par Yanick Toutain
REVACTU
26/2/15
Pourquoi les droits d'auteur de nos ancêtres ne sont-ils pas reconnus ?
"Tout ce qu’on a, il a fallu le gagner / A vous de jouer mais faudrait vous bouger"
JJ Goldman Vampire innovois
"Tout ce qu’on a, il a fallu le gagner / A vous de jouer mais faudrait vous bouger"
JJ Goldman Vampire innovois
Innovoisie: (classe innovoise)
néologisme, concept néo-marxiste et post-marxiste (YT 1996)
néologisme, concept néo-marxiste et post-marxiste (YT 1996)
Classe sociale formée des travailleurs qui, par leurs innovations obtiennent un revenu consommable plus grand que le revenu consommable moyen mondial. Lire éléments pour un manifeste programmatique égalitariste.
"Au total, avec près de 7,8 milliards d'euros, le montant des droits d'auteurs perçus dans le monde reste stable, observe le rapport. La musique génère le plus de droits (87% du total des perceptions) parmi l'ensemble des répertoires artistiques (audiovisuel, art dramatique, littérature et arts visuels)".(France24)
LES VAMPIRES INNOVOIS : "Aujourd'hui j'envie tellement ta jeunesse"
On avait eu droit aux insultes de Maxime Le Forestier et de Pierre Arditi qui traitaient de pétainistes ceux qui téléchargeaient sans accepter le racket des Fermiers Généraux SACEM....
MERCREDI 6 MAI 2009
On avait eu droit à Alain Souchon crachant sur Che Guevara et faisant la propagande de Sarkozy...On avait eu droit aux âneries de ces zombies séniles qui crachent sur leur jeunesse, leurs idéaux... des cadavres ambulants d'une classe sociale dégénérée...
Voici maintenant les sénile en bande organisée !
La nouvelle chanson des privilégiés de l'innovoisie qui viennent nous chanter leur bonheur pendant que Hollande organise la dictature fasciste : "Toute la vie" . Le mot "Enfoirés" était prémonitoire !
"Les portes closes et les nuages sombres
C'est notre héritage, notre horizon
Le futur et le passé nous encombrent
Avez-vous compris la question ?
NON
Vous avez tout, l'amour et la lumière
On s'est battus on a rien volé
Nous n'avons que nos dégoûts, nos colères" (source)
On sent les vampires regarder avec gourmandise ces jeunes rêvant de leur voler - non seulement leurs revenus - les jeunes Français sont de plus en plus nombreux à passer SOUS le seuil du PIB moyen mondial (on arrondira à 1000 euros) - mais encore de leur sucer leur jeunesse.
Toute la vie
C'est une chance inouïe
Mais, vous avez, oui vous avez
Mais, vous avez, oui vous avez
Toute la vie
C'est une chance un défi
(...)
Toute la vie
Tu sais le temps n’a pas de prix
(... )
Toute la vie
C’est à ton tour et vas-y
Regardez les visages de ces vampires de l'innovoisie : des malades de pathologie consumériste qui ont cru qu'ils avaient un DROIT à consommer PLUS que les AUTRES HUMAINS !
Monsyte : N'importe quel vrai marxiste évolué est capable de comprendre que c'est l'huile de palme cueillie à Kienké, au Cameroun, par Michael Agbor et ses camarades, pour un salaire mensuel de 50 euros par mois qui permet l'extraction de la plus-value nécessaire à la distribution des « droits d'auteur ». La plus-value extraite sur la vente à bas prix du cacao, du café, du coton, du pétrole, de l'uranium etc etc...
Ceux qui sont « mortifères » ce sont les membres des classes exploiteuses.
Et la classe innovoise du sénile Arditi en premier lieu.
Ils sont mortifères en acte, pas seulement en discours.
Leur niveau de vie d'exploiteurs est à ce prix.
Il faut RENVERSER la classe innovoise : elle est la composante CORROMPUE, malade consumériste de la strate des Innovants !
Il faut la chasser du pouvoir et abolir les droits d'auteurs !
JEUDI 26 FÉVRIER 2009
MUSIQUE VS INNOVOISIE (was Music vs. the music industry by Seth Godin)
MUSIQUE VS INNOVOISIE (was Music vs. the music industry by Seth Godin)
Framablog publie un article écrit par Seth Godin(traduction Claude Le Paih : Musique vs L’Industrie Musicale).
Seth Godin analyse la marchandisation de la musique face aux progrès technologiques. Ses remarques m'ont inspiré un commentaire.
La « pop music », je l'écoutais sur MON transistor.
