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lundi 9 juillet 2012

Crimes barbares de la monarchie belge dans "LE POIDS DE L'AFRIQUE" de Charles-Henri Favrod (Seuil 1958)


présentation Yanick Toutain

Cet extrait était été publié sur voilà.monsyte en 2007 pour accompagner un article sur les amis criminels de Albert Einstein. L'auteur lui-même n'est pas exempt d'un "racisme" ordinaire....

"Il sera alloué par l'État,
pour chaque enrôlé,
une prime (...) 15 francs
par enfant mâle.
Ces enfants, qui devront avoir
une taille minimum de 1 m. 20,
devront être suffisamment forts
pour supporter les fatigues de la route.

"Nous devrons taper sur eux 
jusqu'à soumission absolue
 ou extinction complète.  
"s'ils coupent encore une liane
je les exterminerai
tous jusqu'au dernier.
""

LE POIDS DE L'AFRIQUE
Charles-Henri Favrod
Éditions du Seuil 1958


LE CONGO BELGE extraits pages 270 et 271


(…) trente-six porteurs de son train qui en comptait trois cent quarante-sept. Bataille contre la tsé-tsé, les moustiques, les cataractes, l'eau pourrie, les flèches empoisonnées. Mais, le reportage, que publiaient simultanément le New York Herald et le Daily Telegraph, retint l'attention de Léopold Il. En dépit des difficultés, il savait le moment favorable la France se remettait à peine de sa défaite, l'Angleterre semblait repue, l'Allemagne ignorait encore les tropiques et les États-Unis plus encore. Au mois de juin 1878, le journaliste et le souverain se concertent pour la première fois, étudiant les cartes de compagnie. En 1880 l'Association Internationale du Congo est créée avec son drapeau bleu étoilé d'or. La même année, en novembre, Brazza et Stanley se rencontrent orageusement. "Ce Monsieur de Brazza ne voyageait jamais sans planter des pavillons tricolores là où il passait... " Ce Stanley, hisse les couleurs de l'Association face au Pool et crée Léopoldville.
On a pu dire que la question du Congo léopoldien avait été en Belgique quelque chose de fort analogue à l'affaire Dreyfus. Pour les nationalistes français, les défenseurs du capitaine étaient payés par les Juifs. Poux la majorité des Belges, les accusateurs du roi étaient à la solde des marchands de Liverpool. A en croire Pierre Mille, dans un Cahier de la Quinzaine, il fut longtemps considéré comme une trahison, à Bruxelles, de dire que le souverain et ses agents avaient commis et commettaient tous les jours, au Congo, des crimes qui outrageaient l'humanité, et que ces crimes étaient, non l'acte de quelques individus déséquilibrés, mais le résultat d'un système.

Le 27 février 1906, M. Vandervelde porta des accusations précises devant la Chambre belge. Il cita, en particulier, le texte d'une instruction que M. Van Eetvelde adressait aux officiers partant pour le Congo, chargés d'y recruter des soldats noirs.
"Il sera alloué par l'État, pour chaque enrôlé, une prime d'engagement fixée comme suit 90 francs par homme sain et vigoureux et jugé immédiatement apte au service militaire, la taille dépassant 1 m. 55; 65 francs par jeune homme ayant au moins 1 m. 35; 15 francs par enfant mâle. Ces enfants, qui devront avoir une taille minimum de 1 m. 20, devront être suffisamment forts pour supporter les fatigues de la route. La prime sera portée à 130 francs pour les hommes mariés. La prime ne sera due que pour ceux qui auront été livrés au chef-lieu du district."
[Note de l'auteur du site : il m'a fallu plusieurs lectures pour comprendre qu'il s'agit de rafles, de razzias et que les primes sont versés aux esclavagistes officiers belges]
Le 28 février, dans la suite du débat, M. Lorand mentionna une lettre écrite par un fonctionnaire de l'État indépendant :
"Monsieur le chef de poste,

