mercredi 5 avril 2017

Luc Ferry digne héritier de Jules Ferry : l'opinion de Louise Michel dans son livre La Commune

par Yanick Toutain
REVACTU
5/4/2017



Le modèle de Luc Ferry quand il parle du 19° siècle ce n'est pas Louise Michel c'est Jules Ferry !
Ce que le clown titré philosophe Ferry appelle grands mouvements ouvriers du 19° siècle ne sont pas les organisateurs des délégués révocables de la Commune de Paris
Ce sont les contre-révolutionnaires Thiers et Jules Ferry.
Les ancêtres de Poutou et Mélenchon
Jules FAVRE, ministre des affaires étrangères.
Ernest PICARD, intérieur.
DUFAURE, justice.
Général LE FLO, guerre.
POUYER-QUERTIER, finances.
Jules SIMON, instruction publique.
Amiral POTHUAU, marine.
LAMBRECHT, commerce.
DELAREY, travaux publics.
Jules FERRY, maire de Paris.
VINOY, gouverneur de Paris.
Les conditions de la paix étaient : la cession de l’Alsace et
d’une partie de la Lorraine avec Metz.
THIERS, chef du pouvoir exécutif.




Luc Ferry roule pour le gredin Poutou.

LUC FERRY DONNE UNE POSTURE DE VICTIME
AU GREDIN OMERTA76 POUTOU,
 PETIT LARBIN SERVILE DE FRANCEàFRIC ET MILICIEN DE LA CHASSE AUX REVOLUTIONNAIRES


Un Poutou au service de la Franceàfric dont les milices ont déjà commencé la chasse aux révolutionnaires et qui sait respecter le silence OMERTAFRIC pour les crimes terroristes organisés depuis l'Elysée.
Et même sur la corruption Fillon


CAMOUFLER LES CRIMES TERRORISTES EN CÔTE D'IVOIRE MALI BURKINA FASO ORGANISES PAR SARKOZY FILLON HOLLANDE
ET
PARTICIPER AU MACCARTHYSME HOLLANDE CONTRE LES REVOLUTIONNAIRES SANKARA
LE BOULOT SERVILE DE POUTOU PSEUDO REBELLE CHOUCHOU DES BOURGEOIS 




Louise MICHEL
LA COMMUNE



extraits


On continue de passer des noms ; à certains, tels que
Ferry, il y a des murmures, d’autres disent : Qu’importe !
puisqu’on a la République on changera ceux qui ne valent
rien. — Ce sont les gouvernants qui font les listes. Sur la
dernière, il y a : Arago, Crémieux, Jules Favre, Jules Ferry,
Gambetta, Garnier-Pagès, Glais-Bizoin, Eugène Pelletan,
Ernest Picard, Jules Simon, Trochu, gouverneur de Paris.
La foule crie : Rochefort ! On le met sur la liste ; c’est la
foule qui commande maintenant.
Une nouvelle clameur s’élève à l’hôtel de ville ! C’était déjà
beau devant le corps législatif, c’est bien plus beau dehors !
La foule roule vers l’hôtel de ville : elle est dans ses jours de
splendeur.
Le gouvernement provisoire est déjà là ; un seul a
l’écharpe rouge, Rochefort, qui sort de prison.
Encore des cris : Vive la République !

Bientôt 40.000 hommes entourèrent l’Hôtel-de-Ville et « pour
éviter un conflit », dit Jules Ferry, les conventions étant faites les
compagnies de Flourens devaient se retirer.

Moins naïf que les autres, le capitaine Greffier, avait arrêté
Ibos, mais Trochu, Jules Favre et Jules Ferry donnant de
nouveau leur parole de la nomination de la Commune promirent
en outre que la liberté serait garantie à tous, quelle que fût
l’issue des événements.
Les membres du gouvernement restés à l’Hôtel-de-Ville se
groupèrent dans l’embrasure d’une fenêtre d’où l’on voyait
rangés les hommes du 106e bataillon.
Millière à ce moment ayant l’idée d’une