Difficile de capter radio Caroline*, le bateau émettait trop faiblement : je devais constamment tigonner la longueur d'onde pour ne pas perdre ma station préférée. Sous mes draps, à la lueur de la lampe de poche. Quand la maison s'endormait.
C'était MON « transistor », MON poste à transistor : propriété individuelle chèrement défendue dans le collectivisme intrusif qu'est la famille sous le règne de la bourgeoisie triomphante.
MON transistor, je l'avais gagné dans un radio crochet. J'avais douze ans. Était-ce en chantant - sous un chapiteau de cirque - « Les marionnettes » de Christophe sur WRTL (radio Luxembourg à l'époque) ou en devinant - sous un autre chapiteau - « Le pélican » dans la version jeune du jeu des mille francs de Lucien Jeunesse sur France Inter ? Je le saurai prochainement par la ré-émergence télématique de toutes les archives de l'humanité.
Nous étions les auditeurs-pionniers de la pop music : sa caractéristique « populaire », ce n'était que l'insulte que les partisans de l'ami de la mafia qu'était Franck Sinatra nous avaient décernée.
Nous étions les pionniers : déjà « hackers » occupés à refaire le monde en informatique grâce à l'Album des jeunes (1964 ?) de Sélection du Reader's digest. Occupés à fabriquer notre premier ordinateur en …. boites d'allumettes.
« Hexapion » était le nom du jeu auquel notre ordinateur donnait ses compétences ; une sorte de mini jeu d'échec sur 9 cases. Le programme avait la capacité extraordinaire d'améliorer ses performances à mesure de ses défaites.
Nous écrivions nos premiers poèmes pendant que nos parents séchaient leurs larmes versées pour la mort de John Kennedy et d'Édith Piaf. Plus de larmes d'ailleurs – en octobre 1963 - que pour le décès de mon grand-père rebelle qui chantait l'Internationale à table.
Souvenir encore émue – je pense encore à elle – de la gentille monitrice de colonie de vacances – Robertot près de Cany-Barville – qui poliment et gentiment me demanda à emprunter mon carnet de poèmes pour le montrer aux autres moniteurs. Cela devait être à l'été 1964. J'avais dix ans.
Les colonies de vacances nous faisaient découvrir les premiers accords de guitare et nous révéler la méchanceté de ces messieurs Prudhomme et Prieur, sinistres personnages - monstres de Conservatoire - s'acharnant à nous humilier en nous dégoutant du solfège à vie. Les Beatles entraient dans nos vies.
Mes premières chansons furent écrites en « anglais » : pour ne pas que les filles puissent comprendre les paroles !
« If you don't want me, I'll set out again. I'll go by the road at random of my fate. »
Les Anglais ne nous comprenaient pas non plus !!!
Il y avait un C, un G, un F. Trois accords.
Nous chantions gratuitement. Nous écrivions gratuitement des chansons.
Nous échangions, gratuitement, des accords, des techniques, des arpèges, des picking.
Jouer en public nous rapportait bien moins d'argent que le coût du matériel : mon premier batteur avait fait toutes les répétitions en tapant sur les tables (d'un presbytère). Il n'avait pu s'acheter que les baguettes.
Pour notre premier concert, il eut trois heures pour s'entrainer sur la batterie qu'on nous avait prêté. L'après midi de répétition pour devoir jouer toute la soirée. Un club de natation célèbre aujourd'hui. Balaise le batteur : Didier Gallais !*
Nous avons commencé par "Help". A trois voix.
Nous rêvions de « passer en radio ».
Pendant ce temps nos « idoles » - nous, nous n'avions pas des « idoles ! », nos groupes préférés tombaient les uns après les autres sous les coups de la guerre que nous menaient la CIA et l'armée américaine : Mon béguin pour la Janis Joplin de Summertime mourait sous la mort de l'héroïne.
Nous chantions Neil Young 'The Damage Done » en jurant de ne jamais – de notre vie – toucher à aucune drogue. Nous militions dans la 4° Internationale trotskyste pour changer le monde avant qu'il ne parvienne à transformer toute la jeunesse en drogués.
Je n'ai jamais touché à aucune drogue et les preuves du complot criminel sont en plein jour : drogue pour les afro-américains de Los Angeles en pleine lumière par la commission John Kerry, LSD et drogues psychédéliques dont l'origine militaro -policière est rappelée par Naomi Klein dans « la stratégie du choc ».
Nous voulions un monde de musique, un monde de paix, un monde de fraternité.
Mais l'innovoisie des droits d'auteur a tout pourri : ils se sont fait corrompre par la bourgeoisie des actions.