"Décidément, ces gens d'Inoryo constituent une bien vilaine engeance. Ils sont venus couper les lianes à caoutchouc à Huli. Nous devrons taper sur eux jusqu'à soumission absolue ou extinction complète. C'est dans cette prévision que j'envoie mon boy rappeler son père pour lui épargner un réveil désagréable. Prévenez encore une toute dernière fois les gens d'Inoryo et mettez au plus tôt votre projet à exécution de les accompagner, dans le bois, ou bien rendez-vous au village avec une bonne trique. Au premier chimbèque, adressez-vous au propriétaire :"Voilà un panier, tu vas le remplir de caoutchouc. Allez, file dans le bois et tout de suite, et si dans huit jours tu n'es pas revenu avec cinq kilos, je flambe ton chimbèque !" et vous flambez, comme vous l'avez promis. La trique servira à chasser dans les bois ceux qui ne veulent pas quitter le village. En brûlant une à une les maisons, je crois que vous ne serez pas obligé d'aller jusqu'au bout avant d'être obéi. Prévenez-les que s'ils coupent encore une liane je les exterminerai tous jusqu'au dernier. "
M. Vandervelde fit alors allusion à une circulaire du commandant Verstraëten, commissaire général du district de l'Ouellé :
"J'ai l'honneur de porter à votre connaissance qu'à partir du 1er janvier 1899, il faut arriver à fournir mensuellement 4.000 kilogrammes de caoutchouc. A cet effet, je vous donne carte blanche. Vous avez donc deux mois pour travailler vos populations. Employez d'abord la douceur et, si les gens persistent à ne pas accepter les impositions de l'État, employez la force des armes. "

La terrasse domine le fleuve. Je le vois amorcer les trente-deux cataractes qui le séparent de l'Océan et qui firent bouder l'arrière- pays à tous les explorateurs d'Europe. L'île des Éléphants, encore inviolée, s'appelle île du Téléphone. la déformation indigène du français ayant eu raison du premier baptême. Autour de moi, des conversations mondaines, des whiskies et des manhattans. Et, près des épaules décolletées et des vestons blancs, des voitures chromées et des ascenseurs, il v a ce petit cimetière des pionniers, tout juste cinquantenaire, avec ses noms de toutes consonances qui s'effacent.
Je pense à ce lieutenant viennois qui n'y est pas enterré parce que sa fougue l'engagea à franchir les rapides et à en être emporté. Il se nommait Kalina et, en mémoire, on appela ainsi le promontoire d'où il était parti. Qui s'en souvient ? Kalina, c'est aujourd'hui le quartier résidentiel entre Léo I et Léo Il, cette capitale de vingt kilomètres de long, qu'on numérote parce qu'elle n'en finit pas de s'étendre, qu'on abrège en trois lettres parce que le temps c'est de l'argent.
Les conversations, dont j'entends des bribes, tiennent du propos d'agent secret. Si on se familiarise vite avec Léo, Stan et Eville, qui furent Léopoldville, Stanleyville et Élisabethville, on a plus de (…)
L'auteur écrit plus loin , page 279 "Ainsi, le revenu par tête pour les colons est cent vingt fois supérieur, environ, au revenu par tête pour les indigènes."

(On voit aussi que l'auteur, Favrod, n'est pas exempt, lui-même, du racisme occidental ordinaire)

vendredi 17 septembre 2010

Alain Souchon et le Che (Au moment où la pensée unique prend l’eau de toutes parts, les maîtres du jeu font intervenir tous leurs valets.) par CARTAGENA & BRIATTE

