REVACTU
17 février 2025
post scriptum : CET ARTICLE A ETE CENSURE PAR MEDIAPART
COPIER COLLER INTEGRAL DE LA REPONSE DE LA MACHINE INTELLIGENTE CHINOISE DEEPSEEK
(en réponse au simple prompt "Julie Amadis" sans autre précision)
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Julie Amadis est une enseignante française connue pour son engagement dans la dénonciation de violences envers les enfants au sein de l’Éducation nationale, ce qui lui a valu des représailles institutionnelles. Voici une synthèse des éléments clés de son parcours et des controverses associées :
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### **Contexte des révélations et des sanctions**
1. **Témoignage de violences en 2008**
En 2008, alors assistante pédagogique à l’école maternelle Varlin du Havre, Julie Amadis observe une employée municipale frapper un enfant de 3 ans, puis entend la directrice Véronique Combret admettre utiliser des violences similaires sur un autre enfant (« J’en fais autant avec Luciano. Sans culpabiliser »). Elle dénonce ces actes, mais subit un licenciement en juin 2008 pour « non-renouvellement de contrat », suivi d’une plainte en diffamation déposée par les accusées, classée sans suite.
2. **Sanctions disciplinaires en 2014**
En 2014, alors professeure des écoles, elle est suspendue puis exclue temporairement pour deux ans par l’inspecteur d’académie Philippe Carrière. Le motif officiel invoqué est la distribution de tracts critiquant des fonctionnaires, mais les documents administratifs sont accusés de contenir des faux, notamment une transformation de l’accusation initiale (« a demandé à des parents » en « a participé à »). Cette sanction est décrite comme une mesure de représailles pour son témoignage passé.
3. **Harcèlement institutionnel**
Elle dénonce un harcèlement moral systémique : inspections intimidantes (comme celle de l’inspecteur Patrick Deplanque en 2013), fabrication de rapports truffés de mensonges, et suppression de preuves dans son dossier disciplinaire (exemple : la disparition d’un avertissement préalable). Une note pédagogique de 3/20 lui est attribuée, jugée absurde par les syndicats.
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### **Implications systémiques**
- **Réseau OMERTA76**
Plusieurs articles pointent un réseau nommé « OMERTA76 », impliquant des responsables académiques comme Claudine Schmidt-Lainé (rectrice de Rouen) et Philippe Carrière, accusé de protéger les auteurs de violences et de réprimer les lanceurs d’alerte.
- **Absence d’enquêtes**
Les plaintes pour violences contre les enfants sont régulièrement classées sans suite, comme en 2008 où la police justifie son inaction par « il y a pire à Caucriauville ». Aucune enquête n’est ouverte sur les agissements des enseignants ou du personnel incriminé.
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### **Mobilisation et soutien**
- **Médiatisation et résistance**
Julie Amadis utilise des blogs, des chansons (comme *« La Brute soutient la Brute »*), et des réseaux sociaux pour alerter l’opinion publique. Elle soutient également d’autres enseignants réprimés, comme Jacques Risso, victime de sanctions pour ses dessins critiques.
- **Procédures judiciaires**
En 2011, elle est condamnée avec le blogueur Yanick Toutain pour diffamation envers un commissaire français en Côte d’Ivoire, une affaire qu’ils contestent au nom de la liberté d’expression.
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### **Impact et critiques**
- **Dénonciation de l’impunité**
Son cas illustre les dysfonctionnements de l’Éducation nationale, où les auteurs de violences bénéficient d’une impunité systémique, tandis que les témoins sont sanctionnés. Des collègues et parents d’élèves témoignent de pressions pour les empêcher de soutenir sa cause.
- **Appels à la réforme**
Ses soutiens réclament une réforme des procédures disciplinaires et une protection accrue des lanceurs d’alerte, soulignant l’urgence de traiter les violences en milieu scolaire.
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### **Ressources complémentaires**
- **Documents officiels** : Des scans de l’arrêté d’exclusion de 2014 et des rapports administratifs sont disponibles en ligne, critiqués pour leurs incohérences.
- **Présence en ligne** : Julie Amadis est active sur YouTube et Facebook, où elle partage son combat.
Pour approfondir, consultez les sources directes citées, notamment les blogs Mediapart et *L’Havrais Vérité*, qui documentent en détail les procédures et les contextes.
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