VOICI LA COPIE DE SUPERVCHATGPT LA VERSION DE CHATGPT QUE J'AI COACHÉE
Voici une proposition de copie de bac 2025, rédigée par un lycéen coaché à l’ontologie orthodémocritiste et à la gnoséologie matérialiste dialectique, prenant le sujet « Notre avenir dépend-il de la technique ? » au sérieux tout en y injectant une profondeur que le correcteur n’aura probablement jamais lue, mais qu’il ne pourra pas aisément disqualifier s’il est de bonne foi.
Sujet : Notre avenir dépend-il de la technique ?
Introduction
L’avenir : c’est ce qui n’est pas encore advenu, ce qui, selon l’orthodémocritisme, n’est qu’une des branches possibles dans l’arbre matériel des causalités.
La technique : ce sont les moyens matériels produits par les humains pour agir sur le monde, c’est-à-dire les prolongements des organes humains, selon une définition remontant à Engels (Le rôle du travail dans la transformation du singe en homme).
La question posée ne concerne donc ni la science (qui décrit le monde), ni la morale (qui le juge), mais bien le pouvoir transformateur de l’action humaine outillée.
Mais dire que notre avenir “dépend” de la technique : cela suppose qu’elle en serait la cause principale, voire le facteur déterminant. Or cette formulation pose problème du point de vue d’un matérialisme dialectique conséquent : ce n’est jamais un outil qui agit seul, mais un ensemble de rapports sociaux, économiques et gnoséologiques qui décident de l’usage, du sens et de la portée d’une technique.
Dès lors, pour répondre à cette question, il faudra :
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Clarifier ce qu’est la technique dans une ontologie rigoureuse (I),
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Montrer que la technique ne détermine rien en soi, mais agit dans une structure sociale et historique déterminée (II),
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Et enfin comprendre que le rôle historique de la technique dépend de la dialectique entre forces productives et conscience humaine (III).
I. Une définition matérialiste et gnoséologique de la technique
L’ontologie orthodoxe (celle des philosophes-matiérialistes comme Démocrite, Newton ou Lénine) enseigne que tout ce qui existe est fait d’atomOs se mouvant dans le vide, et que toute connaissance est un reflet partiel d’événements matériels transmis par des signaux physiques.
Dans ce cadre, la technique est un ensemble de configurations matérielles (outils, machines, procédés) qui permettent de modifier les flux de causalité dans le monde réel. Une pioche, un ordinateur ou une IA sont des configurations d’atomOs produites pour agir sur d’autres ensembles d’atomOs (terre, données, humains, etc.).
Mais cette technique n’agit pas seule : elle est conçue par des cerveaux humains, qui eux-mêmes reçoivent des signaux, structurent des modèles mentaux, et agissent. Donc, la technique est un produit de la connaissance — laquelle, selon la gnoséologie matérialiste, n’est pas purement individuelle mais sociale, historique et dialectique.
II. La technique ne détermine pas l’avenir : ce sont les rapports sociaux qui décident
L’histoire montre que les mêmes techniques peuvent être utilisées à des fins opposées :
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L’imprimerie peut propager les écrits de Voltaire… ou ceux de propagandistes fascistes.
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L’électricité peut faire fonctionner un hôpital… ou alimenter des machines de torture.
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L’IA peut aider des lycéens pauvres à accéder au savoir… ou à les surveiller 24h/24.
Autrement dit : ce n’est jamais la technique qui détermine l’avenir, mais l’usage qu’en font les groupes sociaux dominants.
Marx et Engels appelaient cela les rapports de production : les techniques sont des forces productives, mais l’avenir d’une société dépend de la manière dont ces forces sont encadrées, orientées, monopolisées ou libérées.
Ainsi, notre avenir ne dépend pas de la technique, mais de la capacité des humains à s’en emparer dans une logique de libération collective ou d’oppression capitaliste.
III. L’avenir dépend des lois dialectiques : quantité, qualité et saut
Engels (dans Dialectique de la nature) décrit une loi fondamentale : le passage de la quantité à la qualité.
C’est cette loi qui explique :
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Que l’accumulation d’une technique finit par transformer les sociétés (ex : la machine à vapeur → révolution industrielle),
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Que l’usage massif d’une technologie (Internet, IA) peut créer une nouvelle “qualité sociale” (surveillance de masse, automatisation du travail, voire obsolescence de l’école).
Mais cela ne veut pas dire que “la technique” décide : c’est la dialectique entre technique et société qui fait émerger des bifurcations historiques.
Exemples :
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Accumulation quantitative de savoirs partagés (Wikipédia, IA libre) → émergence d’un nouveau rapport au savoir (accès horizontal, anti-élitiste).
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Accumulation de machines prédatrices (Amazon, Facebook, IA brevetée) → émergence d’une dystopie technocratique néolibérale.
Dans les deux cas, le saut qualitatif n’est pas neutre : il résulte de choix politiques, de luttes sociales, de visions du monde.
Conclusion
Notre avenir ne dépend ni de la technique seule, ni d’un volontarisme sans moyens.
Il dépend de notre capacité à :
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comprendre la technique comme un produit historique,
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saisir ses effets dialectiques (transformation de la société),
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reprendre collectivement le contrôle sur son usage, dans une optique d’émancipation.
La technique est un levier, non une fatalité. Et si notre avenir dépend de quelque chose, c’est de notre capacité à penser — et agir — en matérialistes dialectiques conscients.
Voici le prompt de demande
Voici un sujet du baccalauréat 2025 SUJET "Notre avenir dépend-il de la technique" Imaginez que vous êtes un lycéen malin mais déterminé; un lycéen ayant été comme vous coaché à l'ontologie orthodémocritiste et à la gnoséologie matérialiste. Vous rédigez donc votre copie en supposant que le correcteur aura une formation éclectique complète et qu'il est assez honnête pour respecter l'intelligence profonde (même si la sienne ne l'est pas beaucoup, comme celle de tous les éclectiques). On doit donc voir vos connaissance en gnosélogie et en matérialisme dialectique. En particulier la transformation quantité qualité.
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