


Violation des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, Séraphin Djaki Koudou: ‘‘Le régime Ouattara torture : j’en suis la preuve vivante !’’

09 juillet 2012


Le Nouveau Courrier du 09 juillet 2012 le témoignage particulièrement poignant et les photos de Séraphin Djaki Koudou, qui ose parler à visage découvert. Et raconte les méthodes de torture particulièrement violentes du régime Ouattara qui datent de son avènement, en avril 2011.



Séraphin Koudou torturé avec du plastique fondu

Cela fait plusieurs semaines qu’une partie de la presse ivoirienne tente d’alerter l’opinion nationale et internationale sur une affreuse réalité du régime Ouattara que les associations de défense des droits de l’Homme refusent de voir : la torture, qui se pratique aujourd’hui à un rythme industriel, et qui est devenue un élément de domestication mentale de tout un pays. Face aux dénégations de la presse du régime, qui fait cyniquement passer les témoignages concordants sur le caractère massif et préoccupant de ces pratiques pour des «films d’horreur» fabriqués par le FPI, Le Nouveau Courrier rend public aujourd’hui un témoignage d’une importance capitale.


Premièrement, parce qu’il permet de faire un lien entre la manière violente par laquelle Alassane Ouattara a pris le pouvoir et sa pratique quotidienne de ce pouvoir-là. Deuxièmement, parce que la victime qui se confie à nous a réussi à «sauver» des photographies qui ne laissent pas la place au doute sur la gravité des sévices subis. Troisièmement, parce que l’histoire de Séraphin Djaki Koudou, qui prend le risque de témoigner à visage découvert, montre également le comportement pour le moins étrange des organisations internationales, plus soucieuses de protéger le régime Ouattara que d’exercer leur mandat de manière impartiale.

Au départ, une dénonciation fallacieuse et la trahison d’un voisin de quartier…

La mésaventure de Séraphin, actif sur le plan social – il a présidé un mouvement des «déguerpis» – et sur le plan politique – il a participé à la campagne électorale du président Laurent Gbagbo sans être le moins du monde impliqué dans la guerre post-électorale – commence le 28 avril 2011. Il se trouve alors vers le «terminus» de la Riviera 2, pas loin de la Résidence d’Alpha Blondy, où il attend un de ses amis qui doit l’y rejoindre. Il est assis non loin d’une cabine téléphonique gérée par un jeune homme auprès duquel il a ses habitudes. Tout à coup, un véhicule 4X4 passe. Puis un deuxième où se trouve quelqu’un qui le désigne du doigt.

Puis un troisième, qui dépasse le deuxième. Deux voitures s’arrêtent. «Tu me connais non? Tu me connais non ?», éructe celui qui le désignait du doigt de l’intérieur d’un des véhicules, et qui en est sorti. «Tu me connais à Abobo, non?», précise l’accusateur. Séraphin organise sa défense, en notant qu’il vit à la Riviera 2 depuis longtemps et qu’il n’est donc pas d’Abobo. Mais il se souvient bien de celui qui lui fait face. Séraphin vivait à la cité universitaire d’Abobo 1 quand il était étudiant. C’est à Abobo qu’il a battu campagne pour le candidat Laurent Gbagbo, aux côtés de la Première Dame Simone Ehivet Gbagbo. Et il a eu maille à partir avec des éléments fanatisés du camp Ouattara, bien décidés à créer un climat de terreur dans les quartiers où ils étaient majoritaires, pour dissuader les électeurs de Gbagbo de s’aventurer dans les bureaux de vote.

