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François-Xavier Verschave, mort le 29 juin 2005
un héros mort 10 ans avant le voyou
Charles Pasqua qu'il accusait de trafics de drogue |
par Yanick Toutain
30/6/2015
".... argent sale en Afrique, dans les jeux, les casinos, les paris, etc.
tout cela étant lié parfois au trafic de drogue.
Charles Pasqua m’a attaqué en diffamation sur le livre la Françafrique.
Il me demandait cinq millions, il a eu un franc.
Je l’accusais d’un nombre impressionnant de délits.
Et il ne m’a reproché qu’une seule accusation, concernant le Soudan.
Je l’accusais notamment d’être à l’origine de la French-connection,
via le trafic de drogue français en Amérique du Nord.
Ricard dont Charles Pasqua
était le représentant commercial servait de couverture."
(François Xavier Veschave)
ET LA MORT DE FRANCOIS-XAVIER VERSCHAVE
Le gredin complice de tous les crimes du gaullisme est mort 10 ans après celui qu'il avait traîné devant les tribunaux Franceàfric.
Mort dix ans après, jour pour jour !
C'est à croire que la mauvaise conscience devait ronger le menteur, l'assassin, le dealer, le complice d'un génocide sanitaire en Afrique coupable de plus de 250 millions de morts d'enfants.
Tous les 29 juin, le dealer françafrique Pasqua devait avoir en tête l'année supplémentaire de vie dont il bénéficiait. Après que FX Verschave soit mort à l'age de 60 ans. le 29 juin 2005.
C'est à lui que nous pensons aujourd'hui.
Mais, même si c'est le valeureux FX Vershave qui avait démultiplié cette information, il faut rendre hommage au journal défunt "Maintenant" qui, le premier, en 1995-96, nous avait révélé
les exploits de dealer du gredin Charles Pasqua.
"Autre épisode : en 1972, le quotidien new yorkais "Newsday" publie une série d’articles intitulés "The heroïn trails". Une équipe de journalistes a commencé son enquête au Canada sur les agissements dans les années 60 de Jean Venturi, représentant local de la firme Ricard, dont le supérieur hiérarchique direct avait été à l’époque Charles Pasqua, directeur des ventes à l’export.
Après avoir obtenu confirmation auprès des services de police compétents du document du bureau américain des narcotiques incriminant Jean Venturi dans un trafic d’héroïne à destination des Etats-Unis, les journalistes new yorkais arrivent à Paris pour remonter cette ramification de la célèbre french connection. Leur récolte est maigre.
L’opacité de la firme Ricard ne leur a pas permis d’établir la vraie nature et l’ancienneté des liens unissant Pasqua et Venturi. Au moins ceux-ci étaient-ils liés par une réalité hiérarchique au moment de la cavale de Venturi, en 1967.
Il n’a pas été non plus établi si les Pasqua - que des liens familiaux unissent au Canada - étaient, par ce biais aussi, en contact avec les Venturi. Parallèlement, des recherches ont été menées sur le patrimoine de la famille Pasqua.
En 1994, à l’occasion d’une recherche, la disparition inexpliquée des archives de "Newsday" concernant cette enquête a été constatée.
En 1967, un mandat d’arrêt international a été établi à l’encontre de Jean Venturi. Il n’a jamais été arrêté.
Qu’est-il devenu ? De quelles complicités a-t-il bénéficié pour échapper ainsi à la Justice ?
Le nom de Charles Pasqua aurait-t-il figuré un temps sur la liste des personnes indésirables aux Etats-Unis ?" (Maintenant archivé)
Depuis, la liste des révélations s'est allongée : il est banal maintenant de savoir que l'armée française était en Indochine le premier collecteur de drogue ou qu'un des hommes les plus riches de France a construit sa fortune sur une compagnie dont les avions étaient loués par cette même armée coloniale pour transporter cette drogue.
