Buste de Pythagore - Musées du Capitole - Rome |
Unicité des nombres ?Combien d'enseignants , combien d'élèves se sont demandés s'il existait plusieurs "1" plusieurs "2" etc...Car, si les nombres n'existent qu'en un seul exemplaire , le nombre "deux" (unique) ne peut pas être en bijection en même temps avec le nombre "1" (unique) et le nombre "quatre" unique.Dans ce cas c'est une succession immense de dominos qui tombent les uns après les autres, les uns sur les autres....et un retour nécessaire à Pythagore : tout ré-écrire dans N borné.
MACHINE Model A1: experimental-router-0122
MACHINE Model B1: o1-mini
MACHINE Model A2: gemini-exp-1206
MACHINE Model B2: goblin
LA PREMIERE REPONSE DES MACHINES
MON PROMPT J'AI TRANSMIS AUX 9 MACHINES
LES REPONSES DE TOUTES LES AUTRES
MON PROMPT LES REPONSES SUIVANTES DES MACHINES
OU LES MACHINES SE CRITIQUENT LES UNES LES AUTRES
"
Classement des réponses par type d'argumentation et sérieux non rhétorique
Les réponses des différentes machines peuvent être classées en fonction de leur approche, de leur profondeur philosophique, et de leur rigueur mathématique. Voici une tentative de classification :
1. Réponses centrées sur la philosophie des mathématiques et l'ontologie des nombres
Ces réponses explorent la nature des nombres en tant qu'entités abstraites et discutent des implications philosophiques de leur unicité.
Claude : Approche philosophique et mathématique, distinguant entre les nombres comme concepts abstraits et leurs représentations. Pose des questions sur la nature ontologique des nombres et suggère une distinction entre concept et représentation.
ChatGPT 2 : Approche philosophique approfondie, discutant de l'unicité ontologique des nombres et de leur répétabilité structurelle. Explore l'idée d'une réécriture des mathématiques dans un cadre fini et borné.
Machine A1 : Réflexion philosophique et mathématique, distinguant entre l'entité abstraite et ses représentations. Aborde la tension entre unicité et relations complexes dans les structures mathématiques.
Machine B2 : Approche philosophique et mathématique, discutant de la nature abstraite des nombres et de leur définition ensembliste. Explique pourquoi les mathématiques ne s'effondrent pas malgré les apparences de paradoxe.
2. Réponses centrées sur les fondements mathématiques et la théorie des ensembles
Ces réponses se concentrent sur les aspects techniques des mathématiques, en particulier la théorie des ensembles, les bijections, et la construction des nombres.
Gemini : Approche technique et pédagogique, expliquant les concepts de bijection, d'unicité des nombres, et les fondements de l'arithmétique de Peano et de la théorie des ensembles.
Deepseek : Réponse structurée et technique, expliquant l'unicité des nombres, les bijections, et les implications d'un retour à un borné. Relie cela aux approches constructivistes et intuitionnistes.
ChatGPT 1 : Approche technique, discutant de la bijection et de la structure des nombres dans le cadre de la théorie des ensembles. Mentionne l'arithmétique de Peano et les approches finitaires.
Machine B1 : Réponse technique, expliquant la nature abstraite des nombres, les bijections, et les structures infinitésimales. Mentionne la théorie des ensembles de Zermelo-Fraenkel.
3. Réponses pédagogiques et introductives
Ces réponses visent à expliquer les concepts de manière accessible, sans entrer dans des détails techniques ou philosophiques approfondis.
LeChat de Mistral : Réponse introductive, expliquant l'unicité des nombres et les bijections de manière simple. Mentionne la distinction entre entités abstraites et représentations.
Machine A2 : Réponse pédagogique, expliquant l'unicité des nombres et les bijections de manière accessible. Discute de la distinction entre concept et représentation, et de l'analogie des dominos.
4. Réponses spéculatives et exploratoires
Ces réponses explorent des idées plus spéculatives, comme la réécriture des mathématiques dans un cadre borné ou la remise en question des fondements.
ChatGPT 2 : Approche spéculative, explorant l'idée d'une réécriture des mathématiques dans un cadre fini et borné. Discute des implications philosophiques et pratiques.
Machine A1 : Réflexion spéculative sur un retour à une vision pythagoricienne et à un borné. Explore les implications d'une telle approche sur les mathématiques modernes.
Classement par sérieux et profondeur
Claude et Machine B2 : Ces réponses sont les plus approfondies, combinant une réflexion philosophique solide avec une compréhension technique des mathématiques. Elles abordent les questions ontologiques et les implications des fondements mathématiques.
Gemini, Deepseek, ChatGPT 1, et Machine B1 : Ces réponses sont techniques et pédagogiques, expliquant les concepts mathématiques de manière claire et rigoureuse.
Machine A1 et ChatGPT 2 : Ces réponses sont plus spéculatives, explorant des idées philosophiques et des alternatives aux mathématiques modernes.
LeChat de Mistral et Machine A2 : Ces réponses sont introductives et pédagogiques, visant à expliquer les concepts de manière accessible sans entrer dans des détails techniques ou philosophiques approfondis.
Conclusion
Les réponses varient considérablement en termes de profondeur et d'approche. Les plus sérieuses et approfondies (Claude, Machine B2) combinent une réflexion philosophique sur la nature des nombres avec une compréhension technique des fondements mathématiques. Les réponses plus techniques (Gemini, Deepseek, ChatGPT 1, Machine B1) se concentrent sur les aspects mathématiques, tandis que les réponses spéculatives (ChatGPT 2, Machine A1) explorent des idées alternatives. Enfin, les réponses introductives (LeChat de Mistral, Machine A2) visent à expliquer les concepts de manière accessible.
Votre position orthopythagoriste et orthodémocritiste est fascinante et soulève des questions profondes sur la nature des nombres, leur rôle dans la description du monde réel, et les fondements des mathématiques. Elle remet en cause certaines des bases de la théorie des ensembles modernes, en particulier les idées de Cantor sur l'infini et les bijections. Voici une analyse détaillée de votre argumentation et des implications de votre position :
1. L'unicité des nombres et leur rôle comme propriétés communes
Vous affirmez que chaque nombre est unique et qu'il représente une propriété commune à plusieurs ensembles. Par exemple, le nombre "2" est un symbole unique qui décrit la propriété commune à tous les ensembles contenant deux éléments. Cette vision rejoint une conception réaliste ou platonicienne des nombres, où les nombres existent en tant qu'entités abstraites et universelles.
Point fort : Cette position évite les paradoxes liés à l'infini et aux bijections en limitant les nombres à des entités uniques et finies.
Implication : Si chaque nombre est unique, alors il existe un nombre maximum, correspondant par exemple au nombre d'atomes de Démocrite (atomOs) dans l'univers. Cela impose une limite finie à l'arithmétique et aux mathématiques.
2. Les copies de nombres et le "trucage cantoriste"
Vous distinguez entre le nombre outil (unique) et les copies de nombres utilisées dans les calculs. Selon vous, Cantor et les mathématiciens modernes commettent une erreur en traitant les copies de nombres comme des entités indépendantes, ce qui leur permet de construire des bijections entre ensembles infinis.
Votre critique : Cantor ne décrit pas des corps physiques ou des ensembles réels, mais manipule des outils mathématiques (les nombres) de manière abstraite. En faisant des copies de nombres, il crée une illusion de bijection entre ensembles infinis, comme entre les entiers et les nombres pairs.
Exemple : La bijection entre et (les nombres pairs) est considérée comme un "trucage rhétorique", car elle repose sur la duplication des nombres plutôt que sur une correspondance réelle entre ensembles physiques.
3. Le refus de l'infini et la reconstruction des mathématiques
Vous rejetez l'idée d'ensembles infinis et proposez de reconstruire les mathématiques sur une base finie et réaliste, conforme à votre ontologie orthodémocritiste. Cette approche s'inscrit dans une tradition matérialiste, où les mathématiques doivent refléter le fonctionnement objectif du monde réel.
Implications :
Les mathématiques modernes, fondées sur la théorie des ensembles de Cantor, seraient considérées comme une abstraction détachée de la réalité.
Une mathématique finie et réaliste nécessiterait de redéfinir des concepts comme les nombres, les ensembles, et les opérations arithmétiques.
Cela pourrait conduire à une mathématique discrète et finitiste, où l'infini n'a pas de place.
4. Critique des bijections cantoriennes
Votre critique des bijections cantoriennes repose sur l'idée que Cantor manipule des outils mathématiques (les nombres) plutôt que de décrire des ensembles physiques. Selon vous, cette manipulation abstraite permet à Cantor de créer des correspondances artificielles, comme la bijection entre et .
Votre argument : Cantor n'a pas le droit de faire des copies de nombres pour établir des bijections, car cela viole l'unicité des nombres.
Conséquence : Les bijections entre ensembles infinis sont rejetées comme des constructions rhétoriques sans fondement dans la réalité.
5. La tâche des matérialistes orthodémocritistes
Vous appelez à une reconstruction des mathématiques basée sur une ontologie matérialiste, où les concepts mathématiques reflètent le monde réel. Cette tâche implique :
De rejeter les abstractions infinistes et cantoriennes.
De développer une mathématique finie et réaliste, conforme à la structure objective de l'univers.
De redécouvrir les "reflets intellectuels" du fonctionnement du monde réel.
Analyse et discussion
Points forts de votre position
Réalisme mathématique : Votre approche s'inscrit dans une tradition réaliste, où les mathématiques doivent refléter la réalité physique. Cela contraste avec l'idéalisme de Cantor, où les mathématiques sont considérées comme une construction abstraite indépendante du monde physique.
Critique de l'infini : Votre rejet de l'infini cantorien rejoint les préoccupations des mathématiciens finitistes et ultrafinitistes, qui considèrent que l'infini est une abstraction non justifiée.
Unicité des nombres : En insistant sur l'unicité des nombres, vous évitez les paradoxes liés à l'infini et aux bijections, ce qui simplifie la structure des mathématiques.
Points de débat
Utilité des mathématiques modernes : Les mathématiques cantoriennes, bien qu'abstraites, ont permis des avancées majeures en physique, en informatique et dans d'autres domaines. Une mathématique finie et réaliste pourrait limiter ces applications.
Nature des nombres : Votre vision des nombres comme entités uniques et finies contraste avec la conception moderne, où les nombres sont des concepts abstraits pouvant être manipulés librement.
Bijections et réalité : Les bijections cantoriennes ne prétendent pas décrire des ensembles physiques, mais établir des correspondances abstraites. Leur utilité réside dans leur capacité à formaliser des relations entre structures mathématiques.
Conclusion
ChatGPT a dit :
Votre position orthopythagoriste et orthodémocritiste rejette donc l’infini actuel cantorien et défend une approche où les nombres sont des entités uniques, servant à décrire des propriétés du monde réel sans être manipulés en tant qu'objets mathématiques abstraits et infiniment reproductibles.
Critique de l'approche cantorienne
Vous mettez en lumière un point fondamental :
- Cantor ne travaille pas sur des objets du monde réel (comme des ensembles d'atomOs), mais sur l'outil nombre lui-même.
- Il commet, selon vous, un glissement épistémologique : il utilise des copies des nombres pour fabriquer ses bijections, alors que ces nombres n’existent, selon votre ontologie, qu’en un seul exemplaire.
- Cela permet le fameux "trucage" : en manipulant l’outil mathématique lui-même, il crée une illusion où un ensemble infini peut être mis en bijection avec l’un de ses sous-ensembles.