Ce sont ces deux bourgeoisies qui mènent le monde actuel à la catastrophe.
Ils veulent même, maintenant, fliquer nos ordinateurs pour vérifier que nous avons payé tous les droits.
Seule la gratuité totale de l'immatériel garantira nos libertés.
Mes chansons sont gratuites : sur YouTube en flv et surSkyrock en mp3.
JE NE LES DÉPOSERAI JAMAIS.
Je réclame un revenu (mensuel) définitif de 1000 euros (ou 1200 dollars) à la société.
Toutes mes découvertes passées et à venir sont l'héritage d'Émile mon grand-père, l'héritage de Newton, l'héritage de l'auteur de l'ordinateur en boite d'allumette.
Je suis l'héritier des milliards d'hommes qui ont fait ce que je suis : et encore une pensée pour Robertot et ma fée pour mes dix ans – et les dizaines d'autres.
Je suis l'héritier des inventeurs des mots, des lettres, des chiffres etc etc...
Et les ayant-droits de ces inventeurs sont tous mes cousins humains.
« A bas les droits d'auteur » sera le mot d'ordre de la troisième révolution sociale qui vient.
La première fermera les Bourses, la deuxième démasquera les faux marxistes et leurs salaires privilégiés.
La troisième, dans la foulée des deux premières, mettra la lumière sur la productivité ancestrale : les escrocs qui se prétendent ayant droits de Elvis Presley n'ont jamais payé les droits des inventeurs des mots, des lettres, des chiffres, de la colle à bois, de la tierce, de la quinte...
Mais de tout cela j'ai clarifié la logique économique dans« La productivité ancestrale ».
Je n'ai qu'une chose à ajouter : les ennemis politiques de la classe innovoise, les combattants qui s'opposent au pouvoir de l'innovoisie des droits d'auteur ne peuvent pas pirater. Les ouvriers de Petrograd ne volaient pas dans les usines de leurs patrons. Le combat est un combat politique. Pas une technique semi-mafieuse inspirée de la bande à Bonnot, ces anarchistes imbéciles qui pratiquaient la « reprise individuelle ».
Les partisans de la « reprise individuelle » ne font rien pour préparer une révolution.
Il faut en préparer SIX ! SIX REVOLUTIONS !
Il est urgent que Seth Godin et tous ceux qui souhaitent un monde de musique et d'harmonie en prennent conscience et commencent à y travailler : il faudra vaincre l'innovoisie !
NOTES :
rendons à César : le groupe pris comme nom « Question » après mon départ pour créer – avec Patrice Rouat – Dilemme. « Question » était formé de Christian Kacsmarek (devenu extraordinaire bassiste et arrangeur … et compositeur classique) et de son frère.
radio Caroline : par Wikipédia, je découvre, à l'instant son - persistant - site :Site de la station anglaise terrestre
Site de la station anglaise historique
Site de la station française rennaise
Gary Webb extrait wiki) ↑ *Borjesson, Kristina (Ed.) (2002). Into the Buzzsaw: Leading Journalists Expose the Myth of a Free Press. Prometheus Books. ISBN 1-57392-972-7. Le chapitre 14 est de Gary Webb et inclus cette citation. Edition française : **Borjesson, Kristina (Ed.) (2003). Black List Quinze grands journalistes américains brisent la loi du silence. Les Arènes. ISBN 2-912485-51-7.
J'ai lu ce chapitre rédigé par Gary Webb.
Framablog publie un article écrit par Seth Godin(traduction Claude Le Paih : Musique vs L’Industrie Musicale).
Seth Godin analyse la marchandisation de la musique face aux progrès technologiques. Ses remarques m'ont inspiré un commentaire.
« Dans les années soixante-dix et quatre-vingt, vous écoutiez une chanson car « tous les autres » l’écoutaient aussi. C’est la définition de la pop music. À cette époque, nous définissions « les autres » comme des personnes de notre université ou des gens écoutant la radio WPLJ[2]. »
La « pop music », je l'écoutais sur MON transistor.
Difficile de capter radio Caroline*, le bateau émettait trop faiblement : je devais constamment tigonner la longueur d'onde pour ne pas perdre ma station préférée. Sous mes draps, à la lueur de la lampe de poche. Quand la maison s'endormait.
C'était MON « transistor », MON poste à transistor : propriété individuelle chèrement défendue dans le collectivisme intrusif qu'est la famille sous le règne de la bourgeoisie triomphante.
