Subscribe in a reader

PAGES

Pages vues depuis décembre 2009

dimanche 14 février 2021

Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power

 
Ce sont les chefs de ces miliciens Hutu Power
que Bernard Emié a donné l'ordre de laisser fuir
27 juin 1994, près de Gisenyie, à environ 10 km de la frontière avec le Zaïre.
 PASCAL GUYOT/AFP
par Yanick Toutain 
et Julie Amadis
14 février 2021

[Ce document signé] a été obtenu par le chercheur François Graner, auteur de plusieurs livres sur le Rwanda et membre de l’association Survie, qui a récemment pu accéder à des archives inexplorées de la présidence Mitterrand grâce à une décision du Conseil d’État. La plus haute juridiction administrative a mis fin, en juin dernier, à des années d’entraves orchestrées par les gardiens de la mémoire de l’ancien chef de l’État et de la politique de la France durant le génocide des Tutsis.

Dans le télégramme du 15 juillet, rédigé à 18 h 22 et adressé à « Yannick Gérard seul », le cabinet du ministre Juppé donne ainsi pour instruction de transmettre aux autorités génocidaires « notre souhait qu’elles quittent » la zone contrôlée par les forces armées françaises.(...)
Le document porte la signature « EMIE ». Il s’agit de Bernard Émié, l’actuel directeur de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), l’un des principaux services secrets français, qui était à l’époque conseiller d’Alain Juppé au ministère des affaires étrangères, avant de rejoindre l’Élysée sous la présidence de Jacques Chirac.(..)

 le gouvernement génocidaire, constitué au lendemain d’un attentat ayant tué le président Habyarimana, jugé trop modéré par la frange la plus radicale du pouvoir hutu, a été formé, le 8 avril 1994, dans les locaux mêmes de l’ambassade de France à Kigali, sous le nom de « gouvernement intérimaire du Rwanda » (GIR).

 le général Quesnot préconise alors d’appuyer, même au prix d’une « stratégie indirecte », le pouvoir rwandais face aux forces armées tutsies. Le général Quesnot dit, en effet, craindre l’établissement d’un « Tutsiland » (sic), le tout « avec l’aide anglo-saxonne et la complicité objective de nos faux intellectuels remarquables relais d’un lobby tutsi auquel est également sensible une partie de notre appareil d’État ». Le document est annoté de la main du secrétaire général de la présidence de la République, Hubert Védrine, d’un mot : « Signalé ».

Pour en finir avec cette impunité il faut remplacer la quasi totalité des juges français - les 8000 et quelques juges actuels en leur adjoignant 640 000 assistants fonctionnels délégués intermédiaires de base justice plus 128 000 Juges conciliateurs.
Le nombre de juges de tribunaux sanctionnant sera quadruplé 32 000 juges de sanction : 25 600 juges correctionnels (dans 625 tribunaux d'arrondissement au lieu des lamentables 177 actuels tribunaux correctionnels assurant l'impunité des délinquants par une année de délai pour chaque affaire), 5120 juges de tribunaux judiciaires (dans 125 tribunaux dans chacun des 125 districts au lieu des 164 tribunaux judiciaires) , 1024 juges d’appel dans 25 cours d'appel régionales,  204 juges de cassation dans 5 cours provinciales, 40 juges continentaux, 8 juges d’appel continentaux et 1 juge de cassation continental.
Ces juges honnêtes condamneront Juppé, Védrine, Bernard Emié et toute la clique des assassins en uniforme, les complices d'Al Qaeda, de DAECH et - comme on vient de le voir - des génocidaires du Rwanda.

LIRE AUSSI :

lundi 25 janvier 2021


Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power


Tous les journalistes honnêtes et les chercheurs de bonne foi connaissaient la vérité depuis quasiment le début: l'armée française sur ordre du gouvernement Balladur et de Mitterrand a aider les génocidaires Hutu Power à s'enfuir. Il aura donc fallu 37 ans pour que le texte soit rendu public et que son signataire soit donc identifié : le chefs des services secrets Bernard Emié nommé par Macron le 22 juin 2017 dès son arrivée.
Rien de surprenant que Macron nomme un assassin génocidaire pour surveiller les Africains et les Français, protéger les terroristes du Mali et assassiner sur le territoire français...
Notre article d'hier montrait comment les jihadistes Ansardine étaient les protégés de la DGSE - sous Bernard Emié comme sous ses prédécesseurs Bernard Bajolet de 2013 à 2017 comme sous Erard Corbin de Mangoux qui organisa le recrutement des jihadistes avec le général Benoit Puga et Alain Juppé

C'est Médiapart qui publie ce document qui devrait avoir déclenché l'arrestation immédiate de Bernard Emié et son placement en garde-à-vue

Rwanda: un document prouve l’ordre de la France de laisser s’enfuir les génocidaires

14 février 2021 | Par Fabrice Arfi

Juillet 1994. Les principaux membres du gouvernement responsable du génocide des Tutsis sont dans une zone contrôlée par l’armée française. Leur arrestation est possible et même réclamée. Un document inédit, émanant du cabinet du ministre des affaires étrangères de l’époque, Alain Juppé, prouve aujourd’hui que la France a préféré les laisser partir. Il est signé de l’actuel patron de la DGSE.(..)

A défaut de celle d'un juge honnête (ils sont tellement rares en France), il a fallu l'obstination d'un historien François Graner, pour que cette preuve soit rendue publique

[Ce document signé] a été obtenu par le chercheur François Graner, auteur de plusieurs livres sur le Rwanda et membre de l’association Survie, qui a récemment pu accéder à des archives inexplorées de la présidence Mitterrand grâce à une décision du Conseil d’État. La plus haute juridiction administrative a mis fin, en juin dernier, à des années d’entraves orchestrées par les gardiens de la mémoire de l’ancien chef de l’État et de la politique de la France durant le génocide des Tutsis.