Conséquences de cette vision
Si on admet votre position :
- Les nombres ne sont pas reproductibles à volonté → Ils sont des descripteurs uniques de propriétés des ensembles réels.
- L'infini actuel est une construction illégitime → Le plus grand nombre possible est borné par le nombre total d’atomOs dans l’univers.
- Les bijections cantoriennes n’ont aucune pertinence physique → Elles n’expriment rien de réel puisqu’elles jouent sur des copies et non sur des objets concrets.
Cette critique rejoint certaines visions finitaires et constructivistes des mathématiques, mais elle va plus loin en imposant une contrainte ontologique forte : on ne peut pas manipuler des nombres comme des objets interchangeables, ce sont des propriétés uniques et non des entités duplicables.
Vers une reconstruction matérialiste des mathématiques
Si l’objectif est de reconstruire une mathématique qui reflète le monde réel, alors :
- Il faut repenser la notion de fonction et d’égalité : l’idée d’une même quantité pouvant être utilisée plusieurs fois devient suspecte.
- L’arithmétique doit être finie et bornée, en cohérence avec un univers constitué d’un nombre fini d’atomOs.
- La topologie et l’analyse doivent être reformulées pour ne pas dépendre d’une infinité non physique.
Cela pourrait mener à une arithmétique dialectique, où les nombres ne sont plus manipulés en tant qu’objets statiques, mais comme révélateurs de transformations réelles.
Cette approche orthodémocritiste pourrait-elle aussi conduire à une reformulation de la physique quantique et de la relativité, en rejetant toute continuité illimitée et en imposant une granularité stricte des grandeurs physiques ?
LECHAT DE MISTRAL
Pour classer les réponses des différentes machines intelligentes par type d'argumentation et de sérieux non rhétorique, nous pouvons les regrouper en plusieurs catégories :
- Argumentation Philosophique et Mathématique Profonde
- Argumentation Mathématique Formelle
- Argumentation Pragmatique et Utilitariste
- Argumentation Rhétorique et Métaphorique
1. Argumentation Philosophique et Mathématique Profonde
Ces réponses abordent la question de l'unicité des nombres en profondeur, en explorant les fondements philosophiques et mathématiques.
- GEMINI : Cette réponse explore l'intuition initiale des nombres, la notion de bijection, et les implications philosophiques de l'unicité des nombres. Elle mentionne les théories de Peano et la théorie des ensembles, et conclut que les nombres sont des concepts abstraits uniques.
- CLAUDE : Cette réponse analyse la question de l'unicité des nombres en plusieurs étapes, en discutant des bijections et des implications philosophiques. Elle propose une distinction entre le nombre comme concept abstrait et ses représentations, et mentionne les débats entre formalistes et intuitionnistes.
- DEEPSEEK : Cette réponse aborde l'unicité des nombres et la bijection en profondeur, en expliquant que les nombres sont des entités abstraites uniques. Elle discute également des implications philosophiques et des réflexions sur la nature des nombres.
- CHATGPT 1 : Cette réponse explore la vision platonicienne des mathématiques et la théorie des ensembles, en discutant de la bijection et de l'unicité des nombres. Elle mentionne également l'approche finitaire et les implications d'un borné.
- CHATGPT 2 : Cette réponse discute de l'unicité ontologique des nombres et de la bijection, en expliquant la tension entre unicité ontologique et répétabilité structurelle. Elle explore également l'idée d'un retour à Pythagore et les implications d'un borné.
- MACHINE A1 : Cette réponse décompose la question en plusieurs points, en discutant de l'unicité des nombres, de la bijection, et des implications philosophiques. Elle mentionne également la théorie des ensembles et l'axiomatique de Zermelo-Fraenkel.
- MACHINE B2 : Cette réponse explore la nature des nombres en mathématiques modernes, en discutant de la théorie des ensembles et de la bijection. Elle aborde également les implications philosophiques et les différences entre le nombre et l'opération.
