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vendredi 20 décembre 2019

#16décembre2010 Macron fête le 9° anniversaire de la victoire de l'attaque terroriste Forces Nouvelles ONUCI LICORNE VS la télévision ivoirienne RTI et le président Gbagbo

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
REVACTU
20/12/2019


La même recette en Côte d'Ivoire utilisée au Mali
1° envoi de terroristes
2° partition du pays
3° troupes d'occupation pour "sauver le pays"
4° pardon et réconciliation avec les assassins terroristes
5° installation des terroristes au sein même de l'appareil d'Etat sécuritaire

Les terroristes ont été envoyés pour "sauver" la Franceàfric de la révolution CDR Sankara et pour écraser les populations. Les terroristes sont en réalité les auxiliaires de la DGSE, de la CIA, du BND, du DRS et du MI6. On en voit la preuve tous les jours.





#16décembre2010 Macron fête le 9° anniversaire de la victoire de l'attaque terroriste Forces Nouvelles ONUCI LICORNE VS la télévision ivoirienne RTI et le président Gbagbo

Le 16 décembre 2010 les terroristes Forces Nouvelles ont attaqué la télévision ivoirienne avec le soutien de leurs donneurs d'ordres ONUCI. Le 11 avril 2011 ces terroristes ONUCI Forces Nouvelles, avec l'appui direct des militaires putschistes LICORNE ont remporté la victoire. Ils ont renversé la démocratie compradore de Laurent Gbagbo.


Le 16 décembre 2010 l'attaque terroriste contre la télévision ivoirienne fut le premier acte violent du coup d'Etat Franceàfric USAfric contre le président Gbagbo. Un président vainqueur des élections du 28 novembre 2010 57,58 % pour Gbagbo contre 42,61 % pour Ouattara !
Le début d'un coup d'Etat contre les Ivoiriens.
L'organisation d'un complot contre le président Gbagbo où dès le début Sarkozy complotait avec Ocampo Ban Ki Moon et Johnny Carson pour envoyer le socialiste compradore Gbagbo à la CPI afin de légitimer leurs crimes !
Emmanuel Macron le chef terroriste de l'Elysée est venu en Côte d'Ivoire aujourd'hui pour fêter le 9° anniversaire de la victoire de l'attaque terroriste Forces Nouvelles ONUCI Licorne contre les Ivoiriens et leur président Laurent Gbagbo.
Macron est venu rendre hommage aux terroristes de la Force Licorne de Sarkozy.
Cette opération militaire visait à installer les terroristes des Forces Nouvelles, ces criminels et violeurs de femmes !
L’opération Licorne est le nom de la participation des forces armées françaises, sous commandement français, au maintien de la paix en Côte d'Ivoire mise en place à la suite de la crise politico-militaire en Côte d'Ivoire. Elle est distincte mais complémentaire de l'ONUCI.
Même l'organisation Franceàfric HRW est obligée de concéder la vérité sur les Forces Nouvelles que soutenaient la Franceàfric.
- Les forces loyales au président élu Alassane Ouattara ont tué des centaines de civils, violé plus de 20 femmes et filles perçues comme appartenant au camp de son rival, Laurent Gbagbo, et incendié au moins 10 villages dans l'ouest de la Côte d'Ivoire, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. site de HRW

Mais Macron n'ira sans doute pas au Burkina Faso fêter l'attaque des jihadistes contre la gendarmerie Samourogouan, ses complices Ansardine n'ont pas réussi à sauver Diendiéré et Bassolé.

Diendiéré 20 ans de prison Bassolé 10 ans Faibles condamnations pour les deux chefs terroristes. Guillaume Soro, Blaise Compaoré et leurs patrons Hollande Sarkozy Le Drian Puga prendront 30 ans de prison par nos juges JDR de CDR

La Côte d'ivoire a servi de MODELE pour imposer le terrorisme au Mali.

