vendredi 6 mai 2011

Révolution au Burkina Faso, Révolution Tunisienne de janvier 2011, Révolution russe de Février 1917 Une réponse à Victor Kima


Burkina Faso : "Ceux qui sont arrivés plus tôt comme moi ont eu droit au salut de militaires qui rentraient au camp juste à côté du meeting ... mains levées, poings fermés" Une ARMEE COMPRADORE prête à se CASSER en deux ! 

Voici donc ma réponse à votre « commentaire » de mon texte.
J'ai fini par y répondre en vous présentant mes excuses malgré le temps perdu par suite de l'attaquefasciste subie le 4/5 sur le mur "1 million pour les Etats Unis D'Afrique".
Par ailleurs, je n'avais pas de documents sur les « marxistes-léninistes » auxquels vous faites allusion ni de réactions de Julien Communiste me permettant de comprendre quel pouvait être leur positionnement actuel – au-delà de sempiternels rabâchages de théories construites un siècle et demi auparavant.
Enfin, il m'était difficile – et cela l'est toujours – de vous répondre sans donner à ma réponse un caractère polémique.
En effet, autant pour eux – les marxiste-léninistes - que pour moi, vous ne construisez pas de véritable structure argumentaire : Le lecteur a besoin de savoir ce que l'un a réellement dit et ce que ce que l'autre répond.
Le lecteur a besoin de connaître les faits précis invoqués pour contredire l'argumentation de l'autre, le lecteur a besoin de connaître les relations causales précises mises en doute par le contradicteur … mais à la condition que ce même lecteur ait connaissance des propos exactes de l'autre.
Je viens de voir apparaître deux textes de l'un de ces mystérieux « marxistes-léninistes ».
Je comprends – un tout petit peu mieux – ce qui vous sépare …. et vous rapproche.


Victor Kima : "on retrouve les mêmes ingrédients en Russie de 1917 qu’au Burkina de 2011.", "seuls des imbéciles et d’indécrottables commentateurs peuvent ne pas comprendre la portée historique des gestes des militaires croisés par Victor Kima" et "on peut être certain que des sankaristes vrais, des sankaristes égalitaristes se trouvaient dans ce groupe de soldats qui manifestaient ainsi leur solidarité avec le peuple."
« Ces commentaires sont de Yanick Toutain et sont faits en comparaison de la révolution russe de 1917 dans sa phase pre-insurrectionnelle, avec le salut remarquable des militaires aux manifestants du 30 avril dernier que jai rapporté en ligne et dont je lui suis reconnaissant pour la fidéle correction du texte et sa vulgarisation. Cependant, et j’espère que Yannick ne se découragera pas, j’affirme que si la solidarité des forces de défense et de sécurité burkinabé, d’avec la souffrance de son peuple ne fait pas le fait pas l’ombre de doute a mon niveau, de là à reconnaitre des similitudes avec un certain niveau du processus de la révolution russe de 1917, je n’y crois pas. »


Yanick Toutain :  Cette introduction me laisse sans voix. En effet, pour les premières lignes, si je n'avais eu d'échanges courtois avec Victor Kima, j'aurais eu un impression de construction délibérée d'un trucage volontaire.
En effet, Victor, vous avez le culot de coller trois phrases provenant de trois endroits différents de mon texte. Sans même prendre la précaution d'ajouter les (…) traditionnels afin que le lecteur puisse – au moins – deviner que je ne donne pas de lien causal direct entre ces suites de propositions.
Pour commencer, vous allez prélever un commentaire que je donne à la suite d'une longue description donnée par Léon Trotsky de la Révolution de Février 1917.
Sans prendre la peine de donner ni d'extraits de cette longue description, ni même le chapeau introductif.
Le voici :
Aujourd'hui avait lieu le rassemblement à l'appel de l'opposition.
3000 personnes rassemblées pour un "COMPAORE DEGAGE" exprimé sous la forme bien trop gentille - concernant l'assassin de Thomas Sankara - d'un "BLAISE DEGAGE".
3000 personnes c'est beaucoup et peu à la fois.
Mais la principale nouvelle de la journée c'est un ami facebook qui, en annexe de ses photos, nous en fit - tardivement - l'écho :
LES PREMIERS SIGNES DE CRAQUEMENT REVOLUTIONNAIRE DE L'ARMEE COMPRADORE DE L'ASSASSIN COMPAORE


