Iyad Ag Ghali chef terroriste au Mali |
Par Julie Amadis et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
REVACTU
REVACTU
10/11/2018
"Iyad Ag Ghali est une personnalité qui (...) je le pense, vous me permettrez de ne pas être trop spécifique, bénéficie de toute évidence de certaines protections.(...).Ces aveux stupéfiants de l'ancien directeur de la DGSE Bernard Bajolet - qui a eut les mains dans le sang - il devra les préciser devant un de nos juges JDR de la révolution qui vient !
Mais, encore une fois, Iyad Ag Ghali bénéficie de certaines protections.
C’est vrai."
Et cela même s'il a peur de se faire "nettoyer" avant le "protégé" de Le Drian, Hollande, Puga Sarkozy, Macron.
Un accident est si vite arrivé pour les espions trop bavards !
Rappelons que ce même Bernard Bajolet est celui à qui Le Drian a réussi à tordre le bras en octobre 2013 quand les deux chefs terroristes Benoit Puga et Jean-Yves Le Drian organisaient le recyclage des 28 chefs terroristes de la liste Tessougué et que la DGSE était priée de cotiser pour les légions Ansardine d'Iyad Ag Ghali...... que Hollande voulait récompenser pour ses crimes d'Aguel Hoc
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SAMEDI 3 NOVEMBRE 2018
Jihadistes du Mali : mensonges coordonnés du Monde, de la "Voix de l'Amérique" VOA, CIA et DGSE sur Iyad Ag Ghali toujours en cavale depuis.... janvier 2012 ... sous la protection de Puga, Le Drian, Sarkozy, Hollande, Macron
Le Monde et la Pravda de la Maison Blanche - VOA "La Voix de l'Amérique" font quasiment le même article pour faire semblant d'informer leurs lecteurs sur les jihadistes du Mali. On pourrait même s'interroger pour savoir si la CIA ou la DGSE ont fait une réunion pour rédiger eux même ce texte qu'ils auraient transmis aux journalistes par l'intermédiaire de l'AFP, média barbouze en chef.
Version du journal français Le Monde
Version du journal Etats-uniens VOALe Monde "Au Mali, trois importants chefs djihadistes appellent à « poursuivre le djihad »"
Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghali dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l’Algérie, tandis qu’Amadou Koufa est censé diriger ses troupes dans le centre du Mali. Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d’un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaida, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touarègue, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée. Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire, qui se poursuit actuellement. Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires. Le Monde
Comme on peut le constater la créativité au Monde consiste à ajouter un lien au milieu du texte tandis que la Voix de l'Amérique - avec une créativité supérieure - le découpe en plusieurs paragraphes.Voix de l'Amérique "Mali: trois importants chefs djihadistes apparaissent dans une vidéo"
"Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghaly dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l'Algérie, tandis qu'Amadou Koufa est sensé diriger ses troupes dans le centre du Mali.
Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d'un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée.
Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit actuellement.
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires." VOA
La BBC a fait,- elle - preuve d'"originalité" et s'est contentée de piocher dans le dernier paragraphe les verbes "persister" et "propager"
Depuis les violences jihadistes persistent et se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali puis au Burkina Faso et au Niger voisins.Paragraphe à comparer avec celui de VOA-CIA et Le Monde DGSE
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires." VOAOn peut même remarquer que cette coordination des médias barbouzes pour mentir ensemble est ancienne. Une recherche Google sur une des phrases l'atteste !
Rien d'étonnant à ce que CIA et DGSE (et partiellement le MI6 britannique, petit toutou de la CIA) accordent leurs violons sur Iyad Ag Ghali à commencer par le fait de coordonner leurs efforts pour ne jamais réussir à l'attraper. Et cela dure depuis presque 7 ans.
Se réunir pour accorder leurs violons est logique puisque Iyad Ag Ghali a travaillé pour la CIA et la DGSE.
