avec Julie Amadis
Déclaration des
« meilleurs » spécialistes mondiaux réunis par
l’OMS
« Il
existe une transmission interhumaine du virus et, selon les
estimations préliminaires, le taux de reproduction de base (RO) se
situe entre 1,4 et 2,5. Une amplification de la transmission a eu
lieu dans un établissement de santé. Sur les cas confirmés, 25%
sont signalés comme étant sévères. La source reste inconnue
(sans doute un réservoir animal) et l’étendue de la transmission
interhumaine est encore peu claire.
Plusieurs membres du
Comité ont considéré qu’il est encore trop tôt pour déclarer
une USPPI, compte tenu de son caractère restrictif et binaire. »
2019-nCoV #WuhanCoronavirus 1372 victimes 41 morts
Urgent : une révolution humanocrate, révolution santé
pour sauver l’humanité et sauver la Terre,
abattre le capitalisme,
pour DEGAGER Ci-Xi Jinping, Macron, Trump
et tous les incapables criminels qui dirigent la planète.
Nous en sommes à
1372 personnes atteintes du 2019-nCoV dont 3 en France. 41 personnes
sont mortes. Personne ne connaît de remède. Le capitalisme en Chine
surveille davantage les révolutionnaires anti-capitalistes
potentiels par la reconnaissance faciale que les animaux malades.
Inclus les animaux vivants vendus sur des marchés moyennâgeux sous
la « surveillance » du criminel irresponsable Ci-Xi
Jinping.
41% D'AUGMENTATION PAR JOUR
TROIS FOIS PLUS EN TROIS JOURS
Et quand les dernières données sur les trois derniers jours montre une progression quotidienne du nombre de malades de 40,8%... passant de 440 personnes atteintes mercredi à 3h à 1372 à 11h du matin ce samedi (18h en Chine), on se rend compte que les politiques du Monde entier se moquent des humains.
SANS DÉCOUVERTES INNOVANTES IL SUFFIT DE
50 JOURS POUR ATTEINDRE 6 MILLIARDS D'HUMAINS
Il est facile avec ces chiffres de prévoir l'avenir : en l'absence de solution efficace, un taux de 40,8% par jour c'est élever 1,408 à la puissance 49 c'est multiplier par presque 20 millions les 440 victimes déjà atteintes mercredi dernier 22 janvier. c'est dépasser (8,8 Mds) de 1 milliard le nombre d'humains actuels.(
7,76 Mds)
En 50 jours la population totale est susceptible d'être touchés.
Ce même
site Global Times révèle l'imposture : de nombreux pays du monde surveillent l'alimentation plus que les humains. Mais Ci-Xi Jinping laisse les délinquants empoisonner les Chinois.
Ce site gouvernemental Global Times avouait la vérité il y a 3 jours
11 h 35 22 janv.
Le nouveau coronavirus est censé provenir d'animaux sauvages vendus illégalement sur un marché de fruits de mer à Wuhan en Chine centrale: expert NHC
Avant de décrire
quel est ce nouveau danger que rencontre l’humanité à qui le
capitalisme déliquescent fait entrevoir une nouvelle Peste Noire
médiévale ayant exterminé le tiers des Européens, nous allons
indiquer deux séries de solutions. La première série est
institutionnelle, organisationnelle. La seconde est une révolution
scientifique, une révolution pédagogique, une révolution des
Innovants pour qu’ils prennent le pouvoir en chassant les Parasites
qui pourrissent l’humanité depuis 10 000 ans.
UNE RÉVOLUTION HUMANOCRATE
La réponse des
révolutionnaires humanocrates à cette nouvelle épidémie générée
par le capitalisme obscurantiste en déliquescente est évidemment
prioritairement humanocrate.
Sur l’ensemble de la
planète, mais particulièrement dans les zones touchées, une
personne sur cinq doit être désignée – par les quatre autres
unanimement – comme leur correspondant-e santé.
