Coup d'Etat fasciste en Ukraine : Des provocateurs infiltrés agissent pour préparer les affrontements avant de disparaître (source Russia’s Channel One television) |
par Yanick Toutain
"Les événements tragiques en Ukraine
sont l’œuvre de Washington et de l’UE.
Ils ont préparé la chute du
gouvernement pro-russe de Ianoukovitch
avec l’aide d’organisations fascistes
après que Ianoukovitch a refusé
le traité de l’UE pour s'orienter
vers l’Union douanière russe."
exact résumé des événements d'Ukraine
sur le site WSWS Par son silence, le NPA soutient le massacre
perpétré par les fascistes ukrainiens à Odessa
Par Anthony Torres 6 mai 2014
sont l’œuvre de Washington et de l’UE.
Ils ont préparé la chute du
gouvernement pro-russe de Ianoukovitch
avec l’aide d’organisations fascistes
après que Ianoukovitch a refusé
le traité de l’UE pour s'orienter
vers l’Union douanière russe."
exact résumé des événements d'Ukraine
sur le site WSWS Par son silence, le NPA soutient le massacre
perpétré par les fascistes ukrainiens à Odessa
Par Anthony Torres 6 mai 2014
Mensonges sur la Mali où le président ATT coordonnait l'attaque financée par l'allié de la France esclavagiste - le Qatar. Mensonges sur le Mali où la DGSE aidait "depuis 10 ans" les trafiquants de drogue du MNLA (seul le Nouvel Observateur donna cette info). Mensonges sur le Mali où le leader du groupe Ansar Dine vient de recevoir de François Hollande 20 millions d'euros en récompense de son attaque de Aguel Hoc le 24 janvier 2012. Mensonges sur la Mali où les manifestations estudiantines anti-Dioncounda Traoré de janvier 2013 furent la véritable cause de l'inquiétude soudaine de l'Elysée et donc la véritable cause de l'invasion précipitée de Bamako pour mater la jeunesse..... Mensonges sur la Mali où, en juillet 2012, l'impunité des groupes islamofascistes était organisée par Hollande lui-même quand il ordonnait à la CEDEAO de bloquer les armes de l'armée malienne dans les ports de l'ouest....
Et ce ne sont que quelques mensonges..... sur les véritables événements qui se déroulent en Afrique.
On a vu que seul Libération révélait que les livraisons de matériel militaire à la Séléka étaient, au début décembre 2013, le fait du principal allié de la Franceàfric de Hollande en Afrique - le régime de l'exécuteur Idriss Déby.... Alors même que les opérations militaires de cette Séléka donnait le prétexte de l'intervention impérialiste.
On voit depuis hier, le président du Nigéria utiliser les pantins islamofascistes de l'Occident esclavagiste - les psychopathes de Boko Haram, comme prétexte pour "solliciter" de Barack Obama l'invasion de son pays pour "libérer les lycéennes" enlevées...
Les médias sont idiots ou complices.....
Il suffit de constater l'#OmertAfric de Annie Thomas de l'AFP en faveur du barbouze Bourry et des enseignants agresseurs d'enfants pour comprendre comment fonctionne le mensonge organisé : les blogueurs sont réprimés (31000 euros) mais la chape de plomb du silence doit entourer leur condamnation.
Et quand ce sont les alliés des blogueurs qui sont emportés dans la tourmente..... ce sont même les enseignants qui cognent les élèves qui trouvent des alliés OMERTA76 jusque dans les prétendus temps de l'information.
COUP D’ÉTAT FASCISTE EN UKRAINE
PARRAINÉ PAR UE ET USA
Concernant le coup d'état fasciste en Ukraine, seuls quelques groupes donnent les éléments factuels éclairant ce qui se passe réellement.
Lire le WSWS
"Les affirmations selon lesquelles le coup d’Etat de Kiev a été une “révolte de masse pour la démocratie” sont des mensonges absurdes. A la différence des soulèvements contre les dictatures pro-impérialistes en Égypte et en Tunisie, qui ont mobilisé des millions ou des dizaines de millions de travailleurs, le coup d’Etat a mobilisé des milliers ou des dizaines de milliers de personnes, organisées autour de noyaux de combattants fascistes. Il n'y a pas eu de grèves de masse ou de mobilisations des travailleurs, la seule voie progressiste par laquelle le régime réactionnaire de Ianoukovitch aurait pu été renversé."
