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mardi 6 octobre 2015

L'Havrais Vérité Maire du Havre 155 km/h Edouard Philippe assassin de la route. Un Républicain "Au-delà du bien et du mal"

par Yanick Toutain
6/10/2015

[Edouard Philippe] se rendant à Paris vendredi, pour un motif familial, à bord d'une voiture de la ville, a été arrêté par les gendarmes [sur ] cette portion de l'autoroute limitée à 110 km/h, (...) au sud de Rouen.Il roulait précisément à 155 km/h.

"Le Havre compte une caméra pour un peu plus de 1.500 habitants.
Cela en fait une des villes les plus équipées de France

"I. LES DEUX MORALES

En me promenant à travers les nombreuses morales, délicates ou grossières, qui ont régné ou régnent encore en ce monde, j’ai rencontré certains traits qui apparaissent constamment liés les uns aux autres ; peu à peu deux types essentiels se sont révélés à moi, d’où a surgi une distinction fondamentale. Il y a la Morale des Maîtres et la Morale des Esclaves. Un abîme sépare les deux conceptions que se sont faites de la valeur morale : d’une part, une race dominatrice qui avait superbement conscience de sa supériorité ; d’autre part, une race assujettie, une race d’esclaves et des valets de tout rang. " (Au-delà du bien et du mal Friedrich Nietzsche)

LIRE AUSSI

La rectrice voyou de Rouen Claudine Schmidt-Lainé volait l'Education Nationale en même temps qu'elle protégeait les profs agresseurs d'enfants du Havre

EDOUARD PHILIPPE : FLIQUER LES HAVRAIS
 ET FAIRE CE QUI LUI PLAIT

Le maire du Havre n'est pas seulement le fasciste qui flique toute la population avec des caméras omniprésentes.
"Le Havre compte une caméra pour un peu plus de 1.500 habitants. Cela en fait une des villes les plus équipées de France. Et à la porte Océane, 20 caméras de plus viennent d'être mises en place. Le maire UMP Edouard Philippe ne compte pas s'arrêter là "la police nationale est demandeuse, la justice aussi, on va continuer ce système." (France 3)

Il est aussi celui qui rend visite à ses proches en utilisant le matériel municipal "une voiture de la ville"

Il n'est pas seulement celui qui camoufle les vidéos montrant l'assassinat de Abdoulaye Camara le 16 décembre dernier.

SCOOP: Abdoulaye Camara tué par la police avait d'abord été agressé chez lui ! Le témoignage d'une voisine contredit les mensonges du procureur Nachbar et de la police


Des vidéos dont on peut être certain qu'elles démentiront les bobards du procureur agresseur du Havra Francis Nachbar parti protéger les profs agresseurs de Rennes et y fabriquer là-bas ses faux en écritures, sa spécialité en dehors des baffes en garde à vue !
Il est aussi celui qui s'autorise à bafouer impunément les lois actuelles. Que ce soit sur la route ou que ce soit l'article 222 13 du code pénal.
Edouard Philippe n'est pas seulement celui qui protège les profs agresseurs du Havre.
Il est aussi un délinquant au