vendredi 29 janvier 2016

Laurent Fabius s'est rendu à La Haye pour interdire à la CPI de libérer le président Gbagbo ! Un scoop de Michel Galy sur la nouvelle chaîne d'information africaine LGTV






C'est sur la nouvelle chaîne LGTV que le politologue sociologue Michel Galy vient de révéler ce scandale !
La CPI était sur le point de libérer le président Gbagbo en 2013 quand Laurent Fabius s'est rendu sur place pour que la séquestration soit prolongée !





mercredi 27 janvier 2016

Cet article posté par Thierry Lamireau est poursuivi par le gang Bolloré juges voyous Franceàfric Saida Kelati "Bolloré, Crédit Agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l’accaparement de terres"

Les esclaves de Bolloré reçoivent 50 euros par mois

présentation Yanick Toutain
REVACTU
27/1/2016


REPUBLICATION EN SOLIDARITE DES VICTIMES



La nomination du fasciste larbin de la DGSE Urvoas m'a donné l'occasion de faire connaissance de la page Twitter de Thierry Lamireau


Il faut lire l'article racontant la plainte déposée par ce voyou

LA JUGE SAIDA KELATI NE POURSUIT PAS LES ESCLAVAGISTES QUI PAYENT LEURS SALARIES 50 EUROS, ELLE PERSECUTE LES RESISTANTS
LA LIBERATION REGLERA SON CAS




REPUBLICATION DE L'ARTICLE 
EN SOLIDARITE DES VICTIMES


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PILLAGE ?…BOLLORE, CREDIT AGRICOLE, LOUIS DREYFUS: CES GROUPES FRANCAIS CHAMPIONS DE L’ACCAPAREMENT DE TERRES (Nadia DJABALI / Agnès ROUSSEAUX / Ivan DU ROY)