 Voici le message de mon ami facebook Victor Kima
.ceux qui st arrive plutot com moi on eu droit au salut de militaires qui rentraient au camp juste a cote du meeting ds trois cargot.mains levees.poings fermes,pardon pour la forme.
Lisez ces  textes décrivant les évènements du mois de Février 1917
Entre temps, le mot d'ordre général est qu'il faut désarmer les pharaons. La police est l'ennemi farouche, inexorable, haï et haineux.
Je parle donc des « premiers signes de craquement révolutionnaire de l'armée compradore de Compaoré ».
Je considère, Victor, qu'il est presque malhonnête de ne pas permettre au lecteur de savoir quels sont donc les « 
mêmes ingrédients  » qu'on « retrouve » dans les deux situations « en Russie de 1917 qu’au Burkina de 2011 »
Je vous signale, au passage, que la totalité de votre texte semble méconnaitre qu'il y eut, en 1917 DEUX révolutions en Russie. Deux révolutions bien différentes dans leur contenu.
Méconnaitre cette autre différence vous sert pas la suite de point d'appui à un raisonnement vicié par cette méconnaissance fondamentale.

LES CRAQUEMENTS DE L'ARMEE
COMME POINT CENTRAL
DE SIMILITUDE
1917-2011 Russie Cameroun
Le lecteur que vous avez conditionné par votre absence de précision sur le fait qu'il s'agit des craquements dans l'armée burkinabé va donc devenir réceptif à vos arguments.
Mais cela ne vous est pas suffisant !
Vous enchainez par une citation se trouvant bien plus loin sans montrer le PACIFISME INTELLIGENT des ouvriers de Petrograd.
Extrait de ma citation :

Entre temps, le mot d'ordre général est qu'il faut désarmer les pharaons. La police est l'ennemi farouche, inexorable, haï et haineux. Il ne peut être question de se la concilier. On assomme ses gens ou bien on les tue. Mais il en est tout autrement pour les troupes ; la foule s'applique de toutes manières à éviter des conflits avec l'armée ; elle cherche, au contraire, les moyens de conquérir les soldats, de les convaincre, de les attirer, de se les apparenter, de les faire siens.