C'est sans surprise qu'on voit le criminel Alain Juppé - un des pires protecteurs des terroristes MNLA du Mali - apparaitre comme le donneur d'ordre de la libération des génocidaires :

Le document en question est un télégramme « confidentiel diplomatie » émis le 15 juillet 1994 par le cabinet du ministre des affaires étrangères de l’époque, Alain Juppé, aujourd’hui membre du Conseil constitutionnel, et adressé à l’ambassadeur Yannick Gérard, alors représentant du Quai d’Orsay auprès des militaires français envoyés au Rwanda dans le cadre de l’opération Turquoise.

L’ambassadeur Gérard avait réclamé le jour même des « instructions claires » du gouvernement (pour lui et pour l’armée française) afin de procéder sur place à l’arrestation des autorités qui, écrivait-il dans un télégramme, « portent une lourde responsabilité dans le génocide ». Le fait est que les principaux membres du gouvernement génocidaire, au premier rang desquels son président, Théodore Sindikubwabo, se trouvaient alors dans une zone intégralement contrôlée par l’armée française, à proximité du Zaïre (aujourd’hui République démocratique du Congo), pays frontalier du Rwanda.

 Grande naïveté de Yannick Gérard s'imaginant que Mitterrand, Balladur et Juppé allaient procéder à l'arrestation de leurs complices génocidaires !

« Nous n’avons pas d’autre choix, quelles que soient les difficultés, que de les arrêter ou de les mettre immédiatement en résidence surveillée en attendant que les instances judiciaires internationales compétentes se prononcent sur leur cas », soulignait le haut fonctionnaire, conscient d’avoir des génocidaires identifiés à portée de main.

 On constate donc ici que la justice internationale ne fut pas soucieuse de chercher les responsables de la fuite des criminels Hutu Power.

La réponse du gouvernement français fut pourtant à l’exact opposé de la requête de l’ambassadeur Gérard. Dans le télégramme du 15 juillet, rédigé à 18 h 22 et adressé à « Yannick Gérard seul », le cabinet du ministre Juppé donne ainsi pour instruction de transmettre aux autorités génocidaires « notre souhait qu’elles quittent » la zone contrôlée par les forces armées françaises.

Le message à transmettre semble si délicat que le cabinet Juppé demande à son ambassadeur de ne pas s’entremettre personnellement avec les génocidaires. « Vous pouvez en revanche utiliser tous les canaux indirects et notamment vos contacts africains, en ne vous exposant pas directement », peut-on lire dans le télégramme, qui a d’ailleurs pour titre: « Le département vous autorise à passer notre message de manière indirecte ».

Ce n'est pas par "délicatesse" comme le suggère Fabrice Arfi l'auteur de l'article pour Médiapart mais par souci de camoufler les PREUVES 

« Vous soulignerez que la communauté internationale et en particulier les Nations unies devraient très prochainement déterminer la conduite à suivre à l’égard de ces soi-disantes autorités », précise encore le télégramme, qui, insistant de la sorte sur une décision à venir de la communauté internationale, offre un sauf-conduit au gouvernement génocidaire pour quitter sans la moindre anicroche le territoire sous contrôle français. Et passer au Zaïre.

Le document porte la signature « EMIE ». Il s’agit de Bernard Émié, l’actuel directeur de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), l’un des principaux services secrets français, qui était à l’époque conseiller d’Alain Juppé au ministère des affaires étrangères, avant de rejoindre l’Élysée sous la présidence de Jacques Chirac.

Qu'un ordre pareil soit signé d'un "conseiller" prouve que les structures institutionnelles du Deep State Franceàfric ne respectent en aucune façon la Constitution française

Wikipédia: Entre 1993 et 1995, Bernard Emié est appelé au cabinet d'Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, en qualité de chargé de mission. En 1995, il rejoint la présidence de la République auprès de Jacques Chirac et de son conseiller diplomatique d'alors, Jean-David Levitte, comme conseiller technique et conseiller diplomatique-adjoint.

LA COMPLICITE DE RENAUD, BARBARA ET DE L'INNOVOISIE POUR PROTEGER MITTERRAND ET LES ASSASSINS DU RWANDA

Les Français sont intoxiqués depuis 1987 - assassinat de Thomas Sankara - et depuis 1994 - génocide du Rwanda - sur le caractère criminel de la quasi totalité du personnel politique français. Des assassins RPR, UMP, PS etc.... corrompus par la Franceàfric 

Et tous les fans de la crapule
Qui défilaient vers le tombeau
Tous ces poètes qui manipulent
Les Barbara et les Renaud
Dans ses vies faites de renoncements
Les rêves bleus d'un peuple absent
 
Pour qui le génocide banal
Et tous les fans du criminel,
Digne successeur d'un général,
Allaient rester quand lui absent
N'était peut être pas mortel
Pour qui les Africains vivants

Qui le protégeaient simplement
Et tous les fans de la crapule
Qui justifiaient l'aveuglement
De nos colères par une bulle
De ce tonton pour l'Amérique
De poésie et de musique
Pendant qu'il détruisait l'Afrique
 
Et tous les fans du Mitterrand
A bluffer, eux à l'encenser.
Pour ce valet de tous trafics
Pour ce vichyste qui nous ment
Qui passa sa vie à tricher


C'est cet enfumage de l'innovoisie française qui permet à la Franceàfric de continuer à se donner une apparence humaine - quand il ne sont qu'une clique de psychopathes tous complices de la mort de près d'un million d'Africain - sans compter les enfants victimes du génocide sanitaire.

LES JUGES FRANCAIS COMPLICES DES GENOCIDAIRES
DE l'ELYSEE, MATIGNON ET DU QUAI D'ORSAY

En réalité les génocidaires étaient les pantins directs de l'Elysée, de Matignon et du Quai d'Orsay : Mitterrand comme Juppé, Védrine comme toute la clique - Bernard Emié inclus - auraient du finir leurs jours en prison. Mais il aurait fallu des juges honnêtes en France. Mais ceux comme Bernard Borrel sont assassinés avec les complicité de leurs collègues magistrats.
On connaissait la quasi-totalité des preuves dès 1994

Cela est si vrai que le gouvernement génocidaire, constitué au lendemain d’un attentat ayant tué le président Habyarimana, jugé trop modéré par la frange la plus radicale du pouvoir hutu, a été formé, le 8 avril 1994, dans les locaux mêmes de l’ambassade de France à Kigali, sous le nom de « gouvernement intérimaire du Rwanda » (GIR).