(pour 125 personnes
on aura donc 25 délégués santé)
Chaque correspondant
santé transmettra aux quatre autres personnes l’information OMS
donnée infra (les FAQ, questions fréquentes sur les nouveaux
coronavirus) afin de s’assurer que 100 % de la population est
informée. Ceci étant la circulation de l’information du haut vers
le bas de la pyramide.
Du bas vers le haut, chaque correspondant
santé transmettra à son délégué santé les informations
pertinentes concernant l’état de santé de ses 4 codélégateurs
(4 CODEG).
Ainsi, aucune information pertinente sur de nouvelles
possibles contamination (ou plus généralement affections médicales
pathologiques) ne pourra échapper à la vigilance des délégués
santé..
Dans les pays à mortalité infantile et/ou victime
d’autres épidémies ou pandémie, par exemple en Afrique, les
problèmes sanitaires divers seront connus par ce même biais :
par exemple problèmes de défécation en plein air, problèmes
sanitaires divers.
Une personne sur 25 sera désignée
DIB Santé.
Pour ce faire, dans chaque groupe de 4 DIB, un parmi
les 4 DIB doit être désignée déléguée santé de base (DIB
Santé)
Les délégués DIB santé choisis prioritairement (mais
pas exclusivement) parmi les personnes titulaires d’une
qualification (officielle ou officieuse) en matière de santé. Par
exemple, infirmières, aide-soignantEs etc.
La mission des
délégués DIB Santé sera la même que celle des correspondants en
y ajoutant la pratique de soins.
Une personne sur 125
sera désigné comme DB Santé, délégué santé de base. Elle aura
accréditation des 125 personnes puis validation par 2 délégués de
rang supérieur et au-dessus.
Ces délégués santé seront, la
plupart du temps des médecins ou assimilés (pharmaciens etc.)
UNE REVOLUTION INNOVANTE
Quand on lit la déclaration des « meilleurs » spécialistes mondiaux réunis par l’OMS, on ne peut qu'être affolés. Attérrés et affolés.
Les "meilleurs" spécialistes mondiaux ne comprennent quasiment rien. L’épidémie est exponentielle. Mais
« il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI » [urgence de santé publique de portée internationale (USPPI)]
Lire ce communiqué est inquiétant : (cf en annexe le texte complet). Il est rédigé plus de 3 semaines après l'apparition du premier cas.
« Il existe une transmission interhumaine du virus et, selon les estimations préliminaires, le taux de reproduction de base (RO) se situe entre 1,4 et 2,5. Une amplification de la transmission a eu lieu dans un établissement de santé. Sur les cas confirmés, 25% sont signalés comme étant sévères. La source reste inconnue (sans doute un réservoir animal) et l’étendue de la transmission interhumaine est encore peu claire.Plusieurs membres du Comité ont considéré qu’il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI, compte tenu de son caractère restrictif et binaire. »
Il est urgent de laisser les jeunes devenir des Innovants. Nous avons un siècle de retard en matière scientifique - pas en technologie militaire, en véritable science, en découverte des lois inhérentes à la réalité elle-même.
Une croissance exponentielle (en escalier) dont on ne voit aucun ralentissement.
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tx de progression /jour |
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mer. 22 janvier 03:14 |
440 |
|
mer. 22 janvier 10:55 |
455 |
11,0% |
|
mer. 22 janvier 12:30 |
473 |
20,6% |
|
mer. 22 janvier 14:30 |
543 |
56,5% |
|
mer. 22 janvier 18:00 |
550 |
43,7% |
|
jeu. 23 janvier 01:18 |
571 |
32,8% |
|
jeu. 23 janvier 17:30 |
644 |
27,0% |
|
ven. 24 janvier 01:11 |
830 |
39,3% |
|
ven. 24 janvier 05:00 |
876 |
39,4% |
|
ven. 24 janvier 15:00 |
896 |
33,1% |
|
ven. 24 janvier 17:26 |
903 |
32,0% |
|
sam. 25 janvier 01:00 |
1287 |
44,7% |
|
sam. 25 janvier 10:40 |
1355 |
40,5% |
|
sam. 25 janvier 11:00 |
1372 |
40,8% |
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LE MONDE ENTIER EST TOUCHE MAINTENANT :
Chine continentale 1399 Thailande 7, Chine-Hong Kong 5, Australie 4, France 3, Malaisie 3, Singapour 3, Chine-Taiwan 3, Japon 2, Chine Macao 2, Corée du Sud 2, USA 2, Vietnam 2, Nepal 1,
France Info: La France craint, samedi 25 janvier, une possible propagation de l'infection au coronavirus après l'identification par les autorités sanitaires de trois malades, des voyageurs récemment rentrés de Chine, épicentre de cette nouvelle épidémie. Voici ce que l'on sait de ces trois premiers cas.
Deux cas à Paris, un à Bordeaux
Les autorités sanitaires ont annoncé vendredi soir trois cas confirmés, un patient hospitalisé à Bordeaux et deux autres à Paris, soulignant qu'il s'agissait des "premiers cas européens".Le tout premier, un Chinois âgé de 48 ans, était rentré le 22 janvier en France. Il a été hospitalisé jeudi à Bordeaux, après s'être présenté à SOS Médecins avec toux et fièvre. "Dix à quinze personnes" qui ont été en contact avec lui "se sont signalées", selon Nicolas Florian, le maire de la ville. Le malade est un ressortissant chinois originaire de Wuhan qui vit et travaille dans la région bordelaise en coopération avec la Chine, rapporte France 3 Nouvelle-Aquitaine, précisant qu'il exerce "dans le monde du vin et est amené à faire des allers-retours réguliers à Wuhan".
Les deux autres patients, hospitalisés, eux, à Paris, sont un couple de touristes chinois, un homme de 31 ans et une femme de 30 ans, qui visitaient la capitale, selon des informations recueillies par franceinfo. Ils sont passés récemment par Wuhan. "Il s'agit de patients qui avaient de la fièvre, des signes respiratoires, ils ont été rapidement classés par le centre 15 comme patients suspects et amenés ici pour évaluation. Ils allaient bien à l'arrivée, il n'y avait pas de gravité. Une fois à l'hôpital, ces deux patients ont fait l'objet d'un examen diagnostic", a expliqué Yazdan Yazdanpanah, chef du service maladies infectieuses à l'hôpital Bichat, dans le 18e arrondissement.
ANNEXE 1
23 janvier 2020
Déclaration
Englishالعربية中文РусскийEspañol
La réunion du
Comité d’urgence convoquée par le Directeur général de l’OMS
au titre du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) pour
examiner la flambée de nouveau coronavirus 2019 en République
populaire de Chine a eu lieu le mercredi 22 janvier 2020, de 12
heures à 16 heures 30, heure de Genève (HEC), et le jeudi 23
janvier 2020, de 12 heures à 15 heures 10. Le Comité a pour rôle
de donner son avis au Directeur général qui prend la décision
finale sur la question de savoir si la flambée constitue ou non une
urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). Le
Comité fournit aussi des conseils en matière de santé publique ou
suggère de manière formelle, selon les besoins, des recommandations
temporaires.
Compte rendu de la
réunion
Les membres et les
conseillers du Comité d’urgence se sont réunis par
téléconférence.
Le Directeur général
a souhaité la bienvenue aux membres du Comité et les a remerciés
de leur soutien. Il a ensuite donné la parole au Président, le
Professeur Didier Houssin.
Le Professeur a
aussi salué le Comité et a donné la parole au Secrétariat.
Le 22 janvier, des
représentants du Bureau du Conseiller juridique et du Département
Conformité, gestion des risques et éthique de l’OMS ont informé
les membres du Comité de leur rôle et de leurs responsabilités.
Il a été rappelé
aux membres du Comité qu’ils étaient tenus à la confidentialité
et qu’ils devaient signaler tout lien personnel, financier ou
professionnel susceptible d’être perçu comme constituant un
conflit d’intérêts. Chaque membre présent a été interrogé et
aucun conflit d’intérêts n’a été jugé pertinent pour la
réunion.