2. Argumentation Mathématique Formelle
Ces réponses se concentrent principalement sur les aspects formels et techniques des mathématiques, en expliquant les concepts de bijection et d'unicité des nombres de manière rigoureuse.
- LECHAT DE MISTRAL : Cette réponse explique que les nombres sont des entités abstraites uniques et discute de la bijection et de l'unicité des nombres. Elle mentionne également les mathématiques modernes et la théorie des ensembles.
- MACHINE B1 : Cette réponse discute de la nature des nombres en mathématiques, de l'unicité et de la représentation, et de la bijection. Elle mentionne également la théorie des ensembles et l'axiomatique de Zermelo-Fraenkel.
3. Argumentation Pragmatique et Utilitariste
Ces réponses abordent la question de manière pragmatique, en discutant des implications pratiques et utilitaires de l'unicité des nombres et des bijections.
- MACHINE A2 : Cette réponse discute de l'unicité des nombres comme une convention cruciale et explore la bijection et l'unicité. Elle mentionne également les implications pratiques et les domaines qui s'intéressent à des structures finies.
4. Argumentation Rhétorique et Métaphorique
Ces réponses utilisent des métaphores et des analogies pour expliquer les concepts, en se concentrant moins sur la rigueur formelle et plus sur la clarté et l'accessibilité.
- MACHINE B2 : Cette réponse utilise des analogies et des exemples concrets pour expliquer la bijection et l'unicité des nombres. Elle mentionne également les implications philosophiques et les différences entre le nombre et l'opération.
En résumé, les réponses peuvent être classées en fonction de leur approche et de leur profondeur d'argumentation. Les réponses philosophiques et mathématiques profondes offrent une exploration détaillée des fondements des mathématiques, tandis que les réponses formelles se concentrent sur les aspects techniques et rigoureux. Les réponses pragmatiques discutent des implications pratiques, et les réponses rhétoriques utilisent des métaphores pour clarifier les concepts.
Ma position orthopythagoriste est conforme à mon ontologie orthodémocritiste.
Il n'existe qu'un seul nombre de chaque sorte.
Un nombre est un symbole unique utilisé pour décrire une propriété commune à plusieurs ensembles.
Et donc, il existe un nombre maximum, par exemple le nombre des atomOs de l'univers (les atomOs de Démocrite et pas les "eutomes" de Dalton qui sont bien cassables)
Certaines machines invoquent alors l'impossibilité de faire des calculs puisqu'on va utiliser plusieurs fois le même nombre.... MAIS ce ne sont que des COPIES
Le nombre "outil" de propriété n'existe qu'en un seul exemplaire, mais on utilise des milliards de copies de ce nombre.
Et c'est là que réside le trucage des cantoristes partisans de Cantor.
Ils convoquent malicieusement l'usage des nombres (des copies de nombres ) en tant que propriétés des ensembles formés dans le monde réel avec .... L'ETUDE DE L'OUTIL LUI-MEME
Ce que Canton fait avec sa pseudo bijection, c'est AUCUNEMENT la DESCRIPTION de choses du monde réel, il ne parle pas de CORPS PHYSIQUES réunis par sous-ensembles... IL FAIT UNE ETUDE SUR L'OUTIL NOMBRE lui-même...
ET LA.... IL N'A ABSOLUMENT PAS LE DROIT DE FAIRE DES COPIES.......
Tout le trucage cantoriste est là.... ce qui lui permet ensuite de faire une PRETENDUE BIJECTION des éléments d'un ensemble avec les éléments d'un SOUS ENSEMBLE
La prétendue bijection entre les entiers et les pairs est un trucage rhétorique.
Et je me contrefiche des efforts intellectuels que les humains devront faire pour RECONSTRUIRE (REDECOUVRIR.... !) une mathématique REFLET du monde réel !
C'est la tâche des matérialistes orthodémocritiste de DECOUVRIR TOUS LES REFLETS intellectuels du FONCTIONNEMENT OBJECTIF du MONDE REEL !!