MON transistor, je l'avais gagné dans un radio crochet. J'avais douze ans. Était-ce en chantant - sous un chapiteau de cirque - « Les marionnettes » de Christophe sur WRTL (radio Luxembourg à l'époque) ou en devinant - sous un autre chapiteau - « Le pélican » dans la version jeune du jeu des mille francs de Lucien Jeunesse sur France Inter ? Je le saurai prochainement par la ré-émergence télématique de toutes les archives de l'humanité.
Nous étions les auditeurs-pionniers de la pop music : sa caractéristique « populaire », ce n'était que l'insulte que les partisans de l'ami de la mafia qu'était Franck Sinatra nous avaient décernée.
Nous étions les pionniers : déjà « hackers » occupés à refaire le monde en informatique grâce à l'Album des jeunes (1964 ?) de Sélection du Reader's digest. Occupés à fabriquer notre premier ordinateur en …. boites d'allumettes.
« Hexapion » était le nom du jeu auquel notre ordinateur donnait ses compétences ; une sorte de mini jeu d'échec sur 9 cases. Le programme avait la capacité extraordinaire d'améliorer ses performances à mesure de ses défaites.
Nous écrivions nos premiers poèmes pendant que nos parents séchaient leurs larmes versées pour la mort de John Kennedy et d'Édith Piaf. Plus de larmes d'ailleurs – en octobre 1963 - que pour le décès de mon grand-père rebelle qui chantait l'Internationale à table.
Souvenir encore émue – je pense encore à elle – de la gentille monitrice de colonie de vacances – Robertot près de Cany-Barville – qui poliment et gentiment me demanda à emprunter mon carnet de poèmes pour le montrer aux autres moniteurs. Cela devait être à l'été 1964. J'avais dix ans.
Les colonies de vacances nous faisaient découvrir les premiers accords de guitare et nous révéler la méchanceté de ces messieurs Prudhomme et Prieur, sinistres personnages - monstres de Conservatoire - s'acharnant à nous humilier en nous dégoutant du solfège à vie. Les Beatles entraient dans nos vies.
Mes premières chansons furent écrites en « anglais » : pour ne pas que les filles puissent comprendre les paroles !
« If you don't want me, I'll set out again. I'll go by the road at random of my fate. »
Les Anglais ne nous comprenaient pas non plus !!!
Il y avait un C, un G, un F. Trois accords.
Nous chantions gratuitement. Nous écrivions gratuitement des chansons.
Nous échangions, gratuitement, des accords, des techniques, des arpèges, des picking.
Jouer en public nous rapportait bien moins d'argent que le coût du matériel : mon premier batteur avait fait toutes les répétitions en tapant sur les tables (d'un presbytère). Il n'avait pu s'acheter que les baguettes.
Pour notre premier concert, il eut trois heures pour s'entrainer sur la batterie qu'on nous avait prêté. L'après midi de répétition pour devoir jouer toute la soirée. Un club de natation célèbre aujourd'hui. Balaise le batteur : Didier Gallais !*
Nous avons commencé par "Help". A trois voix.
Nous rêvions de « passer en radio ».
Pendant ce temps nos « idoles » - nous, nous n'avions pas des « idoles ! », nos groupes préférés tombaient les uns après les autres sous les coups de la guerre que nous menaient la CIA et l'armée américaine : Mon béguin pour la Janis Joplin de Summertime mourait sous la mort de l'héroïne.
Nous chantions Neil Young 'The Damage Done » en jurant de ne jamais – de notre vie – toucher à aucune drogue. Nous militions dans la 4° Internationale trotskyste pour changer le monde avant qu'il ne parvienne à transformer toute la jeunesse en drogués.
Je n'ai jamais touché à aucune drogue et les preuves du complot criminel sont en plein jour : drogue pour les afro-américains de Los Angeles en pleine lumière par la commission John Kerry, LSD et drogues psychédéliques dont l'origine militaro -policière est rappelée par Naomi Klein dans « la stratégie du choc ».
Gary Webb "suicidé" pour crime de vérité.
Nous voulions un monde de musique, un monde de paix, un monde de fraternité.
Mais l'innovoisie des droits d'auteur a tout pourri : ils se sont fait corrompre par la bourgeoisie des actions.
Ce sont ces deux bourgeoisies qui mènent le monde actuel à la catastrophe.
Ils veulent même, maintenant, fliquer nos ordinateurs pour vérifier que nous avons payé tous les droits.
Seule la gratuité totale de l'immatériel garantira nos libertés.
Mes chansons sont gratuites : sur YouTube en flv et surSkyrock en mp3.
JE NE LES DÉPOSERAI JAMAIS.
Je réclame un revenu (mensuel) définitif de 1000 euros (ou 1200 dollars) à la société.