Le 28 avril 2011, c’est un de ces jeunes du RDR bien décidés à empêcher par tous les moyens les sympathisants LMP de voter qui se retrouve face à lui… à la Riviera 2. Et qui l’accuse d’avoir «tué des gens» à Abobo «avec Simone Gbagbo». Des accusations aussi vagues que fantaisistes auxquelles le gérant de cabine du quartier, que Séraphin considère comme son ami et dont il est un client fidèle, donne du crédit. «Sans qu’on ne lui demande rien, il a menti en disant qu’on ne me connaissait pas dans mon propre quartier. Comme pour accréditer la thèse selon laquelle je vivais à Abobo. Il a dit que c’est la première fois que je le vois, alors que tous les matins quand j’allais au travail, il me faisait des transferts de crédit. Certaines fois, quand j’étais loin du quartier, je l’appelais, il me faisait des transferts, et je payais à mon retour», se souvient Séraphin. «Beaucoup d’habitants du quartier sortaient la tête de leurs maisons et observaient ce qui se passait. Ce qui a dérangé la patrouille qui m’avait interpellé. J’ai été embarqué dans un des véhicules.»

«Hé, les gars, il s’appelle Koudou hein…»

Le véhicule prend le chemin d’Abobo. «En chemin, mon dénonciateur prétend que j’ai tué ses soeurs et que j’ai volé leurs portables. Je fais remarquer qu’il est étrange que quelqu’un dont les soeurs ont été tuées mette leurs morts sur le même plan qu’une affaire de téléphones mobiles, et j’explique que ce qu’il raconte n’est pas crédible. Parmi les membres de l’équipée qui me séquestre, je connais deux personnes. Un jeune Nigérian nommé Venance, qui est un des syndicalistes qui font payer des jetons aux chauffeurs des gares de wôrô-wôrô et de gbakas. Il y a là également un ancien loubard du PDCI, surnommé YulBrynner et dont le groupe de voyous s’appelait Gestapo.

A un moment donné, je pense pouvoir m’en sortir. Quand on arrive à la station Petro-Ivoire d’Angré, mes geôliers s’apprêtent à me libérer au point de me faire descendre du véhicule. Mais l’un des leurs voit que j’ai un paquet de cigarettes. Il me demande une cigarette. Quand je sors le paquet pour la lui donner, il voit que j’ai un billet de 10 000 FCFA. Les gars me fouillent, et prennent tout mon argent. 86 000 FCFA. Ils tombent sur mon portefeuille, dans lequel se trouve ma carte électorale. Sur laquelle mon nom est inscrit. «Hé le gars-là s’appelle Koudou hein! C’est un gars de Gbagbo», dit l’un d’entre eux, ce qui excite tout le monde. A cause de mon patronyme, on me remet dans le véhicule. Je continue la route vers Abobo. Nous arrivons dans un secteur du quartier Habitat qui s’appelle SOS.»

«Une cour qui empeste la mort, comme si on y avait entassé de la viande pourrie»

Ici le dos méconnaissable de Séraphin Koudou torturé avec du plastique fondu. L’équipée arrive dans une résidence qui a été transformée en «base» FRCI. «On me fait asseoir. On me pose des questions banales. Je m’évertue à m’expliquer sur mon innocence. Mais je me rends compte que personne n’écoute ce que j’ai à dire. Je parle à quelqu’un, mais je n’ai même pas encore fini qu’il s’en va. Un véhicule arrive. C’est celui du chef «militaire» qui dirige cette base. Il demande des explications sur mon identité. Ses hommes disent que je suis un milicien de Gbagbo et qu’ils vont «m’accompagner», c’est-à-dire m’exécuter. Le chef se met à rire, l’air de rien, comme si c’était une pratique routinière. On m’amène à Abobo-Derrière-Rails, dans une grande cour fermée. Une cour qui empeste la mort, comme si l’on avait entassé de la viande pourrie là-bas. C’est là que la torture a commencé. Ils m’ont tabassé, tabassé, tabassé. J’étais couché sur le gravier.


Ils organisaient des concours. Qui peut se tenir en équilibre en se mettant debout au-dessus de ma tête le plus longtemps avec des Rangers au pied ? Ce qui va me sauver, c’est que leur chef arrive. Et m’adresse la parole : «C’est toi le milicien-là?» Je réponds mais personne n’écoute. Ils rient entre eux. Et à un moment donné, comme par miracle, le chef m’écoute un peu plus. J’essaie de me faire le plus convaincant possible. J’admets que j’ai voté Gbagbo. Je dis même que si on refait l’élection, je vais voter Gbagbo. Mais je dis que je suis loin de toute violence post-électorale. Il rappelle le chef de ceux qui m’ont arrêté. Et il le rabroue.»