C’est un certain Théodore Sindikubwabo, ancien président de l’Assemblée nationale, qui sera choisi pour diriger le pays avant que celui-ci ne s’enfonce dans les ténèbres. Pédiatre de formation, Sindikubwabo est considéré comme l’un des commanditaires du génocide, soupçonné d’avoir personnellement incité aux massacres – notamment à l’occasion d’un discours retransmis le 19 avril sur Radio Rwanda – et d’avoir démis de leurs fonctions les préfets et autorités qui ne tuaient pas assez.

Sindikubwabo fait partie des responsables politiques du génocide qui ont pu rallier le Zaïre en juillet 1994 avec l’aval du gouvernement français. Il est mort en 1998 dans des circonstances mal connues et sans jamais avoir été inquiété pour ses crimes.

Mais ces preuves qui devraient conduire en prison tous ces assassins du Conseil constitutionnel (Juppé ..) de la DGSE etc.... les juges voyous s'en contrefichent. Ils auraient pu les chercher et les trouver depuis plus d'un quart de siècle.
La complicité directe avec les génocidaires du général Quesnot, d'Hubert Védrine et donc de François Mitterrand est connue depuis longtemps. Même si de nouvelles preuves ressortent encore des archives camouflées.

Il existe dans les archives disponibles la trace d’un contact, en mai 1994, entre Sindikubwabo et le général Christian Quesnot, le chef d’état-major particulier du président de la République. Dans une note du 6 mai écrite à l’attention de François Mitterrand, après son échange avec le nouveau chef de l’État génocidaire – les massacres ont débuté un mois plus tôt –, le militaire indique que le dignitaire rwandais le « remercie » pour tout ce qu’il a « fait pour le Rwanda ».

Dans ses commentaires personnels à la fin du document, le général Quesnot préconise alors d’appuyer, même au prix d’une « stratégie indirecte », le pouvoir rwandais face aux forces armées tutsies. Le général Quesnot dit, en effet, craindre l’établissement d’un « Tutsiland » (sic), le tout « avec l’aide anglo-saxonne et la complicité objective de nos faux intellectuels remarquables relais d’un lobby tutsi auquel est également sensible une partie de notre appareil d’État ». Le document est annoté de la main du secrétaire général de la présidence de la République, Hubert Védrine, d’un mot : « Signalé ».

Pourtant, sur le terrain, la diplomatie et les services de renseignements français ne cessent d’accumuler des éléments sur la responsabilité du gouvernement intérimaire dans le génocide.

Un télégramme « confidentiel diplomatie » daté du 10 juillet 1994 de l’ambassadeur Gérard, également découvert par le chercheur François Graner grâce à la décision du Conseil d’État de juin dernier, évoque même « un témoignage digne de foi qui confirme la responsabilité collective et personnelle des autorités de Gisenyi [le gouvernement génocidaire – ndlr] dans les massacres ». Le diplomate ajoute que, selon d’autres témoignages « directs et concordants », le président Sindikubwabo a personnellement appelé à plusieurs reprises à « l’élimination totale des Tutsis » et que l’une de ses ministres a, en particulier, réclamé le massacre « des femmes et des enfants ».

Cinq jours plus tard, c’est donc en parfaite connaissance de cause que l’ambassadeur Gérard demande des « instructions claires » au gouvernement pour pouvoir mettre aux arrêts ou, au moins, en résidence surveillée les génocidaires.

En vain.

NE PAS PLACER IMMEDIATEMENT ALAIN JUPPE EN GARDE-A-VUE SERA UNE NOUVELLE PREUVE DE LA COMPLICITE DU PROCUREUR FRANCOIS MOLINS AVEC LES TERRORISTES DU MALI, DE CÔTE D'IVOIRE ET DES GENOCIDAIRES DU RWANDA ET DE LEURS CHEFS


Juppé est comme Bernard Emié, un menteur professionnel. Quand Bernard Emié protège Iyad Ag Ghali et donc l'aide à s'installer en Côte d'Ivoire pour y protéger Ouattara, il crie au loup.

En réalité, depuis des années, la DGSE est occupé à lutter contre les CONCURRENTS d'Al Qaeda. Iyad Ag Ghali ne nargue pas les services secrets français depuis 2012, il est leur pantin. Les déclarations de Bernard Emié ne sont pas un avertissement. C'est comme Macron parlant des variants pour nous annoncer que son PROJET est de les laisser circuler.

Il est rarissime que le patron des services secrets français prenne la parole. Et c’est pour mettre en garde l’Afrique de l’Ouest que le chef de la DGSE, Bernard Émié, est sorti de sa réserve, le 2 février. Selon lui, après s’être enracinés au Sahel, les groupes djihadistes visent une expansion vers le Bénin et la Côte d’Ivoire. Une sortie qu’analyse Aujourd’hui au Faso.

La menace n’est ni nouvelle ni surprenante, mais la piqûre de rappel du patron du renseignement français n’est pas superfétatoire. Bernard Émié a le mérite de souligner que cette guerre oblique qui fait rage dans le Sahel et à laquelle les armées nationales – Barkhane [la force de l’armée française, qui intervient depuis 2012 au Sahel] et le G5 Sahel [nom donné à la force conjointe des pays de la région, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad] – font face se fixe maintenant comme cibles la Côte d’Ivoire et le Bénin.

Ainsi selon Bernard Emié, le chef de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Aqmi [Al-Qaida au Maghreb islamique, l’un des principaux groupes terroristes de la région] est sur le sentier de la guerre vers ces deux pays. Une réunion des caïds de ces organisations terroristes quelque part au Sahel filmée courant février 2020, et qui vient d’être diffusée par la sécurité extérieure française, est venue étayer cette assertion [ces images montrent le chef d’Al-Qaida au Sahel, Iyad Ag Ghali, son numéro deux, Amadou Koufa, et l’ancien chef d’Aqmi, tué par l’armée française en juin 2020, Abdelmalek Droukdel].(source Courrier International)

  Quand Alain Juppé donnait les ordres de protéger les génocidaires, il rendait publique une déclaration contraire.