Le Président a
ensuite passé en revue l’ordre du jour puis il a présenté les
intervenants.
Le 23 janvier, les
représentants des Ministères de la santé de la République
populaire de Chine, du Japon, de la Thaïlande et de la République
de Corée ont fourni au Comité les informations les plus récentes
sur la situation dans leurs pays. Le nombre de cas signalés en Chine
est en progression, avec 557 cas confirmés à ce jour.
Conclusions et
conseils
Le 22 janvier, les
membres du Comité d’urgence ont exprimé des vues divergentes sur
la question de savoir si l’évènement constituait ou non une
USPPI. L’avis émis par le Comité était alors que l’évènement
ne constituait pas une USPPI, mais les membres du Comité sont
convenus de l’urgence de la situation et ont suggéré que le
Comité soit réuni à nouveau dans quelques jours pour examiner la
situation plus avant.
Après l’annonce
des nouvelles mesures de confinement prises à Wuhan le 22 janvier,
le Directeur général a demandé au Comité d’urgence de se réunir
à nouveau le 23 janvier pour examiner les informations fournies par
les autorités chinoises sur l’évolution épidémiologique la plus
récente et les mesures de gestion des risques prises.
Les autorités
chinoises ont présenté de nouvelles informations épidémiologiques
qui ont révélé une augmentation du nombre de cas, de cas présumés,
de provinces touchées, et une proportion de décès parmi les cas
signalés jusque-là de 4% (17 sur 557). Elles ont signalé des cas
de quatrième génération à Wuhan et des cas secondaires hors de
Wuhan, ainsi que quelques groupes de cas hors de la province du
Hubei. Elles ont expliqué que des mesures de confinement rigoureuses
(fermeture des réseaux de transport public dans la ville de Wuhan,
ainsi que dans d’autres villes à proximité) avaient été prises.
Après cet exposé, le Comité a été informé de l’évolution de
la situation au Japon, en République de Corée et en Thaïlande, et
de la possibilité qu’un nouveau cas ait été identifié à
Singapour.
Le Comité a salué
les efforts déployés par la Chine pour mener les investigations et
maîtriser la flambée en cours.
Les éléments
suivants ont été considérés comme étant d’importance majeure:
Il existe une
transmission interhumaine du virus et, selon les estimations
préliminaires, le taux de reproduction de base (RO) se situe entre
1,4 et 2,5. Une amplification de la transmission a eu lieu dans un
établissement de santé. Sur les cas confirmés, 25% sont signalés
comme étant sévères. La source reste inconnue (sans doute un
réservoir animal) et l’étendue de la transmission interhumaine
est encore peu claire.
Plusieurs membres du
Comité ont considéré qu’il est encore trop tôt pour déclarer
une USPPI, compte tenu de son caractère restrictif et binaire.
Sur la base de ces
divergences de vue, le Comité d’urgence formule l’avis suivant:
À l’intention de
l’OMS
Le Comité se tient
prêt à une nouvelle convocation dans dix jours environ, ou plus tôt
si le Directeur général le juge nécessaire.
Le Comité a appelé
l’OMS à appuyer les efforts en cours moyennant une mission
internationale multidisciplinaire, à laquelle participeraient des
experts nationaux. Cette mission de l’OMS aurait pour objectif de
passer en revue et d’appuyer les efforts visant à déterminer la
source animale de la flambée et à évaluer l’ampleur de la
transmission interhumaine, et de soutenir les efforts de dépistage
dans les autres provinces de Chine, le renforcement de la
surveillance des infections respiratoires aigües sévères dans ces
régions, et les mesures de confinement et d’atténuation. Une
telle mission permettrait de fournir des informations à la
communauté internationale pour aider à comprendre la situation et
son impact potentiel sur la santé publique.
Il convient que
l’OMS continue à fournir tout l’appui technique et opérationnel
nécessaire pour faire face à cette flambée, y compris moyennant
ses vastes réseaux de partenaires et d’institutions
collaboratrices, afin de mettre en œuvre une stratégie globale de
communication sur les risques, et de permettre des progrès dans la
recherche et des avancées scientifiques concernant ce nouveau
coronavirus.
