C'en était trop .... IL NE FALLAIT PAS QUE LES 55 LECTEURS EN QUELQUES HEURES NE FASSENT DES LEGIONS DE MILITANTS ANTI-FRANCEAFRIC...
ET VOILA LE TRAVAIL !!!
Lire les courriers en dessous.... contenant les mensonges et la duplicité de mon interlocutrice..... (à aucun moment de l'inscription n'est précisé une LIMITE
== Actualités > Libertés, Droits de l'Homme
publié par Yanick Toutain (Matérialiste, newtoniste,égalitariste, partisan de la Révolution Permanente) Aujourd'hui 13H50
Nommé par Mitterrand PC-PS
1982, soutenu par PCanfin FHollande 2012, le harki supplétif Paul Biya
persécute le combattant Mboua Massock ! BIYA DEGAGE ! FHOLLANDE DEGAGE !
*** CONTENU RETIRE PAR LES MODERATEURS ***
Auteur : Yanick Toutain - Source : #RevActu (Révolisation Actu)
mardi 19 juin 2012
Nommé par Mitterrand PC-PS 1982, soutenu par PCanfin FHollande 2012, le harki supplétif Paul Biya persécute le combattant Mboua Massock ! BIYA DEGAGE ! FHOLLANDE DEGAGE !
Pour la Nième fois le harki Biya, le gardien de la plantation #Franceàfric Cameroun se permet d'arrêter le grand combattant Mboua Massock !
samedi 12 février 2011
Mboua Massock interpellé à Douala (Camer.be ) L'homme qui a appelé à la Révolution Camerounaise le 23 février a été inquiété par les sbires fascistes de Paul Biya.
mercredi 23 février 2011
Cameroun : Ils ont arrêté Mboua Massock et ses amis ! Les pantins fascistes de Paul Biya et Vincent Bolloré arrêtent les leaders et envoient leurs médias annoncer l'absence de mobilisation ! BIYA DEGAGE ! BOLLORE DEGAGE !
Enfin des infos. Sur Camer.be on trouve un bilan sur les tentatives de ce matin.
=
Cameroun, 23 février 2011: Etat des lieux jusqu'à 11h 30 ce jour avec au menu des arrestations de plusieurs leaders de l'opposition
Nkongsamba: Une dizaine d'arrestation des manifestants à Nkongsamba, chef lieu du département du Moungo. Après s’être entassés pendant une demi-heure à côté de l'ancienne gare ferroviaire de Nkongsamba, non loin de l'ancien Gortzounian, une trentaine de jeunes ont spontanément engagé une marche pacifique en direction de la place de l'indépendance ce matin à 9 heures. Les policiers du Groupement mobile d’intervention (Gmi) du Moungo ont surgi, plus d'une vingtaine, ont sauté sur les manifestants et les ont violemment chargés à l’aide de leurs matraques. Enlevant au passage une dizaine de manifestants.
Douala:
Des personnes arrêtées au niveau de Kayo Elie à Komondo
Quatre personnes arboraient des T-shirts de couleur rouge. Signe de protestation contre le pouvoir de Monsieur Biya. Toujours à Douala, de nombreux policiers circulent en civil dans les taxis.
Jusqu'à 10h ce matin, la situation est plutôt calme. L'on aperçoit dans les grands carrefours ( Rond Point Deido, Carrefour Ndokoti, Bojongo, Bonassama, Carrefour Ange Raphael, Rond point Komondo, etc.) un déploiement discret des forces du Bataillon d'intervention rapide).Des tracts continuent néanmoins à circuler
A 11h 30, Jean Michel Nintcheu, Anicet Ekane, Mboua Massock,Abanda Kpama, Robert Simo, viennent d'être interpellés à Douala et transportés dans quatre véhicules différents vers des lieux différents à destinations inconnues.
Le Rond Point de la salle de fête d'Akwa est envahi par les forces de l'ordre où un rassemblement a été prévu ce jour à 12 h. Nous y reviendrons
Kumba: La police disperse les manifestants à Town Green
Très tôt ce matin, la police a dispersé les manifestants, une dizaine. Ces derniers ont mis le feu sur des pneus et s'apprêtaient à bloquer l'axe principal reliant Town green à Up Station. Les forces de l'ordre campent autour des endroits les plus fréquentés de la ville. L'on annonce du renfort en provenance d'Ekondo Titi au cas où la population se soulève nous confie une source policière.
Mbalmayo: Situation calme dans la ville cruelle
Les forces de l'ordre qui ont pris position à Ngallan, Quartier mécanicien, Obeck etc. demeurent en poste. La situation dans la ville est calme. Selon une autorité locale, les tracts sont arrivés dans la ville dans la journée d'hier. la police passe au crible les activités des propriétaires des cybers café.
Yaoundé: Pas de trace de mouvement de contestation
La capitale camerounaise présentait ce matin ( 11h) un aspect habituel. L'on note cependant le déploiement des forces de l'ordre visible depuis hier dans les principaux quartiers de la capitale.
Sur la place du 20 mai, tout est calme. L'activité dans le centre-ville est normale. Les vendeurs à la sauvette sont en poste devant le marché du Mfoundi et les échoppes ouverts.
L'ambassade de Suisse à Yaoundé a demandé par voie de communiqué à ses ressortissants de "limiter leurs déplacements" ce mercredi. D'autres chancelleries ont envoyé des messages exhortant à la prudence.
Bafoussam: Des éléments du Bataillon des troupes aéroportées de Koutaba sont dans la ville depuis samedi.
La situation est également au calme. A chaque entrée et même devant les grands centres commerciaux et établissements financiers, des groupes de 4 à 5 policiers, gendarmes et militaires, armées et munis des gaz lacrymogènes étaient visibles jusqu'à 11h ce matin. Certains avaient un regard très menaçant et d’autres très détendus. Au lieu dit Carrefour Tamdja, un car de la police est garé avec environ 10 policiers. A l'entrée de la ville de Bafoussam, côté Mbo’o, trois camions militaires et un pick-up de la gendarmerie sont garés avec des hommes en tenue de faction. Il a aussi été donné de constater que certains éléments de la force de maintien de l’ordre allaient à pied, renforçant ainsi les patrouilles qui sillonnent, la ville de jour comme de nuit.
N’Gaoundéré: La ville est calme
Les élèves et étudiants, la population en générale vaque à ses occupations. Les éléments de la force de police sont présents dans les rues. L'on annonce selon une source que certains d'entre eux se sont transformés en conducteurs de moto taxi pour pouvoir cerner tout mouvement de soulèvement et aussi, mieux identifier les éventuels auteurs des troubles.
Bamenda: Tout est calme
Les populations de la capitale régionale du Nord-Ouest vaquent comme d'habitude à leurs occupations. Les résidences des leaders sécessionnistes sont placées sur haute surveillance par les éléments du BIR nous confient une source qui a requis l'anonymat.... ( Etat des lieux jusqu'à 11h 30)..... Restés scotchés pour les UP DATES
JUIN 2012
Cette fois, le harki fasciste de Bolloré se sent fort : c'est la GAUCHE FRANCAISE qui l'a placé à son poste.
NOMME PAR MITTERRAND GVT PC-PS 1982
BIYA EST SOUTENU PAR
#PCANFIN ET #FHOLLANDE 2012
IL PERSECUTE MBOUA MASSOCK
En fonction depuis le 4 novembre 1982 (29 ans, 7 mois et 15 jours) |
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Élection | 06 novembre 1982 |
Réélection | 11 octobre 1997 11 octobre 2004 21 octobre 2011 |
Douala: Mboua Massock arrêté par les forces de l’ordre
Écrit par Hervé Villard Njiélé (site La Nouvelle Expression du Cameroun) |
Mardi, 12 Juin 2012 09:22 |
0digg Selon des informations de sources concordantes, le leader de La Nouvelle Dynamique Nationaliste Africaine, (NODYNA) distribuait des tracts quand cela s’est produit Mboua Massock médite actuellement son sort dans les geôles de la brigade de gendarmerie du Port de Douala. Il y a été conduit par les éléments de cette gendarmerie aux environs de 17h 30 minutes. Arrêté en plein centre ville d’Akwa pendant qu’il distribuait des tracts de soutient aux conducteurs de mototaxi, appelés à ne plus circuler dans certains quartiers de la ville de Douala à partir de ce 12 juin 2012. Même si le motif de son arrestation n’est pas encore clairement établi, tout porte à croire que l’un des principaux acteurs de l’opération ville morte, qui a paralysé le Cameroun dans les années 1992 est arrêté comme par le passé, pour trouble à l’ordre public. Compte tenu du climat délétère qui prévaut dans la ville de Douala, depuis l’annonce du début d’application du décret du premier ministre, portant régulation des conducteurs de motocycles à titre onéreux, les forces de l’ordre en faction dans les différentes ruelles et points de regroupement de la ville ne sont pas prêts à tolérer tout mouvement pouvant troubler «la paix sociale ». En distribuant des tracts, celui-ci a affirmé son soutient au conducteurs de motos. Le combattant a donc été interpellé le long du boulevard de la liberté, avec une seconde personne donc l’identité n’a pas encore été révélée. Il est actuellement en détention provisoire dans les cellules de la gendarmerie territoriale de Bonanjo située au lieu dit ancienne gare de Douala. Sur les tracts de la dimension d’une carte de visite qui se distribuaient, on pouvait lire : «Aux ben-skineurs, mon total soutien. Resistance jusqu’au but. Ainsi est justifié mon combat sociopolitique. Pour en faire un camp fort, toujours je me place à coté des faibles et des affaiblis. Voilà pourquoi est total mon soutien pour les plus exposés et en ce moment surtout en faveur des ben-skineurs, désormais présentés comme étant des handicaps à la mise en œuvre «des grandes réalisations» par ces voleurs de la fortune publiques, arrogants fossoyeurs de la justice sociale et de la paix des cœurs au Cameroun.» Il faut bien le rappeler, Mboua Massock n’est pas à sa première interpellation. Auteur permanent des mouvements de protestation dans la ville de Douala, il a été plusieurs fois interpellé par les forces de l’ordre et relâché après. Les récentes interpellations de l’homme politique les plus médiatisées remontent à 2011. Arrêté pour avoir tenté de détruire des monuments coloniaux, qui selon lui, sont préférés à nos héros nationaux, le président de la Nodyna a une fois de plus été interpellé alors qu’il engageait une marche pour la transparence des élections présidentielles de au Cameroun. Aujourd’hui âgé de 57 ans Mboua Massock sera –t-il relâché comme les autres fois ? Nous ne perdons rien à attendre. |
Cameroun: Mboua Massok encore arrêté pour "trouble de l'ordre public"
15 juin 2012 Juliette Abandokwe "Les combattants Mboua Massok – Secrétaire général du NODYNA -, et Yon Daniel - militant - sont détenus depuis le 11 juin 2012 au groupement de gendarmerie, vers la direction des douanes à Douala." (SMS reçu aujourd’hui).C'est dans des circonstances extrêmement électriques que le Combattant Agissant Mboua Massok a été interpelé lundi dernier 11 juin au niveau de l’axe Liberté, avec un de ses militants Yon Daniel, alors qu’il distribuait des tracts appelant ses compatriotes à la résistance. Ils auraient été arrêtés par la Brigade de Gendarmerie, et détenus non loin de la Direction des Douanes à Douala. Poumon économique du Cameroun et des pays riverains enclavés, et traditionnellement