Lire ce passage de l'article de Fabrice Arfi 

Le document du cabinet Juppé sur l’ordre de laisser filer les génocidaires, daté lui aussi du 15 juillet, vient aujourd’hui conforter le soupçon d’un ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, en accord avec la politique élyséenne, bien qu’appartenant à un gouvernement de cohabitation dirigé par Édouard Balladur. Ce dernier fera d’ailleurs savoir à ce sujet, en 1998, qu’il « n’était pas question » aux yeux de Mitterrand « de châtier les auteurs hutus du génocide ». « Et il n’était pas question aux miens, ajoutait-il, de permettre à ceux-ci d’aller se mettre à l’abri au Zaïre ».

C’est pourtant exactement ce qui s’est passé, et ce, sur ordre de son propre ministre Alain Juppé. Sur le terrain, l’exfiltration est pilotée par le lieutenant-colonel Jacques Hogard, qui commande le groupement Sud-Turquoise au Rwanda, formé de troupes de la Légion étrangère.

En 2014, le criminel Juppé faisait son enfumage

"J'ai été le premier responsable politique français à (dénoncer le génocide, ndlr) devant le Conseil des ministres de l'Union européenne d'abord puis à l'Assemblée nationale le 18 mai 1994", a déclaré ce vendredi Alain Juppé dans une réponse à cette lettre. Il a également souligné que la France avait de son côté lancé l'opération Turquoise "face à l'inaction internationale" et dénoncé "l'opération de falsification historique dont la France est régulièrement la cible depuis 20 ans". (L'Express)
 Dans la réalité, le Quai d'Orsay protégeait ses criminels Hutu Power

Dans un supplément spécial consacré aux opérations au Rwanda, la revue militaire Képi blanc a résumé des années plus tard la situation dans un style d’une raideur militaire qui ne fait guère dans la contorsion : « L’EMT [état-major tactique] provoque et organise l’évacuation du gouvernement de transition rwandais vers le Zaïre. »

Le lieutenant-colonel Hogard confirmera lui-même à plusieurs occasions les faits, notamment au journaliste David Servenay et à l’universitaire Gabriel Périès, auteurs du livre Une guerre noire (La Découverte). Dans cet ouvrage, le militaire raconte être allé voir en ces termes son homologue zaïrois pour lui parler des génocidaires qu’il s’apprêtait à laisser partir : « Vous ne fermez pas les frontières, vous les laissez poreuses, je ne veux pas que vous empêchiez ces gens-là de partir, le Zaïre est grand, ils n’ont que ça pour partir. »

Dès le 16 juillet, c’est-à-dire au lendemain du télégramme envoyé par le cabinet Juppé, le lieutenant-colonel Hogard rencontre le chef de l’État du Rwanda pour lui faire savoir que lui et ses hommes doivent – et peuvent – partir dans les vingt-quatre heures. Et c’est ainsi que la France escorte du Rwanda à la frontière zaïroise parmi les principaux responsables politiques du génocide.

Un militaire de l’opération Turquoise, Guillaume Ancel, a raconté des années plus tard dans un livre (Rwanda, la fin du silence, éditions Belles Lettres) avoir vu le lieutenant-colonel Hogard quelque temps après cette scène. « Certes, il est convaincu que ce n’est pas notre rôle de rendre justice, mais escorter poliment des décideurs qui ont de terribles responsabilités dans les massacres et “du sang jusqu’au cou” le tourmente. Il aurait pu les arrêter, il aurait même pu les neutraliser, mais ses ordres ne lui laissaient pas le choix », a-t-il témoigné.

Un document déclassifié de l’état-major de l’armée française confirme que les membres du gouvernement génocidaire « ont franchi la frontière rwando-zaïroise » le 17 juillet en fin de journée, « l’option clairement avouée étant de replier également le reste des FAR [forces armées du gouvernement – ndlr] avec leur armement au Zaïre, afin de poursuivre la résistance depuis ce pays ».

La Franceàfric est une mafia criminelle.
En France aucun juge n'a tenté de faire Mani Pulite. La seule qui tenta d'interpeller le terroriste Guillaume Soro ne le fit pas pour l'attaquer de la télévision ivoirienne - sous protection d'un commissaire de police français - Jean-Marie Bourry, jamais inquiété pour cela - mais pour "torture et séquestration" du fils du président Laurent Gbagbo.
Pour en finir avec cette impunité il faut remplacer la quasi totalité des juges français - les 8000 et quelques juges actuels en leur adjoignant 640 000 assistants fonctionnels délégués intermédiaires de base justice plus 128 000 Juges conciliateurs.
Le nombre de juges de tribunaux sanctionnant sera quadruplé 32 000 juges de sanction : 25 600 juges correctionnels (dans 625 tribunaux d'arrondissement au lieu des lamentables 177 actuels tribunaux correctionnels assurant l'impunité des délinquants par une année de délai pour chaque affaire), 5120 juges de tribunaux judiciaires (dans 125 tribunaux dans chacun des 125 districts au lieu des 164 tribunaux judiciaires) , 1024 juges d’appel dans 25 cours d'appel régionales,  204 juges de cassation dans 5 cours provinciales, 40 juges continentaux, 8 juges d’appel continentaux et 1 juge de cassation continental.
Ces juges honnêtes condamneront Juppé, Védrine, Bernard Emié et toute la clique des assassins en uniforme, les complices d'Al Qaeda, de DAECH et - comme on vient de le voir - des génocidaires du Rwanda.


vendredi 12 février 2021

Révolution sanitaire en Moselle: Pour stopper la 2° épidémie variant anglais et la 3° épidémie variant sud-africain il faut 43 000 tests par jour (7 fois plus de tests) en Moselle et désigner 16 000 délégués de base, délégués révocables révolutionnaires en Moselle pour que #MacronDEGAGE

 par Yanick Toutain
REVACTU
édité par Julie Amadis
12 février 2021

Tester 7 fois plus de cas contacts
c'est instantanément diviser par 7
le taux de positivité.
Et donc identifier 2 fois, 3 fois
 plus de malades qui ne pourront donc pas contaminer d'autres personnes.
Ne pas le faire c'est justement aider le variant britannique
 à se propager comme l'ont voulu Macron, Castex et Véran.
La pandémie est une ruse des capitalistes pour différer le jour de la révolution.
Tester tracer isoler c'est accélérer l'éradication du virus.
Faire la révolution c'est STOPPER LA PANDEMIE 
Relire les médias collabos 3 mois plus tard est une bonne conclusion. 
Ces pseudo-journalistes ont vu le complot et le sabotage mais ne le disent jamais 