On voir bien, ici que j'insiste sur la RUSE qui consiste à travailler psychologiquement le SOLDAT/ Il s'agit de les « CONQUERIR, DE LES CONVAINCRE, DE SE LES APPARENTER, DE LES FAIRE SIENS »
On va voir plus loin, Victor que le fait de ne pas FAIRE CES CITATIONS de mon texte va vous permettre de me faire ENDOSSER des positions politiques CONTRAIRES aux miennes !
C'est tout de même gonflé !!!! Non ?
Même chose quant au rôle crucial joué par les femmes !
Vous ne donnez même pas au lecteur la possibilité de comprendre ce qui va se PRODUIRE AU BURKINA FASO quand les femmes IMITERONT les femmes du mois de février-mars de Pétrograd
Voici un nouvel extrait de mon texte – je faisais citation de Léon Trotsky
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Dans ces rencontres entre soldats et ouvriers, les travailleuses jouent un rôle important. Plus hardiment que les hommes, elles s'avancent vers les rangs de la troupe, s'agrippent aux fusils, supplient et commandent presque : " Enlevez vos baïonnettes, joignez-vous à nous ! " Les soldats s'émeuvent, se sentent tout penauds, s'entre-regardent avec anxiété, hésitent encore ; l'un d'eux, enfin, se décide avant les autres et les baïonnettes se relèvent dans un mouvement de repentir au-dessus des épaules des assaillants, le barrage s'ouvre, l'air retentit de hourras joyeux et reconnaissants, les soldats sont entourés, de toutes parts s'élèvent des discussions, des reproches, des appels ; la révolution fait un pas de plus.
on est le "Le 25 [le samedi 10 mars], la grève prit une nouvelle ampleur." (Léon Trotsky )
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Mais, comme il fallait bien que le lecteur de 2011 se recadre bien historiquement, je ne m'arrêtais pas là et faisais une nouvelle citation !
J'insiste énergiquement sur toute la composante PACIFISTE d'une véritable révolution de masse.
Une révolution à l'étape où le peuple – en février-mars – contrairement à octobre novembre – ne s'est pas encore doté de ses PROPRES STRUCTURES DE DELEGUES REVOCABLES et se trouve en face d'un pouvoir utilisant tout l'arsenal fasciste que possède toute dictature !
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Le jour suivant (
La journée du dimanche 11 mars 1917 (26 février calendrier russe))
" Tirez sur l'ennemi ! " commande la monarchie. " Ne tirez pas sur vos frères et sœurs !" crient les ouvriers et les ouvrières. Et pas seulement cela : " Marchez avec nous ! " Ainsi, dans les rues, sur les places, devant les ponts, aux portes des casernes, se déroula une lutte incessante, tantôt dramatique, tantôt imperceptible, mais toujours acharnée, pour la conquête du soldat. Dans cette lutte, dans ces violentes prises de contact entre les travailleurs, les travailleuses et les soldats, sous les continuelles détonations des fusils et des mitrailleuses, se décidaient les destins du pouvoir, de la guerre et du pays.
(Lev Davidovitch Bronstein-Léon Trostky « Histoire de la Révolution Russe »)
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On voir donc un pouvoir violent et fasciste appelant les soldats à tuer le peuple pendant que le peuple dialogie avec ces memes soldats !
Je redonnais la parole au peuple
Ne tirez pas sur vos frères et sœurs !" crient les ouvriers et les ouvrières. Et pas seulement cela : " Marchez avec nous ! "
Le lecteur attentif et honnête pouvait remarquer le
« MARCHEZ AVEC NOUS »
…. un appel qui FAISAIT RESONNANCE avec le comportements des soldats de Ouagadougou et le témoignage du même Victor Kima..
… un appel qui faisait transition avec ce qui va suivre...
En effet, le lecteur attentif devait se dire ; »Tiens, ce « marchez avec nous » que demandaient les ouvriers russes … les soldats de 2011 vus par Victor Kima y semblent déjà prêts !
Et c'est précisément pour CETTE raison que mon texte faisait un bond !
Victor Kima : «Je dois clairement dire que je n’aborde pas le changement ou la révolution au Burkina Faso dans une perspective marxiste-léniniste puriste, ou qui passe nécessairement par l’insurrection générale armée (IGA) comme le prônent mes amis du Parti Communiste Révolutionnaire Voltaïque(PCRV, et voltaïque parce qu’ils ne reconnaissent pas l’avancée qui a consisté à passer du nom de Haute Volta a Burkina Faso).Non, ce ne pas ce qu’il faut .
Yanick Toutain :  Pour n'avoir rien trouvé de convainquant concernant les positions récentes des maoistes burkinabés - je ne sais même pas s'il sont maos de droite comme les harkis du Népal ou mao de gauche - je laisserai de côté ce débat.
Victor Kima : « La phase de la confrontation violente et son niveau de violence doivent être minorée le plus possible.il faut travailler à cela, sinon à l’éviter ds la mesure du possible, sans permettre la recuperation ou le renouvellement de la bêtise, c'est-à-dire une continuité du système avec un visage nouveau. xxxje suis pas naïf. »
Yanick Toutain : Ce paragraphe est totalement absurde : c'est EXACTEMENT le contenu de mon texte que vous semblez vouloir dénigrer : TOUT FAIRE dans la préparation pour que l'accouchement soit SANS DOULEUR !
Et donc travailler au corps l'armée compradore en préparant les militaires malhonnêtes à l'idée que leur défaite est historiquement inéluctable et question de mois ou de .... semaines !
VictorKima : « Je vous parles en homme qui a éprouvé la violence, qui a un moment donné pouvait trucider du policier ou du militaire si on lui en donnant l’ordre, pouvais faire le kamikaze s’il ne l’a fait, pourvu qu’il fut convaincu que c’était dans la marche normale de la revolution.je suis pas ramolli.  »
Yanick Toutain : C'est une drôle d'idée !!! Je ne me sens aucunement concerné dans ma trajectoire par ces pratiques aventuristes formoises !
J'ai, du 21 mars 1973 à aujourd'hui 6 mai 2011 été un partisan d'une ligne de masse et l'adversaire acharné de toutes sortes de pratiques aventuristes et donc .... terroristes !
Votre parcours n'est PAS un argument !!!
Pire encore, votre obéissance à des chefs criminels potentiellement m'apparait comme étrange ou .... dangereuse !

