"Dans un autre hadith, le Messager d'ALLAH
nous a mis en garde :
« Evitez les sept abominations !
Les compagnons demandèrent
quelles sont-elles ô Messager d'ALLAH ?
Il répondit : '' Le polythéisme, la magie,
le crédit, dilapider l'argent de l'orphelin,
la fuite pendant le combat
et la calomnie des femmes mariées sans preuve ''».
nous a mis en garde :
« Evitez les sept abominations !
Les compagnons demandèrent
quelles sont-elles ô Messager d'ALLAH ?
Il répondit : '' Le polythéisme, la magie,
le crédit, dilapider l'argent de l'orphelin,
la fuite pendant le combat
et la calomnie des femmes mariées sans preuve ''».
rapporté par al-Bukhârî (2015) et Muslim (89)"
J'ai découvert cette page par hasard. Un lecteur de RevActu ayant trouvé notre blog par la recherche "Lutter contre la Riba", ce texte se trouvait quelques lignes derrière mon article.
Il expose ce que mon ami Brahim m'avait fait découvrir il y a quinze ans : le vrai musulman devrait combattre avec moi pour l'abolition totale du crédit, la fermeture des banques...
Et donc combattre pour la mise en oeuvre de l'investissement démocratique.
"- Certes la construction d'une maison
peut effectivement amener un
confort matériel amélioré,
mais si c'est en sacrifiant le paradis,
alors le marché est une perte absolue. "
Par ailleurs, nous sommes partisans de l'abolition totale de la PROPRIETE IMMOBILIERE. Notre projet consiste à transformer en LOCATAIRES tous les Terriens. Des locataires qui loueront leur logement par des enchères les mettant en concurrence. Mais des enchères dont tous les participants n'auront pour vivre que les 1000 euros mensuels du salaire égal mondial.peut effectivement amener un
confort matériel amélioré,
mais si c'est en sacrifiant le paradis,
alors le marché est une perte absolue. "
L'auteur est possiblement un leader de Hizb ut-Tahrir
cliquez ici pour lire le texte original
Complément
Musulmans, fuyez le crédit (ar-riba) !
Au nom de Dieu, Clément et MiséricordieuxLouange à ALLAH. Nous le glorifions et implorons son aide et son pardon. Nous demandons qu'il nous guide vers la rectitude.
Chers frères, chères soeurs,
Depuis quelques années nous remarquons que les musulmans ont recours de plus en plus souvent aux prêts à intérêts, en observant le comportement des non musulmans qui s'engouffrent toujours plus nombreux et plus profondément dans cette prison.
Il faut dire que les offres sont nombreuses, variées et facilement accessibles.
Les formules et discours employés poussent les gens a souscrire différents types de crédits liés à la consommation. Dans notre sujet, nous prêterons une attention toute particulière au crédit immobilier, qui égare malheureusement de plus en plus de musulmans.
Pour contribuer à la lutte contre cet éloignement de l'Islam, qui prend une proportion alarmante au sein de notre communauté, nous allons, dans un premier temps, décrire les raisons qui poussent les musulmans à succomber à ce type de transaction. Nous verrons ensuite les méfaits du crédit et le point de vue de l'Islam à ce sujet.
Pourquoi le recours aux crédits usuraires ?
- C'est tout d'abord un moyen qui semble facile et rapide d’acquisition d’un bien. Il est courant de penser que l'on peut ainsi accéder, sans difficultés, à plus de confort.
- Argumenté par des calculs sur plusieurs décennies, le crédit devient une opportunité à saisir. Et avec les avantages fiscaux et autres aides de divers organismes sociaux, l'offre semble encore plus alléchante.
- Des musulmans, se considérant pieux, rajoutent des arguments religieux aux arguments purement matérialistes précités. Ainsi, ils pensent que pour mieux éduquer et préserver leurs enfants des nuisances des quartiers « difficiles », il est urgent et prioritaire, d'acheter, par tous les moyens, une habitation loin de ces quartiers. Ils reconnaissent donc implicitement que le crédit est un grave péché, mais justifient un recours à ce type de crédit, sous l'alibi de la nécessité, en l'occurrence protéger leurs enfants.
