Former des CDR Sankara au Bénin. Ni démocratie ni dictature putschiste comme les deux marionnettes de Poutine du Burkina Faso et du Mali.
Je rappelle au passage qu'il n'existe pas deux Burkina Faso, il n'existe qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR. [citation de Thomas Sankara avril 1986]. Et donc les PoutiniR, c'est pas des CDR. Les CDR c'est les Comités de Défense de la Révolution. C'est pas des PoutiniR de défense de la Russie bourgeoise capitaliste, impérialiste, mafieuse de Poutine.
Sankara, s'il vivait, appellerait le peuple russe à se débarrasser de cette mafia bourgeoise capitaliste qui maintient en place Poutine le dictateur.
Sankara appellerait à former des nouveaux soviets sur le modèle des CDR améliorés avec un délégué pour 5, un délégué pour 25.
Et donc Talon, élu par 2 millions - même pas - de bouts de papier, avec une population adulte de 7 millions, 7 millions et demi de Béninois, est un dictateur macroniste, un pantin, un gouverneur local du camp esclavagiste du Bénin où les salaires, les revenus sont divisés par 20 pour les profits des multinationales impérialistes.
Et avec les populations d'Europe receleuses, la formoisie européenne vivant au-dessus du SMIC, ayant un revenu au-dessus du SMIC qui est directement relié au salaire divisé par 20 des Africains.
Et donc Bignon Delcoz a toutes les qualités apparemment pour être promotionné chef de la police, ministre de l'Intérieur. Et donc il faut le promotionner, il faut construire des CDR pour promotionner Bignon Delcoz. C'est ce que mon tract explique.
J'espère que des amis à lui d'une part commenceront à s'organiser en CDR autour de lui et deuxièmement lui feront savoir qu'on parle de lui y compris dans la métropole impérialiste.
Je suis Yanick Toutain, militant "troupes françaises hors d'Afrique" depuis 1973 et je suis par ailleurs égaliste pour des salaires à 1000 € sur toute la planète.
LIRE AUSSI
Transformer le putsch minable en révolution béninoise populaire humanocrate !
Promotionner BIGNON DELCOZ KINDJANHOUNDÉ coordinateur national police du gouvernement révolutionnaire humanocrate
TALON DÉGAGE !
UN ASSASSIN COMPRADOR
CEDEAO DÉGAGE !
DISSOLUTION DE LA MILICE COLONIALE
L'autocrate assassin Talon a obtenu moins de 2 millions de bulletins par 7,5 millions d'adultes.
Donc 5,5 millions de Béninois ne veulent pas du pantin Patrice Talon missionné par Macron le colon.
TALON TUE DES MANIFESTANTS ET RÉPRIME BIGNON DELCOZ LE POLICIER HONNÊTE LANCEUR D'ALERTE ANTI CORRUPTION
Landry Bignon Delcoz Kindjanhoundé est le commissaire du Marché Dantokpa à Akassato. Il a été promu au grade de commissaire de police de 2ème classe par arrêté ministériel le 02 Juin 2023
Pour relancer une VRAIE révolution au #Bénin #RévolutionBéninoise la solution est simple
LE PEUPLE FORME DES #CDR #CDRSankara et RECRUTE les militaires et les policiers
MÊME LES MALADROITS IMPRÉVOYANTS
MÊME ceux de TALON.....
Il faut les recruter par #FraternisationRévolutionnaire
Pour désigner #BignonDelcoz comme délégué, il faut 4 délégateurs qui le désignant #1pour5
Puis 24 personnes forment un #CDRdeBase de 25
Bignon Delcoz devient DÉLÉGUÉ DE BASE #1Pour25
En recrutant 100 de plus il devient DÉLÉGUÉ INTERMÉDIAIRE CONSEILLER #1Pour125
Maintenant avec 500 de plus..... #Delcoz devient #DéléguéConseiller
DÉLÉGUÉ SÉCURITÉ INTÉRIEURE D'ACTIVE pour une zone géographique de 30 000 habitants
Il serait membre du comité exécutif d'un CANTON RÉVOLUTIONNAIRE...
