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jeudi 4 février 2016

Un plan commun Soro-Tarfusser ! Zéka Togui du site CIVOX.net partage notre analyse

Le terroriste Soro et ses complices CPI
séquestrent ici le président
Laurent Gbagbo et Charles Blé-Goudé

présentation Yanick Toutain
REVACTU
4/2/2016

"nous assistons à une véritable mascarade judiciaire",


Zéka Togui. (CIVOX)

La CPI, ce n'est pas une cour de justice
La CPI est une annexe des lieux de séquestration du terroriste Guillaume Soro.
Si les mots sont moins crus, le site CIVOX partage l'essentiel de notre analyse.
Le procès de la honte est une parodie de justice !
Le pseudo juge Tarfusser (on hésite à chaque fois à écrire TARTUFFE-R est un des agents de Soro
Ou plutôt un agent des patrons de Soro : Fabius qui est allé à La Haye exiger la NON libération du président Gbagbo, le général Puga, protecteur de Soro, du MNLA, de Ansardine, de Diendéré, de Bassolé, de Gnassingbé, de Iyad AG Ghali, de Compaoré, de Ouattara etc etc etc..
Le plan commun est une action terroriste de plus qui s'ajoute à la longue liste des crimes commis depuis 2002 par ce réseau terroriste contre les Africains.
Bientôt un Nuremberg de l'Afrique condamnera le pseudo juge Cuno Tarfusser et tous ses complices !


CIVOX. NET
Jeudi 4 Février 2016 - 13:42



Le juge italien Cuno Jacob Tarfusser, président de la Chambre de première instance, en charge du procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé
Le juge italien Cuno Jacob Tarfusser, président de la Chambre de première instance, en charge du procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé
La mascarade judiciaire se poursuit à la CPI. La Chambre de première instance, présidée par le juge italien Cuno Jacob Tarfusser, vient de prendre une décision inique et gravissime, en violation des droits des accusés. En effet, cette chambre , en charge du procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, a rendu ce matin une décision dans laquelle elle refuse aux Avocats de la Défense le droit de procéder à des interrogatoires des témoins en vue de tester ou de contredire la cohérence et la véracité des récits des témoins à charge. Pour fonder sa décision, la Chambre de première instance se fonde sur un principe inique et dogmatique selon lequel " un témoin ne peut que dire la vérité".  La "vérité " du témoin serait donc un dogme devant lequel il faut s'incliner, sans apporter la moindre contradiction. La Chambre évoque également la célérité nécessaire au procès pour justifier sa décision.   
Visiblement nous assistons à une véritable mascarade judiciaire, quand le dogmatisme s'invite dans une cour de justice, surtout quand il s'agit de témoignages dans un procès. Nul n'ignore le poids d'un témoin dans une Cour de Justice, surtout quand il s'agit d'un témoin à charge.  Nul doute que cette décision ne répond à aucune exigence de vérité et de justice des juges en charge du procès. Elle répond à une planification de la condamnation des accusés par cette Cour Pénale internationale. 
Sentant la grandeur du danger que fait courir cette décision inique à leurs clients, Maître Altit et Maître Gert-Jan Knoops, respectivement Avocats de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé,  sont montés au créneau pour interpeler les juges au cours de l'audience de ce matin. Ils ont clairement démontré aux juges que cette décision inique est une violation gravissime des droits de leurs clients. Séance tenante, ils ont engagé une procédure pour faire appel de cette décision qui,  si elle est maintenir, conférera un caractère dogmatique aux témoignages à charge. Ce dogmatisme des témoignages servira d'arguments aux juges pour condamner les accusés. 
Vu la gravité de la situation et la pertinence de la requête de la Défense, les juges ont du lever l'audience de ce jour dans la mi-journée, alors que sa fin était prévue pour 18h00. 
L'heure est véritablement grave, si cette décision n'est pas cassée au plus vite, en  vue d'assurer les droits des accusés dans un procès qui doit être équitable. 


Zéka Togui.

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