jeudi 31 mars 2011

Stanislas Jourdan, vous n'aurez que 1000 euros à consommer ! Rien de plus. Les formois du "salaire maximal', et les innovois bourgeois du "revenu universel" idem ! A BAS LA SPOLIATION !

J'avais déjà eu quelques échanges sur ce blog tenu par un auteur -Stanislas Jourdan - qui se revendique du VRAI libéralisme.

VENDREDI 19 NOVEMBRE 2010

SAMEDI 29 JANVIER 2011


Nos échanges s'étaient interrompus.
Je découvre aujourd'hui la présentation d'une alternative truquée.
Il s'agit toujours de la formoisie et de la bourgeoisie s'opposant sur le dos du peuple et des Innovants.
La première réclame un salaire maximal et la seconde un revenu minimal pour endormir les pauves.
La bourgeoisie du "revenu universel" (qui n'est qu'un RMI mondial) a rejoint l'idéologie de la classe innovoise. Au vacances de Paques de l'année 1975, nous étions un groupe de militant et sympathisant de la LCR qui étions hebergés à Caen chez une F. amie de S.G.
Ces vacances de copains était, en fait - c'était l'époque - un séminaire révolutionnaire.
Tout était motif à analyse critique. Des heures de débats sur le féminisme et sur un avenir où les humains, manipulant la biologie fabriqueraient des êtres androgynes comme nos descendants.
C'est pendant cette semaine là que l'hypothèse d'un revenu de base versé à tous aurait comme complément les DROITS d'AUTEUR.(C'est peut-être feu Jacques Truong qui formula le premier cette hypothèse)
Nous étions les idéologues de l'INNOVOISIE et nous ne le savions pas.
En avril 1975.

Je réponds à

Le match de 2012 : revenu maximal contre revenu universel ?


Mon commentaire n'est pas (encore) apparu.

Bonjour
A peine je lis le début de ce texte que je sursaute :
"il faudrait définir un ratio entre le SMIC et le salaire maximal, plafonnant ainsi le revenu maximal acceptable à 20 fois le SMIC, par exemple. "

.... que me viens, de façon irrépressible, un besoin.
Un besoin de connaissance, un besoin de savoir !
Eclairez ma lanterne !

Je vous le formule - mon besoin - par une question ;

A moi qui consomme moins de 400 euros par mois, vous seriez donc en mesure de me présenter quelqu'un ayant une valeur sociale égale à 50 fois la mienne.

Je serais curieux de voir leur tête !
Je serais bien curieux de connaître leur activité utile socialement.
Serait-ce le PDG de Tepco ? les ingénieurs qui ont conçu et construit les centrales ? les physiciens relativistes qui croient encore que le photon n'a pas de masse et que le déterminisme cesse dans  ce qu'ils appellent  "l'infiniment petit".
Ce sont ces gens qui ont une utilité sociale 50 fois la mienne ?
Ce sont les politiciens qui ont construit Paluel  et Penly ?
Les syndicalistes du PCF qui ont touché des pots-de-vins pour que les gros bras de la CGT nous cassent la gueule dans les manifs, ce sont EUX les gens à l'utilité sociale maximale ?
Ce sont les Anne Lauvergeon ?
Les Carlos Ghosn ?
C'est étrange ?!
Je les considère depuis DES ANNEES comme des CRIMINELS ECOLOGIQUES qui devront RETROACTIVEMENT répondre de leurs crimes.
Ce sont des gens que nous ENVERRONT faire les LIQUIDATEURS pour épargner la vie des  "intervenants extérieurs Roumains et Polonais dont le Canard Enchaine (30/3/2011 p. 3 J-F J) nous signale l'existence professionnelle dans le nucléaire français.

Vous seriez en mesure de présenter des individus qui, consommant plus que 600 euros par mois sont donc des gens qui sont les SPOLIATEURS de plusieurs milliards d'être humains, des spoliateurs qui VOLENT les DROITS d'AUTEURS ANCESTRAUX qui sont le FRUCTUS des innovations de nos ancêtres.

Car, tous les amusants propagandistes de leurs propres robinsonnades (un site anglophone de partisans de Mises en décrivait encore la semaine passée) oublient VOLONTAIREMENT un petit détail.
Sans les mots inventés par nos prédécesseurs de la strate des Innovants, sans les nombres, sans les DECOUVERTES faites par tous nos frères Innovants découvreurs, les insulaires n'ONT AUCUNE ECONOMIE POSSIBLE.
Ils ne sont que des singes !
Sans les INVENTIONS de nos frères de la STRATE des Innovants-INVENTEURS, comment les Robinson libertarien auront-ils l'idée de CONCEVOIR un MARTEAU ?
Et , sans les créations artistique de nos frères-ancêtres de la STRATE des Innovants (sous groupe des créateurs) point de mélodies mémorisées...

Tous les Villepin de la planète sont des RECELEURS qui distribuent ce qui ne leur appartient pas.

Ils espèrent s'en sortir en DONNANT 850 euros par mois aux plus pauvres quand ce sont 600 euros par mois qui sont le MONTANT DES DROITS D'AUTEUR ANCESTRAUX.

Un montant UNIQUE.

Et, quand nous aurons ABOLI LE CAPITALISME, LE MARCHE DU TRAVAIL et le MARCHE DE L'iMMATERIEL, le VERITABLE MARCHE POURRA COMMENCER.
Mais avec
1° une consommation de 1000 euros par mois, inconditionnelle
2° un investissement démocratique de 300 euros par mois (inconditionnel)
Mais tout cela n'est possible qu'en ABOLISSANT LES élections des capitalistes et en revenant à la REVOCABILITE de nos COMMMUNEUX.

Cessez donc d'écouter les balivernes de Villepin, groupez vous par 25 et désignez votre délégué de base (révocable)
Le temps des CONSTITUTION, de la SPOLIATION, du NUCLEAIRE et des MACHINE CARBONE EST ACHEVE.
Le peuple va reprendre le CONTRÔLE DE l'INVESTISSEMENT.

Sans les bourgeois, ni les formois, ni les innovois.


NB : Je lirai tout à l'heure la suite du texte !


Un de mes textes reprenait la photo de la militant ironique et ANTI-LIBERALE

=La photo accompagnairt l'article et provient de Flickr
"Photos of peaceful demonstrators at today's demonstration against the WTO's 7th Ministerial Conference" Geneva "30 November - 2 December 2009" 
Par RonnieHall 
Cette photo a été prise le 28 novembre 2009 avec un Nikon D70.

Il semble - une supposition - que la demoiselle SERAIT une militante ANTI-LIBERALE qui aurait un panneau IRONIQUE.... 
Le jour où elle se reconnaitra, elle est priée de DONNER SON OPINION....

mercredi 30 mars 2011

André Franc-Shi nous prend pour des crétins ! Il fait citation 8 jours plus tard en oubliant .... d'où proviennent les concepts !

CE TEXTE FAIT SUITE à

samedi 12 février 2011

Révolte ou révolution. Un débat avec André Franc-Shi. De la même façon que Février 17 fut une authentique révolution anti-féodale, après la révolution anti-esclavoise (en Tunisie comme en Egypte) , ce sont 3 autres révolutions qui se préparent.


lundi 28 mars 2011

LES PRINCIPES DE BASE DU LIBERAL EGALITARISME.(1) Un brouillon et un débat sur le texte de André Franc-Shi : Esquisse d’un programme libéral-égalitariste, comment surpasser les paradigmes modernes ?



Quand je lis
A. Franc-Shi a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "LES PRINCIPES DE BASE DU LIBERAL EGALITARISME.(1) ..." :

Yanick, ce n'est pas par mauvaise foi que je ne fait que rarement débat. Je n'ai que très peu de temps devant l'ordinateur. Comme tout le monde, le travail accapare beaucoup de mon temps et mes 4 enfants, ainsi que ma femme resteront toujours ma priorité.

Je pensais avoir absorbé suffisamment de théorie pour être en mesure de défendre convenablement le projet libéral-égalitariste, d'où ma concentration à promouvoir son idéologie et sa pratique. Toutefois, vos récents apports et votre critique virulente m'ont fait réalisé que ce n'était pas le cas. J'espère que nous profiterons de la tribune que nous avons par nos blogs respectifs pour clarifier certains aspects et continuer à rallier les esprits critiques.

Je m'interroge sur la quantité de crédulité que peuvent avoir les gens à s'imaginer pouvoir nous duper encore longtemps.
Ni moi ni Julie Amadis n'avons un temps extensible pour reprendre, point par point, jour après jour les détails de votre comportement.
Il me suffit de commencer par le début.
Vous écrivez un texte le 17 décembre.
 Pourquoi combattre le capitalisme : Ce que les libertariens et la droite refusent d'admettre.
Un texte dont le contenu est à 1000 kilomètres de NOS analyses néo-marxiste et POST-MARXISTE.
La monopolisation n'est pas une mauvaise chose en soit, c'est la façon anarchique dont elle est gérée qui est mauvaise. Par exemple, WallMart est le meilleur système de distribution des produits : vous pouvez acheter tout ce que vous voulez à la même place, à des prix plus bas qu'ailleurs puisqu'ils achètent en gros de leurs fournisseurs. N'est-ce pas là le paradis du consommateur? Même le producteur y est gagnant puisqu'il peut vendre la totalité de sa marchandise à un seul énorme détaillant et donc beaucoup moins de gestion et de risque économique. Pourtant, les répercussions sur la diversité économique sont désastreuses puisque ce merveilleux mode de distribution de marchandise est centralisé et joui d'un quasi-monopole qui s'accentuera à mesure que le système capitaliste se développera.
Un texte dont le PROJET n'a RIEN A VOIR AVEC LE PROJET LIBERAL-EGALITARISTE
Le 21 décembre, je publie un commentaire-réponse à ce texte sur le blog Révolisation Actu. Avec une copie sur Union Révolte.

Un projet libéral-égalitariste en réponse à Pourquoi combattre le capitalisme : Ce que les libertariens et la droite refusent d'admettre.

Vous ne répondez pas à notre commentaire sur votre blog. Et je viens de vérifier que vous ne posez aucun commentaire sur notre blog.
AUCUN COMMENTAIRE DONC.
Mais vous allez prétendre ne PAS AVOIR LE TEMPS !Mais, tout à coup, le 29 décembre, 8 jours plus tard, vous vous réveillez le matin avec des IDEES NEUVES !
le 29 décembre 2010, vous avez COMPLEMENT OUBLIE QUI VIENT DE VOUS EXPLIQUER CES CONCEPTS FAISANT LE DISTINGO ENTRE MARCHE DES HUMAINS ET MARCHE DES OBJETS.
ET ..... SANS AUCUNE GENE, SANS AUCUN SCRUPULE.... VOUS VOUS ACCAPAREZ LE BIEN (immatériel) D'AUTRUI.
André Franc-Shi MANQUE DE TEMPS...... pour dire d'où provienne ses ..... contrefaçons !