Il suffit d'une simple recherche Google pour avoir les compte-rendus de cet agent terroriste au service des USA quand il travaillait pour l'ambassade US à Bamako
Les premières lignes montrent que ce prétendu ennemi des USA était à leur service en 2007 :
Mondafrique dénonce même le fait que cette même année il a rencontré tranquillement l'ambassadeur américain Terence Mc Culley pour avoir le soutien des USA.(C) Summary: During a November 24 meeting with the Embassy in Bamako, Tuareg rebel Alliance for Democracy and Change (ADC) leader Iyad ag Ghali ...Others sources also questioned the political acumen of the conference organizer, Iyad ag Ghali, a prominent Kidal Tuareg politician and currently Malian Consul ...Ag Erlaf said Algeria needed to resume its role as principal mediator within a week to ten ... (C) ADC president Iyad ag Ghali has been northern Mali's BAMAKO ...
"En 2007, il se rend en personne auprès l’ambassadeur américain Terence McCulley et réclame l’assistance des Etats-Unis lors d’opérations spéciales contre Aqmi. A l‘époque, l’homme prône déjà l’imposition de la charia mais affirme à l’ambassadeur que les populations du nord Mali ne sont pas très réceptives à l’extrémisme." MondafriqueOn comprend que les USA apprécient un tel terroriste... qui leur demande même d'envahir son pays. : Les accusations de Jeremy Keenan que Mondafrique rapportant concernant les années 2006, on a vu que c'est exactement le plan que Revactu et #IpEaVàEaFàF dénonçons depuis des années sur l'attaque de janvier 2012 - commandite de Sarkozy Puga et la DGSE
"Mais selon Jeremy Keenan, anthropologue britannique spécialiste des touaregs, le plan va plus loin. Iyad et le DRS auraient conclu un accord secret prévoyant que les rebelles lancent ensuite des attaques contre le GSPC. C’est chose faite en juillet et octobre 2006, moyennant rémunération pour Iyad et ses hommes. Ces opérations permettent alors de réactiver la problématique djihadiste au Mali et de justifier l’intervention américaine dans la région dans le cadre de la GWOT (Global War on Terror), avec Alger comme partenaire privilégié, explique Keenan. Pur fantasme ou fragments de vérité ? Reste que c’est de nouveau sous le parrainage de l’Algérie que se tiennent les négociations avec le gouvernement malien. Comme en 2003, Iyad ressort son costume de faiseur de paix pour faire aboutir les accords d’Alger, en juillet 2006."Fournir en janvier 2012 le prétexte de l'invasion du Mali est le même plan que le GWOT des USA pour lequel Ag Ghali travaillait en 2007 au service du DRS et de la CIA !
Car Iyad Ag Ghali est autant l'homme du DRS que de la DGSE...... autant du BND allemand que de la CIA !
Il arrive même parfois que le journal Le Monde s'en rendre compte
6 oct. 2016 - En 2014, alors qu'elle avait Iyad Ag-Ghali, chef du mouvement djihadiste malien Ansar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre ...
Termes manquants :wikileaks
Malijet fait remarquer que le chef de tous les terroristes au Mali n'est jamais arrêté !
S’il n’est jamais arrêté, c’est que celui que l’on surnomme « le lion du désert » n’a rien perdu de son influence dans la région. Ses puissants réseaux, de Kidal aux ex Renseignements algériens (DRS), en passant par des personnalités en vue à Bamako, en font une personnalité incontournable, pesant de tout son poids dans la crise malienne Malijet
Iyad Ag Ghali n'est jamais arrêté parce qu'il est au service de la Franceàfric, de l'Algérieàfric et de l'USAfric !
Il a reçu de Hollande 20 M d'€ en octobre 2013 sous le prétexte des otages détenus par les cousins du terroriste ! Une somme d'argent gigantesque qui lui a permis de financer une armée entière de terroristes criminels.
20 M d'€uros : Hollande et Macron ont financé l'attaque Ansardine JNIM du QG G5 Sahel ! Impunité depuis 2013 pour le jihadiste Iyad Ag Ghali pantin DGSE-DRS-CIA-BND
IYAD AG GHALI LE PROTÉGÉ
DE SARKOZY PUGA HOLLANDE LE DRIAN MACRON
C'EST BERNARD BAJOLET EX-DIRECTEUR DES SERVICES SECRETS DGSE QUI L'AVOUE ....
