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dimanche 17 juin 2012

Casse et destructions au Togo ! AUTEUR: Ekoué Sagba INSTIGATEUR: Faure Gnassingbé COMPLICE Toute la France à fric .... à commencer par François Hollande qui, plusieurs semaines après son élection, n'a TOUJOURS PAS RETIRE LES TROUPES D'OCCUPATION ESCLAVAGISTE HORS D'AFRIQUE !

Et l'officier français
Romuald Létondot
de lancer :
"Tu sais qui je suis ?
Je suis le conseiller du chef
d'état-major de l'armée de terre.
Tu veux que j'appelle le RCGP
(Régiment des commandos
de la garde présidentielle)
pour foutre un peu d'ordre là-dedans?".
août 2010
colonel (français) Romuald Létondot
menaçant - par un
tutoiement esclavagiste -
Didier Ledoux
journaliste togolais 


Selon l'article 20 de cette loi,
« lorsque du fait d'un cortège, d'un rassemblement,
il est résulté des violences ou des voies de fait
sur des individus, ou que des destructions
ou des dégradations ont été causées aux biens,
meubles ou immeubles, privés ou publics,
leurs auteurs, instigateurs et complices
sont punis d'une peine d'emprisonnement
de 6 mois à 3 ans et d'une amende
de 100.000 à 1 million, sans préjudice
des poursuites pouvant être engagées
 contre les organisateurs ».


Pour avoir recruté cet agitateur et en vertu de la loi (coloniale ) il faut inculper.... le PRESIDENT HARKI
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http://www.lebanco.net/banconet/bco13141.htm
le nommé Ekoué SAGBA habitant dans la rue Clémentites à Hanoukopé est le chef des opérations d'un groupe d'une vingtaine de jeunes. C'est par lui que des éléments de la gendarmerie nationale ont remis des armes, grenades lacrymogènes et des fonds pour recruter des gens en vue de semer des troubles (.) et trouver des prétextes pour décapiter le Collectif "SAUVONS LE TOGO" et étouffer la contestation qui se généralise dans toutes les préfectures du Togo ».
+++
AUTEUR Ekoué SAGBA
INSTIGATEUR Faure Gnassingbé
COMPLICE Toute la France à fric .... à commencer par François Hollande qui, plusieurs semaines après son élection n'a TOUJOURS PAS RETIRE LES TROUPES D'OCCUPATION ESCLAVAGISTE HORS D'AFRIQUE!
Gardien du camp
de travail esclavagiste
de la France à fric

Le Togo est sous OCCUPATION ESCLAVAGISTE de la France.
Il est un territoire dont le statut est semblable à celui de la Virginie, de la Caroline du Sud, de la Louisiane etc.... en 1850 : la ZONE DES ESCLAVES.
Ils sont payés 50 euros  par mois - quand ils ne sont pas dans la misère mortifère...

Le peuple Togolais, prenant son tour dans le Grande Révolution Africaine avait commencé à occupé leur "place Tahir à Lomé". Il y a cinq jours, le 12 juin, la mobilisation commençait à prendre sa "vitesse de croisière".
TOGO : A Lomé, le carrefour Deckon transformé en « place Tahrir »
Par Aghu | 12/06/2012 | 22:03:55
TOGO - LOME LE 12 JUIN 2012 © koaci.com - Les révolutions égyptienne et tunisienne continuent par faire des émules. Dans la capitale togolaise, des centaines de milliers de manifestants ont assiégé le carrefour Deckon, où elles comptent passer trois jours pour faire admettre des revendications par Faure Gnassingbé.

Entre 300 et 600 000, les chiffres avancés par les uns et les autres pour évaluer les manifestants sortis ce mardi malgré la pluie, sont évocateurs de la mobilisation, à l’appel du Collectif « Sauvons le Togo ». Dans les rangs des responsables du Collectif, la surprise est totale. Du rond point Gakpoto au carrefour de Deckon, tout s’est bien déroulé. De Jean-Pierre Fabre à Me Zeus Ajavon en passant par le président de la LTDH, tous les leaders étaient présents.