Et vous écrivez

mercredi 29 décembre 2010


Libéralisme économique : Opposer libéralisme matériel et libéralisme humain.

Naturellement, selon le procédé que - à quelques TRES rares exceptions - vous allez utilisé pendant ces TROIS MOIS, vous ne FAITES JAMAIS CITATION d'aucun texte.
Alors même que vous avez COMPRIS CE QUE J'EXPLIQUAIS 8 JOURS PLUS TÔT !

Je n'ai pas le temps de confronter les paragraphes l'un après l'autre


 VOICI LES DEUX TEXTES :
L'ORIGINAL ET SON
CLONE-CONTREFACON de André Franc-Shi

mardi 21 décembre 2010


Un projet libéral-égalitariste en réponse à Pourquoi combattre le capitalisme : Ce que les libertariens et la droite refusent d'admettre.

Par Yanick Toutain
20/12/2010 18:00
Bonjour
Vous avez eu la courtoisie de déposer sur notre blog Révolisation Actu un message concernant la liberté d'expression. Cela m'a amené à venir ici lire vos écrits.
PRÉAMBULE
Plusieurs articles m'ont paru dignes d'intérêts. Un regard neuf sur des problèmes anciens.
Mais, au milieu de réflexions fraiches, je trouve certains poncifs de l'extrême-gauche archaïque. J'appelle donc à un débat.
D'autant plus que vos argumentaires sont partiellement construits à l'intention des libertariens et de ceux qu'ils influencent. Or ces groupes figurent parmi ceux que je tente de contraindre au débat : le libertarianisme est-il une solution réelle ? Est-il un brouillard de fumée pour cacher des militants du capitalisme ? Ou est-il une étiquette confuse regroupant des innovants sincères et des malades consuméristes idéologues du capitalisme le plus sordide.

J'ignore à qui je parle. J'ignore donc combien d'auteurs ont signé le texte auquel je vais répondre.


Un projet libéral-égalitariste en réponse à Pourquoi combattre le capitalisme : Ce que les libertariens et la droite refusent d'admettre.

LIBERALISME EGALITARISTE VS LIBERTARIENS
Pour que les choses soient claires dès le départ, je me situe à votre gauche et à la gauche des libertariens.
Mais je me caractérise comme « libéral égalitariste ».
Je prétends que le libéralisme – le vrai – est bien plus efficace que le système capitaliste actuel et qu'il est aussi bien plus efficace que l'ersatz de socialisme stalinien – appelé poliment « planification démocratique » qui se trouve en palimpseste des projets de tous les trotskystes, anarchistes et autres anticapitalistes proclamés.

Tout cela a un arrière-fond sociologique que seule une théorie néo-marxiste peut clarifier. La conceptualisation de nouvelles classes sociales que ne vit pas Marx expliquent pourquoi cet acharnement à proposer de vieilles recettes. Je développerai ailleurs cet aspect en tentant de réduire au maximum l'analyse de POURQUOI tel ou tel projet en me limitant à leur faisabilité.
LIBERALISME POUR LES OBJETS, PAS POUR LES HUMAINS
Je défends le libéralisme. Mais dans le cadre d'un libéralisme égalitariste.
En effet, le libéralisme, pour fonctionner correctement implique d'être limité à la production et à la circulation des OBJETS.

Il faut donc commencer par exclure les humains du marché.
Cela implique de prendre une mesure qui choque la totalité de l'extrême-gauche prétendument anticapitaliste. En effet, retirer les humains du marché aboutit à déchirer diplômes, rendre le travail libre et verser un SALAIRE UNIQUE.
Or, depuis 1993, je constate que ce projet de salaire unique (dont la réclamation de 1000 euros pour tous les Terriens de plus de 14 ans est l'actualisation) suscite l'hostilité et même la haine de certains « anticapitalistes ».

L'IMMATERIEL DOIT ETRE GRATUIT
Deuxièmement, il faut rendre GRATUIT l'immatériel.
Cela fait 3 millions d'années que les humains s'approprient le travail des membres de la strate des innovants. Toutes les découvertes, inventions, créations artistiques faites depuis le début du paléolithique sont ACCAPAREES par chacun. Nous exigeons, en conséquence, que tous les HERITIERS des innovants, nous exigeons que la PRODUCTIVITE ANCESTRALE (mots, chiffres, connaissances, outils de pêche, d'agriculture etc.... notes de musique découvertes par Puthagoras, lois scientifiques des matérialistes etc....) SOIT REMUNEREE.
Toutes les entreprises devront RENDRE la totalité de leur CHIFFRE D'AFFAIRE à la société. Il ne leur appartient pas de conserver LES FRUITS DES INNOVATIONS ANCESTRALES, DES DECOUVERTES ANCESTRALES, DES INVENTIONS ANCETRALES, DES CREATIONS ANCETRALES.

Le travail d'un ignorant, analphabète, dépourvu de santé, - ayant la santé chétive d'un pré-paléolithicien - ne vaut RIEN !
Si le travail du lecteur de ce texte VAUT quelque chose c'est parce qu'il NE PAYE PAS LES DROITS D'AUTEUR ANCESTRAUX.
LES DROITS D'AUTEURS ANCESTRAUX : 1000 EUROS PAR MOIS
Troisièmement, en conséquence de quoi, le salaire unique mondial – 1000 EUROS PAR MOIS – sera, dans la réalité conceptuelle économique – le versement des DROITS D'AUTEUR ANCESTRAUX.
Ces 1000 euros paieront, à chaque humain, le versement des fruits des découvertes de ces ancêtres.

INVESTISSEMENT DEMOCRATIQUE : 300 EUROS PAR MOIS
Quatrièmement, tout cela sera complété par un système d'investissement démocratique. A partir de 7 ans, chaque enfant lecteur recevra 1 euro par jour. Il les investira dans les projets de son choix. Librement.
La formation économique des enfants sera réelle, dans la réalité.
Pour éviter les « abus de biens sociaux » ces projets seront distants (par exemple) de 3 kilomètres. Ils pourront regarder sur la toile les projets des ECOLES VOISINES et investir dans leurs projets les plus utiles.
Quant à lui-même, il proposera, pour son école, ses propres projets qui seront financés par les enfants d'autres écoles.
Arrivés à l'age adulte, à 14 ans, chaque citoyen-ne touchera 300 euros pour financer les projets qu'il choisira. Aucune limitation.
Ce système aboutit au fait que
LES POLITICIENS N'ONT PLUS LA CLE DU COFFRE.
En effet, l'investissement démocratique PREND LA PLACE des banques, des Bourses, du capitalisme quelles que soient ses formes, prend la place de la subvention politicienne, de la « planification démocratique », de la « planification socialiste ». Abolition du crédit. Abolition de la propriété immobilière.
Tous les citoyens deviennent des LOCATAIRES. Et les logements soumis (enchères annuelles) à la LOI DU MARCHE.
Voilà, en grandes lignes, quel sera le fonctionnement d'une société libéral-égalitariste. L'analyse de votre texte donnera quelques détails supplémentaires.

« Certains individus, dont les libertariens refusent de constater que le capitalisme entraîne le capital et donc le pouvoir à se monopoliser sans cesse d’avantage entre les mains de moins en moins d'individus. Pourtant, il existe une panoplie d'arguments et de processus logiques qui prouvent qu'à moyen ou à long terme, en régime capitaliste, le capital social sera tôt ou tard monopolisé par une clique très restreinte d'individu. Ce futur, semblable au capitalisme d’État que l’on a appelé ‘communisme’ au 20e siècle est et sera antagoniste à toute forme de démocratie. »
Cette remarque est contredite par l'exemple de Bill Gates ou des créateurs de Google – Larry Page et Sergey Brin..
Tout informaticien sait qu'il lui suffit de quelques morceaux de papiers pour définir le thème d'un jeu vidéo à succès. Et qu'une machine – même désuète lui permettra de commencer à construire son projet.
Expliquer à un jeune programmeur que son destin sera celui des créateurs des jeux vidéos les plus connus ou des créateurs de Microsoft ou de Google ne peut que le faire rire !
D'autant plus que NOUS voulons une société où pourront exister des Larry Page et des Sergey Brin.

NOUS VOULONS DES LARRY PAGE ET DES SERGEY BRIN EGALITARISTES
« Par exemple, on le voit dans la gestion gouvernementale et la gestion d'entreprise, une gestion centralisée assure des frais de gestion moindres. C'est justement l'argument qui fut utilisé pour vendre l'idée de la fusion des municipalités au Québec. Pourtant, la démocratie comme expression du simple citoyen en a souffert car les décisions qui concernent l’individu se prennent de plus en plus bureaucratiquement, loin de l’individu lui-même. Cette logique de rentabilité par la centralisation n’existe pas seulement au niveau étatique, mais également au niveau des entreprises. Le simple souci d'efficacité encourage une centralisation des décisions et du pouvoir des entreprises et donc du pouvoir économique. Le capitalisme, en se développant, centralise les décisions économiques, peu importe les gouvernements au pouvoir. »
Dans un système libéral égalitariste, ce sont les citoyens qui investissent. L'idée de « la fusion des municipalités au Québec » est devenue absurde. Nous voulons faire disparaître LES BUREAUCRATIES pas les faire fusionner ! Les votes (pour les règlements) seront effectués par les délégués révocables du niveau correspondant (base, conseil, député, national, international, mondial) mais les choix d'investissement appartiendront INDIVIDUELLEMENT à chaque citoyen.
« Les avancées technologiques viennent également accentuer le clivage : il est évident qu'une entreprise doit investir dans l'innovation technologique et l'amélioration de ses moyens de production pour faire face à la compétition. Pourtant, ce ne sont que les entreprises qui auront les moyens d'investir qui pourront le faire. Si vous ajoutez à cela le jeu de fusion entre entreprises qui est nécessaire au progrès capitaliste, cela engendrera encore une centralisation des décisions économiques des entreprises. Ce n'est pas une mauvaise chose en soit, surtout si on ne prend en considération que l'efficacité sur l'investissement, mais il y a quand même centralisation du pouvoir économique et donc perte de pouvoir du simple citoyen sur son sort économique. »
L'INVESTISSEMENT DEMOCRATIQUE POUR LES START-UP
La réponse est déjà donnée : Bill Gates aurait fait appel à l'investissement démocratique. En 1986, il n'aurait même pas eu besoin de subir les contraintes de l'investissement en Bourse. Quant aux demi-publiphobes de Google, ils auraient conservé la TOTALITE de leur pouvoir. Depuis les investissement fixes jusqu'au capital circulant (courant électrique,eau, loyers etc ….), nous serions des MILLIARDS à verser une partie de notre INVESTISSEMENT DEMOCRATIQUE pour les projets des deux innovants de Google.
On remarque, au passage, qu'ils auraient pu décider – dès le départ – de ne pas partager leur pouvoir avec quelque co-investisseur que ce soit. Et donc de conserver le contrôle absolu de l'entreprise.
Cela nous aurait épargné la dégénérescence publicitaire progressive de YouTube dans laquelle on sent la pression des vautours actionnaires et de leur pathologie consumériste.
Naturellement, les projets de Google et de Microsoft auraient été réalisé par des travailleurs libres. Qui gagneraient 1000 euros par mois et pas un seul centime de plus.