«Mes bourreaux enflammaient des pieds de chaise en plastique sur mon dos… mes ongles ont été arrachés un à un»

Séraphin croit son martyre terminé. Mais l’équipe qui l’a pris à la Riviera 2 le ramène dans la villa du quartier SOS. «De 23 heures à 4 heures du matin, j’ai été tabassé, torturé au-delà de ce que l’on peut imaginer. Mes bourreaux enflammaient des pieds de chaises en plastique pour me brûler le dos, qu’ils frottent à l’aide d’un bâton. Les ongles de mes orteils ont été arrachés un à un. Pourquoi tout ça? Pour me faire avouer, devant leur magnétophone, que j’ai été formé par le colonel Boniface Konan, qui nous donnait soi-disant 5 000 FCFA par jour, etc.

J’ai une entaille sur la tête qui a «fait» cinq points de suture. Quand le chef arrive, les gars lui expliquent que j’ai avoué que j’étais un élément de Konan. Le chef en question demande qu’on aille me chercher. Mes tortionnaires m’ont au préalable nettoyé de mon sang. Quand le chef a fini de me harceler de questions, j’ôte la casquette qu’ils ont mis sur ma tête, et je montre mes orteils écorchés. Et je lui demande si c’est dans cet état qu’il m’a laissé la veille. Le chef semble convaincu par mon argumentaire», raconte Séraphin. En tout cas, il ne veut plus laisser le jeune homme à ses éléments, qui continuent de faire courir le bruit selon lequel leur supérieur hiérarchique veut empêcher la liquidation physique d’un «milicien».

«A l’hôtel du Golf, un féticheur habillé en dozo orchestre un rituel macabre»

A bord de la même voiture que «le chef», Séraphin se retrouve à l’hôtel du Golf où son drôle de protecteur a une réunion. Le «chef» le confie à un élément qui se trouve sur les lieux. «Le gars qui est là, garde le pour moi!» Séraphin est conduit dans un lieu d’incarcération pour «pro-Gbagbo» de l’hôtel du Golf. «Dans cette salle où il y avait environ trente personnes, j’ai trouvé des jeunes qui, s’ils sont encore en vie, c’est qu’ils sont devenus fous. Tu vois quelqu’un qui reste prostré, dans la même position, pendant de longues heures. Et qui ne sort de son silence que pour tenir des propos incohérents. Des phrases comme «tout le monde à gauche, tout le monde à droite» répétées machinalement. Un événement va me frapper là-bas à l’hôtel du Golf.

Un gars dit qu’il a soif. Il y a un cadavre qui flotte dans de l’eau stagnante. Et on puise «l’eau du corps» et on le lui donne. C’est un féticheur habillé en dozo qui orchestre ce rituel macabre. Il y a aussi quelque chose qu’un certain F. m’a expliqué. Je ne l’ai pas vécu, mais c’est crédible. Selon ce qu’il m’a expliqué, les gens du Golf ont exigé des jeunes arrêtés et retenus à l’hôtel du Golf de faire des témoignages fabriqués pour accabler Gbagbo et ses hommes. Et ce simulacre était organisé par Guillaume Soro lui-même qui leur indiquait les questions qui allaient être posées et les réponses qu’ils devaient donner. La promesse était claire : après leurs déclarations arrangées, ils seraient libérés. Des caméras sont venues filmer leurs faux aveux. Quand ils se trompaient dans leurs pseudo-témoignages, les cameramen – des Blancs, notamment – arrêtaient de filmer pour qu’ils fassent des corrections. Comme s’il y avait une sorte de complicité entre les cameramen et les gens du Golf.»