AUCUNE COMPASSION
POUR LES 10 POLICIERS IVOIRIENS ASSASSINES PAR LES TERRORISTES FORCES NOUVELLES LE 16 DECEMBRE 2010
 NI POUR LES 57 VICTIMES DES SNIPERS LICORNE
LE 8 NOVEMBRE 2004 A L'HÔTEL IVOIRE

Macron se rend sur les lieux des crimes de la Force Licorne sans prévoir un mot de compassion à l'égard des familles de victimes, sans prévoir un mot d'excuse !
Il commence par se rendre à l’Hôtel Ivoire pour y dîner.
L'Hôtel Ivoire le lieu des crimes 2004 commis par les snipers de la force Licorne a marqué chaque Ivoirien à jamais.
Des manifestants ont été tués comme des lapins par des militaires français logés dans cet immense bâtiment le 8 novembre 2004
 Enfin, un grand dîner d’État avec les couples Ouattara et Macron sera organisé à l’hôtel Ivoire. Jeune Afrique

Pas d'hommage de prévu par Macron aux 57 manifestants pacifiques tués par des militaires français le 8 novembre 2004.
... alors qu'il a prévu de rendre hommage au 9 soldats tués soit disant par les forces de Gbagbo alors que les familles de militaires accusent la France d'être responsable de leur mort en allant à Bouaké le lendemain.
Dimanche 22 décembre, Alassane Ouattara et Emmanuel Macron se rendront à Bouaké, où aucun président français ne s’est rendu jusqu’à présent. Une cérémonie d’hommage aux neuf soldats français et au soldat américain tués dans le bombardement de leur camp par l’aviation ivoirienne, le 6 novembre 2004, y aura lieu. « Ce sera l’occasion de sceller la réconciliation entre nos deux pays », commente-t-on dans l’entourage du président français. Après cette séquence mémorielle symbolique, ADO et Macron poseront ensuite la première pierre du futur grand marché de la ville, qui est en partie financé par l’Agence française de développement (AFD).Jeune Afrique
Les 57 manifestants tués le lundi 8 novembre 2004 n'existent pas pour Macron !
57 morts sous les balles françaises et plusieurs dizaines de blessés, selon Abidjan qui n’a pas réussi à appuyer son bilan. Paris reconnaît cependant “une vingtaine de morts civils et militaires”, mais évoquent la présence d‘éléments isolés armés, sans fournir de preuve également.AfricaNews




UN SOUTIEN AUX TERRORISTES SORO OUATTARA BASSOLE ORGANISATEURS DE L'ATTAQUE VS LA GENDARMERIE SAMOROGOUAN
RFI, la voix de son maître est partie prenante du complot terroriste. Ils mentent comme ils respirent
Ce soir, une attention particulière sera tout de même accordée aux soldats engagés dans cette lutte anti-terroriste au Sahel puisqu’avant le dîner, Emmanuel Macron doit s’entretenir avec notamment un groupe commando, engagé sur l’opération Jebsheim 13, le nom de code de la mission tragique qui a couté la mort à 13 soldats de l’opération Barkhane le 25 novembre. Paris insiste également sur le fait que les Forces françaises en Côte d’Ivoire « renforcent régulièrement et ponctuellement » Barkhane au Sahel et constituent un « important pilier dans la stratégie de lutte contre le terrorisme ».
Car à Paris comme à Abidjan, l’inquiétude grandit de voir la Côte d’Ivoire entrer à son tour dans la tourmente jihadiste. Certes, la Côte d’Ivoire n’a pas été touchée par un vaste attentat terroriste depuis celui de Grand-Bassam en 2016 mais elle partage 800km de frontière avec le Mali et le Burkina Faso, longtemps considéré comme le verrou sécuritaire de l’Afrique de l’Ouest mais où la situation ne cesse de se dégrader.
Abidjan dit avoir renforcé ses patrouilles aux frontières, et « salue » la volonté française de « resserrer » la coopération des deux pays sur cette question, en misant notamment sur la « prévention ». Cette visite d’Emmanuel Macron d’ailleurs sera l’occasion de lancer le début des travaux de l’Académie internationale de lutte contre le terrorisme de Jacqueville près d’Abidjan. Une académie en partie financée par la France. Objectif selon l’Élysée : faire de la Côte d’Ivoire « une plateforme d’élaboration d’une stratégie régionale de lutte contre le terrorisme ».
Ouattara savait que les jihadistes étaient entrés en Côte d'Ivoire. Il les a laissé agir à Grand Bassam.
On a eu l'information depuis le coeur même de l'appareil d'Etat.
Ouattara est le complice des jihadistes Ansardine téléguidés par son "ami" Guillaume Soro.

