lundi 7 mars 2016

Sam l'Africain dit la vérité maintenant : Il n'a plus peur que le procureur CPI l'envoie se faire torturer comme le syndicaliste Mahan Gahé par les miliciens de Soro à la prison de Boundiali, dans l'extrême nord, en pleine zone des milices psychopathes téléguidées par Compaoré et la DGSE terroriste




par Yanick Toutain
REVACTU
7/3/2016






Les interrogatoires de la Pergola sont NULS et NON AVENUS
Toute utilisation demain par le procureur Macdonald de ceux-ci
sera l'objet de poursuite pour COMPLICITE
 avec les SEQUESTREURS DE LA PERGOLA



MARDI 8 MARS 2016



Voici les terroristes à qui la CPI menaçait Sam l'Africain d'être livré en cas de non coopération :



Sam l'Africain accuse - à juste titre - le procureur de le harceler sans jamais poser la question de savoir qui étaient ces REBELLES (les terroristes de Compaoré téléguidés par la DGSE, par les terroristes Villepin, Barnier et Alliot-Marie.

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Sam l'Africain accuse le procureur de ne rien vouloir savoir de ces professeurs persécutés par les psychopathes de Soro.
Sam l'Africain, devenu "témoin hostile" est menacé par le procureur - devenu à moitié fou - d'être mis en face de ses contradictions;...... ses "aveux" donnés à la CPI à la PERGOLA .


La PERGOLA QU'EST-CE QUE C'EST ???



Duplicité ou sincère ignorance : ils étaient nombreux les séquestreurs du président Gbagbo à montrer sur leur visage ébahi qu'ils ne connaissaient pas le sens du mot Pergola.
Ignorance ? Possible car ces gens - et les avocats mous - sont payés des fortunes pour un "travail" visiblement bâclé de toutes parts.
Duplicité ? Possible pour certain car... ce qu'était la Pergola est une tâche d'infamie (supplémentaire) sur la réputation de cette CPI tribunal des terroristes.
Pergola ? Une prison illégale. Ou plutôt un lieu de séquestration délinquante de l'ONU fasciste en Côte d'Ivoire

L'ONU ORGANISATEUR DE PRISON ILLEGALE

Les faibles protestations d'Amnesty International face un groupe de terroristes ONU LICORNE et Forces Nouvelles FRCI envoyés par Chirac Villepin Barnier Alliot-Marie et Sarkozy sonnent comme une condamnation impitoyable quand, 5 ans plus tard, les aveux extorqués à Sam l'Africain apparaissent comme des aveux organisés par des terroristes avec une séquestration dans une prison illégale.
Les avocats de Gbagbo et Blé Goudé auraient du demander la destruction pure et simple de ces prétendus aveux.
Lisez :
Côte d'Ivoire. Des dizaines de partisans de Laurent Gbagbo en détention sans inculpationLes autorités ivoiriennes ont placé en détention au moins 50 personnes – dont plusieurs politiciens ivoiriens en vue – sans les avoir inculpées, à la suite de l'arrestation de l'ancien président Laurent Gbagbo il y a deux mois, a appris Amnesty International.
Les autorités ivoiriennes ont placé en détention au moins 50 personnes – dont plusieurs politiciens ivoiriens en vue – sans les avoir inculpées, à la suite de l'arrestation de l'ancien président Laurent Gbagbo il y a deux mois, a appris Amnesty International.
Au moins 21 partisans de Laurent Gbagbo, parmi lesquels l'ancien Premier ministre et l'ancien ministre des Affaires étrangères, sont détenus à l'hôtel Pergola à Abidjan, la capitale économique.
Plusieurs autres - dont Laurent Gbagbo, son épouse, Simone Gbagbo, et Pascal Affi N'guessan, le président du parti de l'ancien président, le Front populaire ivoirien - sont incarcérés dans le nord du pays.
« On ne peut pas dire que ce soit un début très prometteur pour la présidence d'Alassane Ouattara », a déclaré Véronique Aubert, directrice adjointe du programme Afrique d'Amnesty International. 

AMNESTY A DEMI COMPLICE DES TERRORISTES
LEUR DEMANDAIT DE FAIRE DES EFFORTS

Le maintien de personnes en détention sans inculpation est une violation directe des normes internationales en matière de droits humains. Les autorités ivoiriennes doivent inculper dans les meilleurs délais l'ensemble des détenus d'une infraction prévue par la loi ou bien les libérer immédiatement. »
Violences en détention
Amnesty International est préoccupée à l'idée que plusieurs personnes incarcérées à l'hôtel Pergola et peut-être dans d'autres endroits soient privées de liberté simplement en raison de leurs opinions politiques, réelles ou perçues, auquel cas elle les considèrerait comme des prisonniers d'opinion. 