PILLAGE ?…
PILLAGE ?...BOLLORE, CREDIT AGRICOLE, LOUIS DREYFUS: CES GROUPES FRANCAIS CHAMPIONS DE L'ACCAPAREMENT DE TERRES (Nadia DJABALI / Agnès ROUSSEAUX / Ivan DU ROY) dans ENVIRONNEMENT agriBolloré, Crédit Agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l’accaparement de terres
(Nadia DJABALI / Agnès ROUSSEAUX / Ivan DU ROY)
Alors que 868 millions de personnes souffrent de sous-alimentation, selon l’ONU, l’accaparement de terres agricoles par des multinationales de l’agrobusiness ou des fonds spéculatifs se poursuit. L’équivalent de trois fois l’Allemagne a ainsi été extorqué aux paysans africains, sud-américains ou asiatiques. Les plantations destinées à l’industrie remplacent l’agriculture locale. Plusieurs grandes entreprises françaises participent à cet accaparement, avec la bénédiction des institutions financières. Enquête.
arton2688-7328d ABCD dans POLITIQUE
Au Brésil, le groupe français Louis Dreyfus, spécialisé dans le négoce des matières premières, a pris possession de près de 400 000 hectares de terres : l’équivalent de la moitié de l’Alsace, la région qui a vu naître l’empire Dreyfus, avec le commerce du blé au 19ème siècle. Ces terres sont destinées aux cultures de canne à sucre et de soja. Outre le Brésil, le discret empire commercial s’est accaparé, via ses filiales Calyx Agro ou LDC Bioenergia [1], des terres en Uruguay, en Argentine ou au Paraguay. Si Robert Louis Dreyfus, décédé en 2009, n’avait gagné quasiment aucun titre avec l’Olympique de Marseille, club dont il était propriétaire, il a fait de son groupe le champion français toute catégorie dans l’accaparement des terres.
Le Groupe Louis-Dreyfus – 56 milliards d’euros de chiffre d’affaires [2] – achète, achemine et revend tout ce que la terre peut produire : blé, soja, café, sucre, huiles, jus d’orange, riz ou coton, dont il est le « leader » mondial via sa branche de négoce,Louis-Dreyfus Commodities. Son jus d’orange provient d’une propriété de 30 000 ha au Brésil. L’équivalent de 550 exploitations agricoles françaises de taille moyenne ! Il a ouvert en 2007 la plus grande usine au monde de biodiesel à base de soja, à Claypool, au Etats-Unis (Indiana). Il possède des forêts utilisées « pour la production d’énergie issue de la biomasse, l’énergie solaire, la géothermie et l’éolien ». Sans oublier le commerce des métaux, le gaz naturel, les produits pétroliers, le charbon et la finance.
Course effrénée à l’accaparement de terres
En ces périodes de tensions alimentaires et de dérèglements climatiques, c’est bien l’agriculture qui semble être l’investissement le plus prometteur. « En 5 ans, nous sommes passés de 800 millions à 6,3 milliards de dollars d’actifs industriels liés à l’agriculture », se réjouissait le directeur du conglomérat, Serge Schoen [3]. Le groupe Louis Dreyfus illustre la course effrénée à l’accaparement de terres agricoles dans laquelle se sont lancées de puissantes multinationales. Sa holding figure parmi les cinq premiers gros traders de matières premières alimentaires, avec Archer Daniels Midland (États-Unis), Bunge (basé aux Bermudes), Cargill (États-Unis) et le suisse Glencore. Ces cinq multinationales, à l’acronyme ABCD, font la pluie et le beau temps sur les cours mondiaux des céréales [4].
L’exemple de Louis Dreyfus n’est pas isolé. États, entreprises publiques ou privées, fonds souverains ou d’investissements privés multiplient les acquisitions – ou les locations – de terres dans les pays du Sud ou en Europe de l’Est. Objectif : se lancer dans le commerce des agrocarburants, exploiter les ressources du sous-sol, assurer les approvisionnements alimentaires pour les États, voire bénéficier des mécanismes de financements mis en œuvre avec les marchés carbone. Ou simplement spéculer sur l’augmentation du prix du foncier. Souvent les agricultures paysannes locales sont remplacées par des cultures industrielles intensives. Avec, à la clé, expropriation des paysans, destruction de la biodiversité, pollution par les produits chimiques agricoles, développement des cultures OGM… Sans que les créations d’emplois ne soient au rendez-vous.
Trois fois la surface agricole de la France
Le phénomène d’accaparement est difficile à quantifier. De nombreuses transactions se déroulent dans le plus grand secret. Difficile également de connaître l’origine des capitaux. Une équipe de la Banque Mondiale a tenté de mesurer le phénomène. En vain ! « Devant les difficultés opposées au recueil des informations nécessaires (par les États comme les acteurs privés), et malgré plus d’un an de travail, ces chercheurs ont dû pour l’évaluer globalement s’en remettre aux articles de presse », explique Mathieu Perdriault de l’association Agter.
Selon la base de données Matrice Foncière, l’accaparement de terres représenterait 83 millions d’hectares dans les pays en développement. L’équivalent de près de trois fois la surface agricole française (1,7% de la surface agricole mondiale) ! Selon l’ONG Oxfam, qui vient de publier un rapport à ce sujet, « une superficie équivalant à celle de Paris est vendue à des investisseurs étrangers toutes les 10 heures », dans les pays pauvres [5].
L’Afrique, cible d’un néocolonialisme agricole ?
L’Afrique, en particulier l’Afrique de l’Est et la République Démocratique du Congo est la région la plus convoitée, avec 56,2 millions d’hectares. Viennent ensuite l’Asie (17,7 millions d’ha), puis l’Amérique Latine (7 millions d’ha). Pourquoi certains pays se laissent-il ainsi « accaparer » ? Sous prétexte d’attirer investissements et entreprises, les réglementations fiscales, sociales et environnementales des pays les plus pauvres sont souvent plus propices. Les investisseurs se tournent également vers des pays qui leur assurent la sécurité de leurs placements. Souvent imposées par les institutions financières internationales, des clauses garantissent à l’investisseur une compensation de la part de l’État « hôte » en cas d’expropriation. Des clauses qui peuvent s’appliquer même en cas de grèves ou de manifestations.
Les acteurs de l’accaparement des terres, privés comme publics, sont persuadés – ou feignent de l’être – que seul l’agrobusiness pourra nourrir le monde en 2050. Leurs investissements visent donc à « valoriser » des zones qui ne seraient pas encore exploitées. Mais la réalité est tout autre, comme le montre une étude de la Matrice Foncière : 45% des terres faisant l’objet d’une transaction sont des terres déjà cultivées. Et un tiers des acquisitions sont des zones boisées, très rentables lorsqu’on y organise des coupes de bois à grande échelle. Des terres sont déclarées inexploitées ou abandonnées sur la foi d’imageries satellites qui ne prennent pas en compte les usages locaux des terres.