LIRE AUSSI 

COVID19 Tragédie sanitaire à Mayotte: Pour avoir 27 fois plus de tests et stopper la 3° épidémie #VariantSudAfricain que ces criminels sanitaires ont organisée il faut que #MacronDEGAGE et Dominique #VoynetDEGAGE de Mayotte

Révolution sanitaire en Moselle:
Pour stopper la 2° épidémie variant anglais
et la 3° épidémie variant sud-africain
 il faut 43 000 tests par jour (7 fois plus de tests) en Moselle et désigner 16 000 délégués de base, délégués révocables révolutionnaires en Moselle pour que #MacronDEGAGE


Avec 430 nouveaux malades détectés chaque jour, la Moselle devrait bénéficier de 43 000 tests COVID19 par jour.
#Tester100proches est la précondition pour éradiquer un virus. 
Mais la Moselle, département martyr de l'Elysée depuis le 17 novembre n'a droit qu'à 6 144 tests par jour. Ce nombre est SEPT FOIS MOINS que le nombre nécessaire.
Le résultat est que ce sont seulement 14,3 cas contacts qui sont testés en Moselle. 

Olivier Véran s'est rendu sur place comme s'il était Saint-Louis venant guérir le peuple par la force de sa parole ! Alors que dans le même temps, lui et ses sbires de l'Etat bourgeois ont fait en une semaine MOINS de 50 000 tests en Moselle alors qu'il en faudrait 43 000 par jour pour faire redescendre le taux de positivité sous le PLAFOND de 1%
Quand on ne teste que 14 cas contacts autour de chaque malade dépisté, ce sont 86 autres porteurs potentiels du virus qui ne sont pas testés.
C'est cela la méthode utilisée par Macron pour aider le variant anglais qu'il a laissé entrer en France à la Gare du Nord.


POUR TESTER 100 PROCHES IL FAUT QUE MACRON DEGAGE 
EN MOSELLE COMME DANS TOUTE LA FRANCE
AUTO-ORGANISATION POLITIQUE
+ AUTO-ORGANISATION SANITAIRE

En France il faut, pour avoir une légitimité plus grande que celle de l'imposteur en 2007, réunir plus de délégateurs que ses bulletins de vote arrivés dans les poubelles de l'Histoire.
Il faut donc que 25 millions de Français se réunissent pour désigner 1 million de délégués de base.
En Moselle, il faut donc désigner former 16 000 groupes de 25 désignant 16 000 délégués de base (#1pour25) ceux-ci se groupant par 25 pour désigner ensuite 640 délégués conseillers.  La Moselle désignera ensuite 25 délégués députés révocables ayant 4 délégants parmi les délégués conseillers.
Ces 25 délégués députés se groupant par 5 désigneront  4 délégués intermédiaires nationaux et 1 délégué national.
Les 4 délégués intermédiaires nationaux désignés par la Moselle seront membres d'un cabinet statutaire désignant un des 25 "ministres" et d'un cabinet fonctionnel autour d'un "ministre", un des 25 coordinateurs nationaux. Le délégué national sera lui membre d'un cabinet statutaire restreint (de 5 personnes) et d'un autre cabinet fonctionnel - comme assistant fonctionnel d'un coordinateur national d'un bord politique autre que le sien.

AUTO-ORGANISATION SANITAIRE 

Ce modèle d'organisation figure dans le texte du 25 janvier 2020 publié au moment où nous annoncions l'arrivée mondiale de la pandémie en mars 2020

            Pour la Moselle il faut désigner 120 000 correspondants santé,  donner accréditation révolutionnaire à 30 000 délégués intermédiaires santé (aides-soignantes, infirmières, etc) et à 7500 délégués santé de base  (infirmières chefs, médecins etc..)

          

UNE ENQUETE DES 12 000 DELEGUES JUSTICE
 CONTRE LES COMPLOTEURS

Pour juger les criminels sanitaires qui ont laissé entrer le COVID19 en janvier 2020, le variant britannique en décembre 2020 et qui laissent le variant sud-africain commencer à s'étendre en Moselle il faudra multiplier le nombre de juges et d'auxiliaires. Il faudra désigner 800 000 délégués justice en France dont 12 000 en Moselle. La population, en se groupant par 25 veillera donc à désigner 8% de délégués justice, soit 2 par conseil de 25. Ce sera donc un total de 9600 délégués DIB justice qui seront les auxiliaires ayant accréditation de 4 citoyens. Les avocats devront appartenir à ce groupe, comme les greffiers etc... Des conseils de 25 donneront accréditation à 1920 délégués de base justice qui seront juges conciliateurs sans pouvoir de sanction, puis  384 délégués DIC qui prendront la place des actuels juges de tribunaux correctionnels qui devront donc avoir l'accord de 125 citoyens pour être délégués intermédiaires conseillers. Des groupes de 625 citoyens désigneront les 76 juges d’instance délégués conseillers. Pour les 15 juges de cour d’appel délégués DID, il faudra l'accord de 3125 délégateurs. 
Et les 3 délégués députés qui auront fonction de juges de cassation devront être désignés par 15625 délégateurs.

LA PRINCIPALE METHODE POUR AIDER LA PANDEMIE :
REFUSER DE TESTER 100 PROCHES

Tous les médias collabos laissent croire que la catastrophe sanitaire en Moselle arrive dans un ciel serein. Rien n'est plus faux ! Le fait que la Moselle a un taux d'incidence 291   47% plus élevé que celui de la France entière est le résultat d'une volonté politique.

Il est facile de comparer les deux taux d'incidence : celui de la France entière et celui de la Moselle. On constate qu'une sorte de malédiction trace quasiment trois segments de droite. 
Une malédiction qu'on verra être une volonté politique.