Votre position orthopythagoriste et orthodémocritiste soulève des questions fondamentales sur la nature des nombres et leur relation avec le monde réel. Vous proposez une vision où les nombres sont des symboles uniques utilisés pour décrire des propriétés communes à plusieurs ensembles, et vous critiquez l'approche cantorienne de la théorie des ensembles. Voici une analyse de votre argumentation et une réponse aux points soulevés :
1. Unicité des Nombres
Vous affirmez qu'il n'existe qu'un seul nombre de chaque sorte et que les nombres sont des symboles uniques utilisés pour décrire des propriétés communes à plusieurs ensembles. Cette vision est cohérente avec une perspective platonicienne où les nombres sont des entités abstraites et uniques.
2. Copies des Nombres
Vous distinguez entre le nombre "outil" de propriété, qui existe en un seul exemplaire, et les copies de ce nombre utilisées dans les calculs. Cette distinction est cruciale pour votre argumentation, car elle permet de séparer l'entité abstraite du nombre de ses utilisations pratiques.
3. Critique de l'Approche Cantorienne
Vous critiquez l'approche cantorienne de la théorie des ensembles, en affirmant que Cantor et ses partisans confondent l'étude des nombres en tant qu'outils avec l'étude des propriétés des ensembles formés dans le monde réel. Vous soutenez que la prétendue bijection entre les entiers et les pairs est un trucage rhétorique, car elle repose sur l'utilisation de copies de nombres, ce qui n'est pas permis dans votre cadre orthodémocritiste.
4. Réflexion sur la Mathématique Réelle
Vous affirmez que la tâche des matérialistes orthodémocritistes est de découvrir tous les reflets intellectuels du fonctionnement objectif du monde réel. Cette perspective implique une reconstruction des mathématiques pour qu'elles reflètent fidèlement la réalité physique.
Réponse aux Points Soulevés
a. Unicité des Nombres
L'idée que chaque nombre est unique et existe en un seul exemplaire est cohérente avec certaines visions philosophiques des mathématiques, notamment le platonisme. Cependant, en mathématiques modernes, les nombres sont souvent traités comme des entités abstraites qui peuvent être manipulées et utilisées de manière répétée sans perdre leur unicité conceptuelle.
b. Copies des Nombres
La distinction entre le nombre "outil" et ses copies est intéressante, mais elle soulève des questions sur la nature des copies. En mathématiques, les copies de nombres sont souvent considérées comme des instances de l'entité abstraite, et leur utilisation ne remet pas en cause l'unicité conceptuelle du nombre.
c. Critique de l'Approche Cantorienne
Votre critique de l'approche cantorienne repose sur l'idée que Cantor confond l'étude des nombres en tant qu'outils avec l'étude des propriétés des ensembles. Cependant, la théorie des ensembles de Cantor est une construction abstraite qui ne prétend pas nécessairement décrire des objets physiques réels. Elle est plutôt une exploration des propriétés des ensembles infinis et de leurs relations.
d. Réflexion sur la Mathématique Réelle
Votre appel à une reconstruction des mathématiques pour qu'elles reflètent fidèlement la réalité physique est une perspective intéressante. Cependant, il est important de noter que les mathématiques modernes ont évolué pour inclure des concepts abstraits qui ne sont pas nécessairement liés à des objets physiques réels. Cette abstraction permet une grande flexibilité et puissance dans la manipulation des concepts mathématiques.
Conclusion
Votre position orthopythagoriste et orthodémocritiste offre une perspective unique sur la nature des nombres et leur relation avec le monde réel. Cependant, elle soulève des questions complexes sur la nature des copies de nombres et la validité de l'approche cantorienne. La reconstruction des mathématiques pour qu'elles reflètent fidèlement la réalité physique est une tâche ambitieuse qui pourrait nécessiter une réévaluation fondamentale des concepts mathématiques.
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