mercredi 11 juin 2014

Bombes atomiques sur la Russie : Le 4 juin, Barack Obama a placé 3 bombardiers B-52 sur la base de Fairford en Grande-Bretagne ! Obama DEGAGE !

L'article complet signé Claude Angeli
Canard Enchaîné 11 juin 2014
par Yanick Toutain

"selon les services français, des bombardiers US sont arrivés en Grande-Bretagne, avec des armes nucléaires" (titre de Claude Angeli)


Les prédécesseurs capitalistes
 de Barack Obama avaient chassé
 Charlie Chaplin des USA pour perpétuer
leurs guerres contre les peuples
La folie nucléaire, la folie atomique est une pathologie dont les symptômes aggravés viennent de se manifester chez celui qui se prend pour le dictateur du monde, : le chef de la première puissance criminelle écologique du monde.
Barack Obama n'est pas seulement le responsable du pays qui émet le quart du carbone criminel - aggravant les plus de 200 milliards de tonnes du couvercle carbone au-dessus de nos têtes, il est aussi celui qui prépare une nouvelle guerre nucléaire, celui qui prépare la transformation de Moscou en un nouvel Hisroshima.
C'est Claude Angeli, dans le Canard Enchaîné de ce mercredi 11 juin qui le révèle. Il signale
 "l'atterrissage, le 4 juin, de trois bombardiers lourds B-52 sur la base britannique de Fairford, près de Londres.
Il était naturellement difficile de cacher l'arrivée de ces énormes appareils intercontinentaux (huit réacteurs), qui peuvent balancer missiles et bombes à une altitude de 15 000 ou 20 000 mètres."
Barack Obama veut diriger la planète
en conduisant un pays en faillite
qui truque l'économie réelle et vole
la Terre entière
Ces engins de morts qui se firent une réputation criminelle pendant la guerre contre le Vietnam furent mis en service en 1955. Un carrière criminelle que le président des USA veut prolonger en menaçant de bombarder Moscou avec des armements nucléaires.
"[Les Américains] refusent de dire si des armes nucléaires ont accompagné ces énormes machines jusqu'en Grande-Bretagne. Mais les services militaires français affirment, eux, que c'est bien le cas" (Claude Angeli)
 Barack Obama menace le peuple russe
de lui infliger les mêmes brulures atomiques
qu'à Hiroshima et Nagazaki
Ces préparatifs de guerre sont la suite du financement par George Soros du putsch en Ukraine, la suite du Coup d'Etat Euromaidan, la suite du soutien de l'Europe et des USA aux néonazis de Kiev, la suite des agressions contre Odessa et les provinces sécessionnistes - Crimée, Lougansk et le sud-est de l'Ukraine.
Après avoir envoyé les nouveaux "Tigres Volants" d'Académi (l'agence secrète de l'armée américaine de BlackWater déguisée sous un nouveaux noms), la suite prévue est de terroriser les peuples anti-fascistes par la terreur nucléaire.
Ces gens sont des fous dangereux en liberté !
Seule la révolution anti-capitaliste mondiale, seule l'abolition de la strate des Parasites pourra nous éviter le pire !

COMPLEMENTS

MARDI SAMEDI 1 MARS 2014


NON à LA CONTRE-REVOLUTION FASCISTE EUROPENNE EN UKRAINE NON A LA GUERRE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE NI OBAMA NI POUTINE ! TOUT LE POUVOIR AUX DELEGUES REVOCABLES


Ce fut la fin du New Deal et de sa version précédente des années 20 en Grande-Bretagne.


Les USA et leurs petits roquets annexes mènent une CONTRE-REVOLUTION anti-formoise depuis 1979 et l'offensive Thatcher contre les mineurs britanniques.