Alain Souchon et le Che


par CARTAGENA & BRIATTE

Le milieu du spectacle français croyait qu’Alain Souchon était une star vieillissante. La sortie de son dernier disque et son intervention au journal télévisé de 20 heures de France 2 le samedi 29 novembre le confirment. En effet, comme l’a constaté, avec un sourire complice le présentateur du journal, Laurent Delahousse, Alain Souchon a encore osé. Cette fois il n’a pas hésité à écrire une chanson contre les imposteurs aux dires de M. Delahousse. L’imposteur, en l’occurrence est, excusez du peu, Ernesto Che Guevara. En consultant Internet M. Souchon s’est
« aperçu que des tas de témoins de l’époque disaient qu’il (le Che) s’était souvent conduit de manière extrêmement cruelle, que c’était un drôle de bonhomme qui aimait les armes à feu, l’aventure, alors qu’on en fait une espèce d’icône de la liberté ». 
Effectivement pour une star du spectacle française et le cirque médiatique, il est assez osé de se poser en accusateur d’un homme qui a consacré sa vie (et l’y a laissée) à la lutte contre les injustices dans le monde.
Il est impossible de raconter en quelques mots le chemin parcouru par le Che pour devenir le symbole qu’il représente aujourd’hui, malgré les puissants et les privilégiés de ce monde. Mais voyons les grandes lignes :
Médecin, il s’est engagé au Mexique aux côtés de Fidel Castro pour aller lutter contre la dictature de Batista à Cuba. L’Amérique latine est la région où tout au long de l’histoire, les inégalités sociales ont été effarantes. Les deux voyages accomplis par le Che, en 1951 et 1953, lui ont permis de le constater. Après le triomphe de la Révolution cubaine en janvier 1959, il prend des responsabilités dans le gouvernement (Ministre de l’Industrie, Président de la Banque), jusqu’au moment où il part lutter contre les colonialistes européens au Congo. Rappelons que le Che était argentin et que la solidarité internationale était naturelle chez lui. Après la Révolution Cubaine, il estimait urgent d’aider l’Afrique dans sa lutte pour la libération du colonialisme et l’apartheid, tous deux soutenus par les pays dits « libres » (voir « la présence cubaine en Afrique »). Cette aide se soldant par un échec, le Che part en Bolivie pour se battre contre la dictature des généraux sous la coupe des Etats-Unis. A ce moment-là l’impérialisme américain l’avait déjà condamné à mort, et une fois la vérification faite qu’il se trouvait en Bolivie, les nord-américains ont dépêché des conseillers avec la tâche de le supprimer.
Parions que les « tas de témoins de l’époque » dont parle M. Souchon sont les auteurs de témoignages trouvés sur des sites basés aux Etats Unis, et plus particulièrement à Miami, antre reconnu des terroristes anticastristes organisés et financés par les successives administrations américaines. Les attentats terroristes se comptent par centaines (dont la première explosion d’un avion en plein vol dans le monde en 1976), non seulement contre Cuba, mais aussi contre tout ce qu’il y a de progressiste en Amérique Latine (voir « Opération Condor »). C’est à Miami qu’habite l’agent de la Cia qui a exécuté le Che le 9 octobre 1967 dans l’école de La Higuera en Bolivie. Les services américains ont voulu effacer le Che de la face de la terre, en le massacrant, puis après lui avoir coupé les mains, en cachant son corps pendant 30 ans, tentant ainsi de faire disparaître jusqu’à sa mémoire, son image. De toute évidence M. Souchon a voulu achever leur tâche manifestement mal accomplie, en discréditant le combat et l’engagement du Che et en essayant de le déshumaniser.
Le Che n’était ni cruel, ni amoureux des armes, comme l’affirme M. Souchon. Face aux dictatures sanglantes, il existe un droit à la rébellion, reconnu même par l’église catholique et des instances internationales telles que l’ONU. C’est la seule option qui ait permis d’abattre des oppresseurs comme Batista, Somoza, Pinochet ou autres pantins aux ordres de Washington. Le Che en était très conscient. La violence et l’oppression sont toujours l’œuvre des secteurs de la société qui veulent défendre leurs privilèges à tout prix.
Mais si M. Souchon a osé s’attaquer à celui qui reste le symbole de la liberté pour les peuples soumis à l’oppression, cela signifie qu’il est soit absolument inconscient de ce qu’il fait, soit complètement malhonnête dans ses motivations, ou bien les deux à la fois. J’imagine que pour la star parisienne qu’il est ce soit extrêmement difficile de concevoir les motivations qui ont poussé le Che Guevara à s’engager dans un combat contre les injustices sur plusieurs continents, mais un minimum de modestie et d’honnêteté intellectuelle lui aurait permis de s’épargner le numéro d’ignominie ridicule dans lequel il s’est irrémédiablement enfoncé. Cependant s’il tient vraiment à connaître des témoignages de personnes ayant côtoyé le Che, je pourrais lui recommander quelques œuvres provenant de plusieurs pays :