Compte tenu du fait
que la situation épidémiologique évolue et que déclarer ou non
une USPPI présente un caractère binaire restrictif, l’OMS devrait
envisager un système plus nuancé, qui permettrait un niveau
d’alerte intermédiaire. Un tel système permettrait de mieux
refléter la gravité d’une flambée, son impact, et les mesures
requises; et d’améliorer la coordination internationale, y compris
les efforts de recherche pour mettre au point des contre-mesures
médicales.
À l’intention de
la République populaire de Chine
Fournir davantage
d’informations sur les mesures de gestion des risques prises par
l’ensemble des instances gouvernementales, y compris les systèmes
de gestion de la crise aux niveaux national, provincial et dans les
villes, ainsi que sur les autres mesures internes.
Améliorer les
mesures de santé publique rationnelles visant à endiguer et à
atténuer la flambée en cours.
Améliorer la
surveillance et la recherche active des cas dans toute la Chine, en
particulier lors des célébrations du Nouvel an chinois.
Collaborer avec
l’OMS et ses partenaires pour mener des investigations afin de
comprendre l’épidémiologie et l’évolution de cette flambée, y
compris des investigations spécifiques visant à comprendre quelle
est la source du nouveau coronavirus, notamment le réservoir animal
et les animaux impliqués dans la transmission zoonotique, et quel
est son potentiel de transmission interhumaine, et le lieu de cette
transmission; ainsi que les caractéristiques cliniques associées à
l’infection, et le traitement requis pour réduire la morbidité et
la mortalité.
Continuer à
communiquer l’ensemble des données sur tous les cas à l’OMS, y
compris les séquences génomiques, et les détails de toute
infection chez des agents de santé ou de tout groupe de cas.
Effectuer des
dépistages au départ dans les aéroports et les ports
internationaux des provinces touchées, dans le but de détecter à
un stade précoce les voyageurs présentant des symptômes en vue
d’une évaluation plus approfondie et d’un traitement, tout en
réduisant au minimum les perturbations du trafic international.
Encourager le
dépistage dans les aéroports nationaux, les gares de chemin de fer,
et les gares routières pour les trajets de longue distance si
nécessaire.
À l’intention des
autres pays
On peut s’attendre
dans n’importe quel pays à l’apparition de nouveaux cas exportés
de Chine. Par conséquent, tous les pays doivent être prêts à
prendre des mesures pour endiguer la flambée, y compris par une
surveillance active, un dépistage précoce, l’isolement et la
prise en charge des cas, la recherche des contacts et la prévention
de la poursuite de la propagation de l’infection par le 2019-nCov,
et à communiquer l’ensemble des données à l’OMS.
Les pays sont
invités à communiquer les informations à l’OMS en vertu du
Règlement sanitaire international (RSI).
Des conseils
techniques sont disponibles à l’adresse:
https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019. Les
pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de
l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission
secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à
contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts
multisectoriels de communication et de collaboration et une
participation active à l’amélioration des connaissances sur le
virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les
pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les
voyages.[1]
À l’intention de
la communauté internationale
Étant donné qu’il
s’agit d’un nouveau coronavirus, et qu’il s’est avéré par
le passé que des coronavirus semblables nécessitaient des efforts
importants de partage systématique des informations et de recherche,
la communauté internationale doit continuer à faire preuve de
solidarité et de coopération, conformément à l’article 44 du
RSI (2005), ses membres s’épaulant mutuellement pour identifier la
source de ce nouveau virus et son plein potentiel de transmission
interhumaine, pour se préparer à l’éventuelle importation de
cas, et mener les travaux de recherche visant à mettre au point le
traitement nécessaire.
Le Directeur général
a remercié le Comité pour l’avis émis.
ANNEXE 2 : LES QUESTIONS FREQUENTES SUR LE SITE DE l'OMS
Qu’est-ce qu’un
coronavirus?
