mercredi 6 avril 2011

Les larbins formois para-staliniens de l'ANC refont les girouettes : "Je ne me rappelle pas avoir donné un mandat à quiconque pour un bombardement aérien sur la Côte d`Ivoire", a déclaré la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana-Mashabane.

Historiquement, l'ANC est un bastion du stalinisme compradore.
Le Congrès national africain (ou ANC pour African National Congress en anglais) est un parti politique d’Afrique du Sud membre de l'Internationale socialiste. Créé en 1912, à Bloemfontein pour défendre les intérêts de la majorité noire contre la domination blanche, il fut déclaré hors-la-loi par le Parti national pendant l’apartheid en 1960. Il est à nouveau légalisé le 2 février 1990 alors que l'apartheid est aboli en juin 1991.
En 1994, les premières élections multiraciales ont lieu permettant à Nelson Mandela d'être élu président de la République sud-africaine. Depuis, l'ANC domine largement la vie politique sud africaine (60-70 % des voix aux différentes élections générales de 1994, 1999, 2004 et 2009).
Son chef actuel est Jacob Zuma et son quartier général est installé dans la Chief Albert Luthuli House, immeuble de vingt-deux étages situé à Johannesburg et qui portait auparavant le nom de Shell House. (source WIKIPEDIA)

Dans un article de 2008, je mettais en lumière les comploteurs qui trahirent les pauvres d'Afrique du Sud
Un autre auteur, Ann Talbot (5 Août 1999) (sur le site World Socialist Web Site (4°I)) nous décrit la face peu reluisante du petit larbin des capitalistes :
Une des meilleures façons de détacher le vrai Mandela historique du mythe de Mandela, crée par les médias, c'est de tenir compte de l'héritage qu'il laisse à l'Afrique du Sud. Il conserve encore une très bonne réputation personnelle mais les attentes lumineuses de réformes liées à son accession au pouvoir se sont assombries à mesure que son pays s'est enlisé dans la pauvreté et la criminalité. La montée de la criminalité est la conséquence du degré de pauvreté sans précédent dans un pays industrialisé. Ceux qui vivent dans la misère du Tiers Monde voient la richesse occidentale s'étaler quotidiennement devant leurs yeux. Selon les calculs de la Banque Mondiale, le taux d'inégalité entre les revenus en Afrique du Sud fait partie des taux d'inégalité les plus élevés au monde. Seul le Brésil a un bilan plus négatif. Les revenus mensuels des foyers noirs sont de 757 rands en moyenne contre 4695 rands pour les blancs. Ce niveau de pauvreté, l'ANC l'a hérité de l'apartheid mais n'a rien fait pour réduire l'écart entre les riches et les pauvres. Même le programme relativement modeste de réformes sociales que l'ANC s'était fixé a été abandonné au profit d'une course effrénée pour s'enrichir de la part des dirigeants de l'ANC. A la pauvreté héritée de l'apartheid s'ajoute l'apparition d'un fossé qui se creuse entre les foyers noirs à mesure que se crée une classe moyenne noire.
Le chiffre le plus frappant de l'inégalité sociale en Afrique du Sud est le taux de mortalité infantile. De soixante dix à cent pour mille enfants noirs meurent à la naissance, un chiffre comparable à celui du Bangladesh, l' un des pays les plus pauvres du monde, tandis que le taux de mortalité est de neuf pour mille dans la population blanche.


Et, plus loin, Ann Talbot nous décrit le complot qui fut mis en oeuvre pour priver le peuple de son insurrection contre les racistes.