A la recherche d’hypothétiques caches d’armes à la Cité universitaire de la Riviera 2


Séraphin quitte le Golf en compagnie du «chef» d’Abobo qui est devenu, d’une certaine manière, son protecteur. Motif officiel invoqué devant les dizaines de miliciens des FRCI qui ne comprennent pas pourquoi on ne le tue pas: il doit être le guide permettant de retrouver de prétendues caches d’armes à la Cité universitaire de la Riviera 2. «Je lui avais pourtant tout expliqué, et là il venait me parler de choses dont nous n’avions jamais parlé et dont je n’avais aucune connaissance. Comme pour lui mettre la pression, les éléments qui m’avaient torturé à Abobo sont venus pour voir ce qui adviendrait de moi», explique Séraphin.

Au final, le jeune homme est conduit à la Cité universitaire de la Riviera 2 à la recherche d’hypothétiques caches d’armes. Bien entendu, il n’a aucune idée d’où peuvent se trouver des armes. La Cité est par ailleurs entièrement occupée par des éléments armés des FRCI, qui ont les moyens de la tourner et de la retourner dans tous les sens. Une fois de plus, il est torturé jusqu’à arriver au bord de l’évanouissement. Alors que «le chef» revient auprès de lui et que ses tortionnaires commencent à se désintéresser de son cas, Séraphin réunit ses dernières forces, entre dans un bâtiment de la Cité universitaire, passe par une fenêtre et réussit à s’enfuir. Il va se réfugier dans un célèbre maquis appelé «F14», puis se cache pendant plusieurs mois à Bingerville. Au moment opportun, il quitte clandestinement la Côte d’Ivoire. Direction le Ghana, puis le Togo.

Au Togo, l’étrange comportement d’une fonctionnaire du HCR

«Quand le responsable des réfugiés ivoiriens au Togo a vu mon état, il a pris mes photos, et il a réussi à me faire obtenir un document de réfugié très rapidement. Mais une chose m’a frappé. Une certaine Nathalie, de nationalité togolaise, chargée de la protection au Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), m’a donné rendez-vous dans son bureau. La première chose qu’elle m’a demandé lors de ce rendez-vous, ce sont les photos témoignant des tortures que j’ai subies. Trois ou quatre photos. Des photos où on voit mon visage tuméfié, mon dos écorché et mes ongles de les orteils arrachés. Elle me dit qu’elle va les garder, parce que quand je les ai, elles me traumatisent. Je refuse. Mais elle insiste. Elle dit qu’elle veut joindre ces photos à mon dossier. Je proteste en disant que ces photos avaient déjà été scannées pour être mises dans mon dossier. Elle continue d’insister.


Je les lui prête. Deux semaines plus tard, je commence à vouloir les récupérer. Je n’arrive pas à la voir quand je vais à son bureau. Elle me fait marcher, me donne des rendezvous à plusieurs endroits. Et chaque fois que j’arrive, elle n’est jamais là. La seule fois où je réussis à la voir, c’est un jour où j’ai rendezvous avec quelqu’un d’autre et où je tombe par hasard sur elle. Elle affirme qu’elle ne sait plus où elle a mis mes photos, et feint de les chercher dans son bureau. Je comprends son jeu. Heureusement que la personne qui les avait prises après mes mésaventures avait gardé certaines d’entre elles dans son appareil photo. Il me les a envoyées par courrier électronique. C’est de cette manière-là que je les ai sauvées», explique Séraphin. Qui a désormais fui le Togo, en raison de la collusion entre les régimes Gnassingbé et Ouattara, qui inquiètent les réfugiés. Quand s’achèvera donc sa fuite éperdue? Quand pourra-t-il rejoindre un Etat de droit, où les nervis du régime ivoirien ne pourront pas lui faire la peau, le faire taire à jamais ? «Si je suis vivant, c’est vraiment que Dieu l’a voulu. Je Lui fais confiance», répète inlassablement Séraphin.

Propos recueillis par Théophile Kouamouo


Source: Le Nouveau Courrier


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