lundi 14 février 2011

Iran Résistance contre la dictature islamo-fasciste de Khamenei ! DEGAGE ! "Moubarak, Ben Ali, maintenant c’est le tour de Said Ali" (Khamenei) Le Bahrein, l'Irak et le Yemen encore !

Ali Khamenei est un dingue ou un hypocrite. Ou les deux.
Ces fascistes se présentent comme des croyants quand ils ne sont que des bogots névrosés manipulateurs et spoliateurs. Leur base sociale, la moyenne-bourgeoisie iranienne et la formoisie arriviste est en train de s'éfilocher. Il ne leur reste plus que des nazillons de l'islamo-fascistes et des folles bigotes aigries sur le modèle de celles que nous présentait le film de Marjane Satrapi.
On voit - sur l'une des vidéos- l'un de ces islamo-fascistes qui n'a pas encore compris que le temps des dictatures compradores est terminé.
En Iran, la résistance a pris le chemin révolutionnaire des peuples tunisiens.
Après l'exemple de la Révolution anti-esclavoise Tunisienne, après l'exemple de la Révolution Egyptienne, après les manifestations au Yemen, au Maroc, en Algérie, c'est le tour de l'Iran de travailler au renversement de l'édifice fasciste de la bourgeoisie mondiale. En ce lundi 14 février, l'Iran, le Bahrein et le Yemen encore sont aux premières loges du combat contre la bourgeoisie esclavagiste.

Des dizaines de partisans de l'opposition ont été arrêtés lundi en Iran où les forces de sécurité ont été massivement déployées pour empêcher des rassemblements de soutien aux soulèvements en Egypte et en Tunisie, a-t-on appris auprès de l'opposition. (source L'Express)

A Téhéran, où les forces de l'ordre ont eu recours aux gaz lacrymogènes, plusieurs dizaines de manifestants ont été interpellés alors qu'ils tentaient de gagner la grande place Azadi (Liberté) malgré l'interdiction des autorités, rapporte le site internet de l'opposant Mirhossein Moussavi.
"Des témoins disent que dans certains quartiers de Téhéran, les forces de sécurité ont arrêté des dizaines de manifestants", indique Kaleme.
A Ispahan, la troisième ville du pays, des incidents ont également éclaté entre les forces de sécurité et les opposants au régime qui défiaient eux aussi l'interdiction des autorités.
"Il y a eu des affrontements entre les forces de sécurité et des manifestants à Ispahan, et plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtés", a dit un témoin joint par téléphone dans cette ville du centre de l'Iran.
Cette journée de mobilisation constituait un test pour l'opposition réformiste iranienne, qui n'était plus descendue dans les rues depuis un rassemblement marqué par la mort de huit personnes en décembre 2009.
Policiers en tenue antiémeutes, forces de sécurité déployées autour des principales places de la ville, miliciens à moto: à Téhéran, les autorités avaient déployé d'importants moyens de sécurité pour mettre en échec les projets de l'opposition.


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Ces vidéos proviennent de

Téhéran, 14 février : Deuxième série de vidéos

(et du site  

 Révolution en Iran

A bas la république islamiste ! Vive la république socialiste !)


Deuxième série de vidéos des protestations du 14 février 2011 à Téhéran.
- Un portrait de Khamenei et de Khomeiny en feu :
- »Moubarak, Ben Ali, maintenant c’est le tour de Said Ali (Khamenei) »

- Un membre des basidji (milice du régime) qui voulait protéger l’affiche se fait attaquer par la population :
- « Mort au dictateur ! »

- « Les iraniens préfèrent mourir que d’accepter l’oppression »

- Rue Azadi
- Vue depuis les hauteurs





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Mais cette vague révolutionnaire emporte toute la région, et au-delà la continent africain.

 - Au Yémen, des milliers d'étudiants et d'avocats ont à nouveau manifesté à Sanaa, pour réclamer la démission du président Ali Abdallah Saleh, qui tente de court-circuiter le mouvement populaire en hâtant un accord avec l'opposition.

L'opposition parlementaire, qui a décidé de reprendre le dialogue avec le régime du président Saleh, qui est au pouvoir depuis 32 ans, n'y est pas associée.

- (source TSR) Au Bahreïn, les forces de sécurité du royaume ont tiré des grenades lacrymogènes et des balles en caoutchouc dans plusieurs localités pour disperser des milliers de manifestants hostiles au gouvernement.

C'est la deuxième fois en deux jours que de tels incidents sont rapportés, sur fond de hausse des tensions, dans ce petit Etat insulaire du Golfe, allié stratégique de Washington qui héberge des troupes américaines sur son territoire.
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Et pendant ce temps, les patriotes camerounais se préparent à la journée du 23 février.

samedi 12 février 2011


Mboua Massock interpellé à Douala (Camer.be ) L'homme qui a appelé à la Révolution Camerounaise le 23 février a été inquiété par les sbires fascistes de Paul Biya.

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