40% des forêts du Liberia sont ainsi gérés par des permis à usage privés [6] (lire aussi notre reportage au Liberia). Ces permis, qui permettent de contourner les lois du pays, concernent désormais 20 000 km2. Un quart de la surface du pays ! SelonOxfam, 60% des transactions ont eu lieu dans des régions« gravement touchées par le problème de la faim » et « plus des deux tiers étaient destinées à des cultures pouvant servir à la production d’agrocarburants comme le soja, la canne à sucre, l’huile de palme ou le jatropha ». Toujours ça que les populations locales n’auront pas…
Quand AXA et la SOCIETE GENERALE
se font propriétaires terriens
« La participation, largement médiatisée, des États au mouvement d’acquisition massive de terre ne doit pas masquer le fait que ce sont surtout les opérateurs privés, à la poursuite d’objectifs purement économiques et financiers, qui forment le gros bataillon des investisseurs », souligne Laurent Delcourt, chercheur au Cetri. Les entreprises publiques, liées à un État, auraient acheté 11,5 millions d’hectares. Presque trois fois moins que les investisseurs étrangers privés, propriétaires de 30,3 millions d’hectares. Soit la surface de l’Italie ! Si les entreprises états-uniennes sont en pointe, les Européens figurent également en bonne place.
Banques et assurances françaises se sont jointes à cette course à la propriété terrienne mondiale. L’assureur AXA a investi 1,2 milliard de dollars dans la société minière britannique Vedanta Resources PLC, dont les filiales ont été accusées d’accaparement des terres [7]. AXA a également investi au moins 44,6 millions de dollars dans le fond d’investissement Landkom (enregistré dans l’île de Man, un paradis fiscal), qui loue des terres agricoles en Ukraine. Quant au Crédit Agricole, il a créé – avec la Société Générale – le fonds « Amundi Funds Global Agriculture ». Ses 122 millions de dollars d’actifs sont investis dans des sociétés telles que Archer Daniels Midland ou Bunge, impliquées comme le groupe Louis Dreyfus dans l’acquisition de terres à grande échelle. Les deux banques ont également lancé le « Baring Global Agriculture Fund » (133,3 millions d’euros d’actifs) qui cible les sociétés agro-industrielles. Les deux établissement incitent activement à l’acquisition de terres, comme opportunité d’investissement. Une démarche socialement responsable ?
Vincent Bolloré, gentleman farmer
Après le groupe Louis Dreyfus, le deuxième plus gros investisseur français dans les terres agricoles se nomme Vincent Bolloré. Son Groupe, via l’entreprise Socfin et ses filialesSocfinaf et Socfinasia, est présent dans 92 pays dont 43 en Afrique. Il y contrôle des plantations, ainsi que des secteurs stratégiques : logistique, infrastructures de transport, et pas moins de 13 ports, dont celui d’Abidjan. L’empire Bolloré s’est développée de façon spectaculaire au cours des deux dernières décennies « en achetant des anciennes entreprises coloniales, et [en] profitant de la vague de privatisations issue des « ajustements structurels » imposés par le Fonds Monétaire International », constate le Think tank états-unien Oakland Institute.
Selon le site du groupe, 150 000 hectares plantations d’huile de palme et d’hévéas, pour le caoutchouc, ont été acquis en Afrique et en Asie. L’équivalent de 2700 exploitations agricoles françaises ! Selon l’association Survie, ces chiffres seraient en deçà de la réalité. Le groupe assure ainsi posséder 9 000 ha de palmiers à huile et d’hévéas au Cameroun, là où l’association Survie en comptabilise 33 500.
Expropriations et intimidations des populations
Quelles sont les conséquences pour les populations locales ? Au Sierra Leone, Bolloré a obtenu un bail de 50 ans sur 20 000 hectares de palmier à huile et 10 000 hectares d’hévéas. « Bien que directement affectés, les habitants de la zone concernée semblent n’avoir été ni informés ni consultés correctement avant le lancement du projet : l’étude d’impact social et environnemental n’a été rendue publique que deux mois après la signature du contrat », raconte Yanis Thomas de l’associationSurvie. En 2011, les villageois tentent de bloquer les travaux sur la plantation. Quinze personnes « ont été inculpées de tapage, conspiration, menaces et libérées sous caution après une âpre bataille judiciaire. » Bolloré menace de poursuivre en justice pour diffamation The Oakland Institute, qui a publié un rapport en 2012 sur le sujet pour alerter l’opinion publique internationale.
Au Libéria, le groupe Bolloré possède la plus grande plantation d’hévéas du pays, via une filiale, la Liberia Agricultural Company (LAC). En mai 2006, la mission des Nations Unies au Libéria (Minul) publiait un rapport décrivant les conditions catastrophiques des droits humains sur la plantation : travail d’enfants de moins de 14 ans, utilisation de produits cancérigènes, interdiction des syndicats, licenciements arbitraires, maintien de l’ordre par des milices privées, expulsion de 75 villages…. La LAC a qualifié les conclusions de laMinul « de fabrications pures et simples » et « d’exagérations excessives ». Ambiance… Plusieurs années après le rapport des Nations Unies, aucune mesure n’a été prise par l’entreprise ou le gouvernement pour répondre aux accusations.
Une coopérative agricole qui méprise ses salariés
Autre continent, mêmes critiques. Au Cambodge, la Socfinasia, société de droit luxembourgeois détenue notamment par le groupe Bolloré a conclu en 2007 un joint-venture qui gère deux concessions de plus de 7 000 hectares dans la région de Mondulkiri. La Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) a publié en 2010 un rapport dénonçant les pratiques de la société Socfin-KCD.« Le gouvernement a adopté un décret spécial permettant l’établissement d’une concession dans une zone anciennement protégée, accuse la FIDH. Cette situation, en plus d’autres violations documentées du droit national et des contrats d’investissement, met en cause la légalité des concessions et témoigne de l’absence de transparence entourant le processus d’approbation de celles-ci. » Suite à la publication de ce rapport, la Socfin a menacé l’ONG de poursuites pour calomnie et diffamation.
Du côté des industries du sucre, la situation n’est pas meilleure. Depuis 2007, le géant français du sucre et d’éthanol, la coopérative agricole Tereos, contrôle une société mozambicaine [8]. Tereos exploite la sucrerie de Sena et possède un bail de 50 ans (renouvelable) sur 98 000 hectares au Mozambique. Le contrat passé avec le gouvernement prévoit une réduction de 80% de l’impôt sur le revenu et l’exemption de toute taxe sur la distribution des dividendes. Résultat : Tereos International réalise un profit net de 194 millions d’euros en 2010, dont 27,5 millions d’euros ont été rapatriés en France sous forme de dividendes. « De quoi mettre du beurre dans les épinards des 12 000 coopérateurs français de Tereos », ironise le journaliste Fabrice Nicolino. Soit un dividende de 2 600 euros par agriculteur français membre de la coopérative. Pendant ce temps, au Mozambique, grèves et manifestations se sont succédé dans la sucrerie de Sena : bas salaires (48,4 euros/mois), absence d’équipements de protection pour les saisonniers, nappe phréatique polluée aux pesticides… Ce doit être l’esprit coopératif [9].
Fermes et fazendas, nouvelles cibles de la spéculation
Connues ou non, on ne compte plus les entreprises et les fonds d’investissement français qui misent sur les terres agricoles.Bonduelle, leader des légumes en conserve et congelés, possède deux fermes de 3 000 hectares en Russie où il cultive haricots, maïs et pois. La célèbre marque cherche à acquérir une nouvelle exploitation de 6 000 ha dans le pays. Fondée en 2007 par Jean-Claude Sabin, ancien président de la pieuvre Sofiproteol (aujourd’hui dirigée par Xavier Beulin président de la FNSEA), Agro-Energie Développement (AgroEd) investit dans la production d’agrocarburants et d’aliments dans les pays en développement. La société appartient à 51% au groupe d’investissement LMBO, dont l’ancien ministre de la Défense, Charles Millon, fut l’un des directeurs. Les acquisitions de terres agricoles d’AgroEd en Afrique de l’Ouest sont principalement destinées à la culture du jatropha, transformé ensuite en agrocarburants ou en huiles pour produits industriels. Mais impossible d’obtenir plus de précisions. Les sites internet de LMBO et AgroED sont plus que discrets sur le sujet. Selon une note de l’OCDE, AgroEd aurait signé un accord avec le gouvernement burkinabé concernant 200 000 hectares de Jatropha, en 2007, et négocient avec les gouvernements du Bénin, de Guinée et du Mali.
« Compte tenu de l’endettement massif des États et des politiques monétaires très accommodantes, dans une optique de protection contre l’inflation, nous recommandons à nos clients d’investir dans des actifs réels et notamment dans les terres agricoles de pays sûrs, disposant de bonnes infrastructures, comme l’Argentine », confie au Figaro Franck Noël-Vandenberghe, le fondateur de Massena Partners. Ce gestionnaire de fortune français a crée le fond luxembourgeoisTerra Magna Capital, qui a investi en 2011 dans quinze fermes en Argentine, au Brésil, au Paraguay et en Uruguay. Superficie totale : 70 500 hectares, trois fois le Val-de-Marne ! [10]
Le maïs aussi rentable que l’or
Conséquence de ce vaste accaparement : le remplacement de l’agriculture vivrière par la culture d’agrocarburants, et la spéculation financière sur les terres agricoles. Le maïs a offert, à égalité avec l’or, le meilleur rendement des actifs financiers sur ces cinq dernières années, pointe une étude de la Deutsche Bank. En juin et juillet 2012, les prix des céréales se sont envolés : +50 % pour le blé, +45% pour le maïs, +30 % pour le soja, qui a augmenté de 60 % depuis fin 2011 ! Les prix alimentaires devraient « rester élevés et volatils sur le long terme », prévoit la Banque Mondiale. Pendant ce temps, plus d’un milliard d’individus souffrent de la faim. Non pas à cause d’une pénurie d’aliments mais faute d’argent pour les acheter.
Qu’importe ! Au nom du développement, l’accaparement des terres continue à être encouragé – et financé ! – par les institutions internationales. Suite aux famines et aux émeutes de la faim en 2008, la Banque Mondiale a créé un « Programme d’Intervention en Réponse à laCrise Alimentaire Mondiale » (GFRP). Avec plus de 9 milliards de dollars en 2012, son fonds de « soutien » au secteur agricole a plus que doublé en quatre ans. Via sa Société Financière Internationale (SFI), l’argent est distribué aux acteurs privés dans le cadre de programme aux noms prometteurs : « Access to land » (accès à la terre) ou « Land market for investment » (marché foncier pour l’investissement).
Des placements financiers garantis par laBanque Mondiale
Les deux organismes de la Banque Mondiale, SFI et FIAS(Service Conseil pour l’Investissement Étranger) facilitent également les acquisitions en contribuant aux grandes réformes législatives permettant aux investisseurs privés de s’installer au Sierra Leone, au Rwanda, au Liberia ou au Burkina Faso… Quels que soient les continents, « La Banque Mondiale garantit nos actifs par rapport au risque politique », explique ainsi l’homme d’affaire états-unien Neil Crowder à la BBC en mars 2012, qui rachète des petites fermes en Bulgarie pour constituer une grosse exploitation. « Notre assurance contre les risques politiques nous protège contre les troubles civils ou une impossibilité d’utiliser nos actifs pour une quelconque raison ou en cas d’expropriation. »
Participation au capital des fonds qui accaparent des terres, conseils et assistances techniques aux multinationales pour améliorer le climat d’investissement des marchés étrangers, négociations d’accords bilatéraux qui créent un environnement favorable aux transactions foncières : la Banque Mondiale et d’autres institutions publiques – y compris l’Agence Française du Développement – favorisent de fait « la concentration du pouvoir des grandes firmes au sein du système agroalimentaire, (…) la marchandisation de la terre et du travail et la suppression des interventions publiques telles que le contrôle des prix ou les subventions aux petits exploitants », analyse Elisa Da Via, sociologue du développement [11].
Oxfam réclame de la Banque Mondiale « un gel pour six mois de ses investissements dans des terres agricoles » des pays en développement, le temps d’adopter « des mesures d’encadrement plus rigoureuses pour prévenir l’accaparement des terres ».
 Que pense en France le Ministère de l’Agriculture de ces pratiques ?
Il a présenté en septembre un plan d’action face à la hausse du prix des céréales. Ses axes prioritaires : l’arrêt provisoire du développement des agrocarburants et la mobilisation du G20 pour « assurer une bonne coordination des politiques des grands acteurs des marchés agricoles » Des annonces bien vagues face à l’ampleur des enjeux : qui sont ces « grands acteurs des marchés agricoles » ? S’agit-il d’aider les populations rurales des pays pauvres à produire leurs propres moyens de subsistance ou de favoriser les investissements de l’agrobusiness et des fonds spéculatifs sous couvert de politique de développement et de lutte contre la malnutrition ? Les dirigeants français préfèrent regarder ailleurs, et stigmatiser l’immigration.
Nadia DJABALI, avec Agnès ROUSSEAUX et Ivan DU ROY
Photos : © Eric GARAULT

Notes:

[1] « En octobre 2009, LDC Bioenergia de Louis Dreyfus Commodities a fusionné avec Santelisa Vale, un important producteur de canne à sucre brésilien, pour former LDC-SEV, dont Louis Dreyfus détient 60% », indique l’ONG Grain.
[2] Le groupe Louis Dreyfus ne publie pas de résultats détaillés. Il aurait réalisé en 2010 un chiffre d’affaires de 56 milliards d’euros, selon L’Agefi, pour un bénéfice net de 590 millions d’euros. La fortune de Margarita Louis Dreyfus, présidente de la holding, et de ses trois enfants, a été évaluée par le journalChallenges à 6,6 milliards d’euros.
[4] L’ONG Oxfam a publié en août 2012 un rapport (en anglais) décrivant le rôle des ABCD.
[5] Selon Oxfam, au cours des dix dernières années, une surface équivalente à huit fois la superficie du Royaume-Uni a été vendue à l’échelle mondiale. Ces terres pourraient permettre de subvenir aux besoins alimentaires d’un milliard de personnes.
[6] D’après les ONG Global Witness, Save My Future Foundation (SAMFU) et Sustainable Development Institute (SDI).
[7] Source : Rapport des Amis de la Terre Europe.
[8] Sena Holdings Ltd, via sa filiale brésilienne Açúcar Guaraní.
[9] Une autre coopérative agricole, Vivescia (Ex-Champagne Céréales), spécialisée dans les céréales, investit en Ukraine aux côtés Charles Beigbeder, fondateur de Poweo (via un fonds commun, AgroGeneration). Ils y disposent de 50 000 hectares de terres agricoles en location.
[10] La liste des entreprises françaises dans l’accaparement des terres n’est pas exhaustive : Sucres & Denrée (Sucden) dans les régions russes de Krasnodar, Campos Orientales en Argentine et en Uruguay, Sosucam au Cameroun, la Compagnie Fruitière qui cultive bananes et ananas au Ghana…
[11Emprise et empreinte de l’agrobusiness, aux Editions Syllepse.

condamnation 31000 euros avant de démissionner ! Taubira s'est vengée avec ses juges voyous de ma chanson 2007 "Pompiers de la révolte"

par Yanick Toutain
REVACTU
22/1/2016

"Rebelles de la parole
Ils touchent le fric des maîtres
Les Christiane Taubira
 Leurs mots sont des combats
Marionnettes qui rigolent
 Quand c'est pour vous soumettre
Leurs militaires fascistes
 Nous inscrivent sur les listes
"

La quantité de faux en écritures commises par les juges de Christiane Taubira pour me faire condamner est innombrable.
Celle qui était un personnage de ma chanson de 2007 a pu profiter de l'offensive DGSE contre moi et Julie Amadis - en tant que révolutionnaire PRO Afrique - s'est bien vengée !
Une chanson de l'"album" Africa Unité 1

JEUDI 3 FÉVRIER 2011

Mais il est vrai que des mauvaises langues diront que cette dame au service de la Franceàfric n'avait pas besoin de motifs personnels pour agir ainsi !!
C'est stupide ! Une telle marionnette de la DGSE et des services secrets esclavagistes aura précisément été manipulée par ces criminels en instrumentalisant le texte de cette chanson !!!
une manipulation pour l'inciter à commettre et protéger des centaines d'actes délictuels.... camouflant des milliers de crimes commis en Afrique !

DES FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES INNOMBRABLES

LUNDI 24 FÉVRIER 2014
Chaque document transmis à Julie Amadis - dont les juges faussaires de la Cour d'Appel de Bordeaux ont inventé qu'elle aurait avoué - fait apparaitre de nouveaux faux en écritures camouflés précédemment.
Pas ceux que j'ai reçu !
Mon adresse courriel de blog chez Google n'a jamais reçu le moindre courrier ! Ni du plaignant ni de la justice.

LES JUGES DELINQUANTS DE TAUBIRA

C'est exprès ! Ces juges voyous (président du TGI Angoulême Michael Janas, juges de cour d'appel Bordeaux Robert Miori, Bernard Ors et leurs complices du tribunal correctionnel du Havre, du TGI du Havre et de la Cour d'Appel de Rouen ont bien veillé à ne JAMAIS me prévenir !
Même que j'écris spécialement à l'un d'entre eux..... qui, sans m'avoir averti, me condamnera plusieurs mois plus tard

MARDI 4 NOVEMBRE 2014


PROTECTION DU RESEAU TERRORISTE SORO-JMBOURRY-OUATTARA

Mais sous Taubira, plus de justice ! Il faut protéger les terroristes de Côte d'Ivoire.....
Il faut protéger le réseau Soro !
Il faut protéger les terroristes mis au pouvoir par l'ONUCI de Jean-Marie Bourry !


JEUDI 11 DÉCEMBRE 2014

LUNDI 5 JANVIER 2015

Christiane Taubira marraine et protectrice de 3 juges voyous faussaires et d'un procureur agresseur et auteur de faux en écritures


Christiane Taubira et ses trois juges voyous
Robert Miori, Bernard Ors et Michael Janas
rédigeant des faux en écritures pour faire gagner 31000€
 au barbouze ONUCI Jean-Marie Bourry
dans cette tentative d'escroquerie en bande organisée
Il manque sur l'image le procureur FrancisNachbar 
LA MINISTRE DE LA JUSTICE CHRISTIANE TAUBIRA PROTEGE TROIS JUGES DELINQUANTS AUTEURS ET RECELEURS DE FAUX EN ECRITURES
ROBERT MIORI BERNARD ORS ET MICHAEL JANAS
C'est sous son égide et avec sa haute protection (délictuelle) que les jugements délictuels de septembre 2012 TGI Angoulême, février 2013 (C App Bordeaux), juillet 2013 (C App Bordeaux) (et jugements annexes) ont été commis par ses juges mercenaires à l'aide de faux en écritures destinés à étayer une abusive plainte en atteinte à la vie privée (maquillage d'une première plainte en diffamation de novembre 2011contre un article RevActu du 2/1/2011  prescrite pour avoir été déposée 11 mois après)

Mais cette dame est comme un éléphant stupide mais doté de mémoire !
La vengeance est un plat qui se mange froid !


26 POMPIERS DE LA RÉVOLTE(Paroles et musique : Yanick Toutain 2007)


Pompiers de la révolte Semblables à l'Oncle Tom
Les Christine Taubira Ne les écoutez pas
Tous ces bandits qui veulent Te rendre imbécile comme
L'esclave du roman On t'endort on te ment !