BOUAKE, LE KIDAL IVOIRIEN



Dimanche 22 décembre, Macron prévoit de se rendre à Bouaké, la ville des terroristes de la Franceàfric, les Forces Nouvelles, sur lesquelles se sont appuyés Ban Ki Moon pour l'ONUCI Johnny Carson pour les USA et Sarkozy pour la France pour mettre en place leur coup d'Etat.
Dimanche 22 décembre, Alassane Ouattara et Emmanuel Macron se rendront à Bouaké, où aucun président français ne s’est rendu jusqu’à présent.
 Macron va rendre hommage aux soldats tués à Bouaké le 6 novembre 2004.
Une cérémonie d’hommage aux neuf soldats français et au soldat américain tués dans le bombardement de leur camp par l’aviation ivoirienne, le 6 novembre 2004, y aura lieu. « Ce sera l’occasion de sceller la réconciliation entre nos deux pays », commente-t-on dans l’entourage du président français. Après cette séquence mémorielle symbolique, ADO et Macron poseront ensuite la première pierre du futur grand marché de la ville, qui est en partie financé par l’Agence française de développement (AFD).Jeune Afrique
En décembre 2010 déjà, Jean-Philippe Rémy du Monde démontrait preuves à l'appui que la jolie fable racontée dans les médias, celle donnée par Jeune Afrique aujourd'hui qui considère que les 9 soldats français ont été tués par Gbagbo dans l'opération "Dignité" qui visait à se défendre des attaques des terroristes Forces Nouvelles soutenus par l'ONUCI et Licorne ne tient pas la route.

Les pilotes des avions ayant tués des soldats français n'étaient pas français mais biélorusses.
Ces avions avaient été commandés par un gendarme français en Russie.
Or les pilotes des Soukhoï impliqués dans l'attaque du camp français, arrêtés à Abidjan, ont été détenus quatre jours par l'armée française avant d'être autorisés à quitter la Côte d'Ivoire et se rendre au Togo. Là, le gouvernement les a arrêtés avant de proposer aux Français de les interroger.

SURPRISE

Un peu plus d'un an plus tard, l'ex-ministre de l'intérieur du Togo, François Boko, est reçu "à sa demande" dans une ambassade américaine pour y raconter le passage des pilotes dans son pays, dossier sur lequel il avait toute autorité à l'époque. Il confirme alors aux diplomates américains que "les six pilotes et les techniciens" impliqués dans le pilotage et la maintenance des Soukhoï ont bien été détenus à Lomé.Le Monde
Cela fait 9 ans, depuis 2010 que la complicité des militaires français avec les mercenaires est publique : ils ont ordonné aux Togolais de les relâcher.
Auparavant, les avions de chasse étaient aussi passés par là. C'est par le Togo que la Côte d'Ivoire avait importé ce matériel, en violation de l'embargo de l'ONU : "Les deux Soukhoï 25 utilisés dans le bombardement ont été fournis au GCI [gouvernement de Côte d'Ivoire] par l'ex-gendarme français Robert Montoya. [Il] se les était procurés, ainsi que d'autres avions et d'autres types de matériel, en Biélorussie. Il avait aussi engagé des pilotes et des techniciens biélorusses. Les avions sont arrivés en pièces détachées au Togo, où ils ont été assemblés avant de voler jusqu'à la Côte d'Ivoire."