Femmes, hommes, jeunes de tous âges étaient tous dans la foule. « Le monde qu’il y a ce matin me rappelle celui de 90 quand les jeunes ont initié le lutte du 05 octobre », a apprécié Patrick Lawson qui a décliné les revendications du CST. « Nous pensons que les responsables de ce pays ne vont pas prendre des mesures qui vont mettre le pays à feu et à sang », a averti le 1er Vice-président de l’ANC, parlant du déploiement massif des forces de sécurité dans la ville. Des craintes qui n’ont pas tardé à se réaliser.

Des éléments de la police ont balancé des gaz lacrymogène pour disperser la foule. Mais il n’y a eu que peu de panique. Partis dans tous les sens, les jeunes manifestants se sont à nouveau mobilisés à la place Deckon débaptisée « place Tahrir », non sans avoir affronté les forces de sécurité. La situation est redevenue calme, après une intervention du Directeur Général de la Gendarmerie nationale, le Lt-Col Yark Damhane. Depuis, les manifestants occupent le carrefour paralysant la circulation.

Place commerciale au cœur de Lomé, Deckon connait une ambiance inédite. Les boutiques, banques et autres commerces de même que le siège de MOOV-Togo, sont restés fermés le long du principal boulevard. L’artiste de la chanson Jah Cissé anime la foule sur ses airs de reggae très engagé. Un autre artiste engagé, Eric M.C est également annoncé en soutien aux groupes folkloriques qui font preuve d’une imagination fertile dans les chansons sur fond de rythmes traditionnels.

Les leaders sont toujours présents aux environs de 20 heures.

Des femmes préparent en pleine rue pendant que d’autres offrent des boissons à l’assistance. Les rumeurs de manifestations parvenant de l’intérieur du pays, dopent le moral des manifestants sans qu’on ne sache si réellement cela est averé. Les manifestants s’étalent de Deckon au marché de Bè, soit sur près de 2 km. On note par ailleurs des barricades sur la voie. Les manifestants semblent très décidés, malgré les blessés et arrestations enregistrés lors des échauffourées entre manifestants et forces de l’ordre.

Demain sera un autre jour de vérité pour cette nouvelle page de la lutte des Togolais pour des élections équitables et démocratiques, la mise en œuvre des recommandations de la CNDH sur la torture, la réouverture de radio X Solaire, le rétablissement des 09 députés exclus, dans leurs droits…

Aghu,KOACI.COM LOME; copyright © koaci.com
Même si les caractéristiques proto-formoise des leaders limitait l'ampleur des mots d'ordre et empêchait un projet de gouvernement révocable de motiver le peuple pauvre à fusionner son combat.
Mais le gouvernement sortie la méthode fasciste.... la bonne vieille méthode de la France à fric

Par Aghu | 13/06/2012 | 14:39:50
Les manifestants qui ont répondu à l’appel du Collectif « Sauvons le Togo », ont passé la nuit du mardi 12 juin au carrefour Deckon. Ils étaient estimés à des centaines de milliers. « C’est une marrée humaine. On a jamais vu cela », s’est surpris le délégué de l’Union Européenne au Togo, Patrick Spirlet. Ceci a provoqué une panique chez les gouvernants, dont Faure Gnassingbé qui serait inflexible dans sa logique d’opérer un passage en force dans le processus des élections législatives et locales prochaines.

TOGO : Poursuite de la répression sur fond d’accalmie relativePar Aghu | 14/06/2012 | 16:29:59
TOGO - LOME LE 14 JUIN 2012 © koaci.com - Au troisième jour de la série de manifestations organisée par le Collectif « Sauvons le Togo » (CST), les jeunes sont toujours mobilisés malgré la violente répression de la veille. De leur coté, les miliciens en appui aux forces de sécurité, procèdent à des arrestations dans les quartiers chauds de la capitale.

En trois jours, l’ampleur de la violence qui a occasionné selon le CST 119 blessés et 79 arrestations, tout comme celle de la mobilisation populaire également, continue par surprendre les observateurs. Ce jeudi matin, les forces de sécurité quadrillent toute la ville. Le carrefour Deckon, lieu où le Collectif « Sauvons le Togo » a fait un sit-in de mardi à mercredi avant la violente dispersion et Bè-Gakpoto, lieu de départ de la manifestation, sont quadrillés par des gendarmes.

Les leaders du Collectif ont été empêchés de rallier Deckon où ils ont prévu de rééditer le sit-in. Mais des groupes de jeunes mobilisés, sont massés dans les environs du carrefour. Idem au niveau de Bè-Gakpoto où la mobilisation était également visible.

A Bè-Kpota, on a encore noté des fumées. Sur les rues, les manifestants n’ont pas manqué d’imaginations pour ériger des barricades.

Les forces de sécurité essaient de dégager les barricades, mais peine perdue, ils reviennent à la charge peu après.

« Nous exigeons le départ du pouvoir de Faure Gnassingbé. Ils pillent le pays avec ses amis », lance un des manifestants. « Nous demandons que les leaders nous donnent les moyens pour en découdre avec ces sauvages », renchérit un autre. « Les auteur de tortures doivent être punis », exige son collègue qui n’oublie pas non plus la fermeture de radio X Solaire. Le petit cercle de profiteurs qui privent la majorité des ressources est aussi dénoncé. Des revendications qui rejoignent celles contenues dans la plate-forme du CST.
Mais, bien évidemment, les méthodes de gangsters du fils de l'assassin de Sylvanus Olympio nécessitait qu'il fasse appel à la lie du peuple togolais : les membres dégénérés de la classe gangsteroise : drogués, délinquants de toutes sortes

TENTATIVE DE CRIMINALISER LE MOUVEMENT PAR LE PRESIDENT-GANGSTER

Lomé : Des responsables du Collectif "Sauvons le Togo" retenus à la gendarmerie pour être traduits arbitrairement en justice ?
Si rien n’a encore sérieusement filtré des auditions en cours à la gendarmerie à Lomé, il est fort probable que le gouvernement togolais veuille stratégiquement poursuivre en justice les responsables du Collectif « Sauvons le Togo » convoqués au téléphone samedi matin par la Gendarmerie nationale. Ils pourraient injustement être poursuivis pour les violences survenues pendant les manifestations du CST du 12 au 14 juin dernier, alors que des sources concordantes révèlent une cynique manipulation de certains individus par le pouvoir.
Poursuivre devant la justice les organisateurs des marches pacifiques quand des incidents violents interviennent, cette  éventualité avait été soulevée pendant le vote de la loi controversée fixant les conditions d’exercice de la liberté de manifestation ou de réunion sur la voie publique ou les lieux publiques dont certains alinéas punissent de peine de prison ferme et de forte amende les organisateurs des manifestations. L'opposition avait alors parlé judicieusement  d'une volonté du pouvoir RPT de « museler l'opposition », notamment les marches du FRAC. En dépit des maigres changements intervenus dans le projet de loi, il est fort probable que le pouvoir entend s'appuyer sur cette loi pour empêcher les prochaines manifestations du CST et réduire l'opposition au silence à la veille des législatives. Même si on évoque une probable et prochaine "libération sous conditions" des trois avocats retenus, il est certain qu'ils ont une sorte d'épée de Damoclès au-dessus de la tête. Mais aucune arme ne résiste face à la détermination de tout un peuple.

Selon l’article 20 de cette loi, « lorsque du fait d’un cortège, d’un rassemblement, il est résulté des violences ou des voies de fait sur des individus, ou que des destructions ou des dégradations ont été causées aux biens, meubles ou immeubles, privés ou publics, leurs auteurs, instigateurs et complices sont punis d’une peine d’emprisonnement de 6 mois à 3 ans et d’une amende de 100.000 à 1 million, sans préjudice des poursuites pouvant être engagées contre les organisateurs ».

Et la loi précise que « sont punis de la même peine d’emprisonnement les organisateurs de ce cortège, défilé ou rassemblement qui n’auront pas donné l’ordre de dislocation lorsqu’ils ont eu connaissance des ces violences, voies de fait, destructions et dégradations ».
Puisque nous voyons poindre l’habituel plan machiavélique d’un pouvoir contesté, il est nécessaire de rappeler que « le Collectif  "SAUVONS LE TOGO"  a reçu des informations de sources dignes de foi, des témoignages et des preuves matérielles que, les troubles survenues lors des manifestations des 12 et 13 juin 2012, ont été préméditées et organisées par un groupe de délinquants sur l’instigation d’autorités proches du pouvoir en place ». A en croire les responsables du CST « le nommé Ekoué SAGBA habitant dans la rue Clémentites à Hanoukopé est le chef des opérations d’un groupe d’une vingtaine de jeunes. C’est par lui que des éléments de la gendarmerie nationale ont remis des armes, grenades lacrymogènes et des fonds pour recruter des gens en vue de semer des troubles (…) et trouver des prétextes pour décapiter le Collectif "SAUVONS LE TOGO" et étouffer la contestation qui se généralise dans toutes les préfectures du Togo ».
Les manifestations ont fait officiellement plusieurs blessés dans les rangs des forces de l’ordre et le ministre de la sécurité a fait mention de dégradations et destruction de biens publics et privés, d’entraves à la liberté de circulation, et d’agressions physiques contre des personnes. Par ailleurs, des bruits font état de la volonté de l'UFC de Gilchrist Olympio de porter plainte contre les organisateurs de la manifestation pour la "casse de son siège".

Curieusement, le pouvoir n’insiste pas sur les énormes dégâts occasionnés par les forces dites de l’ordre vis-à-vis de la population civile. A-t-on besoin de leur rappeler la mort même d’un bébé atteint par une grenade lacrymogène ?  Le peuple ne se laissera pas faire !
( www.mo5-togo.com

  Il faut donc que la proto-formoisie togolaise suive le conseil d'Amilcar Cabral, renonce à sa classe et mobilise tout le peuple pauvre. C'est le sens des commentaires que j'ai posé pour les cousins togolais depuis plusieurs jours :
Facebook : Comme je le répète depuis plusieurs jours, il faut que les Togolais commencent, par la base, la CONSTRUCTION d"un gouvernement de DELEGUES NATIONAUX révocables....
Pour ce faire, il faut FORMER des groupes de 25 personnes se choisissant entre elles.... que ce soit sur la place, dans les rues adjacentes ou dans tout autre lieu de l'entièreté du Togo... et même dans l'émigration...
Chaque groupe de 25 désigne un délégué de base (révocable à tout instant)
25 délégués de base choisissent un délégué de conseil
25 délégués de conseil un délégué député...
25 délégués députés.... délégués national (il représente 390625 personnes)
25 délégués nationaux désigneront un délégué international.... VERS LA LIBERATION DE L'AFRIQUE et de la TERRE !



MAIS QUE DIT LE PSEUDO ECOLO vrai COLONIALISTE PASCAL CANFIN ?
RIEN
QU'ECRIT SON "MINISTERE"

Togo – Manifestations (15 juin 2012)



Depuis plusieurs jours, nous suivons avec attention la situation au Togo où des manifestations ont lieu.
Nous rappelons notre attachement à la liberté d’expression qui est un fondement de la démocratie.
Nous condamnons toutes les violences ainsi que leur instrumentalisation.
Le maintien d’un dialogue constant, dans le respect de tous, peut seul permettre l’apaisement de la vie politique au Togo.
La préparation des prochaines échéances électorales doit se dérouler dans cet esprit de conciliation en mettant en œuvre les mesures nécessaires à un processus transparent, démocratique et apaisé.
RIEN !

LES ESCLAVAGISTES N'ONT PAS ANNONCE
LE DEPART DES TROUPES D'OCCUPATION
HORS D'AFRIQUE!!

PASCAL CANFIN EST UN ECOLO-ESCLAVAGISTE !

NOUS EXIGEONS LE SMIC A 1000 EUROS
POUR TOUS LES AFRICAINS !!
CANFIN DEGAGE !!
GNASSINGBE DEGAGE !
HOLLANDE DEGAGE !
TROUPES FASCISTES DEGAGENT !!!




+++DOSSIER+++


SURVIE DENONCE :

Un ancien de Turquoise auprès du président

S’il est trop tôt pour savoir quelle sera l’attitude du nouveau ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, vis-à-vis des demandes d’accès aux archives militaires sur l’implication française au Rwanda, il faut s’intéresser à Eric Bucquet, général de brigade fraîchement nommé auprès du général Puga à l’état major particulier de François Hollande. Alors capitaine, il avait participé à l’opération Turquoise au Rwanda en 1994, comme commandant du premier escadron du 3e Régiment d’infanterie et de chars de marine (RICM de Vannes).
Il figurait ainsi dans le convoi qui est venu de Gisenyi à Kibuye, où l’armée française a collaboré avec le préfet Kayishema, condamné depuis à perpétuité par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) pour les massacres qu’il a ordonnés et auxquel il a participé directement...
A la fin de Turquoise, Bucquet était à Gikongoro, dont le préfet Bucyibaruta vit paisiblement vers Troyes, alors que le TPIR a demandé en 2007 à la France de le juger. S’il est trop tôt pour dire quel fut son propre degré d’implication, il a été amené de fait à collaborer avec des présumés génocidaires. On peut craindre que, ne serait-ce que par esprit de corps avec les autres officiers de l’opération Turquoise, il soit auprès du nouveau président un frein au « droit d’inventaire » sur l’implication française au Rwanda qu’appelle de ses vœux l’éditorialiste Sylvain Bourmeau dans Libération du 1er juin.
qui faisait suite à
Surtout, on peut espérer que la nomination de l’euro-député Europe-Ecologie Les Verts, mobilisé depuis son élection en 2009 contre les paradis fiscaux, signale la volonté de concevoir les problèmes de pauvreté au travers du pillage et des flux financiers illicites plutôt que comme un besoin d’aide supplémentaire. Le recrutement au sein de son cabinet de Maylis Labusquière, chargée de mission d’Oxfam France très active au sein de la plateforme d’ONG mobilisées contre les paradis fiscaux et judiciaires, est un indice supplémentaire en ce sens. Certes, quand il était encore journaliste à Alternatives économiques, en 2008, Pascal Canfin s’est laissé « enfumer » une fois par le WWF qui l’emmena au Cameroun, avec d’autres journalistes, pour témoigner des prétendus succès de la certification forestière dont l’ONG était partenaire... au point que son article à ce sujet est un monument de publireportage pour l’industrie forestière, sans bien sûr être signalé comme tel.
Il n’empêche, cette erreur de parcours ne suffit pas à discréditer ce nouveau ministre, dont le bilan réel dépendra plutôt de sa liberté d’action vis-à-vis de son ministre de tutelle, Laurent Fabius.

Le discrédit est AUTOMATIQUE pour quiconque accepte d'appartenir à un GOUVERNEMENT COLONIALISTE OCCUPANT MILITAIREMENT UN PAYS.
C'EST LA CAS DE LA FRANCE OCCUPANT L'AFRIQUE !

GNASSINGBE, LE GANGSTER
LARBIN DES ESCLAVAGISTES
AVAIT 7% DE VOTANTS EN SA FAVEUR


source Wikipédia
L’élection a lieu le 24 avril 2005. Le scrutin est marqué par l'irruption de forces armées dans les bureaux de vote et le vol des urnes5. Faure Gnassingbé est nommé avec 60,6 % des voix.
L'opposition accuse d’irrégularité, et des affrontements entre partisans de l'opposition et forces de l'ordre et des milices du Rassemblement du Peuple Togolais (parti au pouvoir) armées de coupe-coupe (machettes archaïques utilisées principalement dans l'agriculture en Afrique de l'Ouest) et aidés avec 2 500 militaires ont lieu dans les grandes villes du pays6. Ils auraient entraîné 790 morts parmi les opposants selon la ligue togolaise des droits de l'homme7 et 154 selon la commission d'enquête officielle togolaise8. Le rapport d'enquête de l'ONU annonce entre 400 et 500 morts9. Le pouvoir organisateur de l'élection dénonça les chiffres publiés par l'ONU sous prétexte que ce dernier n'aurait repris que les chiffres donnés par le chef de l'ONU au Togo, Fidele Sarassoro, ami personnel de l'ancien ministre de l'intérieur Akila Esso François Boko qui avait démissionné de son poste quelques jours avant les élections avertissant que des massacres étaient en préparation par des proches du pouvoir et qu'il ne maîtrisait pas la situation.

(...)
L'ancien premier ministre Agbeyomé Kodjo, pilier du régime Eyadéma, opposant à partir de 2002, a affirmé que Faure Gnassingbé avait en fait obtenu 7 %11 des votes en 2005, au lieu des 60 % publiés par la CENI de l'époque.
(...)
Le 7 mars 2010, le président de la Commission électorale nationale indépendante, Issifou Taffa Tabiou, le déclare vainqueur de l'élection présidentielle du 5 mars, le créditant de 60,9 % des suffrages14 face à Jean-Pierre Fabre (Union des forces de changement), qui obtient 33,9 % des voix, et à l'ancien Premier ministre Yawovi Agboyibo (Comité d'action pour le renouveau), crédité de 2,9 %.
La totalité des candidats, sauf Faure et Nicolas Lawson (0,29 % des voix)15, refusent de reconnaître la supposée victoire de Faure Gnassingbé. Ces derniers estiment les chiffres publiés par la Commission électorale nationale indépendante de pures fabrications.


GANGSTERS CRIMINELS
DE PERE EN FILS :
LES GNASSINGBE

cf source sur REVACTU

L'élimination du président burkinabé Thomas Sankara est sans doute le sacrifice fondateur (comme le fut avec Eyadema celui de Sylvanus Olympio), Foccart et l'entourage de Kadhafi convinrent dès 1987 de remplacer un leader rop intégre et indépendant, au point d'en être agaçant, par un Blaise Compaoré infiniment mieux disposé à partager leurs desseins. L'Ivoirien Houphouet fut associé au complot.
wikipédia
Sylvanus Olympio, né à Kpando le 6 septembre 1902 et mort assassiné le 13 janvier 1963, est un homme politique et premier président de la République togolaise. Il est assassiné lors du coup d'État de 1963, des propres mains de Gnassingbé Eyadema.


++ Source ARRET SUR IMAGES

 enquête le 11/08/2010 par Laure Daussy

Menaces (et excuses) d'un colonel français à un journaliste togolais

La vidéo des menaces avait été postée sur YouTube

La vidéo fleure bon le post-colonialisme. Le correspondant de Reuters à Lomé, (Togo), a filmé mardi une scène dans laquelle on voit un colonel français, Romuald Létondot, s'en prendre à un journaliste togolais, Didier Ledoux, qui l'avait photographié s'adressant à des forces de sécurité togolaise, en train de réprimer une manifestation. La vidéo ayant rapidement buzzé sur YouTube, le colonel a été contraint de présenter ses excuses au journaliste, qui les a acceptées. Pour le journaliste, joint par @si, "l'incident est clos". Cet incident illustre l'impact des plateformes vidéo.
Le face à face est pour le moins martial. Pendant de longues minutes, le colonel français s'acharne sur un journaliste togolais pour qu'il efface une photo qu'il vient de prendre. Devant le refus du journaliste, il lance : «Tu veux qu'on te donne un coup sur l'appareil ou quoi?». Le journaliste répond qu'il fait son boulot. L'officier rétorque «je m'en fous», puis s'adresse à l'un des gendarmes togolais, présents à côté, matraque à la main, sur un ton autoritaire: «Tu le mets en tôle». Et l'officier français de lancer : "Tu sais qui je suis ? Je suis le conseiller du chef d'état-major de l'armée de terre. Tu veux que j'appelle le RCGP (Régiment des commandos de la garde présidentielle) pour foutre un peu d'ordre là-dedans?".
Regardez ces images picto

Le colonel n'avait pas vu qu'il était filmé.

Noel Kodou Tadegnon, correspondant de Reuters à Lomé, qui a filmé la scène, explique au nouvelobs.com comment il en est arrivé à réaliser cette vidéo: "Nous avons été étonnés de voir le colonel à cet endroit, alors nous avons immédiatement immortalisé l'instant et nous nous sommes avancés vers lui pour l'interviewer".
Quelle est donc cette photo qui suscite la colère du colonel ? Une photo de lui, parlant avec des forces de sécurité togolaises. Contacté par @si, Létondot explique : "je circulais dans la rue, quand je suis tombé sur une manifestation, j'ai reçu alors un gros pavé sur ma voiture. Je me suis arrêté pour parler aux forces de police togolaises qui étaient présentes, pour leur demander d'agir contre ceux qui m'avait caillassé". C'est alors que le journaliste prend sa photo.... "Je connais l'Afrique", lâche le colonel, "je sais que cette photo pouvait être déformée dans certains journaux"... Aux yeux de l'officier français, elle pouvait donner l'impression que des forces françaises appuient les forces de police togolaises dans la répression de la manifestation d'opposition. D'autant que le colonel est conseiller du chef d'état-major de l'armée de terre togolaise, et formateur des officiers togolais ..."Je suis considéré comme le méchant blanc qui conseille les gendarmes togolais".
"Je faisais mon travail", affirme tout simplement le journaliste pris à parti. Il s'agit de Didier Ledoux, de son vrai nom Komile Agbedivlo, journaliste connu au Togo, qui écrit pour le quotidien Liberté, plutôt favorable à l'opposition."J'étais en train de couvrir la manifestation, lorsque j'ai vu un officier français faisant des gestes aux forces togolaises. En attendant de savoir de quoi il s'agissait, j'ai eu le réflexe de prendre une image. J'aurais vérifié, ensuite, qui il était et pour quelle raison il se trouvait à cet endroit". Il affirme par ailleurs qu'il a pu "voir, le lendemain, la voiture du colonel qui était cabossée par un jet de pierre", ce qui confirmerait la version de l'officier. Mais il ne veut pas pour autant se prononcer sur les intentions ou actions du colonel présent au milieu de la manifestation. "Je n'ai vu que des gestes, je n'ai pas entendu ce qu'il disait aux forces de police'".
"Je me suis emporté", reconnait de son côté le colonel. Mais, à ses yeux, aucun mépris dans son attitude vis-à -vis du journaliste... Pourquoi le tutoyait-il ? "Tout le monde se tutoie ici." (pourtant le journaliste, dans la vidéo, le vouvoie). La menace de l''envoyer "en tôle"? "Ce n'est qu'une menace d'intimidation, je n'ai pas ce pouvoir. C'est ce qu'on dit de temps en temps ici pour intimider les gens". Et d'ajouter qu'il est, tout de même, dans cette histoire, la victime, à l''origine", puisque sa voiture a été caillassée. Le colonel se décrit comme un "amoureux de l'Afrique", et souligne qu'il en est à son dixième poste sur le continent. "On ne m'aurait pas mis à cette place si j'avais été méprisant envers les Africains".
"j'accepte ses excuses"

La vidéo buzze très vite sur plusieurs sites, comme Rue89. Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense, dont dépend Létondot en tant que militaire et coopérant, se sont empressés de dégonfler l'affaire, et ont organisé une rencontre entre les deux hommes, à l'ambassade de France au Togo. Le colonel et le journaliste se sont donc rencontrés ce mercredi, en présence du vice-ambassadeur et de l'attaché de défense français. "Je suis de nature tolérante, j'accepte ses excuses", affirme Ledoux à @si. Ledoux, lui, était accompagné d'une militante des droits de l'Homme , Fabi Kwassi, représentant de JDHO (Journalistes pour les Droits de l’Homme), qui voulait porter l'affaire en justice. "Devant les excuses, je ne pense pas que cela soit nécessaire", ajoute Ledoux. "L'incident est clos".
Le militaire sera-t-il sanctionné ? Ni le ministère des Affaires étrangères, ni le ministère de la Défense n'étaient en mesure de le dire à @si. La mission au Togo de Létondot se termine, de toutes manières, dans quinze jours. Le ministère français s'est fendu d'un communiqué, expliquant qu'il condamne l'attitude de l'officier, et qu'il "ne se reconnaît absolument pas ni dans les propos ni dans le comportement de cet officier français. La liberté de la presse est une valeur essentielle".
"Il est souvent difficile de faire notre travail, nous sommes très souvent confrontés à ce genre de situation", explique de son côté Noel Kodou Tadegnon au Nouvelobs.com. De son côté, Didier Ledoux confie à @si sa "déception" qu'un "officier français se comporte exactement comme les gendarmes et l'armée togolaise avec les journalistes".
Mots-clés : armée, journaliste, létondot, ledoux, Reuters, togo
DEPUIS 15 ANS, RIEN N'A CHANGE Archives UFC Togo

Togo : de l’argent français finance la terreur

par Amnesty International , le 1er novembre 1999, publié sur ufctogo.com
Au lieu de protéger les citoyens togolais, les forces de sécurité sont à l’origine d’une vague de terreur qui ébranle la structure fragile de la société. Or, qui soutient les forces de sécurité du Togo ? Publié en 1999, ce document d’Amnesty International est malheureusement toujours d’actualité 5 ans après les faits sur plusieurs points, comme par exemple, les formations de militaires togolais en France.

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Le secrétaire général d’Amnesty International, Pierre Sané, présente l’une des balles utilisées au cours d’une attaque de l’armée togolaise contre les maisons des dirigeants de l’opposition, en août 1998. Ces balles ont été fabriquées par la Société française de munitions. © AI
Le Togo continue de bénéficier d’une importante aide militaire de la France, son ancienne puissance coloniale. En vertu d’un accord de défense, la France peut intervenir à tout moment à la demande du Togo en cas d’invasion étrangère. Cet accord, dont les détails n’ont jamais été rendus publics, prévoirait également l’intervention des forces françaises en cas de troubles à l’intérieur du territoire togolais.
Le secret qui entoure la coopération militaire entre la France et le Togo ne permet pas une analyse détaillée. Cependant, les informations parvenues à Amnesty International indiquent que l’aide militaire française, notamment celle concernant la fourniture d’équipements et l’entraînement des militaires, a été utilisée dans le but de réprimer la population civile du Togo.
- Au mois d’août 1998, les forces de sécurité ont attaqué les domiciles de Jean Pierre Fabre, de Gnassingbé Amah et d’autres dirigeants de l’opposition, à l’aide d’armes légères et de roquettes. Certaines des balles retrouvées après ces attaques se sont avérées, après analyse, avoir été fabriquées par une entreprise française, la Société française de munitions (SFM).
- La France fournit une aide directe pour l’entretien du matériel qui s’élève annuellement à 5 millions de francs. Elle a également réparé et remis à neuf les avions Buffalo de fabrication canadienne de l’armée de l’air togolaise, qui sont conçus et utilisés pour le parachutage de troupes et de conteneurs. Ce sont ces mêmes avions qui, selon des témoins, auraient servi pour jeter des cadavres au large des côtes du Togo et du Bénin
- La France assure une présence permanente de 28 conseillers militaires, dont des instructeurs, un pilote et des mécaniciens. Elle a également entraîné des membres des forces armées togolaises. On ignore cependant quelles procédures, si toutefois elles existent, ont été mises en place pour s’assurer que ces militaires respectent les droits humains ou pour surveiller leurs activités une fois leur programme d’entraînement terminé.
- Un haut responsable de la gendarmerie togolaise, mis en cause par la Commission nationale des droits de l’homme du Togo pour avoir ordonné que quatre personnes soient torturées en août 1990, s’est vu remettre la décoration d’officier de l’ordre national du mérite par la France en avril 1998. D’autres responsables présumés d’actes de torture ou de mauvais traitements auraient suivi des stages de formation en France.
Amnesty International - Novembre 99


LA FRANCE FASCISTE FORME SES LARBINS HARKIS AU CRIME

 26/04/10 - FFCV : DIO au Togo


Mise à jour : 06/07/2010 16:38
Du 30 mars au 10 avril 2010, le 23ème BIMa de Dakar a projeté, à LOME, un détachement d'instruction opérationnelle (DIO) au profit de 150 fantassins des Forces Armées Togolaises (FAT). Ce DIO avait donc pour objectif de préparer la compagnie d'infanterie qui relèvera le détachement de la MINURCAT à Birao en République de Centrafrique.
Les FAT ont suivi des entraînements répétés dans les domaines de la reconnaissance d'axe, du check point, du combat en zone urbaine et de la tenue de postes de combat. Pendant plus de 10 jours, la compagnie a pu travailler dans son format organique, avec ses matériels, de jour comme de nuit.
Forts de leur expérience et de leur connaissance de la Centrafrique, les militaires français ont partagé leur savoir-faire en opérations extérieures, certains utilisant des exemples de situations vécues au cours des exercices tactiques. Ces dialogues ont permis de mieux faire comprendre aux militaires togolais la difficulté de leur mission.
Cette mission rentre dans le cadre de la coopération militaire française avec les pays de la communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO) et en particulier avec le Centre d'Entraînement aux Opérations de Maintien de la paix (CEOMP) stationné dans la capitale du Togo. Ce centre accueille l'ensemble des détachements togolais amenés à partir au sein de missions de maintien de la paix, sous mandat des Nations unies et de l'Union africaine. Il s'agit pour eux de suivre une préparation de trois mois au cours desquels interviennent notamment un conseiller technique de la direction de la coopération de sécurité et de défense française, des stages d'aguerrissement menés par les FAT pour affermir la cohésion et pour la première fois des DIO français spécialisés dans l'entraînement au combat de l'infanterie.
Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense

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