ODESSA: UNE ATTAQUE NEONAZIE OCCULTEE
ET BANALISEE PAR LES MEDIAS PRO-FASCISTES EUROPE
C'est une attaque néonazie qui a tué les manifestants pacifiqueson trouve sur le site Le Grand Soir deux chronologies détaillées des événements d'Odessa. La première est signée "The vineyard of the saker" Traduction : Dominique Muselet
Coup d'Etat fasciste en Ukraine : Qui sont ces provocateurs armés infiltrés préparant les affrontements avant de disparaître
(source Russia’s Channel One television)Après le massacre fasciste à Odessa,le régime fantoche pro-américain de Kiev intensifie la violence
Par Alex Lantier
6 mai 2014
"Après le massacre de vendredi à Odessa, qui a été perpétré par les partisans de l’extrême-droite du régime fantoche pro-occidental de Kiev, les combats se sont intensifiés au cours du week-end d’un bout à l’autre de l’Ukraine orientale. Des comptes rendus sur les atrocités ont confirmé qu’il s’agissait bien d’un acte de terreur qui visait les protestataires pro-russes, avec l’intention d’embraser les tensions contre la Russie dans toute l'Ukraine.
Un millier de hooligans bien armés de Kharkiv et des nervis fascistes de la milice Secteur droit ont attaqué des manifestants pro-russes, les obligeant à pénétrer dans le hall de la maison des syndicats de la ville, pour ensuite donner l’assaut contre le bâtiment, l’attaquer à l’aide d’armes légères et l’incendier à coups de cocktails Molotov. En tout, 42 personnes sont mortes et 170 ont été blessées. C'est l’acte de répression à lui seul le plus sanglant de Kiev contre les protestations. La police d’Odessa a laissé faire, puis a emprisonné les manifestants pro-russes qui avaient réussi à échapper à la fois aux flammes et aux nervis de Secteur droit qui agressaient toute personne sautant du bâtiment.
Dimanche, à Odessa, plus d’un millier de manifestants ont pris d’assaut le quartier général de la police pour faire libérer les 67 détenus en scandant des slogans tels « Odessa est une ville russe » et « Un pour tous, tous pour un. » Une fois à l’intérieur du bâtiment, ils ont retiré le drapeau ukrainien et ont négocié avec la police la libération des détenus.
Des milliers de gens se sont aussi rassemblés au cours du week-end devant le bâtiment des syndicats pour y déposer des fleurs et rendre hommage à ceux qui sont morts."
extrait :
"Pour résumer :
A Odessa, les manifestants pro-Russes n’avaient jamais occupé un bâtiment, tout ce qu’ils avaient fait était d’installer des tentes sur la place et de rester là. Il n’y avait eu quasiment aucune violence. Mais hier les néo-nazis sont passés à l’action :
1) Ils ont amené en bus de nombreux voyous du Secteur Droit.
2) Puis ils ont fait venir les hooligans locaux du football (payés par des oligarques selon certaines sources) pour faire une manifestation nationaliste.
3) Les voyous du Secteur Droit ont alors rejoint les hooligans et ensemble ils ont sauvagement attaqué le petit village de tentes des pro-Russes : les tentes ont été déchirées et les manifestants anti-régime ont été méchamment passés à tabac. La police locale regardait sans rien faire.
4) Les manifestants anti-régime ont tenté de sauver leur vie en se réfugiant dans le bâtiment syndical qui avait été leur lieu de rassemblement. Le bâtiment a été cerné et on y a mis le feu.
5) Ceux qui essayaient de sortir étaient sauvagement battus et beaucoup ont été assassinés. Beaucoup d’autres ont été tués par balles alors qu’ils se tenaient aux fenêtres pour échapper aux flammes.
6) Les néo-nazis ont empêché les pompiers de passer.
7) Chaque fois qu’un manifestant sautait par la fenêtre ou était tué par balle la foule hurlait : "Gloire à l’Ukraine ! Gloire à nos héros !" Beaucoup ont pris des vidéos en souvenir. Pour eux, c’était un événement joyeux et libérateur.
8) Les réseaux sociaux ukrainiens ont été envahis de joyeux messages félicitant les "héros" d’Odessa et promettant d’en faire encore baver aux maudits Ruskoffs.
9) Les médias occidentaux et ukrainiens ont parlé de "heurts" et de "morts" mais sans mentionner les responsables du massacre.
10) Aux dernières nouvelles, il y a eu 46 morts. Mais avec ceux qui ont inhalé des gaz toxiques et surtout ceux qui ont été profondément brûlés, leur nombre va certainement augmenter." (Les nervis de Kiev brûlent vifs des pro-russes à Odessa, l’armée ukrainienne attaque les populations de l’est : Que peut faire Poutine ? (The vineyard of the saker))
Un autre site donne une chronologie encore plus machiavélique : un mystérieux groupe de provocateurs aurait été filmé.
"Russia’s Channel One television reconstructed the chronological order of events using publicly available YouTube videos detailing what happened in Odessa on Friday.
It began with a football match between two teams – Chernomorets Odessa and Metalist Kharkov. Despite the high political tensions in the region, authorities still allowed the match to take place, realizing that a few thousand pro-Kiev football fans would be arriving to the city."
Les provocations ont mal tourné : un mystérieux commando a-t-il déclenché la violence à Odessa ?
Russia Today
Des vidéos filmées pendant les événements meurtrier d’Odessa qui ont causé la mort de douzaines de personnes révèlent que les choses se sont déroulées d’une manière beaucoup plus complexe et que des provocateurs ont déclenché la violence.
Les autorités ukrainiennes ont accusé les militants séparatistes d’être à l’origine des heurts qui ont mené au tragique incendie de la Maison des Syndicats. Le ministre de l’intérieur a déclaré que les militants anti-Kiev avaient attaqué les supporters des autorités de Kiev avant de se réfugier dans le bâtiment et qu’ils avaient lancé des cocktail Molotov sur la foule, déclenchant ainsi l’incendie. La chaîne 1 de la TV russe a reconstruit la chronologie des évènements de vendredi à Odessa à l’aide des vidéos disponibles sur YouTube étape par étape.
Tout a commencé par un match de foot entre deux équipes : Chernomorets Odessa et Metalist Kharkov. En dépit des grandes tensions politiques dans la région, les autorités ont autorisé le match en sachant très bien que quelques milliers de supporters pro-Kiev viendraient dans la ville.
Après le match, environ 1500 partisans des autorités de Kiev et des ultras du foot se sont réunis pour manifester en faveur de l’unité de l’Ukraine. La manifestation a été autorisée par les autorités locales.
Les nationalistes ont marché vers le centre de la ville en chantant "Gloire à l’Ukraine" et "Mort aux ennemis" ainsi que "Il faut poignarder les Moskals" (terme méprisant pour Russes). Certaines personnes portaient l’insigne du mouvement ultra-nationaliste. Elles étaient armés de chaînes, de bats de baseball et portaient des boucliers.
La violence a commencé quand la foule pro-Kiev a rencontré un groupe de gens qui avaient l’air de militants anti-gouvernement. Ils portaient des rubans de St. George – l’insigne des séparatistes – et des bandeaux rouges sur le bras. Certains des officiers de police présents sur les lieux portaient les mêmes bandeaux rouges sur le bras.
Puis le beaucoup plus petit groupe de soi-disant militants anti-Kiev a attaqué la manifestation, provoquant, selon toute apparence, les manifestants. Les vidéos montrent un plus petit groupe d’hommes portant des bandeaux rouges sur le bras qui entraînent la foule des militants pro-Kiev dans une autre direction.
A moment donné le mur de policiers s’est entre ouvert, a laissé passer les hommes au bandeau rouge puis s’est refermé. Une vidéo montre alors un homme qui se tient derrière la rangée de policiers et qui tire sur les manifestants pro-Kiev.
Ces provocations ont déclenché le combat : les deux camps se sont mis à lancer des pierres et on a entendu des coups de feu.
Les soi-disant militants anti-Kiev disparurent alors et les manifestants pro-Kiev très en colère se dirigèrent ver le camp de tentes que l’opposition avait monté devant la Maison des Syndicats.
Cependant, sur la place, il n’y avait aucun de ceux qui avaient attaqué précédemment la manifestation. Il n’y avait que quelques dizaines de militants séparatistes qui n’avaient jamais bougé de là. Quand ils virent arriver la foule en colère, ils se réfugièrent dans la Maison des Syndicats.
Les survivants de l’incendie racontent qu’ils se sont barricadés dans la Maison des Syndicats pour échapper à la foule en colère qui mettait le feu à leurs tentes.
Les radicaux se sont alors mis à lancer des cocktails Molotov sur le bâtiment des Syndicats, déclenchant un incendie. Des témoins disent que ceux qui réussissaient à échapper aux flammes étaient violemment battus par les assaillants qui assiégeaient le bâtiment en flammes.
Mais le ministre de l’Intérieur ukrainien présente une autre version des faits. selon lui, les victimes des violences ont déclenché le feu elles-mêmes en lançant des cocktails Molotov du dernier étage.
Mais de nombreuses vidéos des incidents montrent les cocktails Molotov arrivant de l’extérieur du bâtiment. Une autre vidéo montre que des éléments radicaux pro-Kiev se trouvaient aussi dans le bâtiment, agitant un drapeau ukrainien.
Les preuves permettent de conclure que les supporters de foot ont sans doute été manipulés par des forces inconnues dont le rôle était de déclencher des violences.
Les autorités ukrainiennes ont accusé les militants séparatistes d’être à l’origine des heurts qui ont mené au tragique incendie de la Maison des Syndicats. Le ministre de l’intérieur a déclaré que les militants anti-Kiev avaient attaqué les supporters des autorités de Kiev avant de se réfugier dans le bâtiment et qu’ils avaient lancé des cocktail Molotov sur la foule, déclenchant ainsi l’incendie. La chaîne 1 de la TV russe a reconstruit la chronologie des évènements de vendredi à Odessa à l’aide des vidéos disponibles sur YouTube étape par étape.
Tout a commencé par un match de foot entre deux équipes : Chernomorets Odessa et Metalist Kharkov. En dépit des grandes tensions politiques dans la région, les autorités ont autorisé le match en sachant très bien que quelques milliers de supporters pro-Kiev viendraient dans la ville.
Après le match, environ 1500 partisans des autorités de Kiev et des ultras du foot se sont réunis pour manifester en faveur de l’unité de l’Ukraine. La manifestation a été autorisée par les autorités locales.
Les nationalistes ont marché vers le centre de la ville en chantant "Gloire à l’Ukraine" et "Mort aux ennemis" ainsi que "Il faut poignarder les Moskals" (terme méprisant pour Russes). Certaines personnes portaient l’insigne du mouvement ultra-nationaliste. Elles étaient armés de chaînes, de bats de baseball et portaient des boucliers.
La violence a commencé quand la foule pro-Kiev a rencontré un groupe de gens qui avaient l’air de militants anti-gouvernement. Ils portaient des rubans de St. George – l’insigne des séparatistes – et des bandeaux rouges sur le bras. Certains des officiers de police présents sur les lieux portaient les mêmes bandeaux rouges sur le bras.
Puis le beaucoup plus petit groupe de soi-disant militants anti-Kiev a attaqué la manifestation, provoquant, selon toute apparence, les manifestants. Les vidéos montrent un plus petit groupe d’hommes portant des bandeaux rouges sur le bras qui entraînent la foule des militants pro-Kiev dans une autre direction.
A moment donné le mur de policiers s’est entre ouvert, a laissé passer les hommes au bandeau rouge puis s’est refermé. Une vidéo montre alors un homme qui se tient derrière la rangée de policiers et qui tire sur les manifestants pro-Kiev.
Ces provocations ont déclenché le combat : les deux camps se sont mis à lancer des pierres et on a entendu des coups de feu.
Les soi-disant militants anti-Kiev disparurent alors et les manifestants pro-Kiev très en colère se dirigèrent ver le camp de tentes que l’opposition avait monté devant la Maison des Syndicats.
Cependant, sur la place, il n’y avait aucun de ceux qui avaient attaqué précédemment la manifestation. Il n’y avait que quelques dizaines de militants séparatistes qui n’avaient jamais bougé de là. Quand ils virent arriver la foule en colère, ils se réfugièrent dans la Maison des Syndicats.
Les survivants de l’incendie racontent qu’ils se sont barricadés dans la Maison des Syndicats pour échapper à la foule en colère qui mettait le feu à leurs tentes.
Les radicaux se sont alors mis à lancer des cocktails Molotov sur le bâtiment des Syndicats, déclenchant un incendie. Des témoins disent que ceux qui réussissaient à échapper aux flammes étaient violemment battus par les assaillants qui assiégeaient le bâtiment en flammes.
Mais le ministre de l’Intérieur ukrainien présente une autre version des faits. selon lui, les victimes des violences ont déclenché le feu elles-mêmes en lançant des cocktails Molotov du dernier étage.
Mais de nombreuses vidéos des incidents montrent les cocktails Molotov arrivant de l’extérieur du bâtiment. Une autre vidéo montre que des éléments radicaux pro-Kiev se trouvaient aussi dans le bâtiment, agitant un drapeau ukrainien.
Les preuves permettent de conclure que les supporters de foot ont sans doute été manipulés par des forces inconnues dont le rôle était de déclencher des violences.
Pour consulter l’original : http://rt.com/news/156744-video-footage-odessa-fire/
Traduction : Dominique Muselet
Traduction : Dominique Muselet
URL de cet article 25464
http://www.legrandsoir.info/les-provocations-ont-mal-tourne-un-mysterieux-commando-a-t-il-declenche-la-violence-a-odessa.html
http://www.legrandsoir.info/les-provocations-ont-mal-tourne-un-mysterieux-commando-a-t-il-declenche-la-violence-a-odessa.html
Les responsabilités criminelles des impérialistes fauteurs de guerre sont indéniables. Ils poursuivent la ligne contre-révolutionnaire initiée en 1979 par Margareth Thatcher et accélérée par Bush dans la provocation du 11 septembre. C'est le fascisme et une 3° guerre mondiale qu'ils préparent pour sauver le capitalisme. La strate des Parasites n'a plus que le mensonge et la violence pour se perpétuer.
On peut lire en conclusion cet extrait de l'article d'Alex Lantier du WSWS
Après le massacre fasciste à Odessa, le régime fantoche
pro-américain de Kiev intensifie la violence
Par Alex Lantier 6 mai 2014
La responsabilité des atrocités incombe d’abord et avant tout aux partisans impérialistes du régime de Kiev. Le massacre en soi a été, selon toute probabilité, discuté et préparé avec des responsables occidentaux, comme le furent les deux vagues d’assauts militaires lancées contre des villes de l’Est contrôlées par les rebelles antigouvernementaux. La première répression avait eu lieu après une visite secrète effectuée à Kiev les 12-13 avril par le directeur de la CIA, John Brennan, la deuxième avait fait suite à la visite, les 21-22 avril, du vice-président américain, Joseph Biden.
De nouveaux reportages sont apparus qui établissent des liens étroits entre les services de renseignement américains et le régime de Kiev. Citant des sources au sein des services de sécurité allemands, le journal Bild am Sonntag écrivait dimanche : « Le gouvernement provisoire de Kiev est conseillé par des dizaines de spécialistes des services secrets de la CIA et du FBI, l’agence chargée de faire respecter les lois fédérales.
Selon le Bild, les responsables de la CIA et du FBI collaborent avec les forces de sécurité à Kiev en vue « d’aider à mettre fin à la rébellion à l’Est du pays et d'établir une infrastructure de sécurité qui fonctionne. »"
"Washington et Berlin comptaient sur leurs médias corrompus pour présenter le coup d’Etat comme une révolution populaire en faveur de la démocratie, tandis qu'ils se préparaient à écraser l’opposition populaire au moyen de meurtres de masse commis par leurs alliés d’extrême droite.
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