François Boko insiste : "Les responsables togolais étaient informés de la présence des avions et des pilotes-techniciens au Togo. (…) Les forces françaises aussi devaient être au courant de cette présence puisque les avions biélorusses étaient garés dans la partie de l'aéroport de Lomé utilisée par les Français pour leurs propres missions aériennes de soutien des troupes françaises en Côte d'Ivoire."

Plus étrange est le refus des autorités françaises d'interroger les pilotes, comme François Boko le leur propose après leur avoir "communiqué leur identité et leurs activités via l'ambassade de France à Lomé, mais aussi par l'intermédiaire du général Poncet, qui commandait alors l'opération Licorne en Côte d'Ivoire".

LE CAS DE ROBERT MONTOYA ÉVOQUÉ

L'ex-ministre de l'intérieur togolais exprime ensuite sa surprise : "Après avoir gardé les neuf Biélorusses environ deux semaines, Boko se voit demander par les Français (y compris par le général Poncet, qui a communiqué directement avec Boko) de les relâcher. La seule explication qu'on lui ait fourni (à nouveau, en incluant celle du général Poncet), a été que la France 'ne cherchait pas à compliquer ses relations avec la Biélorussie'", conclut l'auteur du télégramme.

François Boko poursuit sur le cas de Robert Montoya, ancien membre de la cellule antiterroriste de l'Elysée compromis dans les années 1980 dans une affaire d'écoutes téléphoniques, et installé entre le Togo et plusieurs autres pays. M. Montoya conseillait alors la présidence ivoirienne.

François Boko ajoute que "depuis que la presse française a commencé à écrire [à son] sujet, sa femme s'est rendue chez un notaire au Togo qui (...) a liquidé toutes [ses] sociétés avant d'en créer de nouvelles, avec des propriétaires différents". Depuis, Robert Montoya a été poursuivi mais l'essentiel des interrogations sur l'épisode franco-ivoirien de novembre 2004 demeurent.Le Monde
Macron décide de mentir et de faire croire que les militaires français ont été tués par les forces de Gbagbo....

Macron ne veut pas de Gbagbo comme président de Côte d'Ivoire ni d'un quelconque opposant à la ligne terroriste Ouattara Soro. Aucune rencontre avec des opposants à Ouattara n'est prévu lors de sa visite !

Les proches d’Emmanuel Macron l’assurent : en privé, Alassane Ouattara n’a pas dit autre chose à son homologue que ce qu’il répète en public ces derniers mois, à savoir son intention de passer la main à une nouvelle génération en 2020. De son côté, le président français profitera de son déplacement à Abidjan pour l’encourager dans cette voie – et donc lui faire comprendre que l’option d’un troisième mandat, que son homologue ivoirien n’écarte pas, n’en est pas une à ses yeux. Pourtant, sur place, nombre d’opposants considèrent que cette visite en grande pompe moins d’un an avant la présidentielle est une forme de soutien au régime en place. Si l’Élysée assure être en contact avec « l’ensemble des forces politiques ivoiriennes », aucune rencontre n’est prévue avec des opposants durant le séjour de Macron sur les bords de la lagune Ébrié. Jeune Afrique

Soro, le terroriste N°1, protégé par Hollande au moment où la juge Khéris voulait l'interroger, aurait à sa disposition tous les réseaux macronistes pour gagner les présidentielles de 2020 et des membres de la Franceàfric terroriste comme Alexandre Benalla et Richard Ferrand.