Pompiers de jours d'émeute Ils travaillent pour la Bourse
Radicaux socialistes Agence colonialiste
Tous ces bandits en meute Mordent quand ils te coursent
Leurs sourires sont factices Les mots outils du vice


Rebelles de la parole Ils touchent le fric des maîtres
Les Christiane Taubira Leurs mots sont des combats
Marionnettes qui rigolent Quand c'est pour vous soumettre
Leurs militaires fascistes Nous inscrivent sur les listes

Rebelles des mots truqués Se pavanent en médias
La bourgeoisie les aime Ils vous l'avouent eux-mêmes
Pantins des rois boursiers Ils vous tendent leurs bras
Demandez-leur le fric Qu'ils volent à toute l'Afrique



Une chanson prémonitoire que je n'ai jamais mise en ligne.
Il faudra en prendre le temps un jour !


COMPLEMENT

DEPUIS NOVEMBRE 2011 CELA FAIT 4 ANNEES DE HARCELEMENTS PAR CE RESEAU DE SOUTIEN AUX TERRORISTES SORO OUATTARA



3 ANNÉES DE HARCÈLEMENT BOURRY-NACHBAR-SARKOZY-HOLLANDE FRANCEÀFRIC ONUCI OMERTA76

vendredi 22 janvier 2016

Il faut un Barkhane en France ! Eradiquer tous les réseaux de soutiens aux terroristes ! Incluant Hollande Sarkozy Beth Puga etc....


par Yanick Toutain
REVACTU
22/1/2015

"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. (...)  Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.


Lutter contre les terroristes du Burkina quand ils sont soutenus depuis l'Elysée est une vaste farce hypocrite.
Ce matin on apprend sur RFI que des militaires de l'Etat major français se sont faits attraper au téléphone en train de donner des conseils à Diendéré.
Les lecteurs de REVACTU savaient que l'Elysée soutenait Diendéré

MERCREDI 23 SEPTEMBRE 2015

HollandeGATE "Soutien discret" au putschiste Diendiéré depuis l'Elysée (général Benoît Puga) et du général Emmanuel Beth ex-ambassadeur Burkina Faso Franceàfric Nicolas Beau (Mondafrique) accuse




Le général Franceàfric Benoit Puga qui a envoyé
 les terroristes MNLA Ansar Eddine attaquer le Mali
sous Sarkozy et est revenu les aider avec Serval
présentation Yanick Toutain
de l'article de Nicolas Beau


"[Gilbert Diendiéré] le militaire félon a bénéficié du soutien discret à Paris de deux hommes clés: l'ancien ambassadeur français au Burkina, le général Emmanuel Beth et, le chef de l'Etat Major particulier de l'Elysée, le général Benoit Puga." 

"Le général Puga, qui occupait les mêmes fonctions à l'Elysée sous Nicolas Sarkozy, joue un role majeur dans la politique française en Afrique. Il fut un des artisans de l'intervention en Libye sous le quinquennat précédent et un des maîtres d'oeuvre de  l'opération Serval."

NOUVELLES CONFIRMATION SUR RFI



C’est dans cette période cruciale que le général reçoit et passe de nombreux appels téléphoniques enregistrés par les services de sécurité. Parmi ces appels, il y a cet homme qui téléphone depuis la France. Il dit s’appeler Roger Sebag, et connait visiblement très bien les coulisses de la politique burkinabè. Il conseille au général Diendéré de reprendre les armes pour empêcher la dissolution du RSP et la mise en échec du putsch.
« A mon sens, il faudrait réaliser cette opération, en urgence, de neutralisation de plusieurs membres de ce gouvernement transitoire… Il faut par contre ensuite faire une déclaration et appeler Djibril Bassolé à prendre le pouvoir en établissant un Conseil national de salut public, Auquel participeraient des militaires et des civils. C’est à mon sens la seule solution parce qu’on va arriver autrement à une situation intenable. Vous et vos hommes serez de toute façon, d’une manière ou d’une autre, en danger. »
Au cours de la conversation, le général Diendéré écoute d’une oreille distraite cet étrange interlocuteur qui pendant quinze minutes va lui expliquer en détail et sur un ton paternaliste la stratégie à suivre pour sauver le coup d’Etat.(...)
Mais les Ivoiriens ne sont pas les seuls à avoir eu le général Diendéré au bout du fil durant ces journées de septembre. De source militaire française, nous savons que plusieurs gradés de l’état-major à Paris l’ont eu au téléphone. C’était pour le dissuader, dit-on, de poursuivre son action. (RFI)