Diviser le taux d'incidence de la Moselle par le taux d'incidence France entière (et ôter 1) donne cet étrange graphique : on voit que la France entière semble avoir voulu ramener ce département martyr au niveau du pays pour tout à coup .... le 20 janvier ne plus rien tenter.... c'est bel et bien ce qui s'est produit comme on va le voir 


TAUX DE POSITIVITE : MESURE DU SABOTAGE GOUVERNEMENTAL 

Des légistes honnêtes voteront une lois rétroactive prochainement : tout responsable d'une zone ayant laissé dépasser pendant 7 jours de suite le taux de positivité au-dessus de 1% sera démis de ses responsabilités.

Si le taux de positivité dépasse 5% pendant 7 jours de suite ce seront des mois de prison
Si le taux dépasse 10% pendant une semaine, ce seront des années de prison.
Et si le taux atteint 7 jours de suite 20% ce seront 30 ans de prison.
Mais diront les naïfs.... "c'est injuste".
Ces naïfs se sont fait manipuler par les médias gouvernementaux.
En effet, ils croient - un an après le 25 janvier 2020 - que le taux de positivité mesure le niveau de la pandémie.
Mais alors, comment se fait-il que le taux de positivité de la Moselle soit constamment au dessus de celui de la France entière ?
La réponse est simple : parce que le nombre de tests pour ce département est encore plus insuffisant que celui pour la France entière.
Il suffirait demain, que Macron Castex Véran MULTIPLIE PAR 7 le nombre de tests quotidiens pour la Moselle pour que le TAUX DE POSITIVITE SOIT INSTANTANEMENT DIVISE PAR 7 


Tester 7 fois plus de cas contacts c'est instantanément diviser par 7 le taux de positivité. Et donc identifier 2 fois, 3 fois plus de malades qui ne pourront donc pas contaminer d'autres personnes.
Ne pas le faire c'est justement aider le variant britannique à se propager comme l'ont voulu Macron, Castex et Véran.
La pandémie est une ruse des capitalistes pour différer le jour de la révolution.
Tester tracer isoler c'est accélérer l'éradication du virus.
Faire la révolution c'est STOPPER LA PANDEMIE 
Relire les médias collabos 3 mois plus tard est une bonne conclusion. 
Ces pseudo-journalistes ont vu le complot et le sabotage mais ne le disent jamais 
FRANCE INTER

Lundi 16 novembre 2020

par Fabienne Sintes 


En annonçant le reconfinement, Emmanuel Macron a reconnu que la stratégie "tester, tracer, isoler" a été un échec. Faut-il profiter de ce deuxième confinement pour tester tout le monde ? Doit-on mettre en place le traçage rétrospectif ? Le dépistage massif en entreprise et dans le milieu scolaire est-il une solution ?

Tester, tracer, isoler : peut-on reprendre la main ?
Tester, tracer, isoler : peut-on reprendre la main ? © AFP / Ludovic Marin

Ça va mieux sur le front de l'épidémie. Ça ne va pas fort mais ça va mieux, les chiffres sont là pour le dire. Mais en même temps, c'est maintenant que tout commence.

Maintenir le confinement, ça c'est clair pour le gouvernement, mais l'objectif est surtout d'éviter les montagnes russes dès que nous aurons plus de liberté pour éviter une 3ème vague...

Ce qui est aussi un fait objectif, c'est que le triptyque qu'on nous a vendu à la fin du 1er confinement, "tester - tracer - isoler", s'est laissé déborder de toutes parts. Quiconque a fait la queue pendant des heures devant un labo - et nous sommes très nombreux dans ce cas - est là pour en témoigner.

Le "tracing descendant", c'est à dire la recherche des cas contacts qu'a pu rencontrer une personne positive, n'a pas empêché la propagation très rapide du virus. Alors plusieurs idées émergent : celle d'un traçage à l'envers, un "tracing ascendant", comme l'ont fait les japonais, qui ne va pas chercher qui vous avez pu contaminer mais qui vous a contaminé. Cela part du principe que 15 à 20% des infectés seraient responsables de 80% des contaminations.

Par ailleurs, nous savons le très grand nombre d'asymptomatiques. L'autre méthode - celle de Liverpool, celle des Slovaques - est de tester massivement afin d'isoler le plus vite possible les personnes positives, ce qui cassera les chaines de contaminations.

Saurons-nous faire ça ? Nous devrons savoir le faire de toutes façons, faute de quoi la 3ème vague ne sera pas une option. 

Avec nous pour en parler et pour répondre à vos questions, Philippe Amouyel, professeur de santé publique au CHU de Lille et Renaud Piarroux, épidémiologiste à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, auteur de La vague, l'épidémie vue du terrain (CNRS Editions). 

Toutes vos questions et vos témoignages au standard de Radio France - 01 45 24 70 00 -, sur l'application France Inter et par e-mail à l'adresse telsonne@radiofrance.com.

Les invités
Les références

L'équipe

jeudi 11 février 2021

COVID19 Tragédie sanitaire à Mayotte: Pour avoir 27 fois plus de tests et stopper la 3° épidémie #VariantSudAfricain que ces criminels sanitaires ont organisée il faut que #MacronDEGAGE et Dominique #VoynetDEGAGE de Mayotte

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
11/02/2021

Une croissance du nombre de nouveaux malades
atteignant une moyenne de 7% par jour.
Et donc 60% de plus en une semaine.
Mais comme on va le voir,
c'est le résultat d'une politique raciste
visant à laisser contaminer le maximum de Mahorais
en limitant au maximum le nombre de personnes testées
pour en faire les cobayes de la 3ème épidémie Variant Sud Africain.

A Mayotte, cela a été une politique raciste systématique: en mai juin, en ne testant que 4 cas contacts pendant que la métropole en testait de 40 à 70, Dominique Voynet était assurée d'une bonne circulation du virus dans l'île. Mais elle a dû attendre fin janvier pour que ses efforts - criminels - soient couronnés de succès !
Les courbes sont parlantes

 La PRINCIPALE CAUSE DE CETTE FLAMBEE MAHORAISE c'est le manque de tests !
Ce sont des pauvres, ils vivent sur le continent africain, et ont la couleur de peau des esclaves alors le racisme ordinaire des institutions françaises qui maintient dans la misère 8 habitants sur dix est pire encore en temps de pandémie - sous PRETEXTE de pandémie.