 NON à LA CONTRE-REVOLUTION FASCISTE EUROPENNE EN UKRAINE
NON A LA GUERRE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE

NI OBAMA NI POUTINE ! TOUT LE POUVOIR AUX DELEGUES REVOCABLES6 MAI 2014

LUNDI 12 MAI 2014


Blackwater-Academi mercenaires des USA contre les peuples d'Ukraine « C'est une guerre par procuration » Jean-Jacques Bourdin avoue la vérité en se contredisant lui-même

CE QUE BARACK OBAMA PREPARE POUR LE PEUPLE RUSSE ET LES ANTIFASCISTES
(source Wikipédia 

Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki

Les victimes


Les brûlures sur le corps de cette femme suivent le motif de sonkimono. Les parties foncées du tissu, qui ont absorbé le rayonnement thermique, se sont échauffées et ont brûlé la peau en contact, alors que les parties claires ont réfléchi le rayonnement et protégé la peau.
Le nombre des victimes ne sera sans doute jamais connu car les circonstances (ville en partie évacuée, présence de réfugiés venant d'autres villes, destruction des archives d'état civil, disparition simultanée de tous les membres d’une même famille, crémations de masse) rendent toute comptabilité exacte impossible, en particulier des morts survenues dans les premières heures.
  • D’après une estimation de 1946 : La population au moment de l’attaque aurait été de 245 000 habitants, de 70 000 à 80 000 auraient été tués et autant blessés29
  • D’après une estimation de 1956 : sur une population de 256 300 personnes, 68 000 furent tuées et 76 000 blessées30.
  • D’après une autre plus récente : Sur une population de 310 000, de 90 000 à 140 000 personnes furent tuées31.
  • D'après le maire d'Hiroshima lors d'un discours politique en 2005, le total des morts s’élèverait à 237 062 personnes32, mais ce nombre est à prendre avec précautions.

Blessures liées au flash lumineux et aux incendies[modifier | modifier le code]

Ces types de blessures retrouvées chez 65 % des survivants blessés d'Hiroshima et Nagasaki, furent responsables peut-être de 50 % des décès33, causés par plusieurs mécanismes :
  • Brûlures de la peau découverte par le rayonnement thermiqueémis pendant une fraction de seconde au moment de l'explosion. Le moindre obstacle opaque a pu apporter une certaine protection : le port de vêtements, en particulier clairs, l’ombre des bâtiments, le feuillage des arbres... C'est peut-être la blessure la plus caractéristique d'une explosion nucléaire.
    • Des brûlures du premier degré (érythème évoquant un coup de soleil) furent observées à plus de 4 km(occasionnellement 5 km) de l'hypocentre.
    • Des brûlures du troisième degré (mortelles si étendues) sur la peau nue jusqu'à 1,5 km (occasionnellement 2,5 km)34.
    • Les personnes proches de l'hypocentre dont les parties du corps furent exposées au flash ont été instantanément carbonisées jusqu’à l'hypoderme. Elles agonisèrent de quelques minutes à quelques heures35 (le rayonnement thermique était de l'ordre de 100 c/cm² libéré en l'espace de 0,3 seconde, ce qui est quinze fois plus important que ce qui provoquerait normalement une brûlure au troisième degré).
On estime que le rayonnement thermique a été responsable directement d’environ 20 à 30 % des morts à Hiroshima et Nagasaki36.
  • Brûlures par les flammes : De nombreux incendies éclatèrent dans la ville après l'explosion : en vingt minutes, les feux se réunirent en un seul foyer généralisé, provoquant l'apparition d'une colonne d'air chaud et de vents violents. Cette tempête de feu dura 16 heures et dévasta 11 km2, ce qui ne laissa que peu de chances aux victimes, souvent déjà blessées, qui y étaient piégées37. Contrairement aux raids incendiaires conventionnels, l'attaque d'Hiroshima limita considérablement les possibilités de fuite de la population en détruisant une large zone. Ce n'est que lorsque l'ensemble du combustible fut épuisé que le feu s'arrêta. Le nombre des décès liés aux incendies est sans doute très important mais impossible à estimer, car beaucoup de corps ont été détruits par les flammes.
  • Un effet secondaire, mais tout aussi mortel, fut l'apparition d'une grande quantité de monoxyde de carbone. Ce gaz entraîna l'asphyxie au milieu du foyer et il y eut certainement peu de rescapés. Cependant, aucun témoignage ne confirme l'assertion d'un dégagement massif de CO38.
  • Enfin, ceux qui avaient les yeux pointés vers la boule de feu eurent la rétine brûlée ou endommagée, provoquant des cécités (le plus souvent réversibles). Cette soudaine incapacité à se déplacer empêcha un grand nombre de personnes de trouver un abri et d'échapper à la mort alors que les incendies se développaient.

