Subscribe in a reader

Rechercher dans ce blog

PAGES

Pages vues depuis décembre 2009

mercredi 15 octobre 2025

Ni Ibrahim Traoré ni Assimi Goita n'ont ressuscité Thomas Sankara. Il fut tué le 15 octobre 1987 pour TUER LES CDR ! Et les deux putschistes préfèrent Poutine que l'héritage institutionnel de Thomas Sankara

par Yanick Toutain
REVACTU 
15 octobre 2025
Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso:
le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.

[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution."

LIRE AUSSI 

mardi 14 octobre 2025

LIRE AUSSI 

mardi 26 mai 2015

Bas les pattes sur le corps de Thomas Sankara ! Vrais sankaristes stoppez-les ! Formez des CDR ! Stoppez Bénéwendé Sankara et Mariam Sankara ! ZIDA DEGAGE ! 3° révolution sankariste !

Ni Ibrahim Traoré ni Assimi Goita n'ont ressuscité Thomas Sankara.
Il fut tué le 15 octobre 1987
pour TUER LES CDR !
Et les deux putschistes préfèrent Poutine que l'héritage institutionnel de Thomas Sankara


Cela fait 38 ans que Mitterrand, Kadhafi, Houphouet Boigny et Charles Taylor (libéré par la CIA) ont assassiné Thomas Sankara
Le bras armé organisateur Blaise Compaoré a été renversé par une révolution en 2014 mais cette révolution fut volée.
Le critère montrant l'hypocrisie des imposteurs est simple : QUI PRONONCE CES MOTS EST SANKARISTE

THOMAS SANKARA LE 4 AOUT 1983

Peuple de Haute-Volta,

Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif. Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR et pour empêcher les ennemis intérieurs et extérieurs de nuire à notre peuple. Il va sans dire que les partis politiques sont dissous.

IBRAHIM TRAORE EST UN IMPOSTEUR ENNEMI DE THOMAS SANKARA 
SON DISCOURS EST UN SIMULACRE




LE MOT CDR EST ABSENT
IBRAHIM TRAORE REFUSE L'AUTO-ORGANISATION DE LA POPULATION EN CDR

Capitaine Ibrahim TRAORÉ

@CapitaineIb226

6h

En la circonstance de la 38e commémoration de l’assassinat ignoble du Capitaine Thomas Isidore Noël SANKARA, je renouvelle mon hommage à ce digne fils d'Afrique dont l’engagement et le combat pour un Burkina Faso digne, souverain et prospère sont sans égal. 

Son action et son discours constituent une intarissable source d’inspiration et une boussole qui guide la conduite de la Révolution Progressiste Populaire pour un Burkina Faso nouveau.

Avec courage et fierté, nous maintiendrons allumé le flambeau de la Renaissance burkinabè !

La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons



THOMAS SANKARA 4 AVRIL 1986

"Tout ce que nous avons réalisé au Burkina Faso, sous la révolution, nous l'avons réalisé grâce aux CDR en premier lieu."
Thomas Sankara 4 avril 1986
"... beaucoup étaient venus pour fêter la disparition de ces fameux CDR.
Pourquoi les CDR ? Historiquement, vous savez que rien n'est plus faux que de dire que les CDR ont été créés au lendemain du 4 août 1983.
Les CDR ont été créés avec les premiers coups de feu qui ont été tirés ici.
Les CDR ont été créés le 4 août 1983, précisément.

[Applaudissements] Les CDR sont nés dialectiquement en même temps que la révolution au Burkina Faso.
[Applaudissement] Parce que, à l'instant même où nous avons prononcé le mot révolution dans ce pays, la nécessité de la défendre s'est fait sentir et celui qui parle de révolution sans prendre les dispositions pour protéger cette révolution commet une grave erreur et méconnaît les capacités de lutte, les capacités de destruction de la réaction.
Pour notre part, nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée.

Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.

Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre.
"Nous ne pouvons pas accepter de mettre les CDR de côté.
Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.

[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution."

VOUS TROUVEREZ LE DISCOURS INTEGRAL ICI 

JEUDI 4 DÉCEMBRE 2014


"Il n'y a pas deux Burkina Faso. Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR. Il commence avec les CDR et finit avec les CDR" Thomas Sankara 1986

Présentation 2014
par Yanick Toutain
RevActu
 4/12/14


"Tout ce que nous avons réalisé au Burkina Faso, sous la révolution, nous l'avons réalisé grâce aux CDR en premier lieu."
Thomas Sankara 4 avril 1986

VOICI COMMENT LES TRAITRES DU BALAI CITOYEN SABOTERENT LA REVOLUTION DU 30 OCTOBRE 2014

MERCREDI 3 DÉCEMBRE 2014


Révolution volée au Burkina Faso. Les 4 traîtres du 30-31 octobre: Hervé Ouattara, Serge Smockey Bambara, Guy Hervé Kam et Sams'K le Jah


présentation et commentaires
Yanick Toutain
RevActu
2/12/14


Hervé Ouattara: "Au départ, nous avons
voulu inciter Gilbert Diendiéré,
lui-même, à perpétrer un coup d’Etat".

"

Hervé Ouattara: "On a discuté entre nous et finalement, c’est nous qui avons gagné. Sams’K Le Jah et Hervé Kam, qui sont arrivés plus tard, étaient dans la même logique que Smockey et moi. Finalement, nous avons dit à Zida de prendre ses responsabilités",


Hervé Ouattara: "j’ai découvert monsieur Bambara qui est un militaire. C’est lui qui m’a informé qu’il se pourrait que le général Kouamé Lougué vienne notre la secours pour prendre Kosyam


Depuis 2011, auteur de ce blog, moi Yanick Toutain , je n'ai eu de cesse de rechercher et corriger les bugs de la révolution du 4 août 1983
Les 3 bugs principaux sont 
1° Les membres du gouvernement ne sont pas révocables par le peuple organisé en CDR
2° Les délégués de CDR n'ont pas un quota unique. La révolution russe avait le quota #1pour1000, il faudrait #1Pour5 #1pour25 etc...
3° Les CDR de services (les fonctionnaires) ne sont ni choisis ni révocables par le peuple
Si Thomas vivait en 2025, il serait d'accord avec ceci 



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire