IL NE FAUT PLUS DIRE LE NOM DES FASCISTES EN AFRIQUE
NI CELUI DES AGRESSEUSES D'ENFANTS,
le nouveau CREDO de Vincent Alès (SNUIPP, NPA)
Cet article appelle deux remarques. La première c'est qu'il est publié 5 jours après sa rédaction. La 2° , c'est qu'il fait partie des articles qui retardent d'autant mon offensive médiatique en faveur du président Gbagbo.le nouveau CREDO de Vincent Alès (SNUIPP, NPA)
Les voyous me font perdre du temps.
Comme des fourmis rouges dans un champ peuvent faire perdre leur temps à un groupe de campeurs dans un champ au mois d'août.
UNE PERTE DE TEMPS DOIT DEVENIR UN INVESTISSEMENT
On avait donc un militant syndical qui savait à l'avance le CONTENU D'UN RECOMMANDE dont la victime Julie Amadis ne prit connaissance que TROIS HEURES PLUS TARD....
Ou bien il est devin ! Ou bien l'administration d'OMERTA76 informe préalablement les syndicalistes dégénérés.
C'est cette annonce qui dissuada l'auteur de ce blog de publier ce article en temps et en heures. La surprise de l'annonce de la SUSPENSION de la TEMOIN des agressions contre Kévin et Luciano en 2008.
ON PEUT LIRE POUR COMMENCER CE TEXTE ANCIEN dont voici les premières lignes
LUNDI 24 NOVEMBRE 2008
Lettre à Vincent Ales, militant LCR NPA ou comment accuser son chien d'avoir la rage.
Lettre à Vincent Alès, militant LCR NPA ou comment accuser son chien d'avoir la rage.
Par Yanick Toutain
22 23/11/08 20:10
22 23/11/08 20:10
Je te connais depuis 1995. Cela fait donc 13 ans que je te remonte régulièrement les bretelles au nom des traditions du trotskysme.
Cela fait 13 ans, depuis le mouvement de décembre 1995 que j'ai commencé à remonter les bretelles des militants JCR qui bafouaient le terme de "coordination", qui utilisaient, de façon scandaleuse, le mot "coordinations" quand il ne s'agissait que de comités croupions réunissant 3 à 5 personnes.
Ils étaient libres de s'appeler "comité de mobilisation" ou "comité de lutte".
Mais en aucune façon "coordination" qui était le vocabulaire moderne pour des soviets formés de délégués révocables.
Pendant 13 ans, par période, tu acceptas le débat, tu acceptas d'argumenter.
Rares furent ceux qui - membres de la LCR - acceptèrent de chercher à argumenter comme tu le tentas.
De la même façon, nous eûmes, de façon répétée, lors de rencontres impromptues - défilés, rassemblement, réunions etc.. - un débat similaire sur l'ancienne tradition internationaliste de la LCR qui consistait à protester vigoureusement sur les interventions militaires de la France en Afrique.
Tu cherchas à argumenter que la LCR n'avait pas réellement abandonné ce combat.
En 1996, lors d'une nouvelle intervention de l'armée française - en Centrafrique, je crois - nous avions, à deux, avec un autre militant lycéen proche des JCR, construit un tract en utilisant un vieux numéro de Rouge, quand le Rouge du moment avait cessé de préconiser une nouvelle fois l'injonction immédiate "Troupes françaises hors d'Afrique".
J'ai même le souvenir que la dernière fois, fièrement, et avec un sourire, tu sortis de ton sac un auto collant "troupes françaises hors d'Afrique".
(...)
Voilà à quoi aboutit votre cours droitier, voilà à quoi aboutit le recrutement par l'UNEF et SUD de gens ayant perdu leur humanité : vos sympathisants, la cour électorale de votre candidat LCR aux municipales étaient des brutes qui revendiquent le droit de cogner les enfants, le droit de cogner leurs enfants, le droit pour les directrices d'école maternelle de cogner les petits enfants de 4 ans -Luciano, le droit pour les ATSEM femmes de ménage y travaillant de taper les petits enfants de trois ans - Kévin.
Ton organisation n'a pas levé le petit doigt pour défendre Julie Amadis lorsqu'elle fut menacée de licenciement, puis ; de facto, licenciée par non-renouvellement de contrat.
La LCR locale, sous l'égide de son leader droitier François Leroux, s'est certainement réjouie de voir être licenciée la dénonciatrice.