SANS OSER DONNER LE NOM DES PROTECTEURS
8 oct. 2018 - Pour lui, le leader terroriste Iyad Ag Ghali est sous protection. ... jusqu'au moment oùWikiLeaks a publié un télégramme de compte-rendu de ...
Iyad Ag Ghali est une personnalité qui a un certain prestige dans cette région, dont on peut tout à fait regretter qu’il soit devenu un chef terroriste. Et qui, je le pense, vous me permettrez de ne pas être trop spécifique, bénéficie de toute évidence de certaines protections.Et certains soupçonnent Bamako de pratiquer un double jeu avec Iyad Ag Ghali. C’est-à-dire de le combattre le jour et de parler avec lui la nuit.Je n’irais pas jusqu’à dire cela et je n’ai pas d’éléments qui me permettraient d’aller dans ce sens. Mais, encore une fois, Iyad Ag Ghali bénéficie de certaines protections. C’est vrai.
Ces aveux stupéfiants de l'ancien directeur de la DGSE Bernard Bajolet - qui a eut les mains dans le sang - il devra les préciser devant un de nos juges JDR de la révolution qui vient !
Et cela même s'il a peur de se faire "nettoyer" avant le "protégé" de Le Drian, Hollande, Puga Sarkozy, Macron.
Un accident est si vite arrivé pour les espions trop bavards !
Rappelons que ce même Bernard Bajolet est celui à qui Le Drian a réussi à tordre le bras en octobre 2013 quand les deux chefs terroristes Benoit Puga et Jean-Yves Le Drian organisaient le recyclage des 28 chefs terroristes de la liste Tessougué et que la DGSE était priée de cotiser pour les légions Ansardine d'Iyad Ag Ghali...... que Hollande voulait récompenser pour ses crimes d'Aguel Hoc
Iyad Ag Ghali est un jihadiste depuis le début des années 2000.
En 2007 quand il rencontre l'ambassadeur américain il est un jihadiste depuis déjà de nombreuses années !
À la fin des années 1990, il commence à se tourner vers l'islamisme, il voyage et est appelé à plusieurs reprises pour négocier la libération d'otages occidentaux détenus par les djihadistes. Cependant il se lie de plus en plus avec ces derniers au cours des années 2000.
Wikipédia
Il devient le chef terroriste d'Ansardine à partir du 15 décembre 2011 au moment où Sarkozy les envoie envahir le Mali, début 2012.
Cette date est donnée par Mondafrique au milieu d'un paragraphe "oubliant" étrangement les aveux du leader MNLA Hama Ag Mahmoud rapportant la commande par Sarkozy de la trahison envers Kadhafi puis de l'attaque du Mali sous protection français
Il manque à cet article plutôt complet la révélation des contacts entre Henri de Raincourt pour Juppé et Sarkozy et les terroristes MNLA.A la fin de l’année 2011, la colère gronde à nouveau au nord du Mali. La chute de Kadhafi entraine le retour au bercail de nombreux touaregs maliens ayant combattu pour l’armée du « Guide ». Lorsqu’une autre grande figure de la rébellion, Ibrahim Ag Bahanga, tente de fédérer ces combattants avec d’autres rebelles locaux pour former le MNLA, Iyad revendique le leadership. Sans succès. Les membres de la nouvelle rébellion se méfient de cet homme tortueux jugé trop proche d’Aqmi, de l’Algérie, et dont les manœuvres dans les années 1990 ont provoqué l’éclatement du camps rebelle.Qu’à cela ne tienne, le 15 décembre 2011, il créé son propre mouvement, Ansar Dine, autour d’un noyau de fidèles et de certains membres d’Aqmi. A la même époque, Iyad essuie un deuxième revers. Lorsqu’il aspire à la chefferie traditionnelle des Ifoghas, le patriarche Intallah Ag Attaher lui préfère son fils, Alghabass Ag Intallah. A la tête d’Ansar-Dine, Iyad reprend pourtant vite du galon grâce à ses nombreux soutiens. En plus de l’appui logistique et financier que lui prodigue l’Algérie, les membres de la katiba d’Aqmi, Al-Ansar, dirigée par son cousin Abdelkrim le Targui lui apportent leur soutien. Très vite, la puissance militaire d’Ansar Dine dans les combats surpasse celle du Mnla. Des alliances de circonstance se forment.
