Idée neuve. J'ai eu ce matin une idée assez révolutionnaire conceptuellement. Je l'appelle provisoirement "destructoisie". Ou, j'ai envisagé T-destructoisie ou "testructoisie" en français la bourgeoisie détruisant la Terre. Une nouvelle classe spoliatrice mais dont la spoliation est une destruction de la Terre. L'activité spoliatrice n'est pas une consommation volée à d'autres comme l'innovoisie, la formoisie, la bourgeoisie , la bancocratie etc, n'est pas une activité de harcèlement de type esclavagiste - de prise de contrôle sur les cerveaux et les corps comme par exemple la parentoisie équivalent moderne du pater familias de Rome -.qui irait des entraîneurs de tennis abusifs aux parents fléchant la destinée de leurs enfants ou des mères tripoteuses ou des pères psychopathes humiliants. On peut ranger là-dedans l'égérioisie dans laquelle on peut mettre en vrac, les footballeurs, les influenceuses ou influenceurs qui pratiquent l'hypnose pour contrôler les esprits et les orienter vers la consommation de tel ou tel produit. Non, la destructoisie se contenterait - ainsi je l'ai décrit récemment dans une sorte de para-concept - se contenterait de faire des trous dans la coque du Titanic. Donc cette classe sociale réunirait tous ceux dont le niveau d'émission carbone dépasserait 2,4 tCO2 c'est-à-dire le niveau plafond que j'avais fixé dans mon texte de 2007 - qui correspondait à l'époque au niveau des émissions océaniques , c'est-à-dire ce que l'océan accepter de stocker, l'équivalent des 4 milliards de tonnes de carbone que l'océan acceptait en 2007 face aux 3 milliards de tonnes de carbone qui partaient dans l'atmosphère. Et donc la destructoisie réunirait tous les membres de cette classe qui auraient une activité d'émissions dépassant le plafond, donc détruisant la Terre. La classe de ceux qui s'autorisent à détruire la Terre. Est-ce que c'est réellement une classe sociale ? Est-ce que cette classe sociale a des caractéristiques similaires aux autres ? a des caractéristiques particulières ? Il faudrait clarifier ça. Ceci étant dit, considérer cet ensemble comme formant une totalité dialectique. Je renvoie à ma vidéo précédente « idée neuve » cet ensemble là pourrait clarifier des comportements communs qui irait des trumpistes à certains individus de gauche qui réclameraient des niveaux de consommation supérieurs pour mieux détruire la Terre puisque l'augmentation des niveaux de consommation au-dessus du plafond du PIB moyen mondial en l'occurrence 1000 € traduits en en 1300 1400 € en France . Et donc cette destructoisie aurait cette principale caractéristique formant donc une totalité dialectique idée à creuser, idée neuve à creuser.
ChatGPT a dit :
Pour évaluer la dette du Qatar envers la République démocratique du Congo (RDC) à partir du texte fourni, il est important de comprendre le contexte et les propositions avancées par l'auteur.
Le texte de Yanick Toutain, publié en 2015 sur le blog Révolisation Actu, propose l'instauration de "tickets de rationnement carbone" (TRC) pour limiter les émissions de CO₂ à 1,8 kg par personne et par jour, soit 657 kg par an. Selon cette proposition, chaque pays aurait une allocation d'émissions proportionnelle à sa population, et les pays dépassant leur quota devraient acheter des TRC aux pays émettant moins que leur allocation.
En 2015, la France émettait environ 733 millions de tonnes (Mt) de CO₂ par an, soit un dépassement de 574 Mt par rapport à son quota théorique basé sur les TRC. Dans ce système, la France aurait dû acheter des TRC aux pays sous-émetteurs, notamment en Afrique.
Cependant, cette proposition n'a pas été adoptée au niveau international. Les accords climatiques actuels, tels que l'Accord de Paris, ne prévoient pas de mécanisme de rationnement carbone individuel ni de dette carbone explicite entre pays.
Concernant le Qatar et la RDC, les relations bilatérales se sont intensifiées ces dernières années, notamment avec la signature d'accords de coopération économique, commerciale et technique, ainsi que dans les domaines aéronautique et maritime. Ces accords portent sur la protection des investissements, la modernisation des infrastructures aéroportuaires et portuaires, et le renforcement des capacités des experts congolais.
En conclusion, bien que la proposition de "tickets de rationnement carbone" suggère une redistribution des droits d'émission entre pays, elle n'a pas été mise en œuvre. Par conséquent, il n'existe pas de dette carbone officiellement reconnue du Qatar envers la RDC.