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samedi 20 août 2016

Barack Obama et Hillary Clinton ont créé DAECH le 8 avril 2013 : nom de code Timber Sycamore (Financement Arabie Saoudite)

Haji Bakr
 véritable chef DAECH
Organisateur du plan CIA
 Timber Sycamore en Syrie
par Yanick Toutain
20/8/2016


Tous les matins, pendant cinq jours d'affilée,
la voiture marron foncé dépose Baghdadi
et son second, Haji Bakr,
au quartier général du Conseil consultatif
des moudjahidines à Kafr Hamrah.
À la fin de la journée, la même voiture,
avec le même chauffeur, vient les chercher
 et les emmène dans un endroit secret pour y passer la nuit.
Le lendemain, la voiture revient et dépose Baghdadi et Bakr.

dans un discours prononcé par Baghdadi
peu après l'épisode de Kafr Hamma.
Le 8 avril 2013, il annonce que son organisation
 s'est implantée en Syrie.
Toutes les factions djihadistes syriennes,
 y compris le Front Fatah al-Sham,[Al Nosra]
doivent se soumettre à son autorité. 
«Nous déclarons avec l'appui d'Allah
 l'annulation du nom d'État islamique d'Irak
et l'annulation du nom Jabhat al-Nusra,
pour les réunir sous un seul nom:
 l'État islamique en Irak et au Levant»,
cf infra

"Les détenus racontent que le Camp Bucca
 s'était transformé en véritable académie du djihadisme"

cf infra

 "Washington devrait commencer par exprimer sa volonté de travailler avec les alliés régionaux comme la Turquie, l'Arabie Saoudite et le Qatar pour organiser, former et armer les forces rebelles syriens." (Email Hillary Clinton 4 mois avant le 8 avril 2013 la création de DAECH)
"le New York Times a révélé dans cet article que l’Arabie saoudite a financé à hauteur de « plusieurs milliards de dollars » la guerre secrète de la CIA en Syrie. D’autres contributeurs étatiques à cette campagne de l’Agence sont cités par ce journal. Il s’agit de la Turquie, de la Jordanie et du Qatar. " (infra)
Il y avait Abou Sayyaf, un djihadiste venu de Belgique, qui parlait souvent des décapitations. Un jour, il a demandé à son émir, Abou al-Atheer al Absi, s'il pouvait assassiner quelqu'un. «Je voudrais juste porter une tête à la main», a-t-il dit. Autour de lui, on le surnommait al-thabah, «le bourreau».

UN GROUPE DE CRIMINELS ATTAQUE L'EUROPE
TÉLÉGUIDES PAR LA CIA


Avec l'argent de l'Arabie Saoudite, avec l'armement massif venu des USA acheté par l'Arabie Saoudite, avec son manuel de la terreur dont les chapitres semblent avoir été écrits à Langley ou à l'université du Nebraska à Omaha (comme le manuel d'Al Qaeda imprimé par l'USAID), Haji Bakr fait fusionner tous les groupes terroristes de Syrie le 8 avril 2013.
Et, pendant que Obama appelle au renversement d'Assad, le pantin d'Haji Bakr et de la CIA annonce la création de DAECH (ISIS)


Les médias au service du capitalisme criminel excellent dans l'art de donner la vérité par petits morceaux en la rendant incompréhensible.
Quand l'Elysée organise et finance (20M€) l'attaque jihadiste du 9 octobre 2015 contre la gendarmerie de Samorogouan au Burkina Faso, toutes les preuves sont publiques. Mais en petits morceaux.
Le général Puga, bras droit militaire de Hollande a lancé les jihadistes à l'attaque du Mali le 17 janvier 2012 et a missionné les mêmes contre le Burkina Faso, 3 et demi plus tard. Après leur avoir versé 20 millions d'euros en octobre 2013 pour la création à Kidal de l'école des « petits combattants du jihad » que le leader Iyad Ag Ghali présenta au journaliste du Spiegel en 
RFI, le Monde et autres médias au service du terrorisme d'Etat énoncent les faits. Mais jamais dans le même article.
L'enregistrement téléphonique des logisticiens Guillaume Soro et Djibrill Bassolé n'est jamais mentionné dans les articles concernant l'attaque elle-même.
Pour la création de DAECH, la même technique est utilisée.
Le New York Times publie un scoop sur l'opération Timber Sycamore.
Mais ne met jamais en relation cette opération d'armement massif de DAECH avec la création de ce groupe par l'agent de la CIA – Haji Bakr (qui n'était pas le bras droit de Baghdadi mais, en réalité, son véritable chef).
De la même façon, les déclarations d'Obama au même moment ne sont jamais corrélées avec la création de DAECH et l'armement.
Ni la liste des dirigeants terroristes de la région que Obama rencontre au moment exact de la création de DAECH.