La foule s’était calmée devant l’affiche qu’on placardait
annonçant la nomination de la Commune par voie d’élection ;
ceux qui confiants rentrèrent chez eux apprirent le lendemain
avec stupeur la nouvelle trahison du gouvernement.
Ferry, qui était allé rejoindre Picard, revint à la tête de
colonnes nombreuses qui se rangèrent en bataille.
En même temps, par le souterrain qui allait de la caserne
Napoléon à l’Hôtel-de-Ville arrivaient de nouveaux renforts de
mobiles bretons. — Trochu l’avait dit, ils allaient :
Monsieur de Charette a dit à ceux de chez nous :
Venez tous ;
Il faut combattre les loups.
Le gaz ayant été éteint pour le guet-apens,
les bataillons de l’ordre conduits par Jules Ferry entraient par la
grille.
Blanqui ne se doutant pas qu’on pouvait manquer ainsi à sa
parole, fit remettre à Constant Martin l’ordre d’installer à la
mairie du 1er arrondissement le docteur Pilot en remplacement
du maire Tenaille-Saligny

On s’est souvent demandé pourquoi, parmi tous les membres
du gouvernement, dont pas un ne se montrait à la hauteur des
circonstances, Paris eut surtout horreur de Jules Ferry, c’est
surtout à cause de son épouvantable duplicité.
Il avait fait, au lendemain du 22 janvier, placarder l’affiche
mensongère qui suit :
MAIRIE DE PARIS
22 janvier 4 heures 52 minutes du soir.
Quelques gardes nationaux factieux appartenant au
101e de marche ont tenté de prendre l’Hôtel-de-Ville,
tiré sur les officiers et blessé grièvement un adjudantmajor
de la garde mobile, la troupe a riposté, l’Hôtelde-
Ville a été fusillé des fenêtres des maisons qui lui
font face de l’autre côté de la place et qui étaient
d’avance occupées.
On a lancé sur nous des bombes et tiré des balles
explosibles ; l’agression a été la plus lâche et la plus
odieuse d’abord au début puisqu’on a tiré plus de cent
coups de fusil sur le colonel et les officiers au moment
où ils congédiaient une députation admise un instant
avant dans l’Hôtel-de-Ville, non moins lâche ensuite
quand après la première décharge, la place s’étant
vidée et le feu ayant cessé de notre part, nous fûmes
fusillés des fenêtres en face.
Dites bien ces choses aux gardes nationaux et tenezmoi
au courant, si tout est rentré dans l’ordre.
La garde républicaine et la garde nationale occupent la
place et les abords.
Jules FERRY.

LA CONTRE REVOLUTION EN MARCHE

Dans la soirée du 22 janvier avait été affiché le décret suivant
qui fermait les clubs dans Paris.
Le Gouvernement de la défense nationale
Considérant qu’à la suite d’excitations criminelles dont
certains clubs ont été les foyers, la guerre civile a été
engagée par quelques agitateurs désavoués par la
population tout entière ;
Qu’il importe d’en finir avec ces détestables manoeuvres
qui sont un danger pour la patrie, et qui, si elles se
renouvelaient, entacheraient l’honneur irréprochable
jusqu’ici de la défense de Paris, décrète :
Les clubs sont supprimés jusqu’à la fin du siège, les
locaux où ils tiennent leurs séances, seront
immédiatement fermés.
Les contrevenants seront punis conformément aux lois.
Article 2. Le préfet de police est chargé du présent
décret. »
Général Trochu, Jules FAVRE,
Emmanuel ARAGO, Jules FERRY.
...
Quiconque était républicain était déclaré ennemi de la
République.

Le gouvernement appelé nouveau parce que c’était surtout la
même chose que l’ancien, fut ainsi composé par l’assemblée
capitularde.
THIERS, chef du pouvoir exécutif.
Jules FAVRE, ministre des affaires étrangères.
Ernest PICARD, intérieur.
DUFAURE, justice.
Général LE FLO, guerre.
POUYER-QUERTIER, finances.
Jules SIMON, instruction publique.
Amiral POTHUAU, marine.
LAMBRECHT, commerce.
DELAREY, travaux publics.
Jules FERRY, maire de Paris.
VINOY, gouverneur de Paris.
Les conditions de la paix étaient : la cession de l’Alsace et
d’une partie de la Lorraine avec Metz.

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