Le ministre délégué à la coopération coopérait fin 2011 et l'année 2012 avec les terroristes MNLA !!
Wikipédia sous contrôle DGSE se ridiculise par les contes de fée !.... En se trompant d'année pour la création d'Ansardine !
En 2012, au début de la guerre du Mali, il fonde le groupe salafiste djihadiste Ansar Dine dans le but d'instaurer la charia au Mali. En 2017, il prend la tête du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), né de la fusion de la plupart des groupes djihadistes maliens. Wikipédia
Car si les terroristes ont eu la possibilité d'envahir un pays comme le Mali c'est qu'ils ont été missionnés. Nous avons les preuves que Sarkozy les a envoyés envahir le Mali début 2012.
Mon article repris par Marocleaks en faisait l'exposé :
Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT
"Le Qatar, ami de la France, finance, organise, arme, les groupes djihadistes MNLA, Ansardine, AQMI qui envahissent le Mali et y installent un régime fasciste criminel anti-vie. Sarkozy s'allie à ces timbrés faux musulmans pour attaquer la Libye et dézinguer Kadhafi.
Un des principaux chefs MNLA Hama Ag Mahmoud a témoigné en 2014 :
- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?
- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"
Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)
Si la France envoie les djihadistes au Mali, c'est parce qu'elle y a des intérêts colonialistes.Pour que les plus gros patrons français puissent continuer à verser des salaires d'esclavagistes à 50€/mois, il faut un régime suffisamment répressif pour tuer toute contestation. La mise en place de dictateurs franceàfric ne suffit pas, l'Etat français envoie maintenant en plus des tortionnaires sanguinaires islamofascistes pour terroriser les populations.
Secondairement, comme nous le dit l'ancien chef MNLA, Hama Ag Mahmoud, la France recherche à exploiter la richesse des ressources minières que convoitent aussi de nombreux autres pays.
- A vous entendre, les enjeux de cette guerre sont cachés. Quels sont-ils, selon vous ?
- Tout le monde convoite notre territoire. Il y a une guerre pour les ressources minières. La France a pris les devants pour obliger le Mali à signer un accord de défense et ensuite s’octroyer des concessions minières et protéger celles qui existent déjà. C’est ça l’essence de cette guerre. Les autres puissances ne sont pas dupes. Et ça pourrait ouvrir la porte à une intervention étrangère avec une implication des américains, des russes et même des chinois. Je vois mal ces pays laisser la France faire une OPA sur les ressources de l’Azawad et de la région.(Malijet)
Pendant que les amis djihadistes de la France attaquent le Nord du Mali, la France fait croire à l'opinion publique qu'elle vient "libérer" le pays en attaquant par le Sud.
En fait il s'agit qu'une même invasion avec des mercenaires différents. Il s'agit d'une invasion impérialiste installant des djihadistes au pouvoir pour protéger les plus grosses entreprises françaises.
LE 17 JANVIER LES TERRORISTES DU MNLA ET ANSAR DINE COMMENCENT A ENVAHIR LE MALI
Le MNLA avec à sa tête Assalat Ag Habi et les salafistes du groupe d'Ansar Dine attaquent le 17 janvier 2012 l'armée malienne à Melaka.
Les djihadistes prennent d’assaut la caserne de la ville. L'armée malienne résiste.
Melaka sera complétement entre les mains des djihadistes fin janvier.
Le 18 janvier 2012 ces mêmes terroristes attaquent Aguel'hoc et Tessalit près de la frontière algérienne. Aguelhoc est situé en zone désertique au nord de la vallée du Tilemsi, dans l’Adrar des Ifoghas, sur la route transsaharienne, à 430 km au nord de Gao, 80 km au sud de Tessalit et à 150 km au sud de la frontière algérienne.
Le 20 janvier, des militaires maliens réussissent à s'accaparer le téléphone satellitaire des terroristes. Et le 20 janvier le Capitaine Sekou Traoré jeune leader étudiant décroche le téléphone s'attendant à recevoir des informations sur l'ennemi...
Mais ... il tombe sur son Président Amadou Toumani Touré (ATT).