Démissionnaire de la Présidence de l'Assemblée nationale ivoirienne pour son refus d'adhérer au RHDP unifié, Guillaume Soro entend emprunter la trajectoire du Président français, Emmanuel Macron, pour accéder à la Présidence de la République. L'ancien chef de la rébellion ivoirienne, au-delà du simple exemple, entend s'appuyer sur les hommes clés du locataire de l'Élysée pour s'offrir les portes du palais présidentiel en Côte d'Ivoire.
C'est à juste titre que, le 8 juillet 2017, Soro Kigbafori Guillaume était aux premières loges du Congrès de La République en marche (LREM) sur les bords de la Seine. À ce Congrès, le désormais Président de Générations et peuples solidaires (GPS) n'avait pas manqué de s'afficher avec de très proches collaborateurs du Président Macron, notamment Gerard Collomb, Richard Ferrand, Catherine Barbarous, Mounir Mahjoubi, pour ne citer que ceux-là.
Dans sa conquête du pouvoir d'État en Côte d'Ivoire, le Député de Ferkessédougou entend donc s'offrir les services du réseau du président français pour arriver à ses fins. Aussi, Jeune Afrique indique que Soro Guillaume et Alexandre Benalla, l'ancien homme de main de Macron, ont toujours gardé de bons contacts et se sont revus à plusieurs reprises.
Par ailleurs, François de Rugy (ex-Président de l'Assemblée nationale française), M’Jid el Guerrab (Député de la 9e Circonscription des Français de l’étranger (Maghreb et Afrique de l’Ouest) ou encore Olivier Pacteau (le maître d’oeuvre de la campagne de Macron) constituent les membres de ce réseau avec qui Guillaume Soro n'a jamais rompu les relations.
À onze mois de l'élection présidentielle de 2020, Guillaume Soro, candidat déclaré à ce scrutin, s'est "exilé" en France depuis environ six mois, d'où il enchaîne des rencontres avec ses partisans lors des Crushs parties dans les capitales européennes. Il avait à propos lancé son mouvement citoyen GPS avec lequel il compte ratisser large pour se bâtir un électorat confortable en 2020. À demi-mot, GKS avait également avoué ses rencontres (incognito) avec des officiels Français et Occidentaux. Afrique sur 7 reprenant les informations de  l'article de Jeune Afrique (non lisible pour les non abonnés)

Pour perpétuer l'esclavage Franceàfric des salaires à 50€ par mois, Macron choisit de poursuivre la politique de Sarkozy de soutien aux terroristes en Côte d'Ivoire et au Mali.
On comprend pourquoi les juges voyous de Michel Mercier, Christiane Taubira et Nicole Belloubet bénéficie de promotions à la mesure de leur soutien au complot terroriste.

86 TERRORISTES JIHADISTES HCUA ANSARDINE MNLA CMA INFILTRES PAR IBK AU SEIN DU CORPS DES OFFICIERS DE L'ARMEE MALIENNE

On comprend que la recette utilisée en Côte d'Ivoire d'infiltration de chefs terroristes au sein même de l'armée ivoirienne soit maintenant la recette utilisée au Mali : on voit comment IBK vient de promotionner jihadistes HCUA et terroristes MNLA comme officiers de l'armée malienne

Nomination à titre exceptionnel dans les FAMa : De la rébellion aux grades d’officiers


Un décret signé le 12 décembre nomme à titre exceptionnel aux gades d’officiers dans les rangs de l’armée de terre, de la garde nationale et à la direction du génie militaire des militaires issus de la coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), à compter du 1er janvier 2019.Est-ce le mobile ? Déclarées non participante au dialogue national inclusif, la coordination des mouvements de l’Azawad était au-devant de la cérémonie d’ouverture au palais de la culture Amadou Hampaté Ba et poursuit les travaux au CICB.
La forte mobilisation des responsables politiques de la CMA aux travaux du Dialogue national inclusif n’est pas anodine, de même, de voir un Moussa Ag Attaher s’exprimer en ‘’bambara’’ dans son groupe de travail.Toute chose qui pourrait expliquer le déclic donné par le chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Keita en signant le décret de nomination à titre exceptionnel aux grades d’officiers des hommes armés de la CMA au nombre de 86 éléments.
Le décret précise en son article 1 que ces officiers stagiaires sont nommés à titre exceptionnel aux différents grades d’officiers, à compter du 1er janvier 2019. Et l’article 2 d’ajouter qu’ils bénéficieront, à ce titre, les avantages prévus par la règlementation en vigueur.
La même recette en Côte d'Ivoire utilisée au Mali
1° envoi de terroristes
2° partition du pays
3° troupes d'occupation pour "sauver le pays"
4° pardon et réconciliation avec les assassins terroristes
5° installation des terroristes au sein même de l'appareil d'Etat sécuritaire