Toutes mes découvertes passées et à venir sont l'héritage d'Émile mon grand-père, l'héritage de Newton, l'héritage de l'auteur de l'ordinateur en boite d'allumette.
Je suis l'héritier des milliards d'hommes qui ont fait ce que je suis : et encore une pensée pour Robertot et ma fée pour mes dix ans – et les dizaines d'autres.
Je suis l'héritier des inventeurs des mots, des lettres, des chiffres etc etc...
Et les ayant-droits de ces inventeurs sont tous mes cousins humains.
« A bas les droits d'auteur » sera le mot d'ordre de la troisième révolution sociale qui vient.
La première fermera les Bourses, la deuxième démasquera les faux marxistes et leurs salaires privilégiés.
La troisième, dans la foulée des deux premières, mettra la lumière sur la productivité ancestrale : les escrocs qui se prétendent ayant droits de Elvis Presley n'ont jamais payé les droits des inventeurs des mots, des lettres, des chiffres, de la colle à bois, de la tierce, de la quinte...
Mais de tout cela j'ai clarifié la logique économique dans« La productivité ancestrale ».
Je n'ai qu'une chose à ajouter : les ennemis politiques de la classe innovoise, les combattants qui s'opposent au pouvoir de l'innovoisie des droits d'auteur ne peuvent pas pirater. Les ouvriers de Petrograd ne volaient pas dans les usines de leurs patrons. Le combat est un combat politique. Pas une technique semi-mafieuse inspirée de la bande à Bonnot, ces anarchistes imbéciles qui pratiquaient la « reprise individuelle ».
Les partisans de la « reprise individuelle » ne font rien pour préparer une révolution.
Il faut en préparer SIX ! SIX REVOLUTIONS !
Il est urgent que Seth Godin et tous ceux qui souhaitent un monde de musique et d'harmonie en prennent conscience et commencent à y travailler : il faudra vaincre l'innovoisie !
NOTES :
rendons à César : le groupe pris comme nom « Question » après mon départ pour créer – avec Patrice Rouat – Dilemme. « Question » était formé de Christian Kacsmarek (devenu extraordinaire bassiste et arrangeur … et compositeur classique) et de son frère.
radio Caroline : par Wikipédia, je découvre, à l'instant son - persistant - site :Site de la station anglaise terrestre
Site de la station anglaise historique
Site de la station française rennaise
Gary Webb extrait wiki) ↑ *Borjesson, Kristina (Ed.) (2002). Into the Buzzsaw: Leading Journalists Expose the Myth of a Free Press. Prometheus Books. ISBN 1-57392-972-7. Le chapitre 14 est de Gary Webb et inclus cette citation. Edition française : **Borjesson, Kristina (Ed.) (2003). Black List Quinze grands journalistes américains brisent la loi du silence. Les Arènes. ISBN 2-912485-51-7.
Toute la vie - Les Enfoirés
Les portes closes et les nuages sombres
C'est notre héritage, notre horizon
Le futur et le passé nous encombrent
Avez-vous compris la question ?
NON
Vous avez tout, l'amour et la lumière
On s'est battus on a rien volé
Nous n'avons que nos dégoûts, nos colères
Mais, vous avez, oui vous avez
Toute la vie
C'est une chance inouïe
Toute la vie
C'est des mots ça ne va veut rien dire
Toute la nuit
Tu sais le temps n’a pas de prix
L’utopie
Sans avenir
Toute la vie
C’est à ton tour et vas-y
A ton tour
Et vas-y
Et vas-y
Vas-y
Vous aviez tout, Paix liberté et Plein emploi
nous c'est chômage violence et sida
Tout ce qu'on a on il a fallu le gagner
A vous de jouer mais mais faudrait vous bouger
Vous avez raté, dépensé pollué
Je rêve où tu es entrain de fumer
Vous avez sali les idéologies
Mais, vous avez, oui vous avez
Toute la vie
C'est une chance un défi
Toute la vie
C'est bidon, ça veut rien dire
Toute la vie
Tu sais le temps n’a pas de prix
L’utopie
Sans avenir
Toute la vie
C’est à ton tour et vas-y
A ton tour
Et vas-y
Et vas-y
Aujourd'hui j'envie tellement ta jeunesse
Quel ennui, Je l'échange contre ta quête
C'est la vie , la vie qui caresse et qui blesse
C'est ta vie, allez vas-y
A ton tour
Et vas-y
Et vas-y
Vas-y
Les nouveaux profs sont payés 5OO euros par mois
pour 20 heures avec les élèves
(le RMI est à 447,91 E)
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