Le Président Malien Franceàfric sait donc que le capitaine Sékou Traoré connait la vérité sur son alliance objective avec les terroristes. C'est à ce moment que commence la répression sanglante contre ceux qui avaient les preuves de la traîtrise du Président ATT auprès de la population malienne.
Puis le 24 janvier ce sont 153 militaires du camp d'Aguelhoc qui sont égorgés ou tués par balle dans la tête par le MNLA et Ansardine.
Le 25 janvier, la totalité de la ville est prise par Ansar Dine (Al Qaeda au Maghreb islamique) et le MNLA. La charia est mise en place. Les crimes qui s'abattent contre la population malienne sont nombreux comme par exemple ce couple mis à mort par lapidation parce qu'ils avaient conçus des enfants hors mariage !
La colère des femmes de Kati s'explique par l'alliance du Président ATT avec les djihadistes mis en lumière lors du massacre d'Aguel-Hoc et de l'assassinat du héros de la résistance malienne, Sékou Traoré.
La colère gronde dans la population malienne. Les femmes de Kati seront les premières à se révolter."
Iyad Ag Ghali n'a cessé depuis 2012 d'être protégé par la France. Tellement bien protégé que quand il a été menacé par l'opération Serval - censée officiellement combattre le terrorisme -, la France l'envoie se planquer au Burkina Faso chez Blaise Compaoré leur meilleur ami africain... planqué à 4,5 km du palais présidentiel Kossyam, dans la meilleure suite de luxe au 11° étage de l’hôtel Laïco.
Quand il s'est agi de protéger Iyad Ag Ghali pendant l'opération Serval, la France était là.... Elle l'a protégé chez son grand ami Compaoré au Burkina Faso au 11° étage de l'hôtel Laïco jusque fin janvier 2013 puis dans une villa de luxe.
Mondafrique se demande si l'impunité 'Iad Ag Ghali ne s'expliquerait-elle pas par une volonté de la France de donner plus de pouvoir à cet homme.
"La liberté dont il dispose dans ses déplacements au nord Mali interrogent en tout cas la position de Paris dont les militaires sont toujours sur place. La France, qui lance sa nouvelle opération de lutte contre le terrorisme dans le Sahel, Barkhane, et dont l’alliance avec le Mnla au Mali n’a donné que peu de résultats souhaite-t-elle remettre Iyad Ag Ghali dans le jeu ? (extrait de mon article)
Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France qui s'accusent mutuellement
Les médias français au service de la Franceàfric et les médias américains au service de l'USAfric ne désignent jamais les terroristes ami de la France pour ce qu'ils sont des terroristes criminels.
Un chef jihadiste qui tuent des innocents au nom d'un faux islam ils appellent cela un "ex chef touareg malien".
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l’ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghali, l’Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir 8 novembre, appelant à « poursuivre le djihad »" Le Monde
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l'ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghaly, l'Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa, apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir, appelant à "poursuivre le djihad".VOA
Les trois chefs terroristes de la vidéo s'adressent d'abord aux Africains qui vivent sur le pré-carré français. Ce n'est bien évidemment pas un hasard !
Amadou Koufa, qui dit parler « au nom d’Ag Ghali », invite les musulmans en général à « faire le djihad », avant de s’adresser en particulier aux membres de l’ethnie peule. « Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots : venez soutenir votre religion, car l’islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés », selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo. « J’en appelle aux Peuls où qu’ils se trouvent : au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun »,Ils obéissent au projet de la Franceàfric qui consisteà créer des terroristes en aspirant tous les potentiels révolutionnaires : la même méthode que Hitler qui faisait simulacre de luttant anti-bancocratie pour aspirer les communistes allemands.
Ce qui ressort de cette vidéo c'est un retour à la méthode 1993 de la DGSE : la guerre révolutionnaire du colonel Lacheroy par instrumentalisation de l'ethnicisme : l'appel au Peuls est totalement contraire au veritable islam de l'Histoire. Il s'agit ici de recommencer avec les Peuls la victimisation des Hutus de 1993 par les sbires de Mitterrand et Balladur pour ethniciser les résistances de la population contre l'impérialisme Bolloré-AREVA-ORANO. La même technique utilisée en Côte d'Ivoire en 1993 avec Konan-Bédié et son "ivoirité" raciste !