PROCLAMATION DE DAECH LE 8 AVRIL 2013 PAR BAGHDADI PANTIN DE HAJI BAKR

Tous les matins, pendant cinq jours d'affilée, la voiture marron foncé dépose Baghdadi et son second, Haji Bakr, au quartier général du Conseil consultatif des moudjahidines à Kafr Hamrah. À la fin de la journée, la même voiture, avec le même chauffeur, vient les chercher et les emmène dans un endroit secret pour y passer la nuit. Le lendemain, la voiture revient et dépose Baghdadi et Bakr. L'histoire secrète de la toute première réunion de Daech par Harald Doornbos et Jenan Moussa 19.08.2016
(…)…. dans un discours prononcé par Baghdadi peu après l'épisode de Kafr Hamma. Le 8 avril 2013, il annonce que son organisation s'est implantée en Syrie. Toutes les factions djihadistes syriennes, y compris le Front Fatah al-Sham, doivent se soumettre à son autorité. «Nous déclarons avec l'appui d'Allah l'annulation du nom d'État islamique d'Irak et l'annulation du nom Jabhat al-Nusra, pour les réunir sous un seul nom: l'État islamique en Irak et au Levant»,



Le témoin, ex jihadiste se prétendant repenti ne mentionnera que deux fois le nom du véritable chef de DAECH.
Ou plutôt, les deux journalistes qui ont recueilli 100 heures d'interrogatoire ne semblent avoir aucune curiosité sur celui dont le rôle est celui d'un véritable agent d'infiltration de la CIA.

L'article continue par la description des réunions préparatoires

"Pendant ces cinq jours, à l'intérieur du bâtiment, Baghdadi s'entretient avec un groupe d'importants leaders djihadistes en Syrie. Parmi eux, certains des hommes les plus recherchés dans le monde, tous réunis dans une pièce, assis sur des matelas et des coussins posés à même le sol. On leur sert le petit déjeuner et le déjeuner: du poulet grillé ou rôti avec des frites, du thé et des boissons froides pour se désaltérer. Baghdadi, l'homme le plus recherché de la planète, boit du Pepsi ou du Mirinda, un soda aromatisé à l'orange.En plus de lui, on compte parmi les participants Abou al-Atheer, l'émir du Conseil consultatif des moudjahidines; Abou Mesaab al-Masri, un commandant djihadiste égyptien; Omar al-Chichani, un djihadiste tchétchène venu de Géorgie; Abou al-Waleed al-Libi, un leader djihadiste de Lybie; Abed al-Libi, un émir du groupe libyen Katibat al-Battar; deux chefs des renseignements du Front Fatah al-Sham; et enfin, Haji Bakr, le second de Baghdadi. (Slate)"

On comprend de quoi il s'agit quand on associe ces informations à celles publiées en janvier 2016 par le New York Times.

TIMBER SYCAMORE : MISE EN OEUVRE DU PLAN D'HAJI BAKR AGENT DE LA CIA DEPUIS CAMP BUCCA

Un article du New York Times vient de dévoiler le nom de code de la guerre secrète multinationale de la CIA en Syrie : il s’agit de l’opération Timber Sycamore, ce qui peut signifier « Bois de Platane » ou « de Figuier sycomore ». En 1992, les chercheurs syriens Ibrahim Nahal et Adib Rahme avaient publié une étude selon laquelle, « [b]ien que la largeur des cernes soit influencée par les facteurs du milieu, le bois de Platane d’Orient peut être classé parmi les espèces à croissance relativement rapide par rapport au hêtre ou au chêne. » Les groupes rebelles majoritairement jihadistes, qui ont proliféré en Syrie à partir de l’été 2011, pourraient donc être considérés comme des « platanes d’Orient » du fait de leur « croissance rapide » – sans qu’un lien ne soit forcément établi entre le nom de code de cette opération clandestine de la CIA et ce phénomène biologique. Il est également possible que « Sycamore » fasse référence non pas au platane mais au figuier sycomoredont le « bois peut servir de combustible et le frottement de deux branches permet d’allumer un feu ».   (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )
Essentiellement, le New York Times a révélé dans cet article que l’Arabie saoudite a financé à hauteur de « plusieurs milliards de dollars » la guerre secrète de la CIA en Syrie. D’autres contributeurs étatiques à cette campagne de l’Agence sont cités par ce journal. Il s’agit de la Turquie, de la Jordanie et du Qatar. Or, bien que le montant exact des contributions de chaque État impliqué dans ces opérations n’ait pas été dévoilé, le Times nous informe que l’Arabie saoudite en a été le principal financeur. D’après ce journal, « [l]es hauts responsables états-uniens n’ont pas révélé le montant de la contribution saoudienne, qui constitue de loin le principal financement étranger de ce programme de fourniture d’armes aux rebelles combattant les forces du Président Bachar el-Assad. Néanmoins, des estimations ont indiqué que le coût total des efforts de financement et d’entraînement [des rebelles] atteignait plusieurs milliards de dollars. » (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )

TIMBER SYCAMORE C'EST INFILTRER LA REVOLUTION SYRIENNE ET LA DETRUIRE DE L'INTERIEUR

Les naïfs imaginant Obama et les Saoudiens occupés à renverser Assad ont un point aveugle : Le but numéro 1 de la CIA comme des monarchies des Banques du Golfe, c'est détruire la révolution d'Omar Aziz. A aucun moment la chute d'Assad n'a été une priorité par rapport à la mission fondamentale : assassiner la totalité des révolutionnaires syriens se revendiquant de l'héritage de Lénine et de Rosa Luxembourg.
On sait, par les plans de Haki Bakr que des commandos DAECH procédait à l'élimination physique de tous les véritables révolutionnaires
Der Spiegel a eu accès aux documents du véritable chef de DAECH - Haji Bakr
The Terror Strategist: Secret Files Reveal the Structure of Islamic StateBy Photo Gallery: The Foundation of Islamic State PowerPhotosAP/ Raqqa Media Center
An Iraqi officer planned Islamic State's takeover in Syria and SPIEGEL has been given exclusive access to his papers. They portray an organization that, while seemingly driven by religious fanaticism, is actually coldly calculating.

L'agent de la CIA est mort en oubliant d'avoir un Coran dans sa maison : il ne pouvait supposer que la résistance découvrirait qu'un mécréant jouant le rôle de second de Baghdadi était en réalité un agent US travaillant à organiser la contre révolution dans la région.
Distant, poli, prévenant, extrêmement vigilant, réservé, malhonnête, énigmatique, malveillant. Se remémorant leur rencontre avec lui qui remontent à plusieurs mois, les rebelles nord-syriens évoquent un homme aux multiples facettes. Mais ils s’accordent sur une chose : « Nous n’étions jamais sûrs de savoir à qui nous avions affaire. »(..)Le véritable nom de cet irakien dont la rudesse des traits était adoucie par une barbe blanche était Samir Abd Muhammad al-Khlifawi. Mais personne ne le connaissait sous ce nom. Même son pseudonyme le plus utilisé, Haji Lakr, n’était pas connu de tous. Mais cela faisait précisément partie du plan. Cet ancien colonel du renseignement dans l’armée de l’air de Saddam Hussein tirait les ficelles de l’EI depuis des années. D’anciens membres de l’organisation l’avaient à plusieurs reprises mentionné comme l’un de ses leaders. Son rôle n’avait cependant jamais été clairement établi.
Mais à sa mort, le concepteur de l’État islamique laissa derrière lui ce qu’il avait voulu garder strictement confidentiel : le projet de cet État. Il s’agit d’un dossier, rempli d’organigrammes manuscrits, de listes et de programmes, qui décrivent la façon d’assujettir un pays progressivement. SPIEGEL a obtenu l’accès exclusif à ces 31 pages, dont plusieurs sont restées collées entre elles. Elles révèlent une structure à plusieurs niveaux et des directives opérationnelles, dont certaines déjà testées et d’autres nouvellement conçues pour s’adapter à l’anarchie régnant dans les zones sous contrôle rebelle. En un sens, ces documents constituent le code source de l’armée terroriste la plus efficace de l’histoire moderne.
(...)
Pour la première fois, les documents de Haji Bakr permettent de déterminer comment s’organise le commandement  de l’EI et quel rôle y jouent les hauts responsables déchus du gouvernement de l’ancien dictateur Saddam Hussein. Et surtout, ils montrent comment la planification de la prise de contrôle du nord de la Syrie à d’abord rendu possible la progression de l’organisation en Irak. De plus, des mois de recherches effectuées par SPIEGEL en Syrie, ainsi que de nouveaux documents récemment découverts, auxquels SPIEGEL a eu accès en exclusivité, montrent que les instructions de Haji Bakr ont été méticuleusement exécutées.
Les documents de Bakr ont été longtemps cachés dans la minuscule annexe d’une maison dans la région des combats au nord de la Syrie. Leur existence fut d’abord signalée par un témoin oculaire qui les avait vus dans la maison de Haji Bakr peu de temps après sa mort. En avril 2014, une seule page du document a été exfiltrée en Turquie où SPIEGEL a pu l’étudier pour la première fois. Ce n’est qu’en novembre 2014 qu’il a été possible de se rendre à Tal Rifaat pour examiner l’ensemble des pages manuscrites.DOC 1Ce document est une ébauche établie par Haji Bakr, d’une structure possible de l’administration de l’EI.
« Notre plus grande crainte était que ces plans puissent tomber entre de mauvaises mains et ne soient jamais divulgués », dit l’homme qui a gardé les notes de Haji Bakr après les avoir tirées d’un monceau de boîtes et de couvertures. Cet homme, craignant les escadrons de la mort de l’EI, souhaite rester anonyme.
Le schéma directeurL’histoire de cet ensemble de documents commence à une époque où peu de gens avaient entendu parler de l’« État islamique ». Quand Haji Bakr, de nationalité irakienne, voyagea en Syrie comme membre d’une minuscule avant-garde fin 2012, il avait un plan apparemment absurde : l’EI s’emparerait d’autant de territoires que possible en Syrie. Ensuite, utilisant ce pays comme tête de pont, il envahirait l’Irak.
Bakr avait élu résidence dans une maison discrète de Tal Rifaat, au nord d’Alep. Le choix de cette ville était judicieux. Dans les années 80, beaucoup de ses habitants l’avaient quittée pour aller travailler dans les États du Golfe, essentiellement en Arabie saoudite. Quand ils sont revenus, certains s’étaient forgé des convictions radicales et des contacts. En 2013, Tal Rifaat allait devenir le bastion de l’EI dans la province d’Alep, où seraient basés des centaines de combattants.
C’est là que le « Seigneur de l’ombre », comme certains l’appelaient, esquissa la structure de l’État islamique, y compris jusqu’à l’échelon local, compila des listes concernant l’infiltration progressive des villages et décida qui allait superviser qui. À l’aide d’un stylo à bille, il dessina sur des feuilles de papier les chaînes de commandement de l’appareil de sécurité. C’est probablement une coïncidence, mais ce papier à lettres provenait du ministère syrien de la Défense et portait l’en-tête du département en charge du logement et du mobilier.
Ce que Bakr a mis sur le papier, page après page, avec des encadrés délimitant soigneusement les responsabilités individuelles, n’était autre qu’un programme pour une prise de pouvoir. Ce n’était pas une proclamation de foi, mais un plan technique précis pour un « service secret de l’État islamique — un califat gouverné par une organisation qui ressemblait à la célèbre Stasi, le service de renseignement est-allemand.
DOC 1BGraphique : une image numérique de l’organigramme de l’État islamique de Haji BakrCe projet a été appliqué avec une précision étonnante au cours des mois suivants. Le plan commençait invariablement de la même façon : le groupe recrutait des partisans sous le prétexte d’ouvrir un bureau pour la da’wa, un centre de mission islamique. Parmi ceux qui venaient écouter les conférences et suivre des cours sur la vie islamique, un ou deux hommes étaient sélectionnés et recevaient pour consigne d’espionner leur village et d’obtenir toute une série d’informations. Dans ce but, Haji Bakr rédigeait des listes telles que celle-ci :
  • Faire la liste des familles influentes.
  • Désigner les individus influents dans ces familles.
  • Découvrir leurs sources de revenus.
  • Trouver le noms et la taille des brigades (rebelles) dans le village.
  • Découvrir le nom de leurs chefs, qui contrôle les brigades et quelle est leur orientation politique.
  • Découvrir leurs activités illégales (selon la charia), qui pourraient être utilisées pour les faire chanter si nécessaire.
On demandait aux espions de noter si quelqu’un était un délinquant ou un homosexuel, ou encore avait une liaison secrète, afin d’avoir des munitions pour un éventuel chantage. « Nous nommerons les plus intelligents cheikhs de la charia », avait noté Bakr. « Nous les formerons  pendant un certain temps avant de les déployer. » Il avait ajouté en post-scriptum que plusieurs « frères » seraient choisis dans chaque ville pour épouser les filles des familles les plus influentes, de façon à « infiltrer ces familles à leur insu ».
Les espions devaient découvrir tout ce qu’ils pouvaient dans les villes ciblées : qui y vivait, qui était aux commandes, quelles familles étaient religieuses, à quelle doctrine islamique elles appartenaient, combien de mosquées y avait-il, qui en était l’imam, combien de femmes et d’enfants avait-il et quel était leur âge. Il fallait se renseigner sur la teneur des sermons de l’imam, s’il était plus ouvert au soufisme ou à une variante mystique de l’Islam, s’il soutenait l’opposition ou le régime, quelle était sa position sur le djihad. Bakr voulait également des réponses à des questions comme : l’imam reçoit-il un salaire ? Si oui, qui le paie ? Qui le nomme ? Enfin : combien y a-t-il dans le village de farouches partisans de la démocratie ?


Le plan machiavélique de la CIA c'est ce que ses agents commencent à mettre en place en France.
L'exemple du Havre que l'auteur vit de l'intérieur est une version - non encore criminelle - du même plan.
Un plan se réalisant avec la complicité de la DGSI, de la droite sarkozyste et juppéiste et l'activité répressive de l'Etat français.
Un Etat qui laisse les milices Qaradawi prendre le contrôle de tous les quartiers pauvres.
Pendant que le frère de Tariq Ramadan appelle à la crucifixion des antifascistes - insultés sous le sobriquet de "laicards", Belkacem recrute tous les profs agresseurs d'enfants pour en faire des agents provocateurs, faux témoins, dénonciateurs. Aidés par des milices de parents agresseurs de leurs propres enfants pour terroriser tous les anti violences près des écoles et sur les marchés.
Le plan Haji Bakr avec des améliorations sans doute données par l'espionnage NSA massif en France et le piratage de la vidéo surveillance mettant chaque français sous la toile des maitres des terroristes.
Les agents étaient censés jouer le rôle d’ondes sismiques envoyées pour débusquer les moindres recoins aussi bien les plus minuscules fissures que les failles séculaires de la société — en bref, toutes les informations qu’on pourrait utiliser pour diviser et soumettre la population locale. Dans les rangs des informateurs, on trouvait d’anciens agents de renseignements, mais aussi des opposants au régime qui s’étaient querellés avec l’un des groupes rebelles. Certains étaient de jeunes hommes et des adolescents qui avaient besoin d’argent ou qui étaient emballés par ce travail. La plupart des hommes sur la liste des informateurs de Bakr, comme ceux de Tal Rifaat, avaient tout juste vingt ans, mais certains n’avaient pas dépassé 16 ou 17 ans.
Les plans incluent des parties dédiées au financement, aux écoles, aux crèches, aux médias et aux transports. Mais il y a un thème central récurrent, qui est traité méticuleusement dans les organigrammes, les listes de responsabilités et les exigences de signalement : surveillance, espionnage, meurtre et enlèvement.
Pour chaque conseil provincial, Bakr avait prévu qu’un émir ou un commandant serait responsable des meurtres, des enlèvements, des snipers, de la communication et du cryptage, tandis qu’un autre émir superviserait les autres émirs — « au cas où ils ne feraient pas correctement leur boulot ». Le noyau de cet État religieux serait la mécanique démoniaque d’une structure de cellules et de commandos conçue pour propager la peur. (source Der Spiegel version française arrêt sur info)

TIMBER SYCAMORE C'EST LA CREATION DE DAECH

Le processus d'infiltration et de destruction de la révolution syrienne a connu une accélération en 2012
 À partir de juillet 2012, à travers les politiques profondes du prince Bandar, les « sycomores » jihadistes en Syrie ont connu une « croissance relativement rapide », avec le soutien actif de la CIA et de ses partenaires. Or, Bandar est si proche de l’Agence que l’on ne peut réellement dissocier ses actions clandestines de celles des services spéciaux états-uniens, du moins lorsqu’il était ambassadeur de l’Arabie saoudite à Washington (1983-2005) puis directeur des renseignements saoudiens (2012-2014). (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )
« Tandis que l’administration Obama voyait cette coalition comme un argument séduisant pour le Congrès, certains parlementaires, comme le sénateur Ron Wyden – un Démocrate de l’Oregon –, ont demandé pourquoi la CIA avait besoin de l’argent saoudien pour financer cette opération, selon un ancien officiel états-unien. M. Wyden a refusé de répondre à nos questions, mais son équipe a publié une déclaration exigeant une plus grande transparence : Des hauts responsables ont déclaré que les États-Unis sont en train de renforcer les capacités militaires opérationnelles de l’opposition anti-Assad. Or, les citoyens n’ont pas été informés sur les modalités de cette politique impliquant des agences états-uniennes, ou des partenaires étrangers avec lesquels ces institutions coopèrent. »   (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )

DAECH AL QAEDA DEUX OPERATIONS DE LA CIA

il s’agit de la mise en place d’un réseau de soutien opérationnel connu sous le nom d’al-Qaïda depuis la fin de cette guerre entre l’URSS et l’Afghanistan. Casey mit au point les détails de ce plan avec les deux chefs des services secrets saoudiens, ainsi qu’avec le directeur de la Bank of Credit and Commerce International (BCCI), la banque pakistano-saoudienne dont Kamal Adham et Turki ben Fayçal étaient tous deux actionnaires. (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )

L'ARMEMENT MASSIF DE DAECH ETAIT RECLAME PAR HILLARY CLINTON PLUSIEURS MOIS AVANT LE 8 AVRIL 2012 

Phrases extraites de la source : les courriels de la criminelle Hillary Clinton, créatrice de Al Qaeda.
https://wikileaks.org/clinton-emails/emailid/18328
Département américain UNCLASSIFIED d'Etat Affaire n ° F-2014-20439 Doc n ° C05794498 Date: 30/11/2015
 La meilleure façon d'aider Israël face à la capacité nucléaire croissante de l' Iran est d'aider le peuple de Syrie à renverser le régime de Bachar el-Assad.
 La rébellion en Syrie a duré plus d'un an. L'opposition ne va pas disparaître, ni le régime ne va accepter une solution diplomatique de l'extérieur.
Contrairement aux forces de l'opposition libyenne, les rebelles syriens ne sont pas unifiés et ne détiennent pas un territoire.
On voit dans cette dernière phrase en creux se dessiner le projet de DAECH
Unification et contrôle d'un territoire 
 "Mais le succès en Syrie serait un événement de transformation pour le Moyen-Orient.
Contrairement à la Libye, une intervention réussie en Syrie aurait besoin d'un leadership diplomatique et militaire substantielle des États-Unis. Washington devrait commencer par exprimer sa volonté de travailler avec les alliés régionaux comme la Turquie, l'Arabie Saoudite et le Qatar pour organiser, former et armer les forces rebelles syriens.
On voit bien ici que 4 mois avant la création de DAECH, les parrains sont Turquie, l'Arabie Saoudite et le Qatar
"L'annonce d'une telle décision, par lui-même, susceptible d'entraîner des défections importantes de l'armée syrienne. Puis, en utilisant le territoire en Turquie et peut-être la Jordanie, les diplomates américains et les responsables du Pentagone peuvent commencer à renforcer l'opposition. Cela prendra du temps. Mais la rébellion va continuer pendant un long moment, avec ou sans la participation des États-Unis. La deuxième étape consiste à développer un soutien international pour une opération aérienne de la coalition.
++
Le financement de DAECH est prévu ici. C'est l'opération Timber Sycamore qui réalisera le plan de Hillary Clinton.
Armer les rebelles syriens et l'utilisation de la puissance aérienne occidentale au sol des hélicoptères et des avions syriens est une approche très rentables à faible coût.
++
Tous ces avantages stratégiques et la perspective de sauver des milliers de civils de assassiner les mains du régime Assad (10.000 ont déjà été tués dans cette première année de la guerre civile). 

LA CIA A PREPARE LA CONSTRUCTION
DE DAECH A CAMP BUCCA

Baghdadi et Haji Bakr ont été mis en relation dans l'université du terrorisme de la CIA : Camp Bucca
En 2004, [Baghdadi] est arrêté par les Américains pour s'être rendu chez un ami recherché. Le futur calife est alors envoyé vers le Camp Bucca, où l'administration d'occupation américaine retenait les Irakiens suspects. Les rituels religieux n'y étaient pas interdits et le futur calife en a profité habilement: il tenait des lectures sur la religion, organisait des prières le vendredi et donnait des conseils aux prisonniers conformément à sa perception de l'islam.© AP PHOTO/ FILELe chef de l’EI sort de son silence pour semer la terreurLes détenus racontent que le Camp Bucca s'était transformé en véritable académie du djihadisme. "Éduque-le, impose ton idéologie et indique-lui la voix à suivre pour qu'au moment de sa libération il devienne une flamme brûlante": telle était la stratégie des théologiens islamiques à l'intérieur du camp de filtration envers tout nouvel arrivant, résume l'un des anciens détenus.



Les deux agents provocateurs Haji Bakr et Bagdhadi vont créer DAECH qui, aussitôt après réceptionne des milliers d'armes financées par l'Arabie Saoudite en provenance des USA.

TIMBER SYCAMORE C'EST
L'ARMEMENT DE DAECH : 13000 TOW

 En octobre 2015, le New York Times expliqua que “[l]es missiles antichars TOW de fabrication américaine ont fait leur apparition dans la région en 2013, à travers un programme clandestin [de la CIA] mené par les États-Unis, l’Arabie saoudite et d’autres alliés. Celui-ci vise à aider des groupes d’insurgés “sélectionnés” par l’Agence à combattre le gouvernement syrien. Ces armes sont livrées sur le terrain par des alliés des Américains, mais les États-Unis approuvent leur destination. (…) Des commandants rebelles ont éclaté de rire lorsqu’on les a questionnés sur la livraison de 500 TOW en provenance d’Arabie saoudite, déclarant qu’il s’agissait d’un nombre ridicule comparé à ce qui est réellement disponible. En 2013, l’Arabie saoudite a commandé [à Washington] plus de 13 000 [TOW].”  (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )
(…)

(…) À la suite de l’entrée en guerre de la Russie, un ancien conseiller du Pentagone a confirmé au Washington Post que le recours à des partenaires étrangers impliquait le “déni plausible”, ce qui permet de couvrir les opérations de la CIA en Syrie : “Fabriqués par Raytheon, les missiles [TOW] proviennent principalement des stocks du gouvernement saoudien, qui en avait acheté 13 795 en 2013 (…) Puisque les accords de vente nécessitent que l’acheteur informe les États-Unis de leur destination finale, l’approbation [de Washington] est implicite, selon Shahbandar, un ancien conseiller du Pentagone. D’après lui, aucune décision n’est requise de la part de l’administration Obama pour que ce programme puisse continuer. “II n’y a pas besoin d’un feu vert américain. Un feu orange est suffisant”. “Il s’agit d’un [programme] clandestin et il peut techniquement être démenti, mais c’est le propre des guerres par procuration.”” Ainsi, la doctrine du “déni plausible”, qui implique des tierces parties sur lesquelles on peut rejeter la faute, semble expliquer pourquoi le rôle de la CIA et de ses alliés occidentaux dans cette guerre secrète est [à ce point] refoulé, déformé ou minimisé. » (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )

TIMBER SYCAMORE DANS LE DOS DE LA DIA

Une partie de l'administration aux USA tente de freiner l'organisation de ces activités criminelles. Mais sans jamais prendre les mesures à la hauteur du cynisme des Bush et des Clinton.
en août 2015, l’ancien directeur du Renseignement militaire du Pentagone (DIA) Michael Flynn avait dénoncé sur Al-Jazeera l’irrationalité stupéfiante de la Maison Blanche sur le dossier syrien. À cette occasion, il révéla que les responsables de l’administration Obama avaient pris la « décision délibérée » de « faire ce qu’ils font en Syrie » ; en d’autres termes, ils auraient choisi de soutenir des milices anti-Assad que la DIA décrivait à partir de 2012 comme noyautées et dominées par des forces jihadistes. Dès cette année-là, Flynn et son agence informèrent la Maison Blanche du risque de voir émerger un « État Islamique » entre l’Irak et la Syrie du fait du soutien occidental, turc et pétromonarchique à cette rébellion.  (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )

EN MAI 2013, UN MOIS APRES LA CREATION DE DAECH,
 GEORGES MALBRUNOT LE FIGARO FAISAIT FUITER CE QU'IL ENTREVOYAIT DU COMPLOT CIA-DAECH-TIMBER SYCAMORE


Pourquoi les États-Unis songent-ils désormais à armer les rebelles syriens ?







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    Le secrétaire à la Défense l'a pour la première fois annoncé jeudi. Même si Washington considère qu'il s'agit « de la moins mauvaise solution » pour mettre un terme à la crise en Syrie.La décision n'a pas encore été prise, mais on y songe sérieusement outre-Atlantique. Pour la première fois, le secrétaire à la Défense, Chuck Hagela reconnu jeudi que les États-Unis n'écartaient plus la possibilité de fournir des armes à l'opposition syrienne, qui cherche depuis deux ans à renverser Bachar el-Assad. Mais Hagel l'a fait du bout des lèvres, conscient qu'il s'agit sans doute de «la moins mauvaise solution».Barack Obama est sous pression pour ne pas rester inerte face à la sanglante répression du régime Assad. En particulier depuis que ses services de renseignements ont acquis la quasi certitude qu'il avait utilisé à «faible quantité» des armes chimiques contre ses opposants. Mais sur ce dossier, l'administration américaine - instruite par le précédent irakien - reste extrêmement prudente, réclamant des preuves supplémentaires qu'elle aura du mal à acquérir, faute d'un minimum de coopération du régime syrien qui refuse obstinément l'accès aux enquêteurs de l'ONU. Sauf preuve claire d'un tel recours aux armes chimiques, on voit mal les militaires américains intervenir sur le sol syrien. De la même façon, les États-Unis sont peu favorables à l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne qui fournirait enfin un sanctuaire aux rebelles. L'établissement d'une telle zone requiert au préalable la «neutralisation» des systèmes de défense antiaériens syriens. Or Washington n'est pas prêt aujourd'hui à se lancer dans de telles frappes de destructions des radars syriens.L'urgence de rééquilibrer le rapport de forces sur le terrain Reste donc l'option d'armer les rebelles. La CIA et le Pentagone y étaient déjà favorables à l'automne dernier, mais Obama avait mis alors son veto. Depuis, les rebelles non islamistes ont perdu du terrain face aux djihadistes que les États-Unis ont inscrit sur la liste des organisations terroristes. Et pour ne rien arranger, l'armée syrienne a tendance à ne plus reculer, récupérant même certaines positions dans la région d'Idleb et près de Homs. Il y a donc urgence à rééquilibrer le rapport de forces sur le terrain.

    HOLLANDE ET FABIUS CO-CREATEUR DE DAECH

    Jusqu'à maintenant, la CIA supervisait quelques livraisons d'armes aux rebelles notamment via la Jordanie, et les États-Unis fournissaient également des pièces non létales aux opposants à Assad. Une fourniture prochaine de missiles anti-aériens ou anti-chars américains pourrait se faire en coordination avec la Grande-Bretagne et la France, favorables elles aussi à l'armement des rebelles.
    On voit que Hollande pourrait aussi être poursuivi pour complicité pour la création de DAECH.
    Mais à Washington, comme à Paris, des voix s'élèvent pour mettre en garde contre une telle décision. Devant le Congrès, James Clapper, le directeur du renseignement national, se montrait récemment sceptique sur des fournitures d'armes aux opposants à Assad. Comme de nombreux militaires français, les Américains estiment qu'il est impossible de garantir que de telles armes ne finiraient pas entre de «mauvaises mains», c'est-à-dire les radicaux islamistes qui jurent de poursuivre le combat à la chute d'Assad pour établir un califat sur la Syrie et le Levant. Mais face à un régime qui peut compter sur l'appui de la Russie et de l'Iran, le temps presse pour agir. Ou donner l'impression d'agir.

    TIMBER SYCAMORE C'EST LE RECRUTEMENT DES PIRES PSYCHOPATHES D'EUROPE POUR PREPARER LA GUERRE DE 2015-2016

    Même un criminel membre de DAECH est choqué des malades mentaux venant de Belgique :

    "Ensuite, alors que certains des combattants étrangers étaient des hommes qui vivaient en accord avec la religion en Europe, il a découvert un autre groupe qu'il a fini par surnommer pour lui-même «les fous». Il s'agissait principalement de jeunes criminels belges ou néerlandais d'origine marocaine, au chômage, issus de familles difficiles et qui vivaient des vies marginales dans des banlieues marginales de villes marginales. La plupart de ces «fous» ne connaissent rien à la religion, et presque aucun n'a lu le Coran. Pour eux, combattre en Syrie est une aventure, ou une manière de se repentir pour leurs «vies de pécheurs» dans les bars et boîtes de nuit européennes.
    Il y avait Abou Sayyaf, un djihadiste venu de Belgique, qui parlait souvent des décapitations. Un jour, il a demandé à son émir, Abou al-Atheer al Absi, s'il pouvait assassiner quelqu'un. «Je voudrais juste porter une tête à la main», a-t-il dit. Autour de lui, on le surnommait al-thabah, «le bourreau».

    Quand des voix osent s'opposer aux terroristes qui dirigent les USA, elles le font mais sans dénoncer l'ampleur du complot contre-révolutionnaire.

    TULSI GABBARD PROTESTAIT SANS ACCUSER
     LES ORGANISATEURS OBAMA-CLINTON-GATES
     DE TRAHISON ET DE CRIMES



    Comme l’avait courageusement dénoncé la représentante états-unienne Tulsi Gabbard trois semaines avant les attentats du 13-Novembre, « des armements US vont dans les mains de nos ennemis, al-Qaïda et ces autres groupes, des groupes islamistes extrémistes qui sont nos ennemis jurés. Ce sont des groupes qui nous ont attaqués le 11-Septembre, et nous étions censés chercher à les vaincre, mais pourtant nous les soutenons avec ces armes pour renverser le gouvernement syrien. (…) Je ne veux pas que le gouvernement des États-Unis fournisse des armes à al-Qaïda, à des islamistes extrémistes, à nos ennemis. Je pense que c’est un concept très simple : vous ne pouvez vaincre vos ennemis si, en même temps, vous les armez et vous les aidez ! C’est absolument insensé pour moi. » (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )


    Cela n'a rien d'insensé tant que le capitalisme existe aux USA : le capitalisme et les terroristes sont une seule et même pièce.
    La « main rouge » des services secrets français était juste l'autre nom des assassins.

    LA TECHNIQUE CIA DU « DENI PLAUSIBLE » N'EMPECHERA PAS OBAMA, CLINTON, GATES DE REJOINDRE BUSH EN PRISON POUR DE NOMBREUSES ANNEES

    À cette complexité du terrain s’ajoute le traditionnel mode opératoire de l’Agence, qui est celui du « déni plausible » visant à dédouaner le gouvernement des États-Unis de toute action criminelle en ayant recours à des agents privés et/ou étrangers. (Maxime Chaix • On 24 janvier 2016  )

    Le CCIF déclenchant la polémique burkini pour faire oublier les crimes de Nice, de Rouen, de Paris cela fait partie du même plan.
    Le CCIF acheté 50 000 $ par Soros
    On apprend cette semaine que la Ligue des droits de l'Homme a été achetée par ce même milliardaire pour  66 000 $
    Cela fait partie du même plan de la CIA.
    Idem pour Besancenot et le NPA infiltré par le provocateur John Mullen qui pourrissait la LCR en coordination avec l'islamofasciste Tariq Ramadan.
    Le PCF infiltré par le frère de celui-ci organise le sabotage de Nuit debout Le Havre transformé en meeting salafiste appelant au jihad.
    Naturellement, ce n'est pas l'auteur de "crucifions les laicards" Médine Zaouiche qui est condamné pour "atteinte à la république française".
    C'est la révolutionnaire pro Sankara anti fasciste anti islamofasciste depuis 15 ans - Julie Amadis.
    L'Etat français couve les fascistes, couve les terroristes : le groupe de Qaradawi a même drtoit à des salles municipales dans la même ville : le porte parole de Juppé est un des grands serviteurs des terroristes.
    Normal, un Young Leader invité à Bilderbeg se doit d'aider tous ses collègues eux aussi au service de la CIA - et surtout les pires psychopathes terroristes jihadistes.

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