"Une note de la CIA datée de 1961 accuse le représentant de Ricard en Amérique du Nord, Jean Venturi d'être aussi le distributeur de la French Connection. Il n'a pas été inquiété, mais a été prié de quitter le territoire des États-Unis en19677." (Wiki)
Un assassin nettoyeur des services secrets gaulliste ex soldat de l'armée française, ex-légionnaire en Indochine et en Algérie, ex-OAS, ex-condamné à mort, ex-mercenaire United Fruit en Amérique Centrale, ex-SAC des réseaux gaullistes Pasqua (recyclé malgré sa condamnation à mort comme OAS) m'avait même révélé que ses chefs l'avaient envoyé - avant 1954 - traverser la frontière chinoise pour aller chercher une cargaison de drogue.
On peut supposer que les mafias qui l'avaient fourni étaient les réseaux anticommunistes du Kuomintang qui s'acharnaient à pourrir la Chine, même après la révolution de 1949.
Ce lien Pasqua-SAC-armée française-régimes fascistes compradores sont un trait essentiel du gaullisme.
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La France de Sarkozy-Hollande et les USA de
Bush-Obama sont les protecteurs des réseaux
Karzai de trafics d'héroïne en Afghanistan |
Les liens entre la voyoucratie politique française et le bandit M6 Mohamed 6 qui se croit "roi" en 2015 du Maroc ou avec le frère du chef des réseaux de drogue afghan Karzai sont notoires.
L'ensemble de la classe politique française est totalement compromis avec les trafics de drogue.
Ceux-ci ont d'ailleurs grimpé en flèche en Afghanistan...... dès l'arrivée des militaires US, Français et alliés....
Que la mort de ce bandit criminel, associé à tous les crimes de De Gaulle et de sa bande d'esclavagistes meurtriers soit l'occasion de rendre un hommage au valeureux François-Xavier Veschave
François-Xavier Verschave a notamment forgé et décrit le concept de « Françafrique », terme parodiant l'expression la "France-Afrique" de Félix Houphouët-Boigny3. La « Françafrique » est ce volet occulte de la politique de la France en Afrique. Ses deux principaux ouvrages sur la question, La Françafrique (Stock, 1999) et Noir silence (Les Arènes, 2000), sont devenus des références. (Wiki)
C'est lui qui est l'auteur du concept de Françafrique dont nous avons élargi le sens.
- ↑ « J'ai exhumé ce terme en 1994 des antiques discours de l'ex-président ivoirien, Houphouët-Boigny pour tenter d'expliquer comment la France était capable de faire en Afrique l'inverse exact de sa devise républicaine, jusqu'à se faire complice du génocide rwandais. Le concept désigne la face immergée de l'iceberg des relations franco-africaines. En 1960, l'histoire accule de Gaulle à accorder l'indépendance aux colonies d'Afrique noire. Tout en proclamant cette nouvelle légalité internationale, immaculée, il charge son conseiller pour les affaires africaines, Jacques Foccart, de maintenir la dépendance, par des moyens forcément illégaux, occultes, inavouables. Il sélectionne des chefs d'État « amis de la France », par la guerre (plus de 100 000 civils massacrés au Cameroun), l'assassinat ou la fraude électorale. À ces gardiens de l'ordre néocolonial, il propose un partage de la rente des matières premières et de l'aide au développement. Les bases militaires, le franc CFA convertible en Suisse, les services secrets et leurs faux nez (Elf et de multiples sociétés) complètent le dispositif. », Libération du 19 janvier 2001 [archive]
Le concept de Franceàfric décrit la totalité des agissements de l'Etat esclavagiste voyou français qui bafoue tous les droits humains en pratiquant meurtres ciblés d'opposants, génocide sanitaire (d'enfants en particulier : 100 millions en 25 ans), organisations mafieuses, corruption de juges, recel massif et fabrication de faux en écritures par des réseaux de juges, de procureurs et de fonctionnaires et recrutement de Bolloriciers racistes en France comme éléments d'une SS Franceàfric en construction et en complément de terroristes psychopathes ayant un vernis de culture coranique pour commettre leurs crimes.
C'est la somme de tout cela qui est devenu la #Franceàfric.