AU LIEU DE DENONCER UN POUVOIR FASCISTE ILLEGAL,
 AMNESTY NEGOCIAIT



L'organisation s'inquiète particulièrement du sort réservé à 23 policiers et militaires, détenus dans la ville Korhogo (nord du pays) dans des conditions susceptibles de mettre leur vie en danger.
Une délégation d'Amnesty International a récemment rendu visite aux détenus à l'hôtel Pergola, mais n'a pas été autorisée à se rendre auprès des personnes incarcérées dans les villes de Korhogo, Bouna and Odienné, dans le nord du pays, parmi lesquelles figurent Laurent Gbagbo et son épouse. 

LES SOLDATS FRANCAIS ET ONU COMPLICES
DES PSYCHOPATHES DE SORO

Plusieurs des personnes retenues à l'hôtel ont été frappées par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire, loyales au président Alassane Ouattara, au moment de leur arrestation, et les coups reçus par au moins une d'entre elles ont été suffisamment violents pour lui faire perdre connaissance. Des soldats français et de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) étaient présents lors de l'arrestation de ces personnes et de leur transfert dans l'hôtel mais ne sont pas intervenus pour empêcher ces mauvais traitements.
« L'ensemble des détenus – en particulier ceux se trouvant à Korhogo – doivent bénéficier de l'attention médicale et des soins dont ils ont besoin », a poursuivi Véronique Aubert.
 

LA PERGOLA , PRISON ILLEGALE ETAIT UN LIEU D'INTERROGATOIRE DE LA CPI

Présence de l'ONUCI autour de l'hôtel Pergola
Plusieurs des personnes maintenues en détention à l'hôtel Pergola s'y sont rendues de leur propre chef, pensant qu'elles seraient mises à l'abri des violences et des actions de représailles dont Abidjan est devenue le théâtre au cours des jours ayant suivi l'arrestation de Laurent Gbagbo. Les membres de ce groupe n'ont pas été informés du fait qu'ils seraient placés en détention.
Si les forces ivoiriennes sont chargées des opérations de sécurité dans l'enceinte de l'hôtel Pergola, des soldats de l'ONUCI sont également postés aux alentours de l'hôtel afin d'assurer la sécurité le long du périmètre externe du bâtiment. Cela signifie qu'ils exercent un certain contrôle sur l'identité des personnes autorisées à pénétrer dans l'hôtel.


"QUESTIONS DERANGEANTES" POUR VERONIQUE AUBERT



« La présence de soldats de l'ONU dans l'hôtel où les partisans présumés de Laurent Gbagbo font l'objet d'une détention arbitraire soulève des questions dérangeantes », a ajouté Véronique Aubert.
« Les responsables de l'ONUCI doivent veiller à ce que les soldats et policiers des Nations unies soient uniquement impliqués dans des détentions conformes aux normes internationales en matière de droits humains. Le personnel de l'ONU ne doit pas aider à assurer la sécurité dans des endroits où des personnes sont soumises à une détention arbitraire. »
PRE01/307/2011
22 juin 2011


Les interrogatoires de la Pergola sont NULS et NON AVENUS
Toute utilisation demain par le procureur Macdonald seront l'objet de poursuite pour COMPLICITE avec les SEQUESTREURS DE LA PERGOLA



Côte d’Ivoire: transfèrement de 24 personnalités pro-Gbagbo de la Pergola à une prison du Nord