Citation:
Dès les années quatre vingt, les hommes d'affaires sud- africains faisaient pression sur le gouvernement pour parvenir à un accord avec l'ANC. En 1985, Gavin Relly, directeur général d'Anglo-American, la compagnie minière géante, s'envola pour Lusaka en Zambie, avec un groupe d'hommes d'affaires de premier plan, dans le but de rencontrer l'ANC. Ils eurent une impression positive des dirigeants de l'ANC. Selon les propos d'un des hommes d'affaires « il serait difficile d'imaginer un groupe de gens plus sympathiques et charmants.» (p.340). Sampson fait état de l'évolution des contacts. En 1986, la fondation Rockefeller, David Astor ainsi que Shell, mirent sur pieds le Projet sud- africain pour l'Education Supérieure afin de préparer la jeune élite de l'ANC aux fonctions gouvernementales et aux affaires. De son côté, Gold Fields, la compagnie fondée par Cecil Rhodes finança des rencontres secrètes entre intellectuels afrikaners et l'ANC à l'hôtel Compleat Angler, à Henley, dans le comté d'Oxford (p.362-63).

Il ne faut pas s'étonner de voir,maintenant, les militaires sud-africains main dans la main avec les colonisateurs françafricains.

Le gang pro-capitaliste qui est au pouvoir laisse tellement son peuple glisser vers la mort que le fils de Mandela est mort lui-même des crimes et des trahisons de son père : le SIDA que ces crapules de larbins des capitalistes ont laissé envahir leur pays a tué Makgatho Mandela.
La trahison de son père au profit des capitalistes impérialistes n'aura pas seulement tué un bébé sur dix, à cuse de la misère et de la destuction de l'appareil de santé, elle l'aura tué lui, le fils du prétendu libérateur. Ce Nelson Mandela qui, d'imbécile terroriste, à la mode stalinienne, est devenu le soi-disant héros, véritable marionnette impotente entre les mains de la bourgeoisie mondiale.

Derrière la légende entretenue du prétendu héros Mandela, ce sont des terroristes imbéciles formois  qui perpétuèrent l'esclavage du peuple pauvre de Sud-Afrique qui forment la direction de l'ANC.
C'est comme si le PCF avait posé des bombes dans le métro parisien en 1942 et avait attendu pendant 40 ans que cette stratégie folle donne des résultats.
C'est ce qui serait arrivé sans le sacrifice des soldats russes !

ANC partisans de Mandela, larbins du capitalisme international, arrivistes dans leurs belles villas, traitres à la cause panafricaine.
Combien de fois furent-ils les MERCENAIRES de la France à fric !!!
Depuis le 16 décembre, ils n'ont pas cessé d'hésiter entre la "voix de son maître" impérialiste et la nécessite de perpétuer la naïveté des malheureux habitants de Soweto.
Le 16 mars, on pouvait lire sur Abidjan.net
Zuma conspué par des ouattaristes
Côte d`Ivoire : Gbagbo perd le "soutien" de l`Afrique du Sud, le G8 augmente la pression
Publié le mercredi 16 mars 2011   |  L'intelligent d'Abidjan

L’Afrique du Sud s’est officiellement rangée derrière la position de l’Union africaine, qui reconnaît Alassane Dramane Ouattara comme seul président légitime de Côte d’ivoire. L’isolement diplomatique du président sortant Laurent Gbagbo s’en trouve encore augmenté.

Alors que les forces fidèles à Laurent Gbagbo sont sous pression sur le terrain, le président sortant vient d’enregistrer une déconvenue diplomatique. L’Afrique du Sud qui s’était fait remarquer jusqu’à présent en observant une neutralité bienveillante sur la crise ivoirienne, a officiellement demandé le départ du pouvoir de Laurent Gbagbo.

« L’une des choses dites dans la déclaration de l’Union africaine est que Ouattara est le vainqueur légitime et Gbagbo devrait se retirer. L’Afrique du Sud soutient cela », a déclaré Clayson Monyela, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, selon l’agence de presse sud-africaine Sapa.

Alliance éphémère

La semaine dernière encore, le camp Gbagbo revendiquait qu’il disposait d’une alliance avec Pretoria, ainsi qu’avec six autres pays africains. Le président sud-africain Jacob Zuma faisait notamment partie des cinq chefs d’État du panel chargé par l’Union africaine (UA) de trouver une solution à la crise ivoirienne.

Dans ses conclusions, rendues le 10 mars à Addis-Abeba, le panel avait reconnu Alassane Dramane Ouattara comme le président légitime de Côte d’Ivoire et l’avait chargé de former un gouvernement d’union nationale.

Après avoir réclamé un nouveau décompte des voix et s’être montrée favorable à une solution négociée (notamment lors d’un précédent sommet sur la crise ivoirienne à Addis-Abeba mi-février), Pretoria rejoint donc la grande majorité de la communauté internationale, qui reconnaît l’élection d’Alassane Ouattara.

La récente dégradation de la situation à Abidjan et dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire, avec des affrontements entre les troupes favorables à Alassane Ouattara et les Forces de défense et de sécurité (FDS, pro-Gbagbo), a pu jouer sur l’évolution de la position sud-africaine. Le pays pourrait « entrer dans la spirale de la guerre civile », a estimé mardi Marius Fransman, l’adjoint de la ministre sud-africaine des Relations internationales, Maite Nkoana-Mashabane.

Pression du G8

De leur côté, les ministres des Affaires étrangères du G8, réunis à Paris lundi soir, ont renouvelé leur soutien à Alassane Ouattara et aux « conclusions du panel des chefs d`État de l`Union africaine ».

« Ceux qui font obstacle à une solution pacifique et a fortiori utilisent la force doivent savoir qu`ils s`exposent à de nouvelles sanctions », ont-il menacé.

Le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, avait estimé que les sanctions financières commençaient à produire leurs effets. « Les sanctions financières ça ne marche pas à quinze jours, ça marche à plusieurs mois et on voit bien aujourd`hui que Gbagbo est progressivement asphyxié », a-t-il déclaré dans une interview à la radio Europe 1.

Le camp du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo persiste et signe malgré l’isolement. Alors que ses forces perdent du terrain à Abidjan, il a annoncé une réunion avec les généraux des FDS et la prise prochaine de « grandes décisions ». (Sources Jeune Afrique.COM, avec agences)

Mais les larbins ANC de la France à fric SENTENT LE VENT PATRIOTIQUE VENIR !!!
ILS ONT PEUR DE LEUR PEUPLE !
Et, à peine les fascistes ouattaristes ont-ils une RESISTANCE plus grande que celle prévue que les girouettes para-staliniennes font volte-face !
=
l`Afrique divisée sur l`engagement de l`ONU et de la France (source : 2ivoire.net)
L`Afrique du Sud, qui depuis le début de la crise a eu des positions variables, passant du soutien à Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale, à une compréhension vis-à-vis du président sortant Laurent Gbagbo, avant de revenir à sa position initiale, a exprimé ses réserves.
"Je ne me rappelle pas avoir donné un mandat à quiconque pour un bombardement aérien sur la Côte d`Ivoire", a déclaré la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana-Mashabane. "Nous ne soutenons pas nécessairement ce que nous n`avons pas voté", a-t-elle ajouté.

L`Afrique du Sud, membre non-permanent du Conseil de sécurité de l`ONU, a  voté le 30 mars la résolution apportant son "entier soutien" à la Mission de l`ONU en Côte d`Ivoire (Onuci) pour utiliser "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils et empêcher l`utilisation d`armes lourdes contre eux.
Le président en exercice de l`Union africaine (UA), l`Equato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, a indiqué que si l`UA exerçait des "pressions" pour que Ouattara soit reconnu président, cela ne devait pas "impliquer une guerre, une intervention d`une armée étrangère".
Le porte-parole du gouvernement camerounais, Issa Tchiroma Bakary, a affirmé que la politique de son pays est "la non-ingérence dans les affaires d`une nation. Le souhait du Cameroun est que ce problème trouve une solution heureuse et fraternelle qui préserve l`unité nationale et la paix".
Le gouvernement angolais, soutien traditionnel de Laurent Gbagbo, mais qui s`est rallié à la position de l`UA reconnaissant Ouattara, ne s`était pas prononcé mercredi sur cette intervention.
"Licorne dégage. Onuci dégage !" s`est écrié Malick Ndiaye, universitaire sénégalais, au nom de la Coordination des intellectuels d`Afrique, organisation basée à Dakar.
"On chercherait à dresser les Africains contre les Français qu`on ne s`y prendrait pas autrement. Quelle est cette France qui insulte le droit ?", s`est interrogé M. Ndiaye qui a remis une lettre protestant contre l`intervention à l`ambassadeur de France à Dakar.
Au Cameroun, un groupe d`hommes politiques ont lancé mardi sur internet une  pétition contre "l`impérialisme mondial" en Côte d`Ivoire, dénonçant, à travers l`intervention de la France et de l`ONU, "une nouvelle guerre colonialiste".
Mais plusieurs pays africains approuvent l`intervention, au nom de la  "protection des civils".
Le Nigeria, président de la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`ouest (Cédéao) qui avait elle-même envisagé dès décembre une opération militaire en Côte d`Ivoire, soutient sans surprise cet engagement, "afin de protéger les civils innocents".
"L`ONU n`a fait que répondre à une demande de la Cédéao qui avait demandé à  l`Onuci de s`impliquer plus pour la protection des civils en Côte d`Ivoire", a également estimé le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang.
Selon le président gabonais Ali Bongo Ondimba, "c`est une opération qui a été acceptée par la communauté internationale puisque ce sont les Nations unies qui mènent la chose".
S`il n`a pas commenté la situation ivoirienne, le président rwandais Paul Kagamé, a soutenu l`intervention occidentale en Libye, affirmant ne pas comprendre "l`argument" des partisans de la non-intervention qui consiste à laisser un gouvernement "tuer son propre peuple", parce que c`est le sien.
Le Rwanda a été victime en 1994 d`un génocide qui a tué au moins 800.000 personnes, en majorité Tutsi, sans que la communauté internationale n`intervienne.
Face à de pareilles girouettes formoises, face à des traitres qui font le jeu des vautours, la méfiance est de rigueur.
QUE VIENNENT FAIRE LES LARBINS FORMOIS MANDELISTES EN CI ?
Aussi leur "menaces" d'intervention en Côte d'Ivoire nous interrogent : POUR QUI veulent-ils envoyer des troupes en CI ?
On peut poser la question autrement : QUI le journal "Jeune Afrique" pourrait-il être en train d'intoxiquerv ?

Côte d'Ivoire : préparation d'une intervention de l'Afrique du Sud à Abidjan ?