premier fief de la grogne anti-Biya, la ville de Douala est sous tension depuis le début de la semaine. En effet, pour tenter d'enrayer la montée anarchique du « phénomène » des mototaximen, les autorités ont décidés de bloquer leur accès aux grands axes de la ville. Officiellement considérés comme une menace pour l’ordre public, ils représentent en vérité une masse populaire potentiellement non maîtrisable, et donc un gros danger pour le régime d’Etoudi qui a encore besoin de faire semblant de parfaitement contrôler la situation. Les grandes artères sont donc quadrillées par les forces de l'ordre, et le délégué du gouvernement, Fritz Ntoné Ntoné, a publié une liste de quartiers désormais interdits aux mototaximen. Ils n'ont droit de rouler qu’en périphérie dorénavant, ce qui correspond évidemment à une véritable déclaration de guerre. Une riposte a d’ailleurs été d’ores et déjà promise. Des mesures clinquantes et démagogues qui ne font que simuler une résolution de symptômes d'un malaise profond et grandissant, et qui ne servent qu’à jeter la poudre aux yeux du peuple camerounais, comme d’habitude. Dans un contexte où le taux de chômage, chez les jeunes particulièrement, est devenu un secret d'Etat tant il est scandaleux pour un régime « librement et démocratiquement élu », au pouvoir depuis 30 ans, le peuple Camerounais a une fois de plus la preuve que « son Choix » n’a jamais eu la moindre intention de travailler pour le bien de la Nation. Paul Biya, locataire à temps partiel du 6ème étage de l’Hôtel Intercontinental de Genève, se montre une fois encore incapable de juguler une crise qu’il estime racailleuse et ponctuelle, alors qu’elle n’est qu’une manifestation des plus naturelles de l’absence d’avenir d’une jeunesse sans formation et sans emplois. A vrai dire, l’augmentation du nombre de mototaximen, alimentée par l’accès facilité aux motos chinoises inondant le marché camerounais, n’est que le signe d’une situation socio-économique qui s’aggrave exponentiellement. L’Etat n’arrive pas à gérer un problème qu’il a lui-même provoqué à travers une monumentale malgouvernance depuis 30 ans. La brutalité et la répression, seul langage qu’il connait et dont il use avec application, risque à tout moment de déclencher l’explosion d’une véritable bombe à retardement que le pouvoir cherche à présenter comme une simple crise sociale d’un instant. S’étant appliqué pendant 30 ans à faire croire aux Camerounais qu’ils étaient bons à rien, profondément impotents et surtout superflus, Biya joue à l’autruche comme toujours, sautillant avec insouciance de crises en émeutes à l’aide de sa Brigade d’Intervention Rapide (BIR), qui n’est autre qu’un groupe paramilitaire de tonton-macoutes. Il fait semblant que tout va bien au Cameroun, mais sait parfaitement que sa démarche de gain de temps est très limitée et qu’il joue avec le feu au quotidien. Aucune solution de rechange n’est donnée à des milliers de jeunes dont « le choix du peuple » Paul Biya confisque brutalement le revenu de survie, hypothéquant le droit à la vie tout simplement. Camille Parfait Mboua Massok, la voix du petit peuple, est bien davantage qu’un combattant. Malgré les campagnes d’intimidation répétées du pouvoir dont il fait l’objet depuis des décennies, et les sarcasmes dont l’affublent certains de ses compatriotes en mal d'initiatives véritablement porteuses propres, il est devenu un mythe, l’expression de plusieurs générations, et donc d’une tranche importante de la population. Biya sait très bien que si d’aventure il osait toucher à un seul cheveu d’une telle icône, il le paierait très cher. Les matraques et la barbarie du BIR, d’un système qui veut faire croire à un peuple entier qu’il est impuissant, ne peuvent rien dans une guerre d’usure où les esprits apprennent à s’émanciper au prix du sang. Qui vivra verra.
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mardi 22 février 2011
BOLLORE DEGAGE ! ON N'EST PLUS EN ESCLAVAGE ! PAUL BIYA CASSE-TOI ! SARKOZY NE VIENDRA PAS ! Une réponse-mise au point à l'intention de Cameroun-BMG sur Facebook.
Auteur : Yanick Toutain - Source : #RevActu (Révolisation Actu)
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