"six d’entre eux ont été exécutés
avec des méthodes relevant de l’atrocité.
avec des méthodes relevant de l’atrocité.
Il s’agit, entre autres, du Commandant Mory Diarra,
préfet de Tinessako, Agaly Ag Timamoud Yattara,
préfet-adjoint de Kidal, Amadou Belco Bâ,
préfet de Kidal, Sékou Sissouma préfet -adjoint de Tessalit,
Lieutenant Paul Marie Sidibé,
sous-préfet de Tinzawatten et
Capitaine Mohamed B. Touré
sous-préfet de Boureissa."
liste des viçtimes du MNLA les gangsters
protégés par Hollande,
Sarkozy et l'armée française d'occupation
préfet de Tinessako, Agaly Ag Timamoud Yattara,
préfet-adjoint de Kidal, Amadou Belco Bâ,
préfet de Kidal, Sékou Sissouma préfet -adjoint de Tessalit,
Lieutenant Paul Marie Sidibé,
sous-préfet de Tinzawatten et
Capitaine Mohamed B. Touré
sous-préfet de Boureissa."
liste des viçtimes du MNLA les gangsters
protégés par Hollande,
Sarkozy et l'armée française d'occupation
Les protégés de François Hollande, les protégés de la DGSE (depuis 10 selon 2 articles du Nouvel Obsevateur en mai 2013), les protégés de l'ONU et de la MINUSMA sont des égorgeurs, sont des assassins, sont des trafiquants de drogue.
LIRE : MARDI 18 DÉCEMBRE 2012 Un premier hommage au capitaine Sékou Traoré. Il sera au panthéon des héros de la libération de l'Afrique. Victime et résistant contre l'attaque Sarkozy-Hollande-Qatar-Ancar Eddine contre le Mali, contre l'Afrique
Les protégés MNLA du gouvernement Suisse (dont le financement a été attesté en juillet 2012 contraignant ce gouvernement du voyou à présenter leurs excuses) font de nouvelles victimes.
Les protégés de l'UE, ces gangsters MNLA menaçaient le Niger depuis les bureaux parisiens de l'Union Européenne !
Le MNLA sont des gangsters qui ont fabriqué le prétexte de l'invasion du Mali. Leur attaque des 17 18 et 24 janvier contre le nord du Mali, à Ménaka et à Aguel fut coordonnée par le président du Mali, ATT et est une opération de la DGSE prévue pour permettre l'INVASION DU MALI dans le cadre de la 4° GUERRE CONTRE L'AFRIQUE !
Le MNLA et ses alliés narcojihadistes commettent une véritable boucherie à Kidal comme à Aguelhoc en 2012 : Six otages torturés avant d’être égorgés, éventrés ou fusillés par leurs ravisseurs
Par - Date: il ya 3 minutes
Comme en témoignent les nombreuses blessures sur les corps des six administrateurs (inhumés dimanche à Kidal), certains semblent avoir été égorgés ou éventrés et d’autres fusillés après tortures au mépris des dispositions de la convention relative au droit international humanitaire.
Le mode opératoire utilisé par le MNLA et ses alliés (AQMI, MAA, ex-Ansar Eddine recyclés dans le HCUA) rappelle le massacre, courant 2012, de plus d’une centaine de militaires maliens à Aguelhok. Ce sont les mêmes auteurs qui sont passés par là en ôtant la vie à six administrateurs.
Sur la trentaine de cadres de l’administration malienne pris en otage samedi 17 mai et détenus dans les locaux du Gouvernorat par les séparatistes touaregs et leurs alliés narcojihadistes, six d’entre eux ont été exécutés avec des méthodes relevant de l’atrocité.
Sur la trentaine de cadres de l’administration malienne pris en otage samedi 17 mai et détenus dans les locaux du Gouvernorat par les séparatistes touaregs et leurs alliés narcojihadistes, six d’entre eux ont été exécutés avec des méthodes relevant de l’atrocité.
Il s’agit, entre autres, du Commandant Mory Diarra, préfet de Tinessako, Agaly Ag Timamoud Yattara, préfet-adjoint de Kidal, Amadou Belco Bâ, préfet de Kidal, Sékou Sissouma préfet -adjoint de Tessalit, Lieutenant Paul Marie Sidibé, sous-préfet de Tinzawatten et Capitaine Mohamed B. Touré sous-préfet de Boureissa.
Les corps sans vie de ces malheureux cadres de l’administration ont été récupérés, dimanche 18 mai, par la MINUSMA, puis remis à des autorités locales. Avant leur inhumation qui a eu lieu, le même jour, en raison de leur état de décomposition.
Le ministre de l’intérieur et de la sécurité le Général Sada Samaké, a dépêché, le lundi 19 mai, son Secrétaire général pour informer les proches des victimes du destin tragique qui s’est abattu sur elles dans l’exercice de leur mission.
Une somme d’un million de FCFA a été remise à chaque famille pour préparer des funérailles dignes de ce nom.
Le mode opératoire utilisé par le MNLA et ses alliés
De nombreuses sources s’accordent pour dire que les six administrateurs ont été torturés par leurs bourreaux avant d’être froidement exécutés. Comme en témoignent les nombreuses cicatrices constatées sur leurs corps. Certains semblent avoir été égorgés ou éventrés et d’autres fusillés au mépris des dispositions de la convention de Genève relative au droit international humanitaire. Un mode opératoire qui rappelle le massacre de plus d’une centaine de militaires maliens à Aguelhok.
En effet, le mardi 24 janvier 2012, un assaut lancé par les combattants du MUJAO, d’Ansar Eddine, d’AQMI, et du MNLA, a fait tomber le camp militaire d’Aguelhok. Des soldats de l’armée malienne désarmés ont été poursuivis, arrêtés, les mains liées au dos et froidement exécutés de balles dans la nuque. D’autres ont été éventrés au couteau.
Les corps sans vie de ces malheureux cadres de l’administration ont été récupérés, dimanche 18 mai, par la MINUSMA, puis remis à des autorités locales. Avant leur inhumation qui a eu lieu, le même jour, en raison de leur état de décomposition.
Le ministre de l’intérieur et de la sécurité le Général Sada Samaké, a dépêché, le lundi 19 mai, son Secrétaire général pour informer les proches des victimes du destin tragique qui s’est abattu sur elles dans l’exercice de leur mission.
Une somme d’un million de FCFA a été remise à chaque famille pour préparer des funérailles dignes de ce nom.
Le mode opératoire utilisé par le MNLA et ses alliés
De nombreuses sources s’accordent pour dire que les six administrateurs ont été torturés par leurs bourreaux avant d’être froidement exécutés. Comme en témoignent les nombreuses cicatrices constatées sur leurs corps. Certains semblent avoir été égorgés ou éventrés et d’autres fusillés au mépris des dispositions de la convention de Genève relative au droit international humanitaire. Un mode opératoire qui rappelle le massacre de plus d’une centaine de militaires maliens à Aguelhok.
En effet, le mardi 24 janvier 2012, un assaut lancé par les combattants du MUJAO, d’Ansar Eddine, d’AQMI, et du MNLA, a fait tomber le camp militaire d’Aguelhok. Des soldats de l’armée malienne désarmés ont été poursuivis, arrêtés, les mains liées au dos et froidement exécutés de balles dans la nuque. D’autres ont été éventrés au couteau.
Une commission spéciale d’enquête avait même été mise en place par l’ancien président de la République Amadou Toumani Touré pour mener les investigations nécessaires à la manifestation de la vérité sur les cas d’atteinte à la vie, à l’intégrité physique des personnes et aux biens.
Deux ans après, la lumière n’est toujours pas faite sur ces exécutions en dépit des poursuites lancées tant au Mali qu’à l’extérieur contre les auteurs et complices de ces cruautés.
Il y a lieu toutefois de constater que ce sont les mêmes auteurs de ces crimes à savoir le MNLA, AQMI, MAA, ex-Ansar Eddine recyclés dans le HCUA, qui ont pris en otage les cadres de l’administration et ôté la vie de façon cruelle à six d’entre eux.
Abdoulaye DIARRA
Il y a lieu toutefois de constater que ce sont les mêmes auteurs de ces crimes à savoir le MNLA, AQMI, MAA, ex-Ansar Eddine recyclés dans le HCUA, qui ont pris en otage les cadres de l’administration et ôté la vie de façon cruelle à six d’entre eux.
Abdoulaye DIARRA
Source: L'indépendant
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