Les terroristes ont été envoyés pour "sauver" la Franceàfric de la révolution CDR Sankara et pour écraser les populations. Les terroristes sont en réalité les auxiliaires de la DGSE, de la CIA, du BND, du DRS et du MI6. On en voit la preuve tous les jours.








samedi 7 décembre 2019

LA CORDE AU COU DES CINQ PAUTENTATS CONVOQUES A PÔ… « NON PAS PÔ NI PEAU, C’EST PAU… » AH BON OK PAU !

par Victor Oltaire
REVACTU
en direct des fouilles
archéologiques de Thunder-ten-tronckh
(directeur du chantier
des fouilles : Yanick Toutain)

Le roi Huitième convoqua en son palais de Pau les cinq bourgeois de Franceàfric avec une corde autour du cou.
Le gouverneur Ibéka, le gouverneur Kabossé, le  gouverneur Memed Gazougazou, le gouverneur Foufou Iciopié et le gouverneur Ilbrille Débile avaient reçu un mandat d'amener les convoquant dans la semaine auprès de leur suzerain Franceàfricain le Huitième.... dans la ville de Pô.
... "Non pas Pô, c'est Pau"


Une odeur de pourriture
Vient aux narines - bizarroïde -
C'est la Constitution qui perdure
Le vieux se vide

On aura la liberté
Pour nos enfants
Quand le vieux sera chassé
Et pas avant

Constitution n'est pas constipée
L'odeur n'est pas toute neuve
Paul Biya fait sur ses pieds
On a la preuve 



LA CORDE AU COU DES CINQ PAUTENTATS CONVOQUES A PÔ… « NON PAS PÔ NI PEAU, C’EST PAU… » AH BON OK PAU !


CHAPITRE UN EXHUME DE SOUS-SOL DU CHÂTEAU DE THUNDER TEN TRONK
UN RÉCIT HISTORIQUE INCOMPLET DE VICTOR OLTAIRE



Ce sont des archéologues codenoiristes spécialistes en métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie  qui ont fait cette découverte stupéfiante en fouillant profondément dans les sous-sols du château de  Thunder-ten-tronckh.
Ils ne s’y attendaient absolument pas.
Ils espéraient en fait mettre la main sur des écrits ultimes du philosophe Pangloss. Des écrits dans lesquels – selon la rumeur propagée pendant trois siècles – il aurait sur la fin de vie proclamé que l’esclavage étant la preuve que « tout n’est pas pour le mieux dans le meilleur des mondes », il ne fallait pas, en conséquence, cultiver son jardin mais au contraire, le laisser en friche pour aller rejoindre le combat des abolitionnistes.

Ces archéologues codenoiristes découvrirent dans leurs fouilles un chapitre entier rédigé de la main même de Victor Oltaire. Le chapitre un d’un récit portant le titre stupéfiant de

 LA CORDE AU COU DES CINQ PAUTENTATS CONVOQUES A PÔ… « NON PAS PÔ NI PEAU, C’EST PAU… » AH BON OK PAU !


Nul doute qu’en creusant plus profond ils découvriront d’autres chapitres de ce « récit historique ».


CHAPITRE UN : LES CINQ BOURGEOIS DE PAU VENANT FAIRE CONTRITION A LEUR SUZERAIN FRANCEàFRICAIN LE HUITIEME


Où l’on voit cinq manants convoqués à Pô… non Pau… pas Pô ...pour remettre les clés de leur capitale à leur suzerain

Le roi Franceàfricain le Huitième était fort marri dans son Palais de l’Éluchié, et donc fort en colère.
Et quand il est en colère le Huitième, ses décisions ont l’effet d’un jeu de cartes en pyramide : tout s’écroule sans jamais trouver de fin !!!
Le roi Huitième convoqua en son palais de Pau les cinq bourgeois de Franceàfric avec une corde autour du cou.
Le gouverneur Ibéka, le gouverneur Kabossé, le  gouverneur Memed Gazougazou, le gouverneur Foufou Iciopié et le gouverneur Ilbrille Débile avaient reçu un mandat d'amener les convoquant dans la semaine auprès de leur suzerain Franceàfricain le Huitième.... dans la ville de Pô.
... "Non pas Pô, c'est Pau"