06/04/2011 à 11h:51 Par J.A. avec B. Mieu, à Abidjan

Les SAS Drakensberg de la marine sud-africaine avec son porte-hélicoptère, au large d'Abidjan. Les SAS Drakensberg de la marine sud-africaine avec son porte-hélicoptère, au large d'Abidjan. © South African Navy
L’Afrique du Sud se prépare à une intervention de son armée dans la capitale économique ivoirienne, pour protéger ses ressortissants, pourtant peu nombreux.
Va-t-on vers l’intervention d’une nouvelle armée étrangère en Côte d’Ivoire ? Selon nos informations, l’Afrique du Sud se prépare en effet à envoyer des soldats à Abidjan pour mettre ses ressortissants en sécurité.
La marine sud-africaine dispose déjà d’un navire ravitailleur qui mouille au large d’Abidjan, le SAS Drakensberg. Ce bâtiment peut notamment accueillir un hélicoptère (voir photo).
Pretoria dispose aussi d’un autre bâtiment de guerre, situé dans le Golfe de Guinée, et qui devrait faire mouvement vers Abidjan prochainement.
Une centaine de parachutistes-commandos sud-africains sont aussi stationnés à Accra (Ghana) et pourraient intervenir dans la capitale économique ivoirienne.
Pour une vingtaine de ressortissants
Il s’agirait pour Pretoria de mettre ses ressortissants à abri et éventuellement de les évacuer. Mais le  faible nombre de Sud-Africains à secourir (ils ne sont que 20 à Abidjan, selon nos informations) pose question.
On ne peut faire que des supputations à ce stade, mais si Laurent Gbagbo, assiégé à dans sa résidence présidentielle, en venait à choisir l’exil, il aurait besoin d’un point de chute et d’une exfiltration par des forces qui ont sa confiance...
L’Afrique du Sud s’était en tout cas distinguée  par sa relative bienveillance à l’égard de Laurent Gbagbo tout au long de la crise ivoirienne. Pretoria était favorable à une négociation entre lui et Alassane Ouattara, quitte à permettre au président ivoirien sortant de rester en place.
L’Afrique du Sud n’avait demandé officiellement le départ de Laurent Gbagbo qu’après la remise des conclusions du panel des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine (dont faisait parti le président Jacob Zuma), le 10 mars.
Pretoria s’est à nouveau fait remarquer cette semaine en prenant ses distances avec les frappes aériennes conjointes de l’Onuci et de la force française Licorne.
« Je ne me rappelle pas avoir donné un mandat à quiconque pour un bombardement aérien sur la Côte d'Ivoire, avait déclaré la ministre des Affaires étrangères Maite Nkoana-Mashabane lors d'un point-presse à Pretoria. Nous ne soutenons pas nécessairement ce que nous n'avons pas voté. »

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LIRE AUSSI

lundi 19 mai 2008


Les staliniens et leur icône Mandela ont détruit la révolution anti-impérialiste en Afrique du Sud : larbins corrompus !


Je réponds sur abidjantalk à un texte de Barclays auquel abaslafrancafrique a répondu. Le débat porte sur les massacres xénophobes contre les populations qui ont fui le Zimbabwe.
Pour suivre l'actualité la plus récente sur l'Afrique du Sud, on peut cliquer ici. Ce lien donne la recherche Google (ordre chronologique) sur les principaux sites d'information


Si Mandela et tous ces traitres à leur peuple et à la classe ouvrière que sont les staliniens n'avaient pas vendu leur conscience et leur combat aux capitalistes étrangers, on n'en serait pas là.
Le résultat de leurs magouilles est une Afrique du Sud vendue aux capitalistes : de l'exploitation raciste visible et officielle sous l'apartheid, on est passé à l'exploitation "raciste invisible".
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En 1985, lors de son congrès de Lusaka, l'ANC démocratise ses règles de fonctionnement interne et rend public les 30 noms de son comité exécutif dont la moitié sont à l'époque membre du parti communiste d'Afrique du Sud comme Joe Slovo, seul blanc membre de l'organe suprême et chef d'état major d'Umkhonto we Sizwe.
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Les abrutis de racistes sont fabriqués avec les mêmes pierres biologiques que les nôtres.
La question est d'où viennent-ils ?

En France, un pourcentage énorme d'électeurs lepénistes sont issus du groupe des électeurs du PCF.
Que les Anciens viennent rappeler aux jeunes le cours politique xénophobe et raciste du parti communiste français.
Les expulsions récentes à Aubervilliers sont la suite du bulldozer de Vitry contre le foyer de travailleurs maliens.
Il y a trente ans , le PCF collait des affiches "produisons français".

Ce parti contient une aile raciste ; et cela dans toutes les sections au niveau mondial. Le stalinisme russe était antisémite et opprimait les nationalités des états du sud de l'URSS.

La classe formoise pour recueillir tranquillement les miettes de l'expoitation du Sud des mains des capitalistes a besoin de se mentir.
C'est pourquoi l'adhérent communiste ou socialiste est toujours un raciste qui s'ignore :
Combien d'entre eux savent que leur parti a assassiné 3 millions de bébés chaque année des gouvernement Fabius, Rocard, Mauroy, Jospin, etc ?...
Si le fait de savoir si Nelson Mandela fit ou non un militant communiste est un secret bien gardé, une chose est sure : sa ligne politique est une ligne politique stalinienne.

Les communistes sud africains, à l'intérieur de l'ANC - section de la 2° internationale, l'"Internationale socialiste" des colonialistes de la social-démocratie (comme le pantin compradore Gbagbo et son FCI) appliquèrent une ligne politique digne du Staline 1927.
Ils entrèrent dans l'ANC, en prirent le contrôle, firent alliance avec la bourgeoisie et sabotèrent la révolution.
Ce fut la ligne du stalinien Borodine en Chine en 1927.

La réussite du gang stalinien et de son icône Mandela fut l'échec du peuple et de son insurrection !
La pseudo élite des diplômés est parvenue à se transformer en une nouvelle classe capitaliste à peau foncée !
Le peuple lui, il meure !


Jean Nanga, le correspondant d’Inprecor (IV° Internationale) en Afrique subsaharienne. enlevait le masque hypocrite de Mandela et de Thabo Mbeki dans un article de mars 2006

Citation:
Ce sont aussi des altermondialistes d’Afrique Australe en général, d’Afrique du Sud en particulier, qui ont remis à l’ordre du jour la critique du NEPAD, comme projet. Elles et ils insistaient sur le rôle particulier de l’Afrique du Sud, dont le chef de l’État, Thabo Mbeki, est un promoteur du NEPAD, comme relais principal de l’impérialisme en Afrique (7). Depuis la présidence de Mandela, mais surtout sous Thabo Mbeki, l’État sud-africain perpétue sa nature de commis du capital sud-africain. Comme si la fin officielle de l’apartheid devrait, pour les multinationales sud-africaines, favoriser une sorte « d’Afrique aux capitalistes Sud-Africains » — du « Cap au Caire » dirait Cecil Rhodes — dans les secteurs où elles se considèrent « compétitives ».
Pourtant cette expansion africaine du capital sud-africain, à travers le NEPAD, a trouvé des défenseurs, parmi les participants.


Un autre auteur, Ann Talbot (5 Août 1999) (sur le site World Socialist Web Site (4°I)) nous décrit la face peu reluisante du petit larbin des capitalistes :


Citation:
Une des meilleures façons de détacher le vrai Mandela historique du mythe de Mandela, crée par les médias, c'est de tenir compte de l'héritage qu'il laisse à l'Afrique du Sud. Il conserve encore une très bonne réputation personnelle mais les attentes lumineuses de réformes liées à son accession au pouvoir se sont assombries à mesure que son pays s'est enlisé dans la pauvreté et la criminalité. La montée de la criminalité est la conséquence du degré de pauvreté sans précédent dans un pays industrialisé. Ceux qui vivent dans la misère du Tiers Monde voient la richesse occidentale s'étaler quotidiennement devant leurs yeux. Selon les calculs de la Banque Mondiale, le taux d'inégalité entre les revenus en Afrique du Sud fait partie des taux d'inégalité les plus élevés au monde. Seul le Brésil a un bilan plus négatif. Les revenus mensuels des foyers noirs sont de 757 rands en moyenne contre 4695 rands pour les blancs. Ce niveau de pauvreté, l'ANC l'a hérité de l'apartheid mais n'a rien fait pour réduire l'écart entre les riches et les pauvres. Même le programme relativement modeste de réformes sociales que l'ANC s'était fixé a été abandonné au profit d'une course effrénée pour s'enrichir de la part des dirigeants de l'ANC. A la pauvreté héritée de l'apartheid s'ajoute l'apparition d'un fossé qui se creuse entre les foyers noirs à mesure que se crée une classe moyenne noire.
Le chiffre le plus frappant de l'inégalité sociale en Afrique du Sud est le taux de mortalité infantile. De soixante dix à cent pour mille enfants noirs meurent à la naissance, un chiffre comparable à celui du Bangladesh, l' un des pays les plus pauvres du monde, tandis que le taux de mortalité est de neuf pour mille dans la population blanche.