VictorKima : « Cette violence n’ayant pas abouti a la révolution, J'ai cherché a comprendre et est arrivé a me faire cette philosophie=l’essentiel en conquête politique, ce n’est pas d’être convaincu, de croire en la suprématie de ses idées, c'est-à-dire les plus conséquentes, les plus anticipatrices, et si vous voulez les scientifiquement révolutionnaires (j’espère ne pas être pédant), mais d’arriver a convaincre l’autre, les autres, les réactionnaires si vous voulez encore mais je dirais la majorité active ou activable sur qui doit reposer l’autorité.
 »


Yanick Toutain : Non !
La clé de l'aventurisme politique de la FORMOISIE COMPRADORE et de la PROTO-FORMOISIE COMPRADORE.... c'est son STATUT DE CLASSE !
Les diplômés ont peur des paysans !
D'où leur tentative de "faire la révolution" sans eux !

VictorKima : «Ce qui est faisable au Burkina Faso et qui a de l’avenir, c’est l'orchestration du départ du président compaoré sans déchirure sociale, et qui passe par la modération du discours et des actes sans être synonyme de faiblesse et d’équilibrisme, mais de la dialectique de la vraie main tendue à l’ennemi.
 »


Yanick Toutain : « Sans DECHIRURE SOCIALE ?
Victor, vous révez tout debout !
la déchirure aura lieu !!!
La seule question, c'est l'HEGEMONIE que les CLASSES SPOLIATEES extrêmes auront acquise !
Et donc la construction d'un pôle ou d'un parti LIBERAL-EGALITARISTE se fixant comme but : QUATRE REVOLUTIONS SUCCESSIVES jusqu'à la VICTOIRE PAYSANNE et le partage EGAL du PIB burkinabé !
LE RESTE n'EST QUE BARATIN FORMOIS !

VictorKima : « Autrement l’on ne fera que rééditer les victoires mineures et provisoires sur un capitalisme, oh combien séduisant, sable mouvant sur lequel nous marchons tous, oh combien dominant le monde aujourd’hui.
 »
Yanick Toutain : «Les victoires de la bourgeoisie sont dues UNIQUEMENT à la LÂCHETE POLITIQUE DE LA FORMOISIE DE LA TERRE DU NORD !
Les formois de France, d'Europe, des USA, du Canada préfèrent vivre avec TROIS FOIS 600 euros ou plus par mois !
Les formois ont plus peur du paysan burkinabé ou camerounais (cf Kienké) que de leurs propres capitalistes !!

VictorKima : « Dans un tel exercice je me suis déjà pas fait comprendre lors d’un débat consacré a sankara.l’approche générale du jour était. Regardez ce que sankara.il l’ a fait en 4 ans, il nous faut des sankara aujourd’hui….et moi qui admire sankara mais qui lui reproche de n’avoir pas réussi à conquérir…et moi dc de faire remarquer que l’essentiel ce n’est pas de ressasser toujrs les réussites de sankara que la plupart des militants connaissent, mais de répondre a la question du pourquoi, il ne s’est pas imposé, sans a priori et d’envisager la perspective sankariste aujourd’hui.
 »
Yanick Toutain : La principale chose à COMPRENDRE, vous la fuyez depuis le début de nos échanges : THOMAIS SANKARA s'appuyait sur les SPOLIATES, sur ceux qui avaient MOINS que le PIB local !
Et fut trahi par la proto-formoisie compradore !!!