Carnets de voyage : film de Walter Salles (Brésil)
Biographie d’Ernesto Che Guevara connu aussi comme le Che : livre de Paco Ignacio Taibo II (Mexique)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Che_Guevara : encyclopédie libre sur internet
Alberto Granado, livre En voyage avec Che Guevara
La mémoire du feu, livre Orlando Borrego
http://www.la-breche.com/catalog/index.php?cPath=51&osCsid=9764060ahdsuurt11gk07l8ka6 , site internet où l’on peut obtenir les livres (entre autres) : Che, justice globale, Le socialisme et l’homme, Ecrits sur la révolution, Cuba, Fidel et le Che où l’aventure du socialisme
Mon fils le Che, livre Ernesto Guevara
http://www.answers.com/topic/che-guevara, encyclopédie sur internet
http://www.thehandsofcheguevara.com/filmes.php ,video sur les mains coupés du Che
http://video.fnac.com/a1779894/Che-Guevara-DVD-Zone-2 , site internet où l’on peut obtenir Che Guevara et Ernesto Che Guevara le journal de Bolivie, deux DVD
http://www.kewego.fr/video/iLyROoafYtCW.html ,site internet avec video sur le Che
Plus loin, M. Souchon ajoute que le Che était
« très photogénique, qu’il a une belle photo avec son béret et qui est quand même sur 20 millions de tee-shirts ».
Encore une fois, M. Souchon ne peut pas se dépêtrer de ses motivations de star de la chanson pour qui l’image reste le plus important. Alberto Korda, le photographe cubain qui a pris le célèbre cliché lors des obsèques de la centaine de victimes, dont six marins français, de l’attentat commis par la Cia contre le bateau « Le Coubre » dans le port de La Havane, n’a, contrairement à M. Souchon avec sa chanson, jamais obtenu un seul sou de bénéfice pour la reproduction de la photo la plus diffusée de l’histoire. Cette photo a été tirée, donc, non pas dans un studio, comme pour les clips de M. Souchon. Le béret n’avait pas été bien ajusté, contrairement aux soins apportés, avant de passer à l’antenne, à la coiffure de M. Souchon pour faire décontracté. La photo d’A. Korda, elle, est devenue célèbre après la mort du Che sur l’initiative d’un éditeur italien. Sur ce point, je me dois de prévenir M. Souchon dès maintenant car son visage risque, fort heureusement, de n’être jamais adopté comme symbole de quoi que ce soit. Même dans le domaine de l’ignoble,on a vu mieux.
Je peux affirmer que M. Souchon a insulté la mémoire d’un homme très aimé par des millions de personnes non seulement à Cuba et en Argentine, mais dans tous les pays d’Amérique Latine. Le chanteur ne peut pas soupçonner, même si ça doit le faire rire, à quel point les masses sur ce continent, aiment les dirigeants qui les conduisent vers la liberté. Ceci a été une constante de ces peuples depuis l’occupation espagnole. Le respect, l’admiration, l’amour des gens pour ceux qui ont donné leur vie pour leur libération (Lautaro, Tupac Amaru, Tupac Katani, Bolivar, Artigas, Marti, Zapata, Che, Allende, etc.) ne relèvent pas du culte de la personnalité mais uniquement de la reconnaissance envers ceux qui sont disposés à offrir leur vie pour améliorer celle des autres. Il en est de même aujourd’hui, n’en déplaise à M. Souchon, des nouveaux Présidents progressistes, tous admirateurs du Che, élus récemment en Amérique Latine : Chavez, Morales, Ortega, Correa, etc.
En insultant le Che, M. Souchon a insulté des millions de personnes dont je suis, mais venant de la part de quelqu’un qui a été, comme il le dit lui-même, « verni et gâté par la vie », cela n’a qu’une valeur très relative, car si ce monde va mal, c’est bien à cause de la défense à outrance de l’égoïsme et des privilèges de quelques-uns dont il fait partie.
M. Souchon doit savoir que le crachat destiné à l’étoile du Che ne pourra que lui retomber sur la figure et qu’il ne pourra plus s’en prendre à sa maman, car sa laideur, crachat compris, c’est lui-même qui l’aura forgée.
Cependant, je m’interroge sur, d’une part la subite inspiration de M. Souchon, s’appuyant sur des « informations » trouvées sur internet, et d’autre part la promotion de son disque par les chaînes publiques : le samedi 29 novembre à 20h dans de JT de France 2, le dimanche 30 à 14h dans l’émission « Vivement dimanche » de Drucker sur France 2 et le lundi 1er décembre à 21h sur France 3 avec un documentaire de L. Thessier.
Au moment où la pensée unique prend l’eau de toutes parts, les maîtres du jeu font intervenir tous leurs valets.
URL de cet article
http://www.legrandsoir.info/Alain-Souchon-et-le-Che.html
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===WIKIPEDIA
Che Guevara, 5 mars 1960, photo d'Alberto Korda.