#VOYNETDEGAGE DE MAYOTTE
STOP AU GENOCIDE COVID19 DES MAHORAIS
IL FAUT 25 FOIS PLUS DE TESTS 
TROUPES FRANCAISES HORS D'AFRIQUE 
BOB DENARD 2021 C'EST DOMINIQUE VOYNET 
IL FAUT UN NUREMBERG DE L'AFRIQUE
POUR JUGER LES CRIMINELS COLONIAUX

AUTO-ORGANISATION POLITIQUE 
FORMER 3 ARRONDISSEMENTS REVOLUTIONNAIRES
EN DESIGNANT 5000 DELEGUES DE BASE
AUTO-ORGANISATION SANITAIRE
EN DESIGNANT 25 000 CORRESPONDANTS SANTE,
5000 DELEGUES DIB SANTE ET 1000 DELEGUES SANTE DE BASE


COVID19 Tragédie sanitaire à Mayotte:
Pour avoir 27 fois plus de tests et stopper la 3° épidémie #VariantSudAfricain que ces criminels sanitaires ont organisée il faut que #MacronDEGAGE et Dominique #VoynetDEGAGE de Mayotte 

Les données publiées par le ministère (colonial) de la santé en France sont une nouvelle étape dans la tragédie que vivent les Mahorais - habitants de Mayotte vendus au roi Louis-Philippe par le sultan Andriantsoly de Madagascar en 1841.
Le taux d'incidence atteint maintenant 869 nouveaux malades par semaine pour 100 000 habitants.
Autrement dit : 0,87% (supplémentaire) de la population de l'île sont contaminés chaque semaine. 
Une croissance du nombre de nouveaux malades atteignant une moyenne de 7% par jour.
Et donc 60% de plus en une semaine.
Mais comme on va le voir, c'est le résultat d'une politique raciste visant à laisser contaminer le maximum de Mahorais en limitant au maximum le nombre de personnes testées pour en faire les cobayes de la 3ème épidémie Variant Sud Africain.

TAUX DE DEPISTAGE BIEN PLUS FAIBLE
 QU'EN METROPOLE DEPUIS DES MOIS

Les racistes qui dirigent Mayotte n'auront pas laissé longtemps les habitants avoir un taux de dépistage plus élevé que celui des Français de métropole coloniale.
Trois jours ! 
Du vendredi 5 au dimanche 7 février, les Mahorais ont eu droit à 3378 tests pour 100 000 habitants, soit plus que les 3365 que les Métropolitains ont pu avoir.
Pendant - seulement - trois jours, Dominique Voynet a fait tester 0,45 % des habitants chaque semaine, comme en France (3378/1000/7)
Mais pour des taux d'incidence bien différents.

AUTANT DE TESTS QUAND LES NOUVEAUX MALADES SONT 4,32 FOIS PLUS NOMBREUX A MAYOTTE QU'EN METROPOLE COLONIALE

La petite île de Mayotte, située au milieu du canal du Mozambique entre l'Afrique et Madagascar, est un Département d'Outre Mer depuis le 31 mars 2011.
Mayotte un département français ....


... Pourtant ce département situé en Afrique n'est pas vraiment considéré comme les autres départements français...
Les tests pour détecter le covid sont 4,54 fois moins nombreux qu'en Métropole. Comment le mesurer ?
Il suffit de comparer les taux de positivité.
Il est actuellement 6% en métropole et vient encore de monter à 27,4% à Mayotte
En réalité ce prétendu "taux de positivité" est en réalité un "taux de négativité"
Si ce pourcentage est obtenu en divisant le nombre de tests "positifs" (nouveaux malades atteints du COVID19) par le nombre total de tests, il est en réalité un taux indiquant l'ampleur du sabotage.
Il est facile de comprendre pourquoi ce taux est 27,4% et 6% en métropole. Tout simplement, parce que le nombre de tests est 4,54 fois plus faible à Mayotte qu'en France coloniale.
Il suffit d'imaginer que demain, le nombre de tests faits soit multiplié par 4,54 dans l'île - sans trouver de nouveaux malades - pour diviser instantanément le "taux de positivité".
S'il est si élevé à Mayotte, c'est parce que Dominique Voynet et l'ARS ont choisi de laisser circuler le variant sud-africain pour utiliser les Mahorais comme cobayes !

En effet, il suffit de renverser la fraction permettant de calculer le taux de positivité pour diviser le nombre de tests (1267 lundi à Mayotte) par le nombre de tests positifs (347 personnes détectées malades) pour trouver un tout autre chiffre !

Le nombre obtenu est le nombre de personnes supplémentaires testées chaque fois qu'on découvre un malade. En juillet la France de Macron a fait 106 tests par malade. Pour ensuite aider le coronavirus à faire sa 2ème vague en limitant le nombre de cas contacts testés.
A Mayotte, cela a été une politique raciste systématique: en mai juin, en ne testant que 4 cas contacts pendant que la métropole en testait de 40 à 70, Dominique Voynet était assurée d'une bonne circulation du virus dans l'île. Mais elle a dû attendre fin janvier pour que ses efforts - criminels - soient couronnés de succès !
Les courbes sont parlantes


Sans les tests permettant d'empêcher sa propagation en pouvant isoler les personnes contaminées, le variant Covid a pu se développer très vite à Mayotte.
Mayotte est donc 4,32 fois plus touchée par le coronavirus  que la Métropole. Mais les journalistes vont alors intervenir pour protéger Dominique Voynet, Macron, Véran, Castex en faisait de l'enfumage sur la vérité des chiffres SI-DEP

.Les chiffres font froid dans le dos. Le 3 janvier dernier, le taux d'incidence du Covid-19 à Mayotte n'était que de 50 cas pour 100.000 habitants. Un mois plus tard, le département vient d'établir un bien triste record. Il est devenu le territoire français le plus touché par le coronavirus depuis le début de la pandémie, avec un taux d'incidence de 804,4 cas pour 100.000 habitants. Un bilan presque quatre fois supérieur à la moyenne nationale (207 cas pour 100.000 habitants). À titre de comparaison, dans le département métropolitain où le virus est le plus présent, les Alpes-Maritimes, il l'est presque deux fois moins (452,2 pour 100.000 habitants) qu'à Mayotte. La contagiosité du variant sud-africain serait la principale cause de cette flambée mahoraise. Le Figaro 

"serait" ?
Non c'est un mensonge. La PRINCIPALE CAUSE DE CETTE FLAMBEE MAHORAISE c'est le manque de tests !
Ce sont des pauvres, ils vivent sur le continent africain, et ont la couleur de peau des esclaves alors le racisme ordinaire des institutions françaises qui maintient dans la misère 8 habitants sur dix est pire encore en temps de pandémie - sous PRETEXTE de pandémie.