Celui-ci a du savourer la victoire de sa sympathisante Mélanie V. qui revendique taper ses enfants. Elle avait mené campagne, au collège Varlin, contre Julie Amadis. Elle avait mené campagne pour dissuader les autres professeurs de la soutenir contre la directrice Carole Hervieu et l'inspecteur Patrick Deplanque.
(...)
Cela fait 13 ans, depuis le mouvement de décembre 1995 que j'ai commencé à remonter les bretelles des militants JCR qui bafouaient le terme de "coordination", qui utilisaient, de façon scandaleuse, le mot "coordinations" quand il ne s'agissait que de comités croupions réunissant 3 à 5 personnes.
Ils étaient libres de s'appeler "comité de mobilisation" ou "comité de lutte".
Mais en aucune façon "coordination" qui était le vocabulaire moderne pour des soviets formés de délégués révocables.
Pendant 13 ans, par période, tu acceptas le débat, tu acceptas d'argumenter.
Rares furent ceux qui - membres de la LCR - acceptèrent de chercher à argumenter comme tu le tentas.
De la même façon, nous eûmes, de façon répétée, lors de rencontres impromptues - défilés, rassemblement, réunions etc.. - un débat similaire sur l'ancienne tradition internationaliste de la LCR qui consistait à protester vigoureusement sur les interventions militaires de la France en Afrique.
Tu cherchas à argumenter que la LCR n'avait pas réellement abandonné ce combat.
En 1996, lors d'une nouvelle intervention de l'armée française - en Centrafrique, je crois - nous avions, à deux, avec un autre militant lycéen proche des JCR, construit un tract en utilisant un vieux numéro de Rouge, quand le Rouge du moment avait cessé de préconiser une nouvelle fois l'injonction immédiate "Troupes françaises hors d'Afrique".
J'ai même le souvenir que la dernière fois, fièrement, et avec un sourire, tu sortis de ton sac un auto collant "troupes françaises hors d'Afrique".
(...)
Voilà à quoi aboutit votre cours droitier, voilà à quoi aboutit le recrutement par l'UNEF et SUD de gens ayant perdu leur humanité : vos sympathisants, la cour électorale de votre candidat LCR aux municipales étaient des brutes qui revendiquent le droit de cogner les enfants, le droit de cogner leurs enfants, le droit pour les directrices d'école maternelle de cogner les petits enfants de 4 ans -Luciano, le droit pour les ATSEM femmes de ménage y travaillant de taper les petits enfants de trois ans - Kévin.
Ton organisation n'a pas levé le petit doigt pour défendre Julie Amadis lorsqu'elle fut menacée de licenciement, puis ; de facto, licenciée par non-renouvellement de contrat.
La LCR locale, sous l'égide de son leader droitier François Leroux, s'est certainement réjouie de voir être licenciée la dénonciatrice.
Celui-ci a du savourer la victoire de sa sympathisante Mélanie V. qui revendique taper ses enfants. Elle avait mené campagne, au collège Varlin, contre Julie Amadis. Elle avait mené campagne pour dissuader les autres professeurs de la soutenir contre la directrice Carole Hervieu et l'inspecteur Patrick Deplanque.
(...)
mardi 1 avril 2014La témoin des violences Julie Amadis suspendue sans motif par l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière (directeur OMERTA76) : le texte du courrier de suspension reçu aujourd'hui par l'institutrice témoin des violences
Harcelée depuis septembre 2013 par l'IEN Patrick Deplanque (celui qui l'avait chassée de l'Education Nationale en juin 2008 lui reprochant d'avoir dénoncé l'agression (commise par une ATSEM en janvier 2008) contre le petit Kévin (3 ans) et les propos de la directrice Combret qui se vantait de taper (régulièrement ?) le petit Luciano (4 ans) et de "ne pas culpabiliser pour autant".
Harcelée par cet inspecteur qui s'était fait oublié en Russie et menacée de façon à peine voilée de subir à nouveau le même sort, Julie Amadis a eu droit à un avertissement.
Le motif ?
Ou plutôt le prétexte : Elle avait osé écrire à la Rectrice Claudine Schmidt-Lainé ..... qui avait transmis sa lettre à ses bourreaux harceleurs.