Ces médias au service de la Franceàfric et des USAfric participent au complot terroriste qui vise à terroriser les populations africaines pour empêcher une révolution sankariste humanocrate.
Les victimes sont les Maliens et d'une façon générale les esclaves immobiliers de Bolloré and co qui en plus de subir des salaires esclavagistes (mortalité infantile la plus importante au monde !) subissent la terreur terroriste des milices Franceàfric USAfric camouflées en jihadistes !
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COMPLEMENT
ARTICLE DU MONDE
Au Mali, trois importants chefs djihadistes appellent à « poursuivre le djihad »
Dans une vidéo, Iyad Ag Ghali, Djamel Okacha et Amadou Koufa s’adressent en particulier aux Peuls d’Afrique de l’Ouest.
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l’ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghali, l’Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir 8 novembre, appelant à « poursuivre le djihad ». Leur message est adressé en particulier aux Peuls d’Afrique de l’Ouest.
Portant un turban noir sur la tête, Amadou Koufa, dont le groupe est apparu il y a trois ans dans le centre du Mali, est le seul à s’exprimer, en langue peule. Il est entouré du Touareg Iyad Ag Ghali, chef du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), et de Djamel Okacha, dit Yahia Aboul Hammam, dirigeant d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI).Amadou Koufa, qui dit parler « au nom d’Ag Ghali », invite les musulmans en général à « faire le djihad », avant de s’adresser en particulier aux membres de l’ethnie peule. « Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots : venez soutenir votre religion, car l’islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés », selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo. « J’en appelle aux Peuls où qu’ils se trouvent : au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun », poursuit-il, fustigeant en particulier la France.
Particulièrement recherchés
Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghali dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l’Algérie, tandis qu’Amadou Koufa est censé diriger ses troupes dans le centre du Mali. Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d’un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaida, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touarègue, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée. Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire, qui se poursuit actuellement. Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires.
ARTICLE DE VOA
Mali: trois importants chefs djihadistes apparaissent dans une vidéo
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l'ex-chef rebelle touareg
malien Iyad Ag Ghaly, l'Algérien Djamel Okacha et le prédicateur
radical peul Amadou Koufa, apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi
soir, appelant à "poursuivre le djihad".
Leur message est adressé en particulier aux Peuls d'Afrique de l'Ouest.
Portant un turban noir sur la tête, Amadou Koufa, dont le groupe est apparu il y a trois ans dans le centre du Mali, est le seul à s'exprimer, en langue peule.
Il est entouré du Touareg Iyad Ag Ghaly, chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans" (GSIM), et de Djamel Okacha, dit Yahia AboulHammam, dirigeant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Amadou Koufa, qui dit parler "au nom d'Ag Ghaly", invite les musulmans en général à "faire le djihad", avant de s'adresser en particulier aux membres de l'ethnie peule.
"Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots: venez soutenir votre religion, car l'islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés", selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo.
"J'en appelle aux Peuls où qu'ils se trouvent: au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d'Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun", poursuit-il, fustigeant en particulier la France.
Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghaly dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l'Algérie, tandis qu'Amadou Koufa est sensé diriger ses troupes dans le centre du Mali.
Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d'un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée.
Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit actuellement.
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires.
Avec AFP
Portant un turban noir sur la tête, Amadou Koufa, dont le groupe est apparu il y a trois ans dans le centre du Mali, est le seul à s'exprimer, en langue peule.
Il est entouré du Touareg Iyad Ag Ghaly, chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans" (GSIM), et de Djamel Okacha, dit Yahia AboulHammam, dirigeant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Amadou Koufa, qui dit parler "au nom d'Ag Ghaly", invite les musulmans en général à "faire le djihad", avant de s'adresser en particulier aux membres de l'ethnie peule.
"Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots: venez soutenir votre religion, car l'islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés", selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo.
"J'en appelle aux Peuls où qu'ils se trouvent: au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d'Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun", poursuit-il, fustigeant en particulier la France.
Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghaly dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l'Algérie, tandis qu'Amadou Koufa est sensé diriger ses troupes dans le centre du Mali.
Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d'un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée.
Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit actuellement.
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires.
Avec AFP