VictorKima : « C’est du militantisme insuffisant que de s’arrêter a la nostalgie, que d’accuser Goliath le méchant de toujrs écraser les Davids, mais de rééditer l’exploit du David qui vaincu Goliath ,ds notre réalité actuelle.
 »
Yanick Toutain : A la condition d'avoir 1° une analyse 2° un programme 3° un but organisationnel de masse  4° un modèle de structuration de l'avant-garde.
j'ai les réponses 1 2 et 3.
J'étudie la 4.
Mais vous n'en débattez pas sérieusement !
Nous avons un BLOG THEORIQUE !
NEO-MARXISTE ET POST-MARXISTE !
Beaucoup de déserteurs préfèrent jouer les cow-boys télématiques plutôt que de venir préparer les MUNITIONS CONCEPTUELLES !

VictorKima : « J’appelle les progressistes à apprendre à sortir de leurs différents univers militant, observer et écouter les Autres. »
Yanick Toutain : Cela vaut pour vous ! Tentez donc de CONTREDIRE LE CONCEPT de "CAPITAL HUMAIN", de PLUS VALUE FORMATION, de CLASSE FORMOISE etc etc...
le reste sont des mots !

VictorKima : « Mais en attendant que les militants ne se laissent pas divertir par le gouvernement fantoche de TIAO, plein d’amateurs politiques qui retrouvent subitement de la sensibilité face aux pertes en vie humaines, déjà soyez informés que Albert Ouedraogo est celui qui avec sa fameuse association Tocsin a saboté la lutte estudiantine de 2oo2 contre laugmentation des frais dinscription qui passait de 7500fcfa à 15000fcfa avec ses fameux prets aux etudiants qui disait-il n’avaient pas les moyens de payer a cause de la crise ivoirienne, mais qui a consiste a donner de l’argent aux etudiant politiquement innocents ou partisans du regime pour aller aux guichets de payement,créer la tendance a l’incription et decourager les etudiants contestataires.
 »
Yanick Toutain : Il est curieux de sauter du constat des carences conceptuelles et de l'héritage de Sankara à des mots d'ordre mesquins et petits concernant uniquement la petite proto-formoisie !!!

VictorKima : «Il faut pas non plus se decourager de l’inconsequence et de l’incapacite de l’opposition qui ne mobilise pas,et des syndicats qui viennent de confirmer leur allegeance a la Solution Blaise Compaore.nous avons un role nous autres;je reviendrai avec un article plus detaillée
 »

Yanick Toutain : Inconséquence ?
Mais non, c'est 'expression de la NATURE DE CLASSE de leurs mandants !
IL FAUDRA DETRUIRE LA FORMOISIE EN TANT QUE CLASSE !
par le salaire unique !
Et donc les détruire psychologiquement en tant que mini-vautours !

Quand vous aurez admis que seul un programme LIBERAL-EGALITARISTE est l'avenir de l'espèce humaine et que - en amont - c'est la LUTTE DES STRATES qui détermine notre avenir, vous comprendrez toutes les stratégies locales et les tactiques à mettre en oeuvre pour préparer les QUATRE REVOLUTIONS !
Contre l'esclavoisie, contre la bourgeoisie, contre la formoisie et contre l'innovoisie.
Cette dernière classe ayant comme représentant digne le TRAITRE HARKI Tiken Jah Fakoly qui vient cirer les pompes du fasciste Ouattara !

THOMAS SANKARA EST PARMI NOUS !
NOUS VAINCRONS !!!

samedi 30 avril 2011


Burkina Faso : "Ceux qui sont arrivés plus tôt comme moi ont eu droit au salut de militaires qui rentraient au camp juste à côté du meeting ... mains levées, poings fermés" Une ARMEE COMPRADORE prête à se CASSER en deux !



mercredi 9 mars 2011


La Journée Internationale de la Femme 1917, le dernier flocon de l'avalanche, la dernière goutte qui fait déborder le vase, le suicide de Sidi Bouzid et la Révolution de Février 1917 racontée par Léon Trotsky et Maurice Paléologue. (1/3)

mercredi 16 mars 2011


La Journée Internationale de la Femme 1917, le dernier flocon de l'avalanche, la dernière goutte qui fait déborder le vase, le suicide de Sidi Bouzid et la Révolution de Février 1917 racontée par Léon Trotsky et Maurice Paléologue. (2/3)





1 commentaire:

  1. vous ne favorisé pas le débat souhaité avec cette rhétorique,sinon je ve bien apprendre avec tous.allez-y avec plus d'attention si vs voulez q'on continue.merci

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