« Mis à part le jeu de la concurrence qui entraîne inévitablement une concentration de la richesse et du pouvoir, il faut également prendre en compte la situation des investisseurs. Les investisseurs n'ont pas toujours existé. Autrefois, on produisait une marchandise, puis on l'échangeait contre de l'argent (la formule de cet échange est donc M-A, marchandise contre argent). Suite au développement de la concentration de la richesse, cette formule prédominante a été graduellement transformée par A-M-A+, c'est à dire un investisseur étranger qui investi pour que des travailleurs produisent une marchandise et ensuite l'échanger contre une somme d'argent supérieure au montant investi à l'origine cumulé aux dépenses engendrées par la production. Par le développement des bourses et des stratégies de placement, la formule moderne prédominante est maintenant devenue A-A+. On place de l'argent dans un compte de placement et on en retire un bénéfice par l'intérêt. Évidemment, il faut un Capital d'investissement pour participer à ce processus. Il est donc réservé à une certaine élite financière et par le jeu de la compétition, tout placement négatif sera bénéfique à un investissement concurrentiel et le processus viendra accentuer la concentration du capital social entre les possédants de capitaux eux-mêmes. »
DEPUIS 10000 ANS,
L'INVESTISSEUR EST UN VOLEUR
L'investisseur est un voleur depuis le néolithique. Seules quelques périodes ont échappé à cela – le Haut Moyen-Âge en France (entre 500 et l'an 1000) quand l'Empire Romain était effondré et que les vautours Mérovingiens et Carolingiens étaient encore trop faibles)
Alors que le choix d'investir doit appartenir à la totalité des êtres humains, ce sont les barbares esclavagistes qui se sont accaparé le capital humain répétant (esclaves – les « field slaves » dénoncés par Spike Lee dans son « Marlcom X ») le capital objet (capital outil, capital machine, capital terrain) et le capital humain innovant (« house slaves » comme les esclaves philosophes ou les esclaves enseignants innovants).
LE DROIT A INVESTIR (sans profits)
EST UN DROIT DE BASE DE TOUS LES HUMAINS
Accaparant le capital, ces barbares esclavagistes ont donc volé le libre DROIT A INVESTIR.
Ce fut le début de la lutte des classes.
Nous, les ennemis de la lutte des classes, nous combattrons pour rendre (300 euros par mois) le droit de chaque être humain à DECIDER de quels investissements il sera nécessaire de faire.
L'investissement démocratique devrait être défendu par les libertariens sincères. Tous ceux qui le refusent ne sont que des ultra-libéraux fascistes déguisés, des partisans de Pinochet ou des formois hypocrites victimes de leurs pathologies consuméristes et partisans secrets du système stalinien de hiérarchie des salaires..

« Par contre, l'un des processus le plus éloquent de concentration du capital est l'épargne sur l'achat massif d’une quantité de produits. Par exemple, quelqu'un veut acheter des pommes. Le prix par pomme sera différent s'il achète une pomme à l'unité, un sac de 10 pommes ou une poche de 100lb de pommes. Même s'il s'agit des même pommes, il sera avantageux d'acheter le plus de pommes possibles. Ce processus est inhérent au système de marché capitaliste, dans tous les domaines de l'économie et tend évidemment à favoriser ceux qui ont les moyens d'acheter en gros, comme WallMart. »
Ce paragraphe reflète l'évolution casino actuelle du capitalisme. Mais les magouilles sur les marchés des matières premières et de l'agriculture ne sont – comme les ventes à découvert et les paris vautours – premièrement que les résultats de la défaite politique de la classe formoise des années 80 (Thatcher, Reagan, dont Bush et Sarkozy sont la continuation etc....). Et, secondairement, de l'exploitation sauvage des Mingong chinois et des esclaves-Bolloré salariés d'Afrique, tous payés 50 euros par mois.
DEFAITE DE LA CLASSE FORMOISE ET
DEFAITE DES VICTIMES DE LA SPOLIATION
C'est cette exploitation sauvage concomitante au frein mis à l'appétit des mangeurs de miettes coloniales de cette « aristocratie ouvrière » devenue classe formoise qui a permis l'accumulation d'une gigantesque tire-lire pour les spéculateurs. Sans les mingongs payés 20 fois moins que le minimum vital, les Bons du Trésor US resteraient des chiffons de papier agités par des débiles malades consuméristes. Mais ceux-ci seraient – ainsi que les États-Unis et le Canada – en FAILLITE IMMEDIATE.
Cependant, il faut remarquer, concernant l'exemple de Wall Mart, qu'une société libéral égalitariste, elle aussi, tenterait de réduire les COUTS de travail pour le stockage et la distribution des biens de consommation. Il ne faudrait pas confondre cela avec le fait qu'une entreprise de distribution (si tel était le cas pour Wall Mart) spéculerait sur les biens de consommation qu'elle vendrait.
« La monopolisation n'est pas une mauvaise chose en soit, c'est la façon anarchique dont elle est gérée qui est mauvaise. Par exemple, WallMart est le meilleur système de distribution des produits : vous pouvez acheter tout ce que vous voulez à la même place, à des prix plus bas qu'ailleurs puisqu'ils achètent en gros de leurs fournisseurs. N'est-ce pas là le paradis du consommateur? Même le producteur y est gagnant puisqu'il peut vendre la totalité de sa marchandise à un seul énorme détaillant et donc beaucoup moins de gestion et de risque économique. Pourtant, les répercussions sur la diversité économique sont désastreuses puisque ce merveilleux mode de distribution de marchandise est centralisé et joui d'un quasi-monopole qui s'accentuera à mesure que le système capitaliste se développera. »
Dans une société libéral égalitariste ce sera l'évolution du marché et les choix des citoyens consommateurs-investisseurs. Ils pèseront, en tant que consommateurs, sur les chiffres d'affaire des entreprises de distribution. Et, en tant qu'investisseurs, ils enverront de quoi financer les plus grosses ou les plus petites des entreprises de distribution. Ils prendront leurs décisions en fonction des résultats économiques, écologiques, humains des entreprises en question.
« Dans le cas où il y aurait monopole dans un secteur économique, le monopole en question a tous les pouvoirs de fixation des prix. C'est à dire que même s'il y a une forte demande pour un produit, le monopole peut décider de limiter la production (fermer des usines) pour créer une rareté, faire gonfler les prix et ainsi augmenter sa marge de profit. Moins de dépenses, plus de profits, n'est-ce pas là le rêve de tout investisseur? »
Il pourrait advenir, en France, que la quasi-totalité des citoyens investisseurs puissent boycotter ces nouvelles entreprises de production d'électricité nucléaire. Et d'envoyer leur investissement citoyen à l'entrepris (ex- nationalisée) EDF-GDF reconstituée.
Il pourrait advenir que des clubs d'investisseurs réclament (et obtiennent) le licenciement des employés staliniens ayant participé à la gigantesque opération de corruption du PCF (Parti Communiste Français) par le lobby pro-nucléaire et par l'entremise du syndicat CGT-EDF.

ENTREPRISES GEANTES ET MICRO-ENTREPRISES
Il pourrait advenir que le financement citoyen soit aussi conditionné par l'abandon URGENT de la totalité de la filière nucléaire.
Et ces conditions – sous la menace des citoyens d'interrompre leur financement – seraient l'objet de débats économico-politiques similaires à ceux que pronostiquait Léon Bronstein Trotsky dans son « Littérature et Révolution ».

On pourrait voir apparaître, à côté, un foisonnement d'entreprises de production d'outils et de recherche concernant l'énergie solaire. Et un financement massif des citoyens pour ces projets.
« Les libertariens prétendent que la simple application de la loi du marché (l’offre et la demande), si elle n’était pas entravée par les interventions des États, tendrait à briser les monopoles capitalistes, industriels et financiers. Pourtant, au 19e siècle, l’État était pratiquement absent de toutes les sphères économiques et pourtant, des monopoles nationaux sont nés. Selon nous, c’est justement ces monopoles nationaux qui ont utilisé les États à la fin du 18e siècle pour créer des mesures protectionnistes et douanières pour protéger les bourgeoisies nationales. Ce sont ces différentes barrières économiques qui força les différents blocs économiques de l’époque à entrer en guerre et de former ainsi la première guerre mondiale. Le fascisme est justement la fusion entre l’intérêt de la bourgeoisie nationale et l’intérêt de l’État. On constate aujourd’hui que le fascisme est mondialisé : tous les États du monde, même les États-Unis qui ont toujours prôné la non intervention de l’État dans l’économie est prêt à tout pour protéger sa bourgeoisie nationale. »
Ces « libertariens » ne sont que des apologistes hypocrites du capitalisme. On attendrait qu'ils s'expriment sur l'ABOLITION DE LA PUBLICITE. En effet, pour que le consommateur puisse exercer son LIBRE CHOIX, il est indispensable de faire cesser cette AGRESSION PSYCHOLOGIQUE subtile qu'est la publicité. Le « No Logo » de Naomi Klein nous présente, au premier chapitre une malheureuse enfant victime de ces AGRESSEURS.
Ces libertariens, s'ils étaient de véritables partisans du libéralisme défendraient le libre droit de la main d'œuvre de se déplacer à travers toutes les frontières. Ces gens prétendent être partisans de la concurrence : hé bien qu'ils soient cohérents avec eux-mêmes et qu'ils fassent tomber TOUTES les entraves concernant la concurrence entre les mains d'œuvre.
Ces gens prétendent laisser le marché des salariés s'exercer ? Alors pourquoi tolérer un Paul Biya, tolérer un Bongo fils, tolérer un - assassin de Sankara – Compaoré, un exécuteur Déby ?
Pourquoi ?
Tout simplement pour que des Bolloré et des Bouygues puissent disposer d'esclaves salariés à 50 euros par mois ! 20 esclaves pour le prix d'un SMIC !
Voilà ce que tolèrent les faux libéraux.
On devrait les voir aux premières lignes de démonstrations « Troupes françaises hors d'Afrique ! », « Troupes belges hors d'Afrique ! », « Troupes canadiennes hors d'Afrique ! ».
Comme actuellement en Côte d'Ivoire : « ONUCI DEHORS ! »

TROUPES FRANCAISES HORS D'AFRIQUE !
Mais ces gens-là préfèrent un fascisme mondial – un fascisme qui commence par toucher la Terre du Sud – plutôt que le libéralisme.
Comment tolérer un stalino-capitaliste tel que Hu Jintao sans soutenir les syndicats et les organisations défendant les pauvres chinois ?
Comment tolérer que les lois sociales d'un pays développer CESSENT de s'appliquer à peine la frontière franchie ? Un violeur violant à l'étranger est condamné en France selon les lois françaises, un esclavagistes agressant des familles pour les faire crever de faim (3 millions de bébés par an en Afrique victimes de génocide sanitaire [INED 2005]) sera tellement toléré par ces faux libéraux qu'il sera autorisé à devenir le corrupteur numéro UN d'un Nicolas Sarkozy. Comment un libéral peut-il serrer la main d'un barbare qui organise un tel système ?

FORD, GENERAL MOTORS et ADOLF HITLER
Les actionnaires de la General Motors furent parmi les principales bénéficiaires du fascisme hitlérien. Un film français « 1000 XXX milliards de francs » le rappelait. Un Youtube nous le prouve, documenté par l'auteur d'un livre. Henry Ford fut un des premiers financiers de l'antisémite Adolf Hitler. Ce capitalisme est un ANTI-LIBERALISME BARBARE.
av

« Maintenant que les intérêts économiques de la bourgeoisie sont mondialisés, elle n’a plus besoins des États nationaux pour se défendre d’elle-même. Les États sont même devenus une entrave à sa domination complète. Ce ne sont pas les États qui ont engendrées les monopoles capitalistes mais bien le capitalisme lui-même. Les États ont toujours étés des outils pour que la classe dominante puisse asseoir son pouvoir. Autrefois la classe dominante était nationale, elle est aujourd’hui mondiale. On constate que les États nationaux sont de plus en plus vétustes et inutiles, en contre-partie, les instances internationales comme l’OTAN, le G20, le FMI, la Banque Mondiale et l’ONU prennent de plus en plus d’importance dans les décisions économiques. Dans ce cas-ci, ce n’est plus du fascisme car ce n’est pas nationaliste, mais c’est une forme de fascisme mondial. Dans tout ce processus, l’action de l’individu en tant que citoyen et le respect de son intégrité sont totalement ignorés. Même si le capitalisme a joué un rôle éminemment révolutionnaire dans l’Histoire de l’Humanité, il démontre maintenant ses limites : il n’arrive plus à distribuer convenablement les responsabilités, les tâches et les richesses. Il ne permet plus à l’Homme de s’épanouir et de s’émanciper en respect avec l’environnement.
Cette légende archéo-marxiste du rôle positif tombe d'elle même dans une grille conceptuelle post-marxiste : les capitalistes de la Ferme Générale françaises du 18° siècle était formé de racketteurs qui contraignaient le peuple à acheter du sel taxé. Les Camisards et les partisans de Mandrin étaient des résistants face à ce fascisme royaliste de capitalistes racketteurs protégés par l'Absolutisme féodal. En même temps que les Seigneurs étaient protégés, en même temps ces MEMBRES DE LA STRATE DES PARASITES voyaient leurs exactions avoir force de loi.
CE CAPITALISME-là était obscurantisme, fasciste, antilibéral.

LE « TRIANGLE MAUDIT » DES CAPITALISTES DE LA STRATE DES PARASITES
XXX mettre une partie de la chanson ici
De la même façon, les armateurs de Nantes, du Havre et de Bordeaux, les planteurs de la Guadeloupe, de Haïti les planteurs de la Virginie, de la Louisiane, n'étaient que les héritiers de l'assassin de Spartakos – celui que les racistes romains appelèrent Spartacus. Ces bandits investissaient dans un trafic atlantique, dans un TRIANGLE MAUDIT dont le but était de maximiser les profits.
Mais; à l'arrivée, ces profits, ces retours sur investissement étaient fonction de la quantité de sueur et de sang versés par de malheureux humains – hommes, femmes, enfants – victimes d'un trafic fasciste.
XXX a eu raison, sur la couverture de son libre – XXX – de mettre la photo d'Adolf Hitler visitant le tombeau de Napoléon : Qui se ressemble s'admire. Hitler admirait le génocidaire Bonaparte, celui qui – en 1802 – rétablit l'esclavage qui avait été aboli au printemps 1794 par Robespierre.
La petite-bourgeoisie éclairée avait vu son œuvre libératrice (largement mise en œuvre à la suite des révoltes de nos cousins esclaves antillais) être défaite par le grand héros de la grande bourgeoisie et de la moyenne bourgeoisie française que fut – et qu'est encore – l'assassin de Toussaint Louverture, Napoléon 1°.

Il n'y a pas DE BOURGEOISIE PROGRESSISTE : seule est progressiste la strate des innovants.
Que ces innovants soient salariés ou capitalistes.
Mais leurs statuts furent fréquemment les destructeurs de leurs potentialités premières. On vit beaucoup d'innovants se détruire eux-mêmes en tant que tel après être devenus les membres de classes sociales parasitiques.
C'est la cas des Bill Gates, des Larry Page, des Sergey Brin.
En leur versant 1000 euros par mois comme seul source de revenu, en limitant leur consommation à 1000 euros par mois, nous leur rendrons leur humanité perdue.
En limitant leur niveau d'achat de biens, nous leur rendrons ce que le système capitaliste leur a enlevé : leur humanité.
Si tant est que ce ne soit pas trop tard pour eux-trois.



Pour les générations futures, pour les créateurs d'entreprises, pour les créateurs de projet, la révolution de civilisation, la révolisation leur promet le moyens de leurs rêves, les moyens de leurs projets économiques.
L'investissement démocratique apportera 20 millions de dollars au prochain Kevin Kostner qui voudra réaliser un nouveau Postman – sans même qu'il subisse le souci d'un bide financier- , il apportera des milliards à celui qui présentera un projet réellement utile socialement d'hélicoptère solaire ou d'engins défiant nos croyances actuelles en ce qu'est la gravitation.
Nous sommes pour l'entreprise.
300 euros par mois d'investissement démocratique la rendront possible à une échelle inconnue actuellement.

Mais nous guérirons aussi les malades consuméristes.
La posologie s'appellera 1000 euros par mois à consommer. Pour toute la vie. A partir de 14 ans. Sans qu'aucune entrave ou trucage ne permette aux tricheurs de voler leurs prochains.

Consommer plus que la part moyenne humaine disponible est le strict équivalent du comportement d'un violeur qui se sert quand on lui dit « NON ! ».
Nous disons « NON ! » à tous les malades consuméristes qui réclament de consommer plus que le PIB moyen mondial !

STOP !


LA CONTREFACON DE ANDRE FRANC-SHI :

mercredi 29 décembre 2010


Libéralisme économique : Opposer libéralisme matériel et libéralisme humain.

Les pseudo-révolutionnaires que sont les libertariens s'accrochent à l'utopie d'offrir plus de liberté individuelle, toutefois, sans jamais remettre en question la gestion capitaliste de l'économie. Plusieurs penseurs libertariens du 20e siècle se sont même prononcés en défaveur du socialisme car ils prétendaient que le socialisme était incapable de fixer un prix aux marchandises puisqu'il remettait en question la loi du marché, c'est à dire la loi de l’offre et de la demande. Probablement par paresse intellectuelle, ils n'ont pas poussé leur processus mental plus loin et se sont contentés de ces réponses. Mais qu'ont à dire les philosophes et économistes socialistes et marxistes à ce sujet?

Les marxistes répondent que les libertariens n'ont jamais réussi à faire de distinction entre libéralisme matériel et libéralisme humain. Si le prix des marchandises produites doit inévitablement être fixé par son abondance ou par sa rareté, ce n'est pas le cas des humains. Les marxistes ne prônent pas l'abolition du marché, mais l'abolition du marché du travail, ce système de prostitution sociale qui force les gens à accepter n'importe quelle tâche abrutissante et des salaires toujours plus bas pour simplement se nourrir. La vérité c'est qu'il faut redéfinir notre conception du travail et du salaire.


Qu'est-ce qui est le plus bénéfique pour une société : emballer des sacs de plastiques dans une épicerie ou s'occuper de ses enfants, faire du bénévolat, faire de la course en plein-air, s'instruire en lisant un livre, aller à l’école ou simplement écrire sur internet pour débattre de sujets politiques? Sans vouloir offenser qui que ce soit, je doute que l'abrutissement de la tâche d'épicerie soit vraiment bénéfique à l'ensemble de la société, contrairement aux autres qui ne sont pourtant pas rémunérées. Plusieurs individus font des tâches extraordinaires, sans même toucher à un seul sou en salaire, alors que d'autres peuvent travailleur 60 heures par semaine à des tâches qui détruisent leur humanité, qui les forcent à abandonner leurs enfants, à dégrader leur santé physique et psychologique ou pire encore, l’environnement. Si en plus ces individus surmenés deviennent malades physiquement ou atteint d'un "burn-out" à cause du sur-travail, je doute que cela soit bénéfique pour l'ensemble d'entre-nous. Quelle solution s'offre à nous et comment surpasser le libéralisme humain? La réalité est qu’il n’y a qu’un moyen d’y parvenir.


En 2010, si on divisait le Produit Intérieur Brute (PIB) de toute l’économie mondiale par le nombre d’habitants, on atteindrait un salaire d’environ 1000$ par mois, par terrien. Cela inclus évidemment les hommes, les femmes et les enfants. Cette seule application pourrait à elle seule éliminer l’ensemble de la pauvreté sur toute la planète. Nuls besoins de vous mentionner qu’une telle initiative aurait comme conséquence d’accroître la demande mondiale des produits de base qui sont les assises de toute production de richesse. Cela aura comme conséquence d’accroître encore plus le PIB mondial et ainsi la possibilité d’augmenter d’avantage le salaire de la population planétaire. Les prix des marchandises étant fixés par l’offre et la demande, nous avons là un système qui s’auto-régularise, mais dont la base reste l’égalité des chances et la liberté de tous. Mais par-dessus tout, la logique et la raison humaine prennent la place de l’émotivité et la fébrilité de la quête du profit détaché de la réalité.
 

Innovoisie fasciste : La SACEM belge rackette les routiers qui roulent ! Les vautours n'ont plus de limites !

par Yanick Toutain

La bourgeoisie des diplômes n'a pas de limites. Ils vont vous fliquer dans tous les aspects de votre vie. Ils en viennent maintenant à fliquer les cabines des camions sur lesquels roulent les routiers.
HADOPI en France ne leur suffit pas ! Leur agence de vautours en Belgique va maintenant se pointer sur les autoroutes pour contrôler les auditeurs dans les cabines !!!!
Sur Numérama, le journaliste Guillaume Champeau (- publié le Lundi 28 Mars 2011 à 12h12 -) ironise :
 
"Et pourquoi pas demain les commerciaux qui utilisent leur véhicule pour se rendre chez leurs clients, ou les employés qui utilisent un baladeur MP3 sur leur chaîne de montage. Il faudra aussi penser à taxer les ouvriers qui sifflent sous la douche avant de partir de l'usine."
En 1996, il y a 15 ans, je dénonçais déjà l'abjection de cette classe exploiteuse.
"On a vu, récemment, les difficultés des staliniens à transmettre à leurs enfants les compétences "CD ROM" nécessaires à la gestion : en manipulant le système scolaire pour favoriser les leurs, ils n'ont abouti qu'à empêcher le progrès de l'ensemble : les détenteurs du savoir ont tenu le pouvoir 70 ans...
... Et ils ne le reprendront plus, car les innovateurs, inventeurs, artistes, chercheurs, les tenants des nouvelles technologies humaines, le nouveau mode de production, cognent déjà à la porte du pouvoir.
Que ce soit sous la forme des innovateurs exploiteurs égoïstes et de leur nouvel Etat répressif thermidorien, ou que ce soit sous la forme des innovateurs partageurs, artistes- chercheurs - inventeurs égalitaires, qui savent déjà que leur avenir est intrinsèquement à celui de l'espèce humaine tout entière, et qu'il est dans le progrès de celle-ci vers 6 milliards d'innovateurs solidaires, solitaires et collectifs.
Quel imbécile confierait aux enfants d'Einstein des milliards d'investissement ?
Quel imbécile justifierait que le fils de Rimbaud touche plus que le garagiste ou l'enseignant du bout de la rue ?
Quel imbécile justifiera que la fortune de Picasso sera dans les mains de Paloma, que celle de Madonna sera d'un bon usage dans les mains de sa Lourdes ?
Qui prétendra que les enfants de Bill Gates seront meilleurs gestionnaires que ceux de Sting ? Que ceux-ci seront meilleurs que les enfants de Moreno ?
La fille de Goscinny, que fait-elle de la fortune de son père ? Est-ce drôle ?
Cette classe des héritiers des innovateurs est le glas du règne de la possession fructueuse d'un capital - qu'il soit machine ou capital humain...
Ou est la fin du règne de l'espèce humaine si nous les laissons hériter de la fortune de leurs parents : ils chercheront à se protéger, à protéger leur fortune, à protéger leur incompétence.
Le jour où ils seront les principaux actionnaires de la planète, et même, en cas de révolution anti-bourgeoise, le jour où ils seront les humains les plus riches de planète, le jour où ils concentreront dans leurs mains le dixième, le tiers, la moitié de la richesse mondiale, ils n'auront plus d'autres choix que de se protéger derrière une barrière nucléaire apocalyptique.

La SABAM n'est qu'un nid de racketteurs dignes de la Ferme Générale du 18° siècle !
Ils ont réussi à faire plier les capitalistes du transport routier !

La Sabam, l'homologue de la Sacem en Belgique, a réussi à signer avec l'association des transporteurs belge un protocole d'accord rétroactif à 2009, qui oblige les professionnels du secteur à payer des droits pour l'écoute de la radio par les chauffeurs routiers.

"Les routiers sont sympas". La Sabam, la société belge des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique, pourra reprendre à son compte ce fameux slogan. Comme le remarque PCInpact, la Sacem belge et la Société de l'Industrie Musicale (SIMIM) ont annoncé un accord (.pdf) avec Transport en Logistiek Vlaanderen, l'association professionnelle du secteur du transport en Belgique, pour encadrer "l’utilisation de musique au sein de ce secteur".
Concrètement, rapporte RTLinfo.be, "la plupart des sociétés de transport doivent payer des droits d'auteur à la Sabam", parce que "leurs chauffeurs écoutent de la musique ou tout bonnement la radio dans leur bahut". La société belge de perception et de répartition des droits d'auteur estime en effet que la cabine du chauffeur routier est un lieu de travail, et que les sommes prélevées au titre de la sonorisation des lieux de travail doit s'appliquer aux camions, même si un seul chauffeur peut y écouter la musique.
C'est ainsi une double perception pour la Sabam et la SIMIM, qui font déjà payer les radios pour la diffusion de la musique, et qui font payer en plus les professionnels qui écoutent cette musique dans le cadre de leur travail. La mesure sera appliquée pour toutes les sociétés de transport de plus de neuf salariés, en prenant en compte "le nombre d'équivalents temps plein" pour le calcul de la redevance exigée.
La mesure est cependant grotesque. S'il est simple de constater dans un commerce ou un atelier que c'est bien de la musique qui est diffusée pour tous les salariés et clients, la mesure est beaucoup plus difficile à justifier dans une écoute personnelle. Un chauffeur peut très bien préférer écouter les informations ou des talks-shows, ou un autre rouler en silence. Surtout, la taxation sur ce principe n'a plus de limite. "Une telle cotisation pourrait aussi bientôt frapper les taxis", prévient RTLinfo. Et pourquoi pas demain les commerciaux qui utilisent leur véhicule pour se rendre chez leurs clients, ou les employés qui utilisent un baladeur MP3 sur leur chaîne de montage. Il faudra aussi penser à taxer les ouvriers qui sifflent sous la douche avant de partir de l'usine.

Les racketteurs de l'innovoisie adorent apparemment que les projecteurs de l'actualité se portent sur leurs méfaits !!
La Société Belge des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs (SABAM) est une société belge de gestion des droits d'auteur pluridisciplinaire et privée, créée par des auteurs pour des auteurs. Elle a pour objet la perception, la répartition, l'administration et la gestion (dans le sens le plus large du terme) de tous les droits d'auteur de ses membres en Belgique et dans les autres pays où sont conclus des contrats de réciprocité (avec ses sociétés sœurs, c'est-à-dire, avec les autres sociétés de gestion collective de par le monde).
Créée en 1922 à l'initiative des auteurs, la SABAM regroupe en 2011 des milliers d'auteurs, toutes disciplines confondues. Très souvent exclusivement associée à la musique, elle représente des compositeurs, des paroliers, des éditeurs, des auteurs dramatiques, des scénaristes, des dialoguistes, photographes, des auteurs de sous-titres, des réalisateurs, des traducteurs, des romanciers, des poètes, sculpteurs, des peintres, des dessinateurs et des chorégraphes. La diversité des métiers représentés en fait un cas presque unique dans le monde.

Une simple recherche sur la page Wikipédia nous donne leurs exploits 2007.

Ça boume à la Sabam

(27/10/2007)
Faux, blanchiment et abus de confiance: Jacques Leduc, Paul Louka et la société des droits d'auteur inculpés
BRUXELLES Le parquet de Bruxelles a confirmé que la Société belge des auteurs, compositeurs et éditeurs, la Sabam, avait été inculpée ainsi que des dirigeants, par le juge financier bruxellois Frédéric Lugentz, de falsification des comptes annuels, abus de confiance et blanchiment d'argent.
Jacques Leduc, président du conseil d'administration de la Sabam, et Paul Louka, administrateur-délégué, figurent parmi les inculpés.
Ces inculpations sont l'aboutissement d'une enquête ouverte le 22 janvier 2004 à la suite d'une plainte déposée par le compositeur Philippe Delhaye qui reprochait à la Sabam de ne pas lui avoir versé de droits d'auteur pour des génériques composés pour la RTBF.
Depuis des années, le musicien cherchait à comprendre pourquoi certains droits d'auteur ne lui étaient pas payés. Philippe Delhaye a composé, par exemple, le jingle des JT de la RTBF, de la météo et du programme 24 heures sur les marchés de la RTBF, certains diffusés en boucle, la nuit. Or, ces diffusions, qui ne lui ont pas rapporté un franc entre 1997 et 2000, ne furent rémunérées de nuit, à partir de 2001, qu'au quart de leur valeur de jour. Et des diffusions sur d'autres chaînes comme TV5 ne firent l'objet d'aucune rémunération. À force d'attendre des explications n'arrivant pas, Philippe Delhaye déposa plainte et se constitua partie civile.
Le 2 mars 2005, le siège de la Sabam était perquisitionné. Les inculpations révélées hier par l'Écho sont l'aboutissement de cette procédure.
Quant à la Sabam, elle se refuse à tout commentaire : "Nous suivons l'évolution de la procédure avec la plus grande attention. Nous avons prêté notre entière collaboration à l'enquête. À ce jour, nous n'avons pas obtenu l'accès au dossier".
Corruption
Un volet concernerait - présomption d'innocence - des faits de corruption active au profit d'un fonctionnaire des Finances, jusqu'au milieu des années 1990, qui auraient impliqué une ASBL Caisse d'Entraide et de Solidarité de la Sabam.
Ce n'est pas la première fois que la Sabam - notamment attaquée par Salvatore Adamo à la fin des années 1990 - est au centre de la polémique. En 2001, le ministre de la Justice d'alors, Marc Verwilghen, avait dû déposer plainte auprès du Conseil de la concurrence. Plus récemment, les réviseurs décelaient des anomalies possibles dans le rapport annuel 2003 de l'ASBL qui gère les droits d'auteur de nos artistes.



Gilbert Dupont
© La Dernière Heure 2007

Mais, au-delà des forfaits et des pratiques délictuelles de la BUREAUCRATIE DE L'INNOVOISIE (une bureaucratie qui VOLE la classe même qu'elle est censée défendre !), ce sont les règles même qui permettent son racket social qu'il faut mettre en cause.
Et donc, mettre sous les projecteurs CONCEPTUELS.
Mon texte de 1996 mettait - supra - en lumière la faillite de la formoisie. En particulier en URSS.
Cette classe sociale travailleuse, augmentant, peu à peu, son niveau de compétences et sa productivité, est devenue la première classe exploiteuse travailleuse : En obtenant, groupe après groupe, couche après couche, un revenu supérieur au revenu moyen mondial, cette classe sociale a déclenché la paupérisation relative puis absolue des moins formés.
La partie de cette classe qui, après le massacre des révolutionnaires bolcheviks et trotskistes, a conquis le pouvoir d'Etat sur la presque moitié de l'Humanité, a, ce faisant, brisé l'élan révolutionnaire, cassant, par-là, le processus qui l'avait porté au pouvoir.
Ce texte mettait sous les projecteurs la faillite anti-humaniste à venir de l'innovoisie qui prétend à prendre la succession de la formoisie.
Sur le plan économique, elle [la classe formoise] a même cassé le développement exponentiel dialectique des pays qu'elle contrôlait pour aboutir à une croissance de plus en plus limitée, de forme "logarithmique".
La cause en est le fait qu'elle ait brisé, sclérosé, peu à peu, les innovateurs qu'elle
cherchait à mettre sous son contrôle.
Ceux-ci, créateurs technologiques ou artistiques, chercheurs producteurs de concepts, ont eu leur marge de manœuvre créative de plus en plus érodée.
Et c'est dans l'ancien monde bourgeois qu'est apparue, de façon plus dynamique, une nouvelle classe travailleuse exploiteuse innovatrice. Celle-ci, rémunérée sous les anciennes formes, dans un premier temps : charges semi-féodales à l'origine, salariat ensuite, a peu à peu, conquis un nouveau mode de rémunération.
Les uns, artistes ou écrivains - chercheurs, des droits d'auteurs; les autres, innovateurs technologiques, des droits de brevets.
Peu à peu, de nouvelles sous-classes sont apparues - sous le joug des capitalistes, mais s'en émancipant peu à peu- : créateurs de programmes (algorithmes informatiques) raccordés juridiquement au droit d'auteur; chercheurs en biologie animale ou humaine, et créateurs d'outils thérapeutiques, raccordés, eux, au droit des brevets.

Cette classe et ces sous-classes qui restent fondamentalement complices des capitalistes et subsistent, encore, tel le bourgeois gentilhomme le faisait avec les féodaux, en étroite symbiose avec les capitalistes, devient pour une part, une nouvelle couche de la classe bourgeoise - par la transformation des ses revenus en actions boursières.
Cette nouvelle classe rapporte à l'Humanité davantage que ce qu'elle consomme. Et cela, dans des proportions de plus en plus grande. Pour prendre un exemple : la production du langage Microsoft Basic et du Traitement de texte Word a permis une économie de temps de travail gigantesque au niveau planétaire, sans aucune proportion avec ce que Bill Gates pourrait espérer consommer en une vie.
Mais trois facteurs font que cette classe, à peine apparue, à l'échelle historique, est déjà condamnée, est déjà un archaïsme.
Le premier est le cadre juridique qui lui est nécessaire pour maintenir son appropriation privée, égoïste, des fruits de son travail. Ce cadre juridique, qui la pousse à s'abriter sous le parapluie de l'Etat bourgeois - bande armée des capitalistes - qui la poussera, après demain à massacrer ceux qui s'opposent à elle et à ses privilèges.
Le deuxième est la distorsion qu'elle produit à l'échelle de la planète : Interdiction au Tiers Monde, la Chine, l'Afrique... d'utiliser gratuitement le fruit de ses innovations. Cette distorsion est une - sinon la principale - cause de l'écart croissant entre les 20% de pays les plus riches par rapport aux plus pauvres. Ecart qui a doublé en trente ans. Ecart de richesse qui fait que les premiers ont soixante fois le revenu des plus pauvres. Distorsion qui aboutit à interdire au Tiers Monde d'accéder aux remèdes et aux thérapies inventées au Nord - ce qui aboutira à nucléariser, tôt ou tard, le Tiers Monde pour empêcher la montée au Nord des virus, du SIDA et de ceux qui chercheront à échapper à la misère.
Distorsion qui est responsable des 700 millions de chômeurs sur Terre.
Cette distorsion a une cause simple : les innovateurs exploiteurs craignent plus que tout, la concurrence; ils craignent de voir apparaître des créateurs partageurs, des innovateurs égalitaristes, des concepteurs solidaires. Ils craignent déjà l'accès au savoir et à la compétence inventive de ceux qui jouent leur jeu - leurs concurrents -, mais, pire encore, ils craignent ceux qui inventent, innovent, créent sans l'espoir, sans la volonté d'un retour, d'un avantage économique.
Cette contradiction est mortelle pour ces exploiteurs, car ce sont ces 700 millions d'humains chômeurs qui deviendront bientôt des milliards - qui sont les "consommateurs" de leurs inventions.
Leur logique est celle d'un Bill Gates produisant des machines pour un seul Michael Jackson qui chantera à l'intention du premier. Les deux précédents bénéficiant des découvertes génétiques du dernier chercheur.
Le troisième facteur qui la condamne est le fait qu'elle crée une distorsion économique
son niveau de consommation supérieur incite à la production d'objets de moins en moins utiles à l'espèce humaine : des tableaux artistiques à cristaux liquides comme chez Bill Gates plutôt que des logiciels pédagogiques, des cosmétiques plutôt que des vélos, des œuvres artistiques décadentes plutôt que des outils informatiques à bas prix pour tous les pauvres de la planète.
Sa capacité d'investissement la pousse, d'autre part, à investir dans des secteurs porteurs sur le plan économique, au détriment des secteurs les plus rentables pour l'espèce humaine : un Michael Jackson qui cherche à faire des Disneylands pour les petits occidentaux est un criminel économique pour les enfants du Tiers Monde - sans parler des imbéciles d'acteurs qui font des Planet Restaurants de luxe.

Cette nouvelle bourgeoisie devra être BALAYÉE !
A BAS LES DROITS D'AUTEURS !
A BAS L'INNOVOISIE !
A BAS LA BOURGEOISIE INNOVOISE !
PAYEZ LES DROITS D'AUTEURS ANCESTRAUX !
1000 euros POUR TOUS LES TERRIENS



NOTES ET COMPLEMENTS

Ferme générale

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Ferme générale, constituée réellement en 1726, était une compagnie de financiers à laquelle étaient affermés par bail les droits de Traite et autres droits indirects. Par son organisation, elle correspondait, sous l'Ancien Régime, à l'une des formes que prend aujourd'hui une délégation de service public. Dans une telle délégation, l'État confie à un organisme privé des missions relevant d'un service public, en l'occurrence ici, le recouvrement de certains impôts.

(...)

La ferme sous Colbert : les traitants et partisans[modifier]

Pour réduire le nombre de ces financiers et augmenter la part de la collecte reversée au Trésor, Jean-Baptiste Colbert chercha à regrouper un grand nombre de droits ensemble dans des « fermes générales ». La première ferme générale fut constituée en 1680 pour collecter gabelles, aides, domaines, traites et entrées.
Cependant cinq grosses fermes demeuraient :
  1. les gabelles ;
  2. l'octroi de Paris (taxes dues sur certaines denrées basiques, entrant à Paris, telles que l'huile, le sucre, le vin, etc.) ;
  3. les traites ;
  4. la Ferme du tabac (la vente exclusive du tabac) créée en 1674-1675 ;
  5. le « domaine d'occident » ou Ferme d'occident créée en 1674-1675.
Également créée en 1674-1675, la ferme du papier timbré, suscita la révolte du papier timbré.
Parfois d'origine obscure, les financiers qui prirent ces droits à ferme réalisèrent souvent rapidement des fortunes immenses qui leur permirent de jouer un rôle politique et social considérable. Leur avidité et leurs excès choquèrent l'opinion et furent tournés en ridicule par la littérature, par exemple par Alain-René Lesage dans Turcaret, inspiré par Paul Poisson de Bourvallais.

MANDRIN en tant que RESISTANT contre la Ferme Général est l'un de nos PREDECESSEURS !

A BAS LA SACEM !
GLOIRE A MANDRIN !!

WIKIPEDIA : Louis Mandrin, né le 11 février 1725 à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs et mort le 26 mai 1755 à Valence, est un contrebandier de l'Ancien Régime (XVIIIe siècle).

Fils de François-Antoine Mandrin, négociant marchand de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, dans le Dauphiné, et aîné de neuf enfants, Louis Mandrin dit, selon certains, « belle humeur »[2], devient chef de famille à 17 ans, à la mort de son père. Il est issu d'une famille établie autrefois riche mais sur le déclin.
Son premier contact avec la Ferme générale (si on excepte les relations fiscales ordinaires et obligatoires) est en 1748, un contrat pour ravitailler avec « 100 mulets moins 3 » l'armée de France en Italie. Or, il en perd la plus grande partie dans la traversée des Alpes et à son retour à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, il ne lui reste que 17 bêtes dans un état déplorable, la Ferme générale refuse de le payer.
Le 27 juillet 1753, suite à une rixe mortelle, Louis Mandrin et son ami Benoît Brissaud sont condamnés à mort. Mandrin est en fuite, mais Brissaud est pendu sur la place du Breuil, à Grenoble. Le même jour, Pierre Mandrin, frère cadet de Louis, est également pendu pour faux-monnayage. Il déclare alors la guerre aux collecteurs de taxe de la Ferme générale.
Les fermiers généraux sont alors haïs par la population. Ils prélèvent les taxes sur les marchandises (la plus connue est la gabelle, la taxe sur le sel, mais d'autres marchandises, comme le tabac, sont lourdement taxées). Le système d'affermage de la collecte des taxes entraîne des abus considérables. Les fermiers généraux accumulent d'énormes richesses en ne reversant au Roi que le montant convenu, parfois le quart des taxes qu'ils prélèvent.


Le Capitaine Mandrin, couverture.
Mandrin entre alors officiellement dans une bande qui fait de la contrebande, en particulier de tabac, entre les cantons suisses, Genève, la France et les États de Savoie, alors souverains. Il en devient vite le chef. Se définissant lui-même comme « Capitaine Général de Contrebandiers de France », il a plusieurs centaines de personnes sous ses ordres (en majorité des savoyards), organisés comme un véritable régiment militaire. C'est en Savoie (duché faisant partie, à l'époque, du Royaume de Sardaigne) qu'il a ses dépôts d'armes et de marchandises, se pensant ainsi hors d'atteinte des Français. Son aire d'influence en France va bien au delà du Dauphiné et couvre pratiquement toutes les actuelles régions Rhône-Alpes et Auvergne, la Franche-Comté, ainsi qu'une partie de la Bourgogne.
Durant l'année 1754, il organise six campagnes de contrebande. Ne s'attaquant qu'aux impopulaires fermiers généraux, il reçoit rapidement le soutien de la population et d'une partie de l'aristocratie locale, ainsi que l'admiration de personnalités comme Voltaire[3].
Il achète en Suisse et en Savoie des marchandises (principalement tabac et étoffes), qu'il vend dans les villes françaises sans qu'elles soient soumises aux taxes des fermiers généraux. La population est enchantée. Bien vite une interdiction est faite d'acheter ses produits de contrebande. Mais à Rodez, il provoque les fermiers généraux en obligeant, sous la menace des armes, leurs propres employés à acheter ses marchandises.
La Ferme générale, exaspérée par ce « bandit » qui devient toujours plus populaire, demande le concours de l'armée du Roi pour l'arrêter. Des troupes légères et mobiles, les fusiliers de La Morlière et les chasseurs de Fischer, viennent en renfort des volontaires du Dauphiné en place. Mais il parvient encore à se réfugier en Savoie près des deux villes frontières de Pont-de-Beauvoisin. Les fermiers généraux décident alors de pénétrer illégalement dans le territoire du Duché en déguisant 500 hommes en paysans. Ils arrêtent Mandrin au château de Rochefort-en-Novalaise, grâce à la trahison de deux des siens. Lorsque le Roi Charles-Emmanuel III de Sardaigne apprend cette intrusion sur son territoire, il exige la restitution du prisonnier à Louis XV, qui s'exécute. Mais les fermiers généraux, pressés d'en finir avec Mandrin, accélèrent son procès et son exécution. Il est jugé le 24 mai 1755, puis roué vif à Valence le 26 mai, devant 6 000 curieux.

lundi 28 mars 2011

LES PRINCIPES DE BASE DU LIBERAL EGALITARISME.(3) Un brouillon et un débat sur le texte de André Franc-Shi : Esquisse d’un programme libéral-égalitariste, comment surpasser les paradigmes modernes ?

LES PRINCIPES DE BASE DU LIBERAL EGALITARISME. (un brouillon) et un débat sur le texte de André Franc-Shi : (Esquisse d’un programme libéral-égalitariste, comment surpasser les paradigmes modernes. ) (1° présentationmon brouillon inachevédébat sur votre texte)



Une analyse critique du texte de André Franc-Shi.

dimanche 27 mars 2011

Esquisse d’un programme libéral-égalitariste, comment surpasser les paradigmes modernes.



Nous nous réclamons du libéral-égalitarisme, et ce n’est pas pour rien! Économiquement, nous sommes ‘libéral’ car nous acceptons la loi du libre marché (offre et demande) pour fixer les prix. Toutefois, nous sommes ‘égalitaristes’ car nous prônons l’abolition du marché du travail et l’adoption d’un revenu unique pour tous. Ainsi, nous ne nous opposons pas à la loi qui fixe le prix du pain et des autres marchandises, mais celle qui fixe le prix du travail humain. En d’autres mots, ce que nous revendiquons, c’est de séparer le libéralisme-matériel (marchandise) du libéralisme-humain (marché du travail) au même titre que nous avons autrefois séparé le pouvoir de l’Église et de l’État.

Nous ne pouvons qu'être en accord avec ce début qui reprend les principaux points du programme économique que nous défendons, Julie Amadis et moi-même, depuis dix ans. En luttant sur ce programme depuis le mois de décembre dernier, vous vous êtes prononcé à la fois en sa faveur sur le plan pratique et à la fois sur le plan des principes : en particulier le distingo entre le marché des humains et le marché des objets.
Il est dommage, en ce début, que, comme vous le faites trop fréquemment, il n'y ait pas de référence précise au texte où ce distingo est fait POUR LA PREMIERE FOIS. Vous renvoyez le lecteur à un texte de deuxième main sur ce thème – texte dont vous êtes l'auteur. Cela sème la pagaille pour l'EPISTEMOLOGIE SCIENTIFIQUE de l'avenir.
Certes, les ordinateurs de nos héritiers parviendront à démêler le vrai du faux, parviendront à reconstituer la chronologie précise des textes, des découvertes analytiques et des inventions (ou découvertes) programmatiques qui en sont les conséquences.
Il est dommage que cela commence par le versant « libéral » dès le début.
On peut faire le choix entre commencer par l'égalitarisme (en s'adressant aux peuples spoliatés).
Mon brouillon du 7 mars commençait par l'affirmation de la volonté du peuple.
Commencer par le caractère libéral est plutôt maladroit.

Ce que nous prônons avant-tout, c’est la démocratisation de l’économie, et donc la destruction des monopoles de capital social. Toute accumulation de capital et sa gestion par une poignée d’individus (même s’ils sont élus) est à l’opposé du socialisme et du communisme que nous revendiquons. Nous prônons l’instauration d’un système volontariste, où tous sont absolument libres de faire ce qu’ils veulent, à condition qu’ils aient accompli leur travail civique (travail minimum requis pour bénéficier des avantages de vivre en société). Tout doit évidemment commencer par un renversement révolutionnaire de l’ordre établie.

Non, nous ne nous revendiquons pas ni du socialisme, ni du communisme. Ce serait faire le jeu de l'adversaire que de revendiquer un tel projet.
Vous vous réclamez des objectifs de ce qui s'appelle – depuis dix ans – l'investissement démocratique (ou parfois humano-cratique) ce n'est pas une raison pour tenter de semer la pagaille sur ce que nous voulons.
Il y a, à cela trois raisons.
1° Premièrement, Lénine nous a appris que les chemises sales doivent être changées.
C''est la raison pour laquelle, après 1993, j'ai INVENTE le mot « égalitariste » pour que ceux qui pourraient se rapprocher de notre lutte n'imagine pas que le projet stalinien ait quoi que ce soit à voir avec celui qui était le mien.
Lénine appelait « chemise sale » le mot « socialisme ».
Il serait idiot de le reprendre.
Idem pour le mot « communisme ».
2° Mais il ne s'agit pas seulement d'un mot. A quel endroit des projets « communistes » et « socialistes » pourraient-on trouver des similitudes avec l'investissement démocratique.
Je l'ignore totalement. Si vous en trouvez des exemples, ils m'intéressent.
Mais, la gestion des projets « socialistes » et « communistes » a toujours été présentée comme celui d'un appareil bureaucratique.
Or, la mise en lumière de la formoisie nous montre que celle-ci ne cèdera jamais son pouvoir de bon gré.
Il faut donc renoncer non seulement au « MOT » mais aussi au CONTENU.
3° Or, l'importance que prend de plus en plus la lutte des strates nous montre que le fait de permettre la CREATION D'ENTREPRISES (égalitaristes) est un impératif politique qui prendra de plus en plus le pas sur le champ de la lutte des classes elle-même.
En conséquence de quoi, notre COMBAT POUR L'INVESTISSEMENT DEMOCRATIQUE nécessitera de plus en plus de prendre des positions qui revendiqueront notre ANTI-SOCIALISME !
Nous sommes CONTRE toutes les formes de SOCIALISME/
Nous sommes pour le DROIT INDIVIDUEL à INVESTIR.
Rien dans le socialisme, qu'il soit celui de Man ou de Staline ne ressemble à quoi que ce soit de ce droit.



Le renversement révolutionnaire (Comment prendre le pouvoir)
Nous prônons l’instauration d’une pyramide de délégués révocables formés de groupes de 25 individus. Si on procédait ainsi au Québec, avec nos 7 500 000 citoyens, cela ferait 4 paliers de gouvernance, tous formés de groupes de 25 individus élus, à tout moment révocables. En France, ce serait seulement 5 paliers et seulement 6 paliers si on incluait les 6.8 milliards d’individus sur toute la planète. Ainsi, le coeur de la démocratie mondiale, TOUTE la démocratie mondiale, reposerait sur des groupes la grosseur d’une classe d’école, soit seulement 25 individus!

Nous somme tout à fait d'accord sur cet exposé et sur le contenu.
Avec la LCR depuis 1973, contre elle à partir de 1996, puis avec Julie Amadis à partir de l'année 2000, je me suis battu pour la désignation de délégués de conseils révocable à tout moment.
C'est l'héritage de la Révolution Russe de 1905.
Il est venu compléter l'héritage de la Commune de Paris de 1871 – le délégués députés révocables à tout moment.
Il faut REVENDIQUER CE DOUBLE HERITAGE.
L'ajout d'un étage supplémentaire – délégué de base – est une innovation (découverte ou invention) faite après 2004 au vu de l'accumulation des magouilles de la LCR dans les mobilisations étudiantes.
Cette innovation programmatique « défensive » à mesure où nous envisagions sa mise en application s'est révélée de plus en plus prometteuse et riche de potentialités politiques. (cf l'introduction de ce texte)

Il était clair, dès le départ, que le DROIT de DELEGATION était accordé à la jeunesse. Nous avons fixé à 7 ans le droit d'avoir son propre délégué de base. Le critère étant la capacité à lire, des enfants plus jeunes pourraient même avoir le droit de déléguer leur pouvoir politique.
Le fait, André, que vous passez soigneusement sous silence cet aspect favorable à la jeunesse est comparable à l'attitude des révisionnistes du début du 20° siècle qui se fabriquaient un PSEUDO-MARXISME en effaçant des textes de Marx tout ce qui était susceptible de FACHER LA CLASSE BOURGEOISE.
Il serait fort dommageable que, à peine trois mois après que vous ayez rallié le combat libéral-égalitariste, vous soyez occupé à en saboter les mesures principales.
En effet, la libération du Québec, du Canada, des USA est IMPOSSIBLE PACIFIQUEMENT sans la mobilisation révolisationnaire de la jeunesse.
Passer sous silence – ou pire encore – combattre le DROIT A LA DELEGATION A PARTIR DE 7 ANS c'est FAIRE DE L'OPPORTUNISME par rapport à la PARENTOISIE américaine.
Notre projet est CLAIREMENT de PRIVER TOUS LES PARENTS de QUELQUE DROIT QUE CE SOIT SUR LEURS ENFANTS.
Notre projet est de mettre hors d'état de nuire la formoisie canadienne, la bourgeoisie canadienne.
En nous appuyant sur les rares spoliatés du pays. En noius appuyant, donc sur lA STRATE DES INNOVANTS.
Et donc en ACCORDANT LEURS DROITS POLITIQUES AUX JEUNES A PARTIR DE 7 ANS.


L’objectif avoué doit être d’abolir le système parlementaire et le remplacer par cette délégation révocable. Lorsque NOTRE État de délégués révocables représentera plus d’individus que LEUR État parlementaire, il sera légitime de gagner le pouvoir parlementaire, de l’abolir et de le remplacer par cette délégation. Par exemple, si Jean Charest a été élu avec seulement 2 500 000 votes, il suffit que notre délégation révocable rassemble plus que ces 2 500 000 votes pour qu’il devienne aussi légitime sinon plus que l’État québécois de Jean Charest. Cette délégation révocable, l’État du futur, ne doit pas pouvoir bénéficier de pouvoir économique, ce sont les individus qui auront ce pouvoir. L’État du futur n’aura comme tâche que de fixer des normes, par exemple : le nombre sécuritaire de plomb dans la peinture, décréter l’abolition de l’ancien régime parlementaire, décréter l’abolition du profit et du capitalisme dans son ensemble, n’importe quoi qui fixe des normes et qui n’a pas besoins de pouvoir économique. Toute l’économie du futur ne reposera pas sur une organisation étatique et arbitraire, mais sur l'initiative individuelle. Aucune taxe, ni impôts, aucune façon pour l’État d’accumuler du capital social.

Cette façon de présenter les choses est absurdes. IL N'Y AURA PLUS D'ETAT.
Comment voulez-vous qu'il puisse accumuler quoi que ce soit.
L'exposé est conforme au programme pour le reste.

Surpassement du capitalisme
Si le but est de détruire le capitalisme, il faut détruire les moyens qui permettent l’accumulation du Capital, qu’il soit privé (capitalisme bourgeois) ou étatique (capitalisme d’État). La nationalisation des banques est donc indispensable. Toutefois, ces banques ne doivent pas être gérées ni par l’État, ni par des groupes d’individus. Ses tâches doivent donc être réduites à sa plus simple expression :
-Fusion de toutes les banques
-Abolition des services banquiers (prêts, placements, hypothèques, etc.).
-Toutes les tâches de dépôts et de retraits sur les comptes peuvent être faits par un simple ordinateur.

Le mot « nationalisation » est uniquement PEDAGOGIQUE. Mais uniquement pour le Sud.
C'est une vision CHAUVINE que de vouloir « NATIONALISER » les banques ou les usines en France. IL FAUT FAIRE AFRICATION !
TROUVER CITATION de MON TEXTE
Tout le patrimoine IMMOBILIER doit APPARTENIR à l'humanité toute entière.
Il est dommage – mais c'est une habitude constante chez vous – que vous ne participiez JAMAIS aux débats dans lequels j'introduis des CONCEPTS ou des NEOLOGISMES.
Faire Africation en Afrique,c'est rendre à l'humanité ce qui lui revient.

Si la REVOLISATION GAGNE AU QUEBEC, la BANQUE UNIQUE appartient AUSSITÔT AUX QUEBEC MAIS AUSSI (et à égalité) ELLE APPARTIENT à TOUS LES AFRICAINS.
Ne pas comprendre cela, combattre cela, c'est faire œuvre de révisionnisme et d'infiltration au sein du mouvement libéral-égalitariste.



Pour empêcher toute accumulation du capital, il faudra abolir le profit privé. Il faut donc créer un compte bancaire social où tous les entreprises déposeront leurs profits (le cas échéant sera considéré comme de la fraude ou de l’évasion fiscale et sera jugé au même titre que ces infractions aujourd’hui). Pour ne pas que ce système se transforme en capitalisme d’État, le capital social ne doit PAS être géré par des élus, des fonctionnaires ou tout autre groupe d'individu, mais il faut qu’il soit géré par l’ensemble des individus eux-mêmes! Il faut donc :
-Inviter tous les individus qui n’ont pas de “compte bancaire” personnel d’en ouvrir un.
-Création du salaire unique pour tous, où, sur une période mensuelle, le profit accumulé dans le compte bancaire social sera redivisé également entre tous les membres de la société.

NON NON et NON !
« 
Les entreprises déposeront leurs PROFITS » !!!
C'est totalement absurde !
Les entreprises déposeront LEUR CHIFFRE D'AFFAIRE !
Elles déposeront la TOTALITE de la masse monétaire qu'elles auront perçu !
Ne pas comprendre cela ou REFUSER CELA, c'est travailler pour l'ENNEMI !
En effet, nous REFUSONS LE PROJET TITO à la YOUGOSLAVE !
Nous ne voulons pas d'un SOCIALISME NEO-STALINIEN dans lequel les ENTREPRISES RESTENT MATRESSES DE LEURS INVESTISSEMENTS !

Quant au SALAIRE UNIQUE, il sera et demeurera à 1000 EUROS PAR MOIS.
Sans jamais varier. (on pourra faire des MONDIOs comme nouvelle monnaie). Il est hors de question que le montant du salaire unique varie/
Idem pour l'investissement démocratique. Son montant sera constant.
Ce seront les biens de consommation qui verronstleurs prix varier.
Depuis le mois de décembre, vous avez eu plus que le temps de lire nos textes.
Pour quelle mystérieuse raison est-ce que vous reprenez notre programme en effacant ce qui peut déplaire aux staliniens ?
Cela devient un salmigondis incompréhensible !


Ainsi, si on prend le PIB canadien et qu’on le divise par le nombre de canadiens, on pourrait offrir plus de 3000$ par mois à TOUS les Canadiens. De la même façon, si on prend le PIB mondial et qu’on le divise également entre TOUS les terriens, on pourrait déjà offrir environ 950$ par mois à TOUS les terriens, femmes, hommes, enfants, vieillards, handicapés, tous sans discrimination!
« offrir plus de 3000$ par mois à TOUS les Canadiens »

Vous plaisantez, j'espère !!!

Vous,proposez à la formoisie vautour du Québec de chasser les capitalistes et de ….. VOLER LES AFRICAINS, de VOLER LES HAITIENS, de VOLER LES CHINOIS....

C'est du CHAUVINISME LE PLUS ABJECT !

Après la REVOLISAITON, les Québécois AURONT 1000 euros (1200 dollars) comme TOUS LES TERRIENS !

Le PIB mondial est actuellement de 600 euros (moins de 900 dollars) notre projet envisage une petite augmentation.
Mais, pour la suite, les taxes carbones viendront REDUIRE les revenus des pays VICTIMES DE PÄTHOLOGIE CONSUMERISTE.

Investissement démocratique
Une partie à déterminer (admettons 20%) de ce revenu unique à tous les citoyens serait extrait de son revenu pour “l’investissement démocratique”. Mais ce n’est pas à l’État ni à quiconque autre que l’individu lui-même de décider comment il veut investir cet argent. Par exemple, admettons que nous offrons 3000$ par mois à tous les Canadiens. 20% de 3000$ = 600$ en investissement démocratique pour tous. Ainsi, chaque individu, à tous les mois, peut décider comment il répartit son investissement. Il peut investir 200$ dans le projet de l’un de ses amis, 300$ dans sa propre entreprise et, admettons, 100$ pour la recherche contre le cancer, ou pour l’armement de la patrie, n’importe quoi! Nous avons ici l’essence même de la participation démocratique proportionnelle et égale entre chaque individu. À côté d’un tel système écono-politique, n’importe quelle théorie sur la “démocratie participative” ou la “démocratie proportionnelle” sera gêné de sa mollesse. Ce qui est important à retenir ici, c’est qu’il n’y a plus de concentration du capital social, mais que celui-ci est réparti également entre tous les individus. Plus de capitalisme, plus de moyens d'opprimer l'Humain par l'Humain.

A NOUVEAU, du REVISIONNISME PROGRAMMATIQUE !
C'est TOTALEMENT SCANDALEUX !
Non seulement vous accordez le droit aux Canadiens de VOLER LES AFRICAINS en leur versant 2400 dollars par mois (au lieu des 1000 euros soit le DOUBLE de ce que nous préconisons), mais, DE SURCROIT, vous accordez à la FORMOISIE CANADIENNE un DROIT à INVESTIR SUPERIEUR !

Vous n'avez pas HONTE !!!

Comment seront financés ces INVESTISSEMENTS de PRIVILEGIES ?

La réponse est simple : EN LAISSANT TOUS LES ROMEO DALLAIRE DU CANADA continuer à ECRASER les Terriens du Sud !!!

Comment voulez-vous qu'il soit possible que les Canadiens aient le droit d'investir 600 euros par mois quand le MAXIMUM possible (en projection) est de 300 euros ?

De plus, vous vous mettez à faire l'APOLOGIE DES ABUS DE BIENS SOCIAUX.
Quand je lis « 
Il peut investir 200$ dans le projet de l’un de ses amis, 300$ dans sa propre entreprise »
Je suis totalement SCANDALISE !!

Qu'est-ce que vous cherchez André Franc-SHi ?
Vous tentez de SABOTER LE COMBAT libéral-égalitariste ?

Il est hors de question - ET CELA DEPUIS DIX ANS !!! (depuis le 1° jour où cette mesure a été préconisée) – que QUICONQUE PUISSE INVESTIR dans SA PROPRE ENTREPRISE !
Et cela pour une raison simple : il ne faut pas laisser le DROIT A INVESTIR à une CLASSE PARTICULIERE.
La mesure que vous préconisez


De cette façon, chaque individu devient à lui-seul fonctionnaire, banquier, investisseur et politicien. Si, par exemple, vous avez un projet de construire des panneaux solaires, vous aurez votre propre investissement démocratique de garanti, c’est à dire que vous pourrez investir la totalité de votre 600$ dans votre propre entreprise si vous voulez (tous les profits redeviendront collectifs par la suite). Par contre, si cet investissement n’est pas suffisant, vous devrez aller ‘vendre’ votre projet aux autres, afin de les convaincre d’investir une partie ou la totalité de LEUR investissement démocratique dans VOTRE projet. C’est cela la démocratisation de l’économie! Et c’est ainsi la seule façon que le libre marché peut subsister en même temps qu’une démocratisation de l’économie. Pas besoins “d’organiser” l’économie par l’État, les individus s’organiseront eux-mêmes selon leurs propres besoins. N'est-ce pas exactement cela le réel libéralisme qu'essayait d'évoquer Adam Smith avec sa théorie de la "main invisible". Il n'y a ici aucune organisation économique arbitraire, mis à part....
OU L'ON PASSE DU REVISIONNISME FORMOIS A PIQUER DANS LA CAISSE !

Vous proposiez, au-dessus de laisser les CREATEURS D'ENTREPRISE investir dans leur PROPRE ENTREPRISE.
Ce qui est PROPREMENT SCANDALEUX et CONTRAIRE à ce que nous préconisons depuis DIX ANS.
Maintenant, vous laissez les PROPRIETAIRES IMMOBILIERS (ceux que vous allons CHASSER de chez eux) PIQUER DANS LA CAISSE pour FINANCER LEUR PROPRE LOGEMENT :

« vous avez un projet de construire des panneaux solaires, vous aurez votre propre investissement démocratique de garanti, »
VOUS ETES EN TRAIN DE FAIRE UN HOLD-UP SCANDALEUX dans notre programme pour LE TRANSFORMER EN BOUILLIE REFORMISTE SOCIAL-DEMOCRATE !!!

IL EST HORS DE QUESTION QUE QUI QUE CE SOIT INVESTISSE DANS UN PROJET dans lequel lui, un de ses proches, un ami ou qui que ce soit avec qui il est lié ait des INTERETS !!!
VOTRE PROJET, c'est l'ABUS DE BIENS SOCIAUX GENERALISE !

Le travail civique
Le travail civique est la seule obligation qu’a l’individu pour bénéficier de sa vie en société. Si l’individu refuse de faire le travail civique, il est invité à s’occuper de lui-même seul, sans l’aide sociale et donc sans le revenu unique pour tous. Le travail civique représente les emplois ESSENTIELS, où pas assez d’individus veulent participer. Par exemple, s’il y a seulement 10 éboueurs alors qu’il en faudrait 15, cinq individus auront comme travail civique de faire l’éboueur pour une période à déterminer (admettons un mois). Ces individus seront choisis au hasard, par un ordinateur, selon les critères nécessaires pour faire ce travail (âge, région, etc.). Pour qu'un tel système de répartition puisse fonctionner, il est INDISPENSABLE que toute l’information traitée par ces ‘ordinateurs sociaux’ soit complète, à tout moment disponible et publique, afin d’éviter le favoritisme ou toute forme de fraude.






Cet aspect vous semble important. Vous pourriez le creuser davantage.
Mais à la condition que le révisionnisme généralisé de l'ensemble de ce texte scandaleux cesse.
Le tirage au sort me paraît curieux.