Si #Talon le larbin #comprador de #Macron le CONSERVE PRISONNIER EN OTAGE, le peuple PROMOTIONNERA DELCOZ de PLUS EN PLUS HAUT pour une ZONE DE PLUS EN PLUS GRANDE
ET LE PEUPLE EXIGERA #CEDEAODÉGAGE #MacronDÉGAGE d'Afrique
LIRE MON PDF
#QueFerait UnCapitaineSankara en 2025 ?
En Afrique, quand un policier est honnête.... on le met où ? En prison.
LA DERNIERE PUBLICATION DE BIGNON DELCOZ KINDJANHOUNDE MERCREDI MATIN
Afrique, le 10 Décembre 2025
Ma fille Fifamè, mon fils Kayodé. C’est votre père Bignon Delcoz KINDJANHOUNDE . Ceci est mon testament. Il s'articule en deux grandes parties : La Révolution Démocratique Populaire du Bénin et La Révolution Africaine, qui se trouve être la plus importante, parce que, à elle seule évitera ce qui a provoqué le Primo.
PRIMO :
Suite à mon discours du 8 décembre 2025, ce 10 décembre 2025, je vais seul affronter le dictateur, ce capitaliste sans âme, Patrice Talon, je vais seul, l'arrêter et le conduire devant sa propre cour de justice : LA CRIET pour y être jugé.
Pourquoi j'y vais seul ? Bien avant ce jour et suite à mon appel pour une mobilisation générale, le peuple a été victime d’une désinformation massive sur les réseaux sociaux. Le système a mis en mouvement son arsenal puissant de désinformation. Il m'a plu de rester à l'écart pour en rire un peu, d'identifier ce réseau et pour observer comment le système peut être aussi perfide, sournois et fourbe. Alors que je suis chez moi tranquille, on a fait croire au peuple que j’étais déjà arrêté et que tout était terminé. Cela a eu sur la masse populaire un effet de calmant et aussi de peur. Toutefois, le peuple malgré tout répondra t'il à l'appel avec ou sans moi en tête ? Je ne saurais le dire.
En cette matinée du 10 décembre 2025, certains qui pourtant avaient d'initiative pris contact avec moi, ne répondaient plus à mon appel téléphonique, parce que sûrement pris de panique. Quelqu'un timidement m'a répondu et me demande de fuir pour me réfugier dans un pays voisin. J'en ai ri, et je lui ai demandé c'est quoi encore ce nom: Fuir ? Avant de lui répondre que je m'appelle Bignon Delcoz KINDJANHOUNDE.
Quand à mes frères d’armes, ceux-là même avec qui j’ai pourtant été au front et qui connaissent parfaitement toutes les réalités du terrain et consciencieux de tout ce qui se passe sur nos Parcs, ont été sollicités pour tout bloquer sur le circuit et pour m’arrêter.
Le feront-ils ? peut-être par devoir, par impuissance ou peut-être par lâcheté, je ne pourrai le dire. J'attends juste de voir.
Voilà jusqu’où un dictateur rusé peut terroriser tout un peuple. Cependant, il n'est pas si infaillible.
Si aujourd'hui, en voulant l'arrêter, c'est plutôt moi qui suis arrêter, lorsqu'on me présentera peut-être aux juges de la CRIET avec sûrement des instructions fermes,
Je leur suggérerai qu'ils partent tous passer un congé de deux semaines sur nos Parcs Nationaux W et Pendjari. L'ONG African Parc Network leur réservera un accueil très chaleureux. Une petite promenade de santé de temps en temps aux périphéries des parcs leur fera grand bien.
Chers enfants, Lorsque vous lirez ces lignes, à votre réveil, ou lorsque vous prendrez encore plus de l'âge, je serai peut-être entre les murs sombres, dans une prison où l’injustice m’a enfermé, peut-être aurai-je rejoint la longue lignée de ceux qui ont donné leur vie pour une cause plus grande qu’eux-mêmes, ou encore peut-être victorieux, je le souhaite vivement. Quoi qu’il advienne, sachez que mon esprit reste libre, plus indomptable que jamais, et que mes pensées vous accompagnent à chaque instant.
Patrice Talon a trahi l'armée et paraît-il que je n'ai pas le droit de le dire. Ou peut-être devrais-je le dire à voix basse. Il est le symbole vivant du capitalisme sans âme. Lui qui s’est accaparé personnellement de toutes les richesses de notre pays, taillant toutes les lois essentielles sur sa propre mesure. Lui qui nous demande d’être légaliste, légaliste de ses lois abjectes, tordues, dicter par lui-même et votées par des députés godillots.
Il rendra compte de tout tôt ou tard. Voilà une évidence.
SECUNDO:
Chers enfants. J'ai d'abord déclenché la révolution africaine le 1er Décembre 2025 dernier.
C'est aussi une faute à éviter selon Patrice Talon et la Métropole.
Si je me suis engagé, ce n’est pas par ambition personnelle ou par défiance futile.
C’est pour vous, pour vos enfants, pour le monde, et pour cette Dame appelée Afrique qui mérite mieux que l’assujettissement, l’abrutissement et l’illusion dans lesquelles elle baigne. Je me tiens debout pour ce rêve que j’ai porté tout au long de mon enfance, et que j’ai enfin conceptualisé en décembre 2011 : les NATIONS-UNIES D’AFRIQUE. Un continent qui marche, enfin, la tête haute dans le concert des nations, réconcilié avec son histoire et qui s’est recollé. Un continent digne et prospère, libéré de l’emprise du néocolonialisme.
Voyez-vous chers enfants, le néocolonialisme n’est pas une simple réminiscence du passé comme beaucoup le pense et l’affirme. Là où le colonialisme soumettait les peuples par la force, le néocolonialisme les conquiert par les esprits. Il est la domination sans l’occupation, la soumission sans la guerre, la servitude maquillée en partenariat. Cette domination prend des formes diverses : la langue, l’économie, le contrôle monétaire, le contrôle et le pillage organisé des ressources naturelles, la domination culturelle ou médiatique, l’ingérence politique dissimulée derrière l’aide au développement ou la coopération militaire. Il façonne les esprits, les rêves, les ambitions. Il implique une éducation uniforme, uniformisation des lois, des valeurs et des coutumes. Bref, le vivre dans l’ombre de l’autre. Quiconque ose dénoncer ce système ou essaie de sortir le reste de cette illusion a d’abord en face de lui son propre frère ou sœur comme ennemi. Souvent, ils vous récitent la leçon apprise « Le néocolonialisme n’existe pas ou plus et que cette génération doit tourner la page. » Ils vont encore plus loin lorsque vous insistez : « Que de cesser de ressasser le passé pour se concentrer sur l’avenir » oubliant qu’on ne peut construire rien de solide et de durable sur un sol mouvant. C’est en cela que le néocolonialisme est peut-être le plus redoutable, implacable, subversif, non pas parce qu’il conquiert, mais parce qu’il convainc ; il s’infiltre, s’installe et s’ancre dans les consciences comme une certitude.
J’entends déjà, avant même mon départ de la maison les murmures accusateurs qui essaient de semer le doute dans vos esprits. « Pourquoi risquer sa vie ? Pourquoi ne pas se contenter d’une paix confortable ? » Mais, mes enfants, que vaut une vie vécue dans le mépris des principes sacrés ? Que vaut une existence sans dignité ? Que vaut une vie humaine si elle n’est pas guidée par l’amour profond de soi-même, de la vérité et de la justice ? Moi, votre père, je préfère mourir debout le regard franc que de vivre à genoux.
À vrai dire, je ne me nourris que d’une seule ambition : « LES NATIONS-UNIES D’AFRIQUE » Une fédération profondément démocratique, authentique surtout, fidèle à l’Afrique elle-même : à la société africaine, aux valeurs et aux principes sacrés. Une fédération respectueuse du Monde, de l’Homme, de la solidarité, de l’harmonie, de l’environnement, des cultes, des cultures, des traditions, des religions, des croyances, des langues, des rythmes. Une fédération respectueuse de toutes les valeurs de bien-être, de dignité et de liberté universelle.