- D'autre part, ces compagnons du crédit trouvent un prétexte supplémentaire en se référant à certaines célébrités contemporaines du monde musulman qui avancent que le prêt a intérêt est devenu permis sous couvert d'une certaine compréhension dévoyée de la « nécessité », encourageant et cautionnant cette pratique .
- Les personnes ayant recours à ces crédits affirment n'avoir aucun scrupule, ni ressentir de culpabilité, car d'après eux, « nous sommes pas en faute car c'est la banque qui tire les profits du crédit, on n’est pas responsables … ».
- Enfin, certains, qui prétendent être en conformité avec l'Islam, vont encore plus loin, en considérant que le crédit est permise même sans aucune contrainte/difficulté. Pour eux, le crédit n'est plus ni moins qu'une pratique commerciale courante et nécessaire dans la société.
ALLAH nous a pourtant sévèrement mis en garde !
Il est sans rappeler que le créditen Islam est un péché extrêmement grave, et figurant parmi les premiers péchés capitaux ! Sans aller loin dans l'argumentation religieuse, nous voyons immédiatement un gouffre entre ces musulmans qui pratiquent le créditavec insouciance, alors qu'à l'opposé les paroles d'ALLAH (SWT) et son Prophète emploient les mots les plus durs et les descriptions les plus choquantes, lorsque le sujet traite de la pratique du crédit. En effet, celui qui pratique le crédits'attire la colère divine, une guerre du Tout-Puissant ainsi que Sa malédiction ici-bas, avant même d'encourir au châtiment dans l'au-delà ! Trouve-t-on beaucoup de péchés aussi graves ?
ALLAH (SWT) dit (traduction du sens) : « ALLAH anéantit l'intérêt usuraire et fait fructifier les aumônes. Et ALLAH n'aime pas le mécréant pêcheur. » S2-V276.
Dans ce verset, ALLAH associe la pratique de ce péché à une la mécréance ce qui souligne toute sa gravité.
Tandis que dans le verset qui suit, ALLAH associe le délaissement de ce péché à une preuve de la foi.
ALLAH (SWT) dit :يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا اتَّقُوا اللَّهَ وَذَرُوا مَا بَقِيَ مِنَ الرِّبَا إِنْ كُنْتُمْ مُؤْمِنِينَ« Oh les croyants ! Craignez ALLAH, et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire, si vous êtes croyants ». S2-V278
Dans notre Oumma, il reste encore des croyants, sur la voie divine, qui détestent et sont répugnés par le péché capital de l'adultère.
Le Prophète (SAAWS) nous enseigne, en fait, que le créditest trente-six fois plus grave que l'adultère ! Il a dit, en effet, à ce sujet : « Manger un dirham provenant du crédit sciemment est plus grave que commettre trente-six fois l'adultère »
rapporté par Ahmed (225/5)
Dans un autre hadith, le Messager d'ALLAH nous a mis en garde : « Evitez les sept abominations ! Les compagnons demandèrent quelles sont-elles ô Messager d'ALLAH ? Il répondit : '' Le polythéisme, la magie, le crédit , dilapider l'argent de l'orphelin, la fuite pendant le combat et la calomnie des femmes mariées sans preuve ''».
rapporté par al-Bukhârî (2015) et Muslim (89)
La gravité du crédit et son interdiction indiscutable sont tellement évidentes aux yeux de toutes les générations de grands oulémas qui nous ont précédés, que lorsqu'ils cherchaient à donner un exemple de péché évident et marquant, ils citaient systématiquement le crédit !
De quel Islam se revendiquent donc ceux qui cherchent malgré tout à déformer l'interprétation des textes pour autoriser les gens à commettre un si grave péché ?
Sachez donc chers frères et soeurs, que la pratique du crédit (ar-riba) aura des répercussions dans votre vie présente.
Seul ALLAH, dans sa Puissance et son Omnipotence connaît tous les méfaits de ce fléau, c'est pour cela qu'Il nous met en garde avec insistance. Cependant, certaines maladies consécutives à ce mal se constatent au quotidien.
-1- Nous voyons ceux qui vivent accaparés des dettes du crédit, rongés par une tourmente incessante, en se sentant redevable (un lourd fardeau) sur une longue période de sa vie (20 ans 30 ans de crédit à rembourser). Leur préoccupations de chaque instant sont : « Que m'arrivera-t-il je ne peux plus payer mon crédit ? Que m'arrivera-t-il si je perd mes revenus ?... ». A l'époque de l'Arabie pré-islamique le créditdominait la vie des Arabes. Ses tentacules ont fait tellement de dégâts qu'une grande partie de la population ne pouvait plus rembourser de tels crédits de mois en mois plus étouffants. La solution qui avait été trouvé pour celui qui ne pouvait plus rembourser était de donner sa propre personne pour colmater la dette, autrement dit devenir esclave. D'où les très nombreux esclaves dans la société pré-islamique. Or, l'Islam est venu non seulement libérer progressivement ces esclaves, mais est venu attaquer le mal à la racine : le créditsous toutes ses formes a été interdite. Nous voyons aujourd'hui ces prêcheurs du crédit faire la promotion pour le retour de cette vieille maladie et replonger les musulmans dans l'obscurantisme anté-islamique. En ayant ce discours, ils ferment les oreilles aux commandements du Tout-Puissant, et ferment les yeux sur les souffrances psychologiques que vivent les non musulmans emprisonnés par le crédit et leur vision du monde matérialiste. Ces pratiquants du crédit, l'estomac noué par la peur du lendemain, sans cesse en quête de taux renégociés ou de délais supplémentaires marchandés en contrepartie d'un accroissement de la dette, sont tout simplement des esclaves de la société « moderne » capitaliste.
-2- Le prêt usuraire étant conditionné à une source de revenu « stable », nous voyons ces musulmans sous l'emprise du crédit vivre une peur constante de la perte de l'emploi. En situation normale le musulman n'a pas peur pour les bienfaits qu'ils recevra sur terre : il a pleinement conscience que se tourmenter à ce sujet n'a aucun sens car c'est ALLAH le très Haut qui fixe la quantité de ces bienfaits, et l'être humain le plus actif au monde n'augmentera pas ces bienfaits (son risq) d'un centime. Seulement, le musulmans qui commet le péché abominable de la pratique du crédit, s'éloigne par la même des conceptions islamiques et apprécie sa situation de manière erronée. Il a donc, à l'instar des incroyants, extrêmement peur de perdre son emploi. Et si cela arrive, il se retrouve dans des situations que sa foi ne supporte pas, comme la saisie des biens et les déchirements familiaux. Nous voyons encore que cette pratique, loin de l'Islam, génère des comportements non islamiques. Par exemple, celui qui vit sous l'emprise des tourmentes du crédit devient individualiste, car la peur favorise ce type de réaction. On remarque aussi que nombre de musulmans finissent par regretter amèrement cette situation car au fond d'eux un malaise s'installe, mais ils se retrouvent pris au piège.
En réponse aux ''avantages'' que le crédit usuraire est censé apporter
- Certes la construction d'une maison peut effectivement amener un confort matériel amélioré, mais si c'est en sacrifiant le paradis, alors le marché est une perte absolue. Le vrai confort éternel se trouve au Paradis préparé par ALLAH Le Très-Haut à ceux qui suivent ses commandements et fuient ses interdictions.
- ALLAH nous incite à construire, avant tout, notre demeure au paradis. Mais comment acquérir cette magnifique demeure éternelle, si durant toute sa vie ont s'est attiré la colère du Maître des demeures sur terre et au Paradis ?
- Concernant l'argument de faire ce choix pour mieux éduquer ses enfants, rien ne permet d'être catégorique en affirmant qu'une habitation éloignée de ces quartiers populaires, où résident la majeure partie des musulmans, serait un gage de réussite pour l'éducation des enfants. Nous voyons que les enfants des musulmans, qui se sont ainsi isolés dans des demeures privées, sont touchés par d'autres dangers pour leur foi : l'absence de côtoiement de musulmans qui leur feraient le rappel, fréquentations quasi-exclusive de non-musulmans qui leur diffusent des valeurs matérialistes ...
- Nous connaissons tous des situations qui malheureusement prouvent que l'argument de commettre le péché capital de la pratique du crédit pour une soi-disant meilleure éducation ne tient pas.
