par Yanick Toutain
REVACTU
4/2/2015
"Les deux amants [le terroriste et la femme] s'engouffrent dans le parking,
sans que le planton y trouve à redire.
Et pour cause : la voiture appartient à la gendarmerie nationale
et la jeune femme est sous-officier,
chargée du renseignement opérationnel !
Le lendemain, Amar R. revient sur les lieux.
Mais seul, cette fois, et au volant de sa propre voiture.
Comme la veille, il pénètre sans difficulté dans le fort de Rosny.
Comme s'il était chez lui.
sans que le planton y trouve à redire.
Et pour cause : la voiture appartient à la gendarmerie nationale
et la jeune femme est sous-officier,
chargée du renseignement opérationnel !
Le lendemain, Amar R. revient sur les lieux.
Mais seul, cette fois, et au volant de sa propre voiture.
Comme la veille, il pénètre sans difficulté dans le fort de Rosny.
Comme s'il était chez lui.
On peut pas poursuivre et interroger pour "apologie du terrorisme" Ahmed 8 ans, Ayman 9 ans et le prof de philo Jean-François Chazerans et en même temps surveiller les terroristes...
On ne peut pas persécuter les témoins de violences à enfants dans les écoles, les interpeller manu militari, les juger sans convocation et en même temps punir les terroristes..
En conséquence de quoi, ceux qui les financent sont leurs amis et leurs pantins terroristes "s'aimaient d'amour tendre" avec une sous-officier chargée du renseignement opérationnel.
C'est une nouvelle bombe contre le complot de l'Etat voyou que lance le Canard Enchaîné du jour.
Elle vient en complément de l'autre nouvelle de ce mercredi "Des officiers turcs dans les rangs djihadistes" signée Claude Angeli.
Le Canard Enchaîné titre en couverture
"La belle histoire d'amour entre un complice de Coulibaly et une gradée de gendarmerie. La justice enquête..."
C'est pendant une surveillance policière que le membre du réseau criminel des Buttes Chaumont réussit l'exploit de pénétrer dans le Fort de Rosny.
Lisons Didier Hassoux
"Après l'issue tragique de la prise d'otages de Vincennes, les policiers décident de ne pas interpeller Amar R., mais de l'épier. Ils veulent être certains qu'il ne s'apprête pas, à son tour, à passer à l'action Et ils espèrent être conduits vers de nouvelles pistes. Ils le suivent à Grigny, puis à Gonesse et à Rosny-sous-Bois. Là, le suspect a rendez-vous avec une jeune femme. A bord du véhicule de cette dernière, le couple batifole gentiment. Puis la voiture fait mouvement. Direction plutôt inattendue : le centre technique de la gendarmerie nationale de Rosny-sous-Bois, une des fiertés des pandores. Derrière de hauts murs, cet ancien fort abrite, entre autres, le Service central des réseaux et technologies avancées, le Service technique de recherches judiciaires et de documentation, le Système des opérations et du renseignement. Une vraie gare de triage numérique... Les deux amants s'engouffrent dans le parking, sans que le planton y trouve à redire. Et pour cause : la voiture appartient à la gendarmerie nationale et la jeune femme est sous-officier, chargée du renseignement opérationnel ! Le lendemain, Amar R. revient sur les lieux. Mais seul, cette fois, et au volant de sa propre voiture. Comme la veille, il pénètre sans difficulté dans le fort de Rosny. Comme s'il était chez lui. Branle-bas de combat !Ce sont des abrutis finis ou bien l'on se fout de nous dans les grandes largeurs.
On attend que le ministre de la défense vienne nous avouer que la présence du terroriste Amar R. avait comme explication son appartenance aux réseaux fascistes de faux musulmans qui pourrissent la France actuellement !!!
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