On m’accusera peut-être de rêver trop grand, que de provoquer le tumulte, que je n’ai pas le droit de pleurer quand on me frappe, que je n’ai pas le droit de crier ô voleur quand on me vole, que je ne dois pas bouger quand un moustique me pique. Le système nous fait croire que LÉGAL veut dire MORAL. L'esclavage, l'apartheid, l'holocauste, la colonisation… étaient tous légaux. Tout ce qui est légal n’est pas légitime, et la légalité qui est immorale ou illégitime ouvre la voie à une résistance populaire. Voilà, chers enfants la raison pour laquelle, j’ai fait appel à la Révolution Africaine le 1er Décembre 2025.
Ce combat, n’est pas une croisade égoïste. Il est une nécessité et un devoir pour moi.
Si je me bats, c’est pour que demain, vous puissiez vivre sans le poids des chaînes que nous autres avions héritées.
Si je refuse de plier, c’est pour que vous ne soyez jamais tentés d’accuser, ni de demander à Dieu pourquoi il vous aurait fait naître dans une Afrique de misère, de désolation et de soumission, qui ne survit encore que grâce aux innovations des autres peuples.
Si je persiste, c’est pour qu’en grandissant, vous ne cherchiez pas à quitter votre terre, ni à croire que fuir l’Afrique pour d’autres horizons est déjà une réussite. Je veux qu’en chacun de vous dorme la promesse d’un continent debout, fier et libre.
Et si je suis prêt à mourir pour cet idéal, c’est pour que vous ne soyez plus jamais victimes de racisme, où que vous soyez dans le monde, et que vous puissiez grandir dans une Afrique qui ne s’excuse plus d’exister.
Aucune prison ne peut retenir une révolution. Les chaînes qui m’entraveront peut-être aujourd’hui ne sont rien face à l’ouragan d’espoir et de changement que nous avions déclenché dans le cœur des éclairés. Il nous faudra tôt ou tard et obligatoirement quitter ce joug, car celui qui dépend du souffle d’autrui ne contrôle JAMAIS son destin.
Je ne regrette rien, pas une seule parole, pas un seul acte. Même dès ma sortie de cette maison ou chaque instant, chaque respiration peut être le dernier, je ne baisserai jamais les bras. Car en vérité, ce n’est pas moi qu’ils veulent réduire au silence, mais comme toujours l’Afrique qui se réveille, le peuple qui refuse désormais de vivre dans l’ombre des autres.
Si un malheur devait m’arriver. Sachez que je vous laisse un héritage précieux, infiniment plus durable que n’importe quelle richesse matérielle : LA RÉVOLUTION. Oui, la seule chose que je vous laisse en héritage est « La Révolution ». Ne perdez jamais l’objectif de vue : La fédération de nos micros États coûte que coûte, vaille que vaille. Vous trouverez, dans mon livre « Et si nous repensons l’Afrique ? LES NATIONS-UNIES D’AFRIQUE », la source de mes convictions, mes rêves et mes sacrifices. Plongez-y lorsque vous chercherez du courage, lorsque le monde voudra vous faire douter. Mon esprit y est gravé, pour vous guider dans les moments où la lumière semblera vaciller. Ou alors, référez-vous à mes deux discours et disséquez-les. Chaque génération doit jouer son rôle pour la construction de notre chère Afrique ! La génération des années 1960 a donné à l’Afrique une infirme partie de son indépendance, l’actuelle lui donnera sa liberté totale, son identité, sa dignité et sa grandeur.
Cette révolution qui est en marche ne doit pas fléchir.
Fifamè et Kayodé,
Si je suis un peu long, c’est pour mieux vous expliquer mes choix et vous démontrer ces pertinences. Vous y avez droit. Je ne vous demande pas de porter le poids de mes batailles sur vos épaules. Je vous demande simplement de vivre avec la dignité d’Africains libres, de ne jamais céder à la peur ni à l’apathie. Cherchez toujours la vérité, défendez toujours ce qui est juste, même si le chemin est difficile.
Une confidence à vous mes enfants avant de déposer le stylo : Quand j'observe le Monde, l'Afrique et ses habitants je me pose souvent certaines questions : Et si effectivement les Africains n'étaient pas méritant ? Ou sinon, pourquoi ne sont-ils pas prêt ? Ou suis-je moi dans une illusion ?
BIGNON DELCOZ PUBLICATION DU 9 DECEMBRE
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire