mardi 1 décembre 2015

248 jours avant ! Jeune Afrique avait annoncé les résultats le 26 mars 2015 "Le prochain président burkinabè, pour l’Élysée, ce sera Kaboré !"


par Yanick Toutain
REVACTU
1/12/2015

On n'avait pas vu Thomas Sankara annoncer 6 mois à l'avance l'élection de Mitterrand du 8 mai 1988.
Thomas Sankara non seulement ne se mèlait pas de faire des pronostics sur les élections françaises et encore moins d'annoncer la victoire de son candidat favori.
De toute façon, 6 mois avant la ré-élection de Mitterrand, Thomas Sankara était mort.
Il a été tué 206 jours avant que Mitterrand, un de ses assassins ne soit à nouveau désigné par les Français.

248 JOURS AVANT L'ELECTION DE RMC KABORE JEUNE AFRIQUE ANNONCE SA VICTOIRE

Jeune Afrique a fait mieux encore !
Le 26 mars 2015, plus de 6 mois avant les élections illégales du 29 novembre, Jeune Afrique est en mesure de désigner le vainqueur.
Et encore, avec l'information provenant du QG fasciste de la Franceàfric
Les vrais sankaristes qui savent que ces élections sont illégales et que les institutions CDR CNR TPR ont été assassinées pendant ce 3° putsch électoral du 29 novembre 2015 regarderont avec intérêt les réactions de la formoisie compradore confrontée à sa duplicité !
De toute façon le peuple - malgré les djihadistes que Benoit Puga et Hollande vont envoyer attaquer le Burkina Faso avec les 20 millions de Ansardine et les 58 millions de dollars à AQMI - va prochainement construire les VRAIES institutions du Burkina Faso !

ARTICLE DU 26 MARS 2015 DE JEUNE AFRIQUE

Le prochain président burkinabè, pour l’Élysée, ce sera Kaboré !



Par Jeune Afrique
La présidence française (notamment les conseillers chargés de l'Afrique) est convaincue que le chef de l'État burkinabè élu à l'issue du scrutin du mois d'octobre ne saurait être que Roch Marc Christian Kaboré. Une assurance "théorique" qui se heurte, comme souvent, à la réalité du terrain.



Parmi les candidats déclarés, l’Élysée semble bizarrement ne tenir aucun compte de Zéphirin Diabré, pourtant moins marqué que Kaboré par une longue proximité avec Blaise Compaoré et qui est parvenu à s’imposer comme le chef de file de l’opposition moins de trois ans après son retour au pays, et pas davantage de Djibrill Bassolé, le dernier ministre des Affaires étrangères de "Blaise", qui a pourtant le vent en poupe et dispose d’un exceptionnel carnet d’adresses africain.
Quid du rôle que Compaoré lui-même pourrait être appelé à jouer ? Le président déchu, qui a conservé quelques moyens, ne devrait pas ménager ses efforts pour barrer la route à ceux qu’il estime responsables de sa chute : Kaboré et, surtout, son "allié" Salif Diallo.
Enfin, les spécialistes de l’Élysée sous-estiment le fait qu’il s’agit d’un scrutin à deux tours très propice aux calculs, tractations et alliances parfois improbables. Le vainqueur du premier tour n’est nullement assuré de s’installer au palais de Kosyam à l’issue du second !
Précision : Cet article a suscité des réactions à l’Élysée. Retrouvez-les ici.


LES REACTIONS DES HYPOCRITES FASCISTES DE L'ELYSEE
ILS EXIGENT UN AUTRE ARTICLE
JEUNE AFRIQUE OBEIT ET DONC



Pour l’Élysée, ce sera Kaboré… ou un autre


Par Jeune Afrique
Dans la course à la présidentielle burkinabè, les jeux sont ouverts.
L’un de nos précédents articleslaissant entendre que les conseillers Afrique de François Hollande avaient un net penchant pour le candidat Roch Marc Christian Kaboré – au point d’être quasi convaincus de son élection à la présidentielle d’octobre prochain – a suscité des réactions tant à Ouagadougou qu’à… l’Élysée, où l’on estime que les analyses maison ont été mal comprises.
Paris juge en effet que le jeu est encore ouvert ; que l’électorat de Kaboré et de Zéphirin Diabré, qui disposent l’un et l’autre d’appareils politiques structurés, peut évoluer ; que les proches de Blaise Compaoré comme Djibrill Bassolé auront un rôle d’outsider ; et qu’in fine "la campagne fera bouger les lignes". Surtout, l’Élysée entend



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