Les coronavirus
forment une vaste famille de virus qui sont à l’origine de
diverses affections, allant du rhume banal à des maladies plus
graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le
syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS).
Qu’est-ce qu’un
nouveau coronavirus?
On entend par «
nouveau coronavirus » une nouvelle souche de coronavirus n’ayant
encore jamais été identifiée chez l’homme.
Les êtres humains
peuvent-ils être infectés par un nouveau coronavirus de source
animale?
Des enquêtes
approfondies ont montré que le coronavirus du SRAS s’est transmis
de la civette à l’être humain en Chine en 2002 et que celui du
MERS s’est propagé du dromadaire à l’homme en Arabie saoudite
en 2012. Plusieurs coronavirus connus circulent chez l’animal, mais
n’ont pas encore infecté l’homme. L’amélioration de la
surveillance à l’échelle mondiale est susceptible de conduire à
l’identification d’un nombre accru de coronavirus.
Quels sont les
symptômes de l’infection à coronavirus chez l’être humain?
Les symptômes
dépendent du virus, mais les plus courants comprennent des troubles
respiratoires, de la fièvre, une toux, un essoufflement et des
difficultés respiratoires. Dans les cas plus graves, l’infection
peut entraîner une pneumonie, un syndrome respiratoire aigu sévère,
une insuffisance rénale, voire la mort.
Les coronavirus
peuvent-ils se transmettre d’une personne à l’autre?
Oui, certains
coronavirus peuvent se transmettre d’une personne à l’autre,
généralement à la suite d’un contact étroit avec un patient
infecté, par exemple au sein d’un foyer, sur le lieu de travail ou
dans un établissement de santé.
Existe-t-il un
vaccin contre les nouveaux coronavirus?
Lorsqu’une
nouvelle maladie apparaît, un vaccin ne devient disponible qu’à
l’issue d’un processus de mise au point des vaccins, qui peut
prendre plusieurs années.
Existe-t-il un
traitement contre les nouveaux coronavirus?
Il n’existe pas de
traitement spécifique contre la maladie résultant d’un nouveau
coronavirus. Cependant, de nombreux symptômes peuvent être traités,
le traitement reposant dès lors sur l’état clinique des patients.
En outre, la prestation de soins de soutien aux personnes infectées
peut s’avérer très efficace.
Que puis-je faire
pour me protéger?
Les recommandations
standard visent à réduire l’exposition aux différentes maladies
et à en limiter la transmission, notamment en respectant les règles
de base en matière d’hygiène des mains et d’hygiène
respiratoire, en adoptant des pratiques alimentaires saines et en
évitant si possible tout contact étroit avec les personnes
présentant des symptômes de maladie respiratoire, tels qu’une
toux ou des éternuements.
Les agents de santé
sont-ils exposés à un risque d’infection par un nouveau
coronavirus?
Oui, les agents de
santé peuvent être exposés à un risque particulier car ils sont
plus souvent en contact avec des patients que le grand public. L’OMS
recommande aux agents de santé d’appliquer systématiquement les
mesures appropriées de lutte contre l’infection.
Quelles sont les
recommandations de l’OMS à l’intention des pays?
L’OMS encourage
tous les pays à renforcer leur surveillance des infections
respiratoires aiguës sévères (IRAS), à examiner attentivement
toute présentation inhabituelle des cas d’IRAS ou de pneumonie et
à
informer l’OMS de
tout cas présumé ou confirmé d’infection par un nouveau
coronavirus.
Les pays sont
invités à continuer de renforcer leur état de préparation aux
situations d’urgence sanitaire, conformément au Règlement
sanitaire international (2005).
Où puis-je trouver
des informations complémentaires sur les coronavirus connus?
Pour de plus amples
informations sur le MERS-CoV: ici.
Pour de plus amples
informations sur le coronavirus du SRAS: ici.
*DIB sigle de
« Délégué Intermédiaire de Base » le socle du système
humanocrate. Le premier niveau de la pyramide dont la base est formée
par les 80 % de citoyens délégateurs non délégués.