Les révolutionnaires connaissent la vérité

LES TERRORISTES CONTRE LE MALI
 ETAIENT TELEGUIDES PAR SARKOZY ET PUGA

Le dirigeant du MNLA  Hama Ag Mahmoud (Beau fils de Mohamed Ali Ag Attaher, l'Amenokal des Kal-Ansar,)
"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. (...)  Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique." REVACTU

COMMENTAIRE CENSURE PAR JD MERCHET L'OPINION



Il faut un Barkhane en France qui éradiquerait TOUS les agents de soutien des terroristes
Cela commencerait par l'arrestation du général Puga qui - selon les aveux d'un chef MNLA - envoya ce groupe terroriste attaquer le Mali avec Iyad Ag Ghali
Cela continuerait avec ceux qui ont versé 58 millions de dollars à AQMI , 20 millions d'euros au leader de Ansardine - 22 mois après l'assassinat du capitaine Sékou Traoré et de 82 (certains disent 117) militaires maliens.
Cela continuerait par tous les réseaux Qatar ; Arabie Saudite, salafistes, Tariq Ramadan etc de soutien aux terroristes/
Cela impliquerait la rupture avec le régime terroriste Erdogan et l'annonce d"une guerre jusqu'à mise hors d'état de nuire des réseaux Seoud et Al Thani  - faux musulmans agents de la Riba haram !
Etc etc....
Naturellement, toutes les directions UMP LR PS etc.... mouillées jusqu'au cou dans l'infiltration islamofasciste en France seraient mises en garde à vue....
Tous les soutiens aux putschs de Côte d'Ivoire (depuis le 16 décembre 2010) et du Burkina Faso (incluant ceux qui ont exfiltré Soro à la COP 21)  .... en GàV
Tous les juges et procureurs auteurs et receleurs de faux en écritures destinés à la répression des activistes dénonçant ces putschs (inclus les juges Miori et Ors de Cour d'Appel de Bordeaux) seraient placés eux aussi en garde à vue comme complice des réseaux terroristes Soro-Diendéré-Puga-Beth-Ouattara-Bassolé etc......
La défaite des petits fantassins du Mali serait la conséquence quasi immédiate de cette mise hors d'état de nuire de leurs réseaux de soutien en France !
L'école de "petits combattants du jihad" à 65 km de Kidal n'existe que par la volonté du général Puga et donc de François Hollande.
Il en va de même de l'impunité actuelle des terroristes MNLA, devenus les rois du Nord Mali sous protection Serval !


mercredi 20 janvier 2016

Marianne censure 4 commentaires pro-laïcité ! En voici la copie


présentation Yanick Toutain
REVACTU
20/1/2015

Les lobbies islamofascistes sont tellement puissants en France que la moindre défense de la laïcité est menacée de censure en permanence.

Même sur Marianne







Discussion on Marianne.net  42 comments

Jean-Louis Bianco doit démissionner de l'Observatoire national de la laïcité

Yanick Toutain


Et ils ont effacé le lien vers l'autre chanson du groupe !!

Yanick Toutain


Ils ont rejeté mes remerciements à votre lien !!!

Yanick Toutain


Grâce à vous j'ai aussi découvert ce petit bijour anticlérical militant

Bien que je préfère ruser face aux bigots et donc ne pas les attaquer de front, j'apprécie cette oeuvre qui s'en prend à TOUTES les religions !
A FAIRE CIRCULER
Yanick Toutain


merci du lien
Je suis allé commenter directement

Ce Médine m'a placé dans une liste de racistes d'extrême droite et de droite extrême !
Les islamofascistes ne savent rien faire d'autres que de pareils amalgames au service de leur maitre véritable : la RIBA HARAM !
Yanick Toutain


Les gens comme mon grand-père bouffeur de curé Emile Toutain (mort en 1963 à un âge avancé) firent tellement pression contre la racaille bigote au service du Vatican et de la réaction fasciste que la bourgeoisie française créa une ARMISTICE , une TREVE.
Son nom fut laïcité !
Ce sont les agents de la CIA et de la DGSE qui, avec leurs pantins du Qatar et de l'Arabie Saoudite militent à saboter cette trève !
Il faudra donc renverser tout le capitalisme pour en finir !
Il faudra donc achever ce qui aurait du être fait en 1905 !
+++++
NB ! Mon père né en 1931 ne fut JAMAIS baptisé sur ORDRE de mon grand-père !
Grand bien lui fasse !
Yanick Toutain


Il est tant que les ANTIFASCISTES cessent de supporter les coups et les menaces criminelles des pantins de la CIA et de la DGSE !
Les menaces des Médine et autres islamofascistes au service de Tariq Ramadan et du Qatar doivent subir le même sort que les activités de financement de AQMI et de ANSARDINE par la DGSE Hollande Sarkozy : SUBIR LES FOUDRES D'uNE JUSTICE ANTIFASCISTE et donc ANTICAPITALISTE !
http://lhavraisverite.blogspot...
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