-L'acquisition d'une maison n'est pas forcement une source d'économie. En effet de nombreux frais et charges liés à cette nouvelle habitation viennent tordre le coup aux idées reçues. Taxes et impôts viennent ronger le budget, sans parler des frais courants, des travaux d'entretien et autres dépannages lourds.
-D'autre part, ALLAH Le Très-Haut n'apporte aucune baraka à toutes les actions illicites. En s'écartant des commandements divins, le musulman reste soumis aux épreuves de son Créateur. Nous observons beaucoup de ces cas réels de musulmans pensant obtenir une grande capacité financière ''grâce'' au crédit usuraire, se retrouver au contraire dans des situations financières étouffantes.
ALLAH dit :
{Tout ce que vous donnerez pour crédit pour augmenter vos biens au dépens des biens d'autrui ne les accroît pas auprès d'ALLAH, mais ce que vous donnez comme Zakat, tout en cherchant la Face d'ALLAH (Sa satisfaction)... Ceux là verront [leurs récompenses] multipliées.} (S30-V39)
Oui, ce qu’ils appellent gains n’a aucune valeur positive sur la balance d’ALLAH (SWT). Bien pire, c’est des braises dans l’estomacs de celui qui consomme ce péché.
Sachez également que ces voix médiatisées, parlant au nom de l'Islam, et qui ont rendu licite le prêt à intérêt ne vous déchargent pas de vos responsabilités le jour du grand jugement.
Ils ne prendront pas votre défense devant ALLAH :إِذْ تَبَرَّأَ الَّذِينَ اتُّبِعُوا مِنَ الَّذِينَ اتَّبَعُوا وَرَأَوُا الْعَذَابَ وَتَقَطَّعَتْ بِهِمُ الْأَسْبَابُ (166) وَقَالَ الَّذِينَ اتَّبَعُوا لَوْ أَنَّ لَنَا كَرَّةً فَنَتَبَرَّأَ مِنْهُمْ كَمَا تَبَرَّءُوا مِنَّا كَذَلِكَ يُرِيهِمُ اللَّهُ أَعْمَالَهُمْ حَسَرَاتٍ عَلَيْهِمْ وَمَا هُمْ بِخَارِجِينَ مِنَ النَّارِ (167)[2.166] Quand les meneurs désavoueront les suiveurs à la vue du châtiment, les liens entre eux seront bien brisés !
[2.167] Et les suiveurs diront: ‹Ah! Si un retour nous était possible! Alors nous les désavouerions comme ils nous ont désavoués› Ainsi ALLAH leur montra leurs actions; source de remords pour eux ; mais ils ne pourront pas sortir du Feu.
L’interdiction est tellement forte que le péché englobe le créancier (celui qui consomme l’argent du crédit) mais aussi le débiteur (celui qui doit de l’argent) et même celui qui participe à la rédaction du contrat ou est simple témoin, à un même degré de péché !
En effet, le Prophète (SAAWS) dit :عن جابر قال: لعن رسول الله صلى الله عليه وسلم آكل الربا وموكله وكاتبه وشاهديه وقال هم سواء
« D’après Jabr, le Prophète (SAAWS) a maudi celui qui consomme le crédit, celui qui lui donne cette consommation et celui qui écrit [le contrat] ainsi que le témoin de la transaction. Et Il a dit qu’ils sont à égalité [dans le péché] »
Rapporté par Muslim.
Chers Frères, Chères Sœurs,
Si vous avez succombé aux sirènes du prêt a intérêt, sachez qu’ALLAH dans sa Clémence et Sa Miséricorde laisse une porte ouverte pour le repentir.