Et, plus loin, Ann Talbot nous décrit le complot qui fut mis en oeuvre pour priver le peuple de son insurrection contre les racistes.



Citation:
Dès les années quatre vingt, les hommes d'affaires sud- africains faisaient pression sur le gouvernement pour parvenir à un accord avec l'ANC. En 1985, Gavin Relly, directeur général d'Anglo-American, la compagnie minière géante, s'envola pour Lusaka en Zambie, avec un groupe d'hommes d'affaires de premier plan, dans le but de rencontrer l'ANC. Ils eurent une impression positive des dirigeants de l'ANC. Selon les propos d'un des hommes d'affaires « il serait difficile d'imaginer un groupe de gens plus sympathiques et charmants.» (p.340). Sampson fait état de l'évolution des contacts. En 1986, la fondation Rockefeller, David Astor ainsi que Shell, mirent sur pieds le Projet sud- africain pour l'Education Supérieure afin de préparer la jeune élite de l'ANC aux fonctions gouvernementales et aux affaires. De son côté, Gold Fields, la compagnie fondée par Cecil Rhodes finança des rencontres secrètes entre intellectuels afrikaners et l'ANC à l'hôtel Compleat Angler, à Henley, dans le comté d'Oxford (p.362-63).

Il ne faut pas s'étonner de voir,maintenant, les militaires sud-africains main dans la main avec les colonisateurs françafricains.

Le gang pro-capitaliste qui est au pouvoir laisse tellement son peuple glisser vers la mort que le fils de Mandela est mort lui-même des crimes et des trahisons de son père : le SIDA que ces crapules de larbins des capitalistes ont laissé envahir leur pays a tué Makgatho Mandela.
La trahison de son père au profit des capitalistes impérialistes n'aura pas seulement tué un bébé sur dix, à cuse de la misère et de la destuction de l'appareil de santé, elle l'aura tué lui, le fils du prétendu libérateur. Ce Nelson Mandela qui, d'imbécile terroriste, à la mode stalinienne, est devenu le soi-disant héros, véritable marionnette impotente entre les mains de la bourgeoisie mondiale.

Seuls les corrompus et les naïfs extrèmes continuent d'honorer la mémoire de ce traitre.

Le racisme et la xénophobie qui ressurgissent sont les filles misérables de la pauvreté et de la trahison de la classe formoise : dans tous les pays, il faut se méfier comme la peste de tous les diplômés : leur privilèges ont pour eux plus de valeur que la vie des enfants des pauvres.
C'est vrai en Afrique du Sud, c'est vrai en Côte d'Ivoire, c'est vrai dans toute l'Afrique, c'est vrai sur toute la Terre.

Les partisans de Mandela se félicitent secrètement de trouver des boucs émissaires dans leurs voisins du Nord , tout comme le formois Gbagbo inventait des boucs émissaires dans les habitants du Nord de la Côte d'Ivoire et les habitants des pays limitrophes.
Le formois incompétent a toujours besoin d'accuser l'autre !

Tout diplômé qui ne renonce pas par avance à ses privilèges est un Mandela, un Mobutu, un Boumedienne,un Gbagbo en puissance : un traitre qui méprise les plus pauvres.*

Un traitre qui va rouler pour les couches "supérieures" de son peuple, et finalement,un traitre qui va trahir tout son peuple pour les impérialistes étrangers.

Le risque de mourir est le même pour un petiti bébé ivoirien que pour un petit bébé sud-africain !

Tout diplômé qui n'accepte pas le mot d'ordre "1000 euros pour tous les Terriens" finira par tirer sur la peuple.

Celui là ne se laissera pas faire éternellement !

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