On estime que 84 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté à Mayotte. L'indice de développement humain pour Mayotte a été estimé à 0,75162, ce qui selon les auteurs de l'estimation placerait Mayotte à la soixante-dixième place du classement mondial (non loin de l'Algérie). Wikipédia 

Dominique Voynet l'ex ministre de l'environnement de Lionel Jospin, celle qui a autorisé l'enfouissement des déchets nucléaires à Bure et l'inscription par le ministre de l'Agriculture d'une variété d'OGM (le Maïs Bt) au catalogue officiel des espèces autorisées à la culture en France
 a été nommé le 27 novembre 2019 par le conseil des ministres de Macron Edouard Philippe directrice de l'ARS agence régionale de santé à Mayotte.

Cette criminel écologique est aussi une criminelle sanitaire.... 

Non seulement elle a mis en oeuvre de diviser par 25 le nombre de tests nécessaires (et par 4,54 par rapport à ce que reçoit la métropole) mais - évidemment - elle en profite pour accuser les pauvres d'être responsables de la catastrophe sanitaire  !

Ce serait de la faute des habitants si le virus atteint des records et pas de la faute des responsables politiques !

"Néanmoins, dans son dernier point épidémiologique, l'ARS avance aussi un ensemble d'autres raisons, telles que «la tenue de rassemblements, fêtes privées et cérémonies, le relâchement dans l'application des mesures barrières, y compris en milieu professionnel.» Le Figaro

Interviewée par Libération sur les solutions pour contrer la maladie, pas une seule fois Dominique Voynet n'utilise le mot TESTS !

Dominique Voynet ment 

"le virus est allé plus vite que nos efforts de freinage. Le couvre-feu sur l’ensemble de l’île et le confinement sur trois communes, instaurés la semaine dernière, n’ont pas suffi."

20 FOIS PLUS DE TESTS NECESSAIRES
LE 2 MARDI 2 FEVRIER 

Elle baratine sans avouer que le taux de positivité est la MESURE de SA POLITIQUE CRIMINELLE
Le virus nous a échappé. Il y a trois semaines, je pensais qu’on allait pouvoir gérer. Mais en quelques jours, le taux d’incidence a explosé, il est aujourd’hui de 597 pour 100 000 habitants, contre 50 en janvier, avec un taux de positivité de 20,5% : c’est considérable, préoccupant, inquiétant. Lors de la première vague, entre mars et mai, nous avions comptabilisé un millier de cas. Cette fois, on atteint 1 669 cas en une semaine ! Cela tient notamment à l’émergence des variants sud-africain et britannique, qui se diffusent à très grande vitesse. Ils touchent toutes les catégories d’âge et ont donné l’impression, dans les premiers jours, de provoquer des formes plus graves. Mais de ce côté, cela semble se normaliser.

27 FOIS PLUS DE TESTS NECESSAIRES LE LUNDI 8 FEVRIER


Le taux de positivité dont elle parle au niveau de 20,5% est celui du mardi 2 février. Ce nombre indiquait qu'elle aurait du faire 20 FOIS PLUS DE TESTS. Or les données SIDEP publiées ce soir indiquent que ce taux est passé à 27,4%.
La situation s'est encore aggravée !!!

Comme nous le disions dans un article du 31 janvier 2021 :

Dans une pandémie ce sont les tests qui sont les espions !

Les tests sont les outils qui permettent de se renseigner sur le coronavirus, de localiser le virus et de mesurer l'ampleur de sa propagation. 

Pas de confinement sans tester préalablement 15 millions de Français dans la semaine ! Stop au complot sanitaire et au sabotage du dépistage COVID19

 Confiner un département français extrêmement pauvre sans au préalable tester massivement la population n'a aucun sens !

"Face à cette situation alarmante, le gouvernement a décrété un confinement total en fin de semaine dernière, et les écoles ont été fermées. Pour faire face à la dégradation de la situation, l'armée a déployé, dimanche 7 février, un module militaire de réanimation, et 31 soignants. Sur place, les observateurs restent inquiets." Le Figaro
Mayotte a besoin de chasser les impérialistes, Mayotte a besoin de reprendre le drapeau de Thomas Sankara et de former des CDR. Mayotte, devenue terrain de jeu de Dominique Voynet transformant les Mahorais en rats de laboratoire pour expérimenter ce que donne la diffusion du variant sud-africain en divisant par 25 le nombre de tests doit chasser les apprentis-sorciers du coronavirus

#VOYNETDEGAGE DE MAYOTTE
STOP AU GENOCIDE COVID19 DES MAHORAIS
IL FAUT 25 FOIS PLUS DE TESTS 
TROUPES FRANCAISES HORS D'AFRIQUE 
BOB DENARD 2021 C'EST DOMINIQUE VOYNET 
IL FAUT UN NUREMBERG DE L'AFRIQUE POUR JUGER LES CRIMINELS COLONIAUX

AUTO-ORGANISATION POLITIQUE 
FORMER 3 ARRONDISSEMENTS REVOLUTIONNAIRES
EN DESIGNANT 5000 DELEGUES DE BASE
AUTO-ORGANISATION SANITAIRE
EN DESIGNANT 25 000 CORRESPONDANTS SANTE, 5000 DELEGUES DIB SANTE ET 1000 DELEGUES SANTE DE BASE