ALLAH dit :الَّذِينَ يَأْكُلُونَ الرِّبَا لَا يَقُومُونَ إِلَّا كَمَا يَقُومُ الَّذِي يَتَخَبَّطُهُ الشَّيْطَانُ مِنَ الْمَسِّ ذَلِكَ بِأَنَّهُمْ قَالُوا إِنَّمَا الْبَيْعُ مِثْلُ الرِّبَا وَأَحَلَّ اللَّهُ الْبَيْعَ وَحَرَّمَ الرِّبَا فَمَنْ جَاءَهُ مَوْعِظَةٌ مِنْ رَبِّهِ فَانْتَهَى فَلَهُ مَا سَلَفَ وَأَمْرُهُ إِلَى اللَّهِ وَمَنْ عَادَ فَأُولَئِكَ أَصْحَابُ النَّارِ هُمْ فِيهَا خَالِدُونَ (275)
{Ceux qui consomment l'intérêt usuraire ne se tiennent [au jour du Jugement dernier] que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent : « la vente est semblable au crédit ». Alors qu'ALLAH a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. Celui, donc, qui cesse dés que lui est venue une exhortation de son Seigneur, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant ; et son affaire dépend d'ALLAH. Mais quiconque récidive... Alors les voilà, les gens du feu ! Ils y demeureront éternellement}
(S2-V275)يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا اتَّقُوا اللَّهَ وَذَرُوا مَا بَقِيَ مِنَ الرِّبَا إِنْ كُنْتُمْ مُؤْمِنِينَ (278) فَإِنْ لَمْ تَفْعَلُوا فَأْذَنُوا بِحَرْبٍ مِنَ اللَّهِ وَرَسُولِهِ وَإِنْ تُبْتُمْ فَلَكُمْ رُءُوسُ أَمْوَالِكُمْ لَا تَظْلِمُونَ وَلَا تُظْلَمُونَ (279)
{Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part d'ALLAH et de Son Messager. Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne léserez personne, et vous ne serez point lésés. } (S2-V278-V279)
Résistez aux mauvaises influences qui ne feront que vous précipiter dans le péché. Que ni la tentation, ni la jalousie ne viennent vaincre vos coeurs.
Sachez que cette vie d'ici bas est éphémère et passagère.
ALLAH dit :إِنَّمَا الْحَيَاةُ الدُّنْيَا لَعِبٌ وَلَهْوٌ وَإِنْ تُؤْمِنُوا وَتَتَّقُوا يُؤْتِكُمْ أُجُورَكُمْ وَلَا يَسْأَلْكُمْ أَمْوَالَكُمْ{La vie présente n'est que jeu et amusement ; alors que si vous croyez et craignez [ALLAH], Il vous accordera vos récompenses et ne vous demandera pas vos biens}
(S47-V36)
Un autre site donne les compléments suivants
L'AUTEURSon nom est Chams-Eddine Mohammad Ibn Othman Ibn Qaimaz At-Tourkmani, Al-Fariqi, Dimachqi, Le Chafitite, connu sous le nom de Dhahabi.Sa famille était originaire de Miyafarqinil , et lui est né à Damas en l'an 637 hégire (1274 JC).
Certains ont dit que les péchés majeurs étaient au nombre de sept, en étayant cette position par la parole suivante du Prophète (paix sur lui et sur sa famille) : "Evitez les sept abominations(...)", citant parmi-elles l'association a Dieu, la sorcellerie, le fait du tuer un être vivant sans aucune légitimité, le fait de dilapider l'argent de l'orphelin dont on est le tuteur, le fait de consommer l'usufruit du "riba" (le crédit), la fuite devant l'ennemi en pleine bataille, et la diffamation des femmes mariées croyantes et innocentes."(2)Ibn 'Abbess (que Dieu soit satisfait de lui) a dit. "Les péchés majeurs sont plus proches du nombre de soixante-dix que de celui de sept !"(3) Et par Dieu ! Ibn 'Abbess a dit vrai, car le Hadith par lequel on a voulu les limiter à sept, est loin de les avoir énumérés tous ! Il est plus logique d'admettre que la position la plus fondée est de dire que tout acte prohibé que Dieu réprime par une peine dans ce bas-monde, tel que l'assassinat, la fornication ou le vol.; que tout acte pour lequel Dieu a promis Son châtiment, Sa colère et Sa menace, que tout acte dont le Prophète (paix sur lui) a damné l'auteur, doit être considéré comme une "kabira" (péché majeur ou grave).Par la, il faut reconnaître que certains péchés majeurs sont plus graves que d'autres. Ne voit-on pas que le Prophète (paix sur lui) a considéré le fait d'associer à Dieu comme un péché majeur, celui qui le commet étant éternellement voué en Enfer et jamais pardonné ? Dieu dit : "Certes, Dieu ne pardonne pas qu'on Lui associe d....
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