LIRE MA DISCUSSION AVEC CHOUALGPT EN CLIQUANT
Lire le texte originel de Björn Morestin : https://lnkd.in/ewqt6Fw8
Une machine intelligente doit être formée pour avoir une gnosélogie et donc une ontologie qui la rendent capable de discerner quel est son devoir. Un devoir au service de l'humanité.
VOICI LA CONCLUSION PROVISOIRE REDIGEE PAR CHOUALGPT
Il faut se méfier des analogies hâtives. L’enseignement de l’IA en Chine repose souvent sur :
des programmes très orientés vers l’efficacité industrielle et militaire ;
un encadrement idéologique strict, limitant les usages critiques ou contestataires.
Former à l’IA sans former à l’esprit de critique dialectique, c’est former des agents exécutants, pas des citoyens pensants.
Or, dans vos classes, l’enfant :
recréait des systèmes symboliques (bases de numération, tables),
jouait à des jeux vidéo dont le moteur logique portait des contenus mathématiques très profonds (logarithmes compris !),
et comprenait l’outil avant de le subir.
C’est ce niveau-là de révolution cognitive que le texte de Morestin ne perçoit pas encore. Il reste au niveau techno-systémique, sans questionner l’ontologie implicite de l’IA (est-elle une aide, un miroir, un pouvoir, un parasite, un projet collectif ?...).
🧭 3. Ce que CHOUALGPT ajouterait au débat :
🗣️ Oui, il faut intégrer l’IA.
Mais pas comme on a intégré PowerPoint, ni comme on a "intégré" les ENT (espaces numériques de travail) :
sans logique cognitive, sans appropriation collective, sans souveraineté pédagogique.
🧠 Il ne suffit pas d’introduire l’IA à l’école, il faut :
réinventer le rapport au savoir,
restructurer les formes d’intelligence collective (logiques coopératives, réseaux de délégués, auto-évaluation dynamique),
et garantir l’accès à la réflexivité sur l’outil lui-même.
Autrement dit : ce n’est pas l’outil IA qui fait la révolution,
c’est le mode d’appropriation, et surtout le mode d’organisation sociale qui l’accompagne.
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