Le roi de Franconie convoquait ses cinq laquais à Pau, à distance de sa capitale et de son trône, pour ne pas prendre le risque de manifestations de protestation réunissant esclaves et abolitionnistes.
La baronnie de Pau lui semblait une distance convenable à recevoir ces gredins de gouverneurs impotents venus de Kabanon capitale du Lami, de Ouagapôbodioulasso capitale du Blaisie Faso, de Bruitdchiottes capitale du Mauricelami, Icilfoufou capitale du Uranio Faso et Lexécuteur capitale du Tchache.
Le baron Raybou de Pau menacé du cachot verrait comme un soutien cette convocation des cinq manants en sa baronnie.

Ces cinq manants devaient remettre au Huitième les clés de leurs capitales à genoux, en tenue de bure, et avec les larmes de supplication dans les yeux.
Le statuaire officiel du Palais de l'Éluchié avait pour mission de s’inspirer de la statue médiévale de Calais.

Les femmes de Katiantiatt critiquant les protecteurs de l’État islamique du Wadlaza 


Ces cinq gouverneurs avaient eu l’impudence de laisser les populations assujetties critiquer les serviteurs armés du roi Franceàfricain le Huitième, ses gens d’armes et ses armées.
Ces gouverneurs impudents, plutôt que de remercier l’armée franceàfricaine de sauver leurs fesses de la révolution se permettaient de refuser de réprimer comme il convient les femmes de Katiantiatt , les thomasistes de Ouagapôbodioulasso et les laurentistes de Badijonlemur.
Des mécréants et surtout des mécréantes incrédules défilant contre les militaires MINUS et la force Jeudarkhade envoyés occuper le Lami.
Ces gredins ne voulaient plus crier comme en janvier de l’an 2 du roi François Franceàfricain le Septième « Hosanna ! Hosanna ! À nos libérateurs »
Les brigands du Duc de Juppé
Certes cette occupation militaire avait été lancée sous le prétexte des brigands missionnés par le Duc Laurent de Juppé et le baron Henri de Raincourt.
Une raison qui en valait une autre, mais que refusaient d’admettre ces veuves et orphelines de Katiantiatt. Elles avaient l’audace de laisser supposer une connivence – réelle évidemment – entre  les troupes d’occupation MINUS Jeudarkhade et les milices de Bilal le Shérif l’émir de l’État islamique du Wadlaza et d’Armada Grosbibi le députationniste chariaiste de Kilda la vieille.

Ils ne sauvèrent pas les fesses du GrosBlaise Pascomparé qui fut renversé par son peuple en octobre de l’an deux du règne de Franciscain le Septième.

Bon d’accord, dans les ambassades de tous les rois esclavagistes, tous les ambassadeurs savaient que les milices MiNabLabla et Lancelasardine de Bilal le Shérif et Armada Grosbibi avaient été prévues pour sauver les fesses de GrosBlaise Pascomparé.
Tous les ambassadeurs savaient que le Lami n’était qu’une étape vers la Blaisie Faso et que les milices MiNabLabla et Lancelasardine avaient été retenues en route à cause de ces femmes de Katiantiatt.
Ils savaient tous que AmaToumaTourné était dans le coup,  comme ses amis Ilbrille Bracelet, Dienbert Gildéré, et Zorro Forcenouvel

