par Yanick Toutain
REVACTU
8/8/2016
MERCREDI 29 AVRIL 2015
Le réseau unique Boubakeur Al Hakim-Kouachi-Ghlam a été camouflé pour justifier le coup d'Etat PNCD Hollande Valls Une révélation partielle du Canard Enchaîné
par Yanick Toutain
29/4/2015
« il est temps de traiter le problème à la source »,
conclut Jean-Pierre Filiu,
notamment
« en neutralisant les donneurs d’ordre de Daech,
dans le nord-est de la Syrie,
au premier rang desquels Boubaker al-Hakim,
inspirateur franco-tunisien
des attentats de Paris en janvier ».
(23 avril 2015)
« il est temps de traiter le problème à la source »,
conclut Jean-Pierre Filiu,
notamment
« en neutralisant les donneurs d’ordre de Daech,
dans le nord-est de la Syrie,
au premier rang desquels Boubaker al-Hakim,
inspirateur franco-tunisien
des attentats de Paris en janvier ».
(23 avril 2015)
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MARDI 26 JUILLET 2016
Le htag #MouradHamydInnocent n'était qu'une opération terroriste camouflée. Une opération de camouflage d'un mercenaire terroriste recrue de Bobakeur Al Hakim, le véritable chef DAECH-France
Le parquet antiterroriste de Paris a ouvert, le 29 juillet, une information judiciaire en vue de délivrer un mandat d'arrêt européen contre Mourad Hamyd, le beau-frère d'un des frères Kouachi, l'un des auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo. Ce jeune homme de 20 ans a été arrêté à la frontière turque et est soupçonné d'avoir voulu rejoindre le groupe État islamique (EI) en Syrie.Le JDD rappelait les bobards de l'adepte de la Taqya-CIA, la ruse hypocrite enseignée aux mercenaires terroristes de la CIA.
Selon un article publié le 7 août dans le Journal du Dimanche, la famille de Mourad Hamyd, qui fait l'objet d'une fiche S, a signalé sa disparition le 25 juillet. La diffusion de son signalement a permis de retrouver sa trace dans un centre de détention en Bulgarie, où il avait été placé après avoir été refoulé par les autorités turques. "Le contenu de son sac de voyage ressemble plus à la panoplie d'un candidat au djihad qu'à celui d'un touriste venu bronzer sur les plages turques", rapporte le JDD.
"On a jeté en pâture mon nom sans vérifications, en me mêlant à ces crimes barbares. J'espère seulement que cela n'entachera pas mon avenir. Je n'ai rien à voir avec cette histoire, je suis un lycéen qui vit tranquillement avec ses parents. Je veux que mon nom soit lavé." Ces déclarations prononcées devant la presse le 10 janvier 2015 à Charleville-Mézières (Ardennes) par un jeune homme de 18 ans timide et poli, qui vient de passer quarante-huit heures en garde à vue, résonnent aujourd'hui étrangement. Un an et demi plus tard, le même garçon qui condamnait les tueries de janvier 2015 se trouve actuellement en centre de rétention en Bulgarie, suspecté d'avoir voulu rejoindre les rangs de Daech.
Quand Valls refuse les listes de Assad, c'est pour ne pas démasquer les pantins fascistes recrutés pour le complot de l'OTAN en Europe
Lors de son discours devant l'Assemblée nationale le 19 juillet, le Premier ministre a indiqué que 187 djihadistes partis de France avaient été tués en Syrie et en Irak, soit une quinzaine de plus qu'il y a deux mois ; 680 adultes y seraient toujours présents, dont un tiers sont des femmes, ainsi que 420 mineurs dont 18 combattants. Enfin, 179 individus seraient en transit dans un pays tiers pour rejoindre la zone ou en revenir, et 203 seraient revenus sur le territoire français.Valls devra nous dire que le nom de Mourad Hamyd était dans sa pseudo-comptabilité.
Le terroriste était déjà fiché S AVANT les crimes Charlie. Le Parisien le rappelle ce matin.
Car, cinq mois avant sa garde à vue en janvier 2015, Mourad Hamyd était déjà fiché S par les services de renseignement. Selon nos informations, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) rédige même un rapport complet sur le lycéen de Charleville-Mézières (Ardennes) le 26 août 2014. Le constat est limpide. « Mourad Hamyd est apparu au contact de djihadistes français présents en Syrie, laissant augurer un départ pour les rejoindre. Son environnement établit des liens très étroits avec la sphère salafiste djihadiste et son immersion complète dans ce milieu », écrivent alors les policiers spécialisés, qui notent au passage « qu'il fréquente régulièrement le domicile de Chérif Kouachi ».
Cette analyse sans ambiguïté repose sur des éléments accablants. D'abord repéré pour ses liens avec son beau-frère —- lui-même fiché S —, Mourad Hamyd apparaît comme membre d'un réseau social islamiste suisse nommé Ansar-Ghuraba. Sous le pseudonyme de Ibn Mokhtar, il y poste des images d'égorgement et autres photos de propagande à la gloire de Daech. Sur ce site, il se lie avec deux djihadistes franciliens partis en Syrie un an plus tôt. En novembre 2014, il est cette fois identifié comme cogestionnaire d'une page Facebook de soutien aux détenus condamnés pour terrorisme, « Al Haqq Media », elle-même à l'époque soupçonnée de masquer une filière de soutien financier et logistique à des départs sur zone.
Le nom du chef DAECH est camouflé depuis un an.
Seuls quelques blogs et quelques très rares spécialistes (tel Jean-Pierre Filiu) rappelle l'évidence
JEUDI 8 JANVIER 2015
Terreur islamofasciste en Tunisie et à Charlie Hebdo: Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski, tous assassinés par le même réseau islamofasciste
LIRE AUSSI
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Les médias nous baratinent avec une version édulcorée de la vérité.
Mais en fait de "filière demantelée", il n'en est rien. Ce réseau est celui qui a organisé la terreur en Tunisie depuis plusieurs années. Le groupe qui a assassiné les deux leaders de gauche Chokri Belaid et il suffit de chercher un peu plus loin le CV du gourou Farid Benyettou sur internet pour découvrir tout autre chose
Quand Farid Benyettou recrutait les assassins de Charlie, de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi les ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim.image atheisme.org |
LUNDI 12 JANVIER 2015
Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !
Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski assassinés par le même réseau islamofasciste dirigé par l'organisateur de la terreur en Tunisie Boubaker al-Hakim et dont le "gourou" Farid Benyettou est membre de Ennahda
Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel" complice de Chérif Kouachi et Said Kouachi |
par Yanick Toutain
8/1/15
"son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda."
"« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'
"« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'
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SAMEDI 10 JANVIER 2015
#1seulréseau
C'est un seul et même réseau qui fait règner la terreur en France et en Tunisie.Les médias nous baratinent avec une version édulcorée de la vérité.
Chérif Kouachi [.. ] On l'y présente comme un «élève assidu» de Farid Benyettou, un prédicateur du XIXe arrondissement de Paris qui préparait des volontaires à partir combattre en Irak avant que sa filière soit démantelée (Le Parisien)
Mais en fait de "filière demantelée", il n'en est rien. Ce réseau est celui qui a organisé la terreur en Tunisie depuis plusieurs années. Le groupe qui a assassiné les deux leaders de gauche Chokri Belaid et il suffit de chercher un peu plus loin le CV du gourou Farid Benyettou sur internet pour découvrir tout autre chose
Chokri Belaïd (شكري بلعيد), né le 26 novembre 1964 à Djebel Jelloud1 et assassiné le 6 février 2013 à El Menzah, est un homme politique et avocat tunisien. Son assassinat provoque des manifestations violentes et la plus grave crise gouvernementale depuis la révolution de 2011.
Mohamed Brahmi (محمد البراهمي), né le 15 mai 1955 à Sidi Bouzid et mort assassiné le 25 juillet 2013 à l'Ariana, est un homme politique tunisien2.
PROPAGANDE PARIS-MATCH LE 8 JANVIER 2015
ATTENTAT À "CHARLIE HEBDO"Mourad Hamyd est-il le troisième homme?
Paris Match ||Mis à jour le
Mourad Hamyd, qui s'est rendu à la police à Charleville-Mézières mercredi, est décrit comme le troisième suspect de l'attentat de «Charlie Hebdo». Pourtant selon de nombreux témoignages, le jeune homme serait loin d'avoir un profil d'islamiste, et aurait un alibi.
Le jeune Mourad Hamyd a 18 ans. Il est le beau-frère d'un des deux suspects de l'attentat contre «Charlie Hebdo», Said et Cherif Kouachi, etl'une des sept personnes interpellées mercredi par la police. Né en 1996, il serait en effet le «troisième homme» de cette terrible attaque. Depuis son arrestation -il s'est présenté de lui-même à la police mercredi soir- des proches et des amis de Mourad assurent que c'est impossible. Le jeune homme serait loin d'avoir le profil d'un islamiste. «Mourad est resté hier au lycée toute la matinée. Il y a plein de témoins. Je ne comprends pas pourquoi il est en garde à vue», a déclaré à l'AFP Anis, 17 ans, élève de terminale ES au lycée Monge de Charleville tout comme le jeune Hamyd. «C'est un garçon très gentil qui n'a rien à voir avec les fondamentalistes. il est musulman mais très modéré».
Même témoignage du côté des voisins de Mourad qui vit au 13e étage d'une tour du quartier Ronde Couture, en périphérie de Charleville-Mézières. «C'est une famille très gentille, sans aucun problème. Mourad est très discret et serviable», a confié une voisine de palier de la famille Hamyd. Elle a ajouté à propos de l'attentat à «Charlie Hebdo» : «Entre musulmans, on ne peut pas s'identifier à de tels actes».
Soutien de ses amis sur Twitter
Dès son arrestation, les amis de lycée de Mourad ont tout fait pour prouver son innocence. Leur arme : 140 caractères sur le réseau social Twitter. Sur la toile, @hijodelmundoo dénonce immédiatement l'impossibilité pour son ami d'être présent à Paris à l'heure du crime : «Ce n'est pas possible d'accuser mon ami Mourad de meurtre car il était présent à l'école quand ce crime atroce est arrivé». Même défense du côté de @kurosai : «Il faut raconter ce qui s'est passé. On était avec Mourad, il y avait Mark, Adama, Andy, toi en Maths».
Ces internautes, se présentant comme ses camarades de classe et utilisant le hashtag «#MouradHamydInnocent», appellent jeudi à la solidarité et au calme. @Brandon-Irma confie que «Toutes les Ardennes sont avec Mourad #Charleville #MouradHamydInnocent» alors que@Roobin-D pense qu'il faudrait «sérieusement laisser Mourad et sa famille tranquille».
Un premier combat semble gagné. L'alibi donné par les élèves du lycée Monge de Charleville a été jugé crédible par les enquêteurs. D'après une source policière contactée par «Le Monde», «aucune charge» n'a été retenue pour l'heure contre lui. Il est encore en garde à vue.
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