Photo prise le 5 Mars 1960, publié à Cuba en 1961, au niveau international en 1967.
Source Che Guevara Museo, La Havane, Cuba
Auteur Alberto Korda (Korda)
Autorisation
(réutilisation de CE fichier)
Ce fichier est dans le domaine public. La photo a été utilisée pour la première fois au niveau international en 1967. C'est dans le domaine public par le décret-loi no. 156 28 Septembre 1994, de modifier la partie de la loi n. 14 Décembre 28, 1977, Loi sur le droit d'auteur (article 47) qui stipule que les images tombent dans le domaine public dans le monde, 25 ans après sa première utilisation.
Cuba n'a pas signé la Convention de Berne jusqu'en 1997, et cette photo a été prise et publiée il ya 30 ans et donc que c'est dans le domaine public.

Lettre à Alain Souchon quant à Ernesto Che Guevara et l'Afrique : Les crimes de la France !

J'essaye de poster cette lettre sur le YouTube de Alain Souchon. En vain. Il y a un bug qui refuse mon copier coller - sans donner aucune explication.
Je mettrai un lien vers cette copie. [pour autant, sur son site, son livre d'or a laissé mes deux petits messages]

Bonjour Alain
Je vous ai écrit, il y a plus de trois ans, une petite chanson (gratuite) ALLEN WOODY.
http://monsyte.blogspot.com/2008/12/allen-woody-chanson.html
Je viens d'en faire le clip (gratuit) et l'ai mis sur YouTube.
http://www.youtube.com/watch?v=GPznRIbpxBA
J'espère que vous l'apprécierez.
Parce que la prochaine chanson que je ferai - quant à vous - sera moins aimable : vos propos inacceptables provenant d'un pays COUPABLE DE L'ASSASSINAT SANITAIRE DE 3 MILLIONS DE BEBES AFRICAINS (données 2005 sur le site de l'INED) sont totalement scandaleux.
Ernesto Che Guevara est allé en Afrique, sur les traces de Patrice Lumumba, pour contribuer à la Libération de ce continent du joug du colonialisme français assassin.
Votre arrogance à l'encontre du Che est proportionnelle à votre indifférence pour les 8200 bébés de moins de un an qui meurent en Afrique à cause de votre président Sarkozy et pour le bénéfice de son corrupteur Vincent Bolloré.
Au lieu de chanter les erreurs d'Ernesto, étudiez-les et expliquez-les.
Faites connaitre l'héritage de Patrice Lumuba, de Thomas Sankara, de François Xavier Vershave !

Quant à chanter, je vous fais "cadeau" de mes chansons "Africa Unité !".
Elles sont gratuites* et sont les armes pour "Troupes françaises hors d'Afrique"
Chantez-les, chantez « Les esclaves de Bolloré », « Les suiveurs de bateaux », « La chasse aux enfants », « Hôtel Ivoire », « Aminata a faim », ... et vous gagnerez, alors, le droit d'adresser des critiques au révolutionnaire égalitariste Ernesto Che Guevara.
Merci.

*gratuites=non SACEM et n’y seront jamais

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Ce texte est une republication provenant de Monsyte.

lundi 15 décembre 2008

Lettre à Alain Souchon quant à Ernesto Che Guevara et l'Afrique : Les crimes de la France !