Blessures liées à l’onde de choc et à l’effet de souffle

Ces types de blessures furent retrouvés chez 70 % des survivants blessés d'Hiroshima et Nagasaki, mais elles étaient rarement graves. L’hypothèse la plus probable est qu’immobilisés les blessés graves ont été condamnés quand les incendies se sont développés dans les décombres39.
  • Barotraumatisme (effet direct) : lésions internes par rupture des tympans, des sinus, des poumons ou du tube digestif dues à la variation brutale de la pression au passage de l'onde. De telles lésions ont été peu observées (on n’a retrouvé de lésion des tympans, l’organe le plus fragile, que chez moins de 10 % des survivants proche de l’hypocentre)40.
  • Effet indirect, et sans doute bien plus meurtrier :
    • Le passage de l'onde de choc provoqua l'effondrement des bâtiments (jusqu'à 2 km dans le cas des habitations en bois). On estime qu’un grand nombre de victimes succombèrent ensevelies sous les décombres, d'autant que des incendies s'y développèrent rapidement.
    • En se brisant, le bois, le verre et les autres matériaux de construction se transformèrent en des projectiles mortels. Des blessés présentaient des lacérations jusqu'à 2 km de l'hypocentre.
    • Le souffle déplaça brutalement les victimes et les blessa par chute ou écrasement.

Irradiation


Fillette de 11 ans qui avait perdu ses cheveux plus d'une semaine après l'explosion. Elle se trouvait dans une maison en bois à 2 km de l'hypocentre.
Il y a plusieurs causes d’irradiation :
  • La principale cause a été l'irradiation instantanée au moment de l'explosion (irradiation externe par neutrons etrayons γ émis par les réactions nucléaires dans la bombe)41. Elle a représenté une dose létale pour 50 % des personnes exposées à l’extérieur (soit 4 Gy) à un peu plus de 1 km de distance de l’hypocentre. Les bâtiments, en particulier ceux en béton, ont apporté une certaine protection.
  • Beaucoup moins importante (car la bombe a explosé loin du sol) est l'irradiation par la radioactivité induite : Au moment de l'explosion, le bombardement par les neutrons a rendu les matériaux près de l'hypocentre radioactifs par formation deradionucléides. Cette radioactivité a diminué rapidement et est restée confinée à une zone où le rayonnement thermique avait normalement déjà presque tout tué. On estime qu'elle représentait le premier jour, au maximum, une dose cumulée de0,6 Gy. Du deuxième au cinquième jour, elle représentait moins de 0,1 Gy. En quelques jours elle est devenue insignifiante42.
  • Encore moins importante, l'irradiation consécutive auxretombées radioactives : c'est-à-dire irradiation par les radionucléides produits lors de l'explosion et retombant du nuage atomique sous forme de poussières ou de pluie noire. À Hiroshima, l’explosion ayant été aérienne, il y eut assez peu de retombées car le nuage s'éleva rapidement à très haute altitude où les radionucléides se dispersèrent (dose cumulée totale maximum au sol de 0,4 Gy).
Les signes d’irradiation ont été retrouvés chez 30 % des survivants blessés d'Hiroshima et Nagasaki, responsable peut-être de 5 à 15 % des décès43, souvent par syndrome d'irradiation aiguë. Le nombre exact des décès liés au syndrome d'irradiation aiguë est difficile à déterminer car la plupart de ces victimes présentaient également des brûlures thermiques étendues, rapidement fatales avec une symptomatologie générale assez semblable. Aucun effet des radiations n'a été mis en évidence au-delà de 2,4 km de l’hypocentre.


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