MACRON DECLENCHANT CINQ DIARRHEES GOUVERNORALES


Ce que le roi 8° n’avait pas prévu c’est la diarrhée géante qui allait se répandre comme merde au soleil dans les cinq palais présidentiels.
Les cinq gouverneurs n’étaient pas totalement idiots….. même si il fallait l’être pour accepter un poste pareil…
Les cinq gouverneurs faisaient des aller retour entre leurs cinq bureaux et leurs cinq water-closets depuis la proclamation de l’Edit du Huitième.
La trouille au ventre d’aller à Pau ce n’était pas la peur de ce qui allait se passer là-bas, en Franconie.
Non, l’arrogance du Huitième était aussi grande que l’arrogance du Septième, que l’arrogance du Sixième etc.…
Les cinq laquais gouverneurs avaient courbé l’échine toute leur vie devant les rois Franceàfricains, ce n’est pas une fois de plus qui pouvait tordre leurs intestins….
Ce qui les terrorisait c’était la trouille au ventre de ne plus pouvoir revenir dans leurs capitales.
La trouille de voir la révolution thomasiste surgir à Kabanon, à Ouagapôbodioulasso, à Bruitdchiottes, à Icilfoufou et à Lexécuteur capitale du Tchache.
Les cinq gouverneurs étaient devenus comme l’auteur de la Constitution constipée du Calmeround, ils faisaient sous leurs pieds comme le disait la chanson

On aura la liberté
Comme un vent chaud
Un bel été
Ce qu'il nous faut

Une odeur de pourriture
Vient aux narines - bizarroïde -
C'est la Constitution qui perdure
Le vieux se vide

On aura la liberté
Pour nos enfants
Quand le vieux sera chassé
Et pas avant

Constitution n'est pas constipée
L'odeur n'est pas toute neuve
Paul Biya fait sur ses pieds
On a la preuve 
(on a retrouvé le manuscrit de cette poésie chantée et elle fut enregistrée en complément)

Dans son Palais de Kabanon capitale du Lami le gouverneur Ibéka voyait la diarrhée se répandre sur ses pieds. Trouille de voir la révolution surgir à nouveau après celle du mois de mars de l’an cinq de Franceàfricain le Sixième. Une révolution lancée par les femmes de Katiantiatt.
Dans son Palais  de Ouagapôbodioulasso capitale du Blaisie Faso, le gouverneur Kabossé voyait la diarrhée se répandre sur ses pieds. Trouille de voir la révolution surgir à nouveau après celle du mois d’octobre de l’an deux de Franceàfricain le Septième. Révolution qui avait transformé le gouverneur de l’époque GrosBlaise Pascomparé en exilé citoyen d’Ivoiriepubliquie
Dans son Palais  de Bruitdchiottes capitale du Mauricelami, Memed Gazougazou voyait la diarrhée se répandre sur ses pieds. Trouille de voir la révolution surgir alors que ses prêtres du faux salam avait réussi à perpétuer même l’esclavage mobilier dans son joyeux pays du Mauricelami.
Dans son Palais Icilfoufou capitale du Uranio Faso le gouverneur Foufou Iciopié voyait la diarrhée se répandre sur ses pieds. Trouille de voir la révolution surgir à nouveau après celle qu’il avait réussi à stopper en exécutant en place publique l’étudiant Malah Bagalé en ce mois d’avril de l’an cinq de Franceàfricain le Septième..
Dans son Palais sis à Lexécuteur capitale du Tchache, Ilbrille Débile voyait la diarrhée se répandre sur ses pieds. Trouille de voir la révolution surgir à nouveau après celle de février de l’an un de Franceàfricain le Sixième, révolution qu’il avait réussi à stopper avec ses miliciens venus de l’Urkanie et protégés par Lénervé Romin le sinistre de la défense de Francàfricain le Sixième.

Les cinq laquais faisaient sous eux par trouille des cinq révolutions que Franceàfric le Huitième venait lui-même de déclencher en les convoquant – comme fit le pape Grégoire VII pour lever l’excommunication d’Henri le Quatrième.

Ici le récit s’interrompt. On espère ardemment trouver la suite et donc exhumer au moins le chapitre deux.
De ce chapitre deux on n’a retrouvé que la mention du titre prévu

CHAPITRE DEUX « Que Franceàfricain le Huitième vienne à Pô » crient les peuples des cinq gouvernats