  
Jeune Afrique le 10/7/2011 - Exclusif. Après leur mise en examen par la justice ivoirienne, 24 proches de Laurent Gbagbo ont été transférés le 9 juillet à la prison
Le gouvernement Gbagbo au grand complet.
Jeune Afrique le 10/7/2011 - Exclusif. Après leur mise en examen par la justice ivoirienne, 24 proches de Laurent Gbagbo ont été transférés le 9 juillet à la prison
civile de Boundiali, dans l’extrême nord de la Côte d’Ivoire. Parmi eux, l’ex-Premier ministre Gilbert Marie Aké N’Gbo et les anciens ministres Alcide Djédjé, Désiré Dallo, Christine Adjobi, Danielle Boni Claverie, mais aussi l’ancien gouverneur de la BCEAO, Philippe Henri Dacoury-Tabley, qui sont placés en détention préventive et accusés de détournements de fonds publics, d’atteinte à la sûreté de l’État et de crimes de sang.
La justice ivoirienne poursuit son offensive contre les dirigeants de l’ancien régime. Assignés en résidence surveillée à l’hôtel La nouvelle pergola d’Abidjan depuis la chute de Laurent Gbagbo, le 11 avril dernier, 24 proches de l’ancien président ont quitté cet établissement trois étoiles le 9 juillet. Ils ont passé leur première nuit dans une vraie prison, avec des barreaux aux fenêtres, dans le nord de la Côte d’Ivoire.
« L’assignation en résidence surveillée est une mesure administrative prise par le président de la République. Elle n’était pas liée à une procédure judiciaire. Après avoir été inculpées, ces personnalités ont été placées en détention préventive, une mesure qui ne s’exécute pas dans un hôtel. Ces anciens dirigeants n’avaient donc plus le droit de rester à la Pergola. Ils ont donc été transférés depuis hier (9 juillet) à la prison civile de Boundiali », a confié à jeuneafrique.com Jeannot Ahoussou, ministre d’État et ministre de la Justice.
Pas de prison dans le sud de la Côte d’ivoire
Pourquoi Boundiali, une ville septentrionale réputée être l’un des fiefs du président Alassane Ouattara ? « Il n’y a plus de prison dans le sud, tout a été saccagé et détruit pendant les combats entre les Forces républicaines de Côte d’Ivoire et les ex-Forces de défense et sécurité (FDS) pro-Gbagbo. Les pénitenciers sont en réhabilitation, et ils ne sont opérationnels que dans le nord, poursuit Ahoussou. La prison de Boundiali a été rénovée par l’opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et par l’Union Européenne (EU). Tout est mis en œuvre pour que ces personnalités soient bien traitées », assure encore le ministre.
Faux, rétorque un haut cadre de l’ex-majorité présidentielle (LMP). « On ne comprend plus les autorités du nouveau pouvoir, ce n’est pas comme ça qu’on va réconcilier le pays. La fracture sociale va encore s’accentuer. C’est une déportation, le nord est devenu le goulag de la Côte d’Ivoire. On les envoie loin des regards pour les tuer à petit feu. Sous Houphouët-Boigny, cette pratique était courante. Et Ouattara ne fait que la perpétuer », accuse-t-il.
La mesure intervient au moment où la justice ivoirienne a annoncé avoir émis deux nouveaux mandats d’arrêt internationaux contre des suspects en fuite à l’étranger. En ligne de mire, notamment : Justin Koné Katinan, l’ex-ministre délégué au Budget qui avait conduit manu militari les différentes opérations de nationalisation forcée de l’agence nationale de la BCEAO et des filiales locales des banques françaises Société Générale et BNP Paribas.
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Liste des personnalités transférées à la prison civile de Boundiali (23 noms sur 24) :
1- Gilbert-Marie Aké N’Gbo, ex-Premier ministre.
2- Alcide Djédjé, ex-ministre des Affaires étrangères.
3- Désiré Dallo, ex-ministre de l’Économie et des Finances.
4- Ettien Amoakon, ex-ministre des Postes, des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l’information.
5- Christine Adjobi, ex-ministre de la Santé et de la Lutte contre le sida.
6- Danielle Boni Claverie, ex-ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant.
7- George Armand Ouégnin, ex-secrétaire d’État chargé de l’Assurance mutuelle universelle (AMU).
8- Philippe Henri Dacoury-Tabley, ancien gouverneur de la BCEAO.
9- Franck Anderson Kouassi, ex-président du Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA).
10- Armand Bohui Komé, ex-journaliste au cabinet de l’ex-première dame Simone Gbagbo et ex-membre du Conseil national de la presse.
11- Norbert Gnahoua Zibrabi, ex-directeur de publication du journal L’Oeil du peuple et ex-conseil technique de Laurent Gbagbo.
12- Simone Hué Lou, ex-directrice générale adjointe de “La Refondation”, société éditrice du journal du FPI Notre Voie.
13- Germain Guézé, ex-cameran à la RTI détaché à la Présidence.
14- Chantal Leba, ex-membre de la Fesci, présidente d’un mouvement patriotique.
15- Parfait Atsé Acho, ex-chef de cabinet de Ahoua Don Mello au ministère de l’Équipement et des Assainissements.
16- Adèle Dédy, membre de la direction du FPI et maire de la ville d’Issia.
17- Joseph Kata Kété, député et ex-ministre de la Recherche scientifique.
18- Martin Sokouri Bohoui, député et ex-secrétaire national chargé des élections du FPI.
19- Maurice Kuyo Lorougnon, ex-directeur général de l’Aménagement du territoire.
20- Constant Koudou, ex directeur de cabinet de Désiré Dallo, ministre de l’Économie et des Finances.
21- Jean Henri Dassé, ex-administrateur du siège du FPI.
22- Mahan Gahé, syndicaliste, ex-secrétaire général de la Centrale Dignité.
23- Raphael Dogbo, ex-secrétaire d’État des personnes handicapés
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