Harcelée par un inspecteur Olivier Basely faussaire qui avait annoncé au directeur Patrick Clabot qu'elle méritait 12/20 mais qu'elle allait avoir 8/20 pour finalement fabriquer un rapport truffé de mensonges et de faux en écritures publiques (passible de 15 ans de réclusion criminelle) et donner une délirante note 3/20
C'est maintenant une nouvelle étape dans les pratiques illégales que franchit l'IA de Seine-Maritime Philippe Carrière :
UNE SUSPENSION SANS DONNER AUCUN MOTIF: L'ETRANGE COURRIER ILLEGAL DU DIRECTEUR PHILIPPE CARRIERE
(L'article absurde derrière lequel se cache le directeur OMERTA76 est totalement contradictoire avec tous les textes exigeant la motivation en FAITS et en DROITS des actes administratifs)
C'est officiel maintenant : le syndicat SNUIPP refuse de soutenir les témoins d'agressions d'enfants dans les écoles « Ils vont te virer » annonce Vincent Alès à Julie Amadis (un article L'Havrais Vérité du 31/3/2014 publié avec retard)
Le responsable du SNUIPP vient d'annoncer à Julie Amadis son prochain licenciement.C'est celle qui avait témoigné qui sera, une fois de plus sanctionnée. Celle qui avait témoigné de l'agression contre le petit Kévin 3 ans en 2008, celle qui avait témoigné des propos ahurissants de la directrice de l'école maternelle Varlin au Havre qui se vantait « d'en faire autant avec Luciano » 4 ans « et je ne culpabilise pas pour autant » avait ajouté la directrice.
Ces agresseuses d'enfants dans les écoles sont protégées par des militants syndicaux dégénérés !
Et pour protéger les agresseuses d'enfants, les militants syndicaux barbares mettent au banc des accusés les témoins des violences
FAIRE TAIRE CELLE QUI A
PARLE !
VINCENT ALES COMPLICE DE L'ADMINISTRATION
« Ils vont te virer » annonce Vincent Alès à Julie Amadis
A-t-il des informations particulières ? Est-ce la vantardise de quelqu'un qui prétend prévoir l'avenir ?En tout cas, c'est clair : pour Vincent Alès, celui qui écrit sur internet les noms des agresseuses d'enfants a tort.
Il a accusé Julie Amadis d'avoir écrit sur Internet le nom des agresseuses.
Pour lui, il faut se taire ! Il faut l'OMERTA76 !
Pour ce représentant du syndicat SNUIPP, ce sont les agresseuses qui méritent d'etre défendues, pas celles qui tentent de protéger les enfants.
Il se revendique lui-même d'avoir saisi violemment un enfant. C'est ce midi qu'il faisait vantardise – comme le fit la directrice Combret – d'avoir lui-même agressé un enfant.
PROTÉGER
LES AGRESSEUSES
REVENDIQUER SES PROPRES VIOLENCES !
DANS QUEL
DÉGÉNÉRESCENCE SONT TOMBES CES BARBARES ?
Il faut
signaler à nos lecteurs que c'est le même militant politique qui
m'avait fait le reproche d'avoir écrit le nom « Jean-Marie
Bourry » sur Internet. J'avais écrit « Jean-Marie Bourry
criminel fasciste » et ai été condamné (TGI d'Angouleme et
Cour d'Appel de Bordeaux par deux fois) à payer 31000 euros pour
« atteinte à la vie privée »é pour « propos
excessifs ». Ces propos excessifs, les mots « criminel
fasciste » concernaient le barbouze flic français chef de la
police de l'ONU en Côte d'IVoire. Il avait organisé le trucage des
élections au service de Sarkozy, Obama et Ouattara puis la
protection des agresseurs putschistes auteurs de la 1° tentative
meurtrière, celle du 16 décembre 2010.REVENDIQUER SES PROPRES VIOLENCES !
Ce sont ces « propos excessifs » les mots « criminel » et « fasciste » qui furent la raison de ma condamnation pour « atteinte à la vie privée ».
Et c'est la même accusation que m'avait fait, au mois de juillet 2013, ce militant ex-trotskyste ex-JCR, ex-LCR, NPA.
L'éthique a été rangée au magasin des vieilleries :
Pas étonnant que ces gens puissent craindre Internet.
Ce sont les camarades de ce Vincent Alès qui menèrent campagne pendant des années contre l'auteur de ces lignes.
Ils ont maintenant Julie Amadis dans leur collimateur :
IL NE FAUT PLUS DIRE LE NOM DES FASCISTES EN AFRIQUE NI CELUI DES AGRESSEUSES D'ENFANTS :
Voilà leur niveau d'abjection.On verra si les parents labelliseront ces gens pour leur confier leurs enfants :
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