Et cela inclut les 2 juges voyous de la Cour d'Appel de Bordeaux - Robert Miori et Bernard Ors auteur des faux en écritures publiques pour inventer des aveux imaginaires de Julie Amadis et receleurs de faux en écritures publiques du policier barbouze ONUCI Jean-Marie Bourry, de l'avocat UMP Jean-François Changeur et du président du TGI d'Angoulême - autre juge voyou - Michael Janas.
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CET ARTICLE RÉFÉRENCÉ PAR GOOGLE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES EN LIGNE 3
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L’argent du pétrole est détourné et une partie sert à alimenter les "caisses noires" des services secrets qui disposent ainsi des budgets deux, trois ou quatre fois supérieurs à ceux votés par le Parlement français.
On retrouve ainsi les mêmes protagonistes, avec les mêmes banques, proches des mécanismes de blanchiment de l’argent sale en Afrique, dans les jeux, les casinos, les paris, etc. tout cela étant lié parfois au trafic de drogue. Charles Pasqua m’a attaqué en diffamation sur le livre la Françafrique. Il me demandait cinq millions, il a eu un franc. Je l’accusais d’un nombre impressionnant de délits. Et il ne m’a reproché qu’une seule accusation, concernant le Soudan. Je l’accusais notamment d’être à l’origine de la French-connection, via le trafic de drogue français en Amérique du Nord. Ricard dont Charles Pasqua était le représentant commercial servait de couverture.
Les mafias corses et italiennes ont déversé de l’héroïne aux États-Unis pendant longtemps, notamment via Jean Venturi. Celui-ci était le représentant de Ricard en Amérique du Nord et selon une note de la CIA, datant de 1961, était aussi le distributeur de la French-connection pour toute l’Amérique du Nord. Il n’a pas été inquiété, puisque la CIA en fait de même, et en 1967 a été prié gentiment de quitter le territoire. La France n’a pas le monopole des mécanismes de branchement de services secrets sur l’argent de la drogue. D’ailleurs, Charles Pasqua qui fait de l’anti-américanisme son fond de commerce, est dans les meilleurs termes avec Georges Bush, ancien directeur de la CIA.
Ce qui se produit au Congo-Kinshasa, pays dépecé, ruiné, est exactement du même ordre. Il s’agit davantage de métaux rares, tels que le diamant, plutôt que de pétrole. On y assiste à une sorte d’internationalisation de la Françafrique. Les réseaux précédemment évoqués s’allient avec des réseaux similaires britanniques ou liés à l’ancienne Afrique du Sud de l’apartheid, aux États-Unis, en Israël, en Russie, dans la diaspora chinoise, etc. Il existe un risque majeur de regroupement de ces acteurs, qui vont se mener des guerres ou tourner les faits sur le dos de l’Afrique. C’est ce qui se passe aussi au Soudan où la France, en 1990, était l’une des seules à soutenir ce régime qui est coupable de la mort de 2 millions de personne.
Nous pensions qu’avec l’Europe, les autres pays, hostiles à ce régime, convaincraient la France d’y renoncer. C’est l’inverse qui s’est produit : la France a convaincu l’Union européenne de soutenir ce régime. N’oublions pas que le pétrole y coule à flots. Les bénéfices de l’exploitation pétrolière accroîtront les capacités de financement des armes qui serviront à massacrer davantage les populations du Sud Soudan."
L'envers de la dette en Afrique par F-X Verschaves par maracouja972
POST-SCRIPTUM 12h10
LES TRAFICS DE DROGUE RELEVENT DE LA DEFENSE NATIONALE !
C'est en complément de cet article et pour documenter les propos de
Marc Fievet, que, par l'intermédiaire de sa fiche Wikipédia, ce texte juridique est arrivé sous la lumière
- ↑ http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000629551&categorieLien=cid [archive]
JORF n°35 du 11 février 2005 page 2328
texte n° 111
AVIS
Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005
NOR: CSDX0508078V
ELI: Non disponible
Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ;
Vu la lettre de saisine du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l'instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l'instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;
La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l'ensemble des documents classifiés qu'elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,
Emet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d'aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.
Fait à Paris, le 27 janvier 2005.
Pour la Commission consultative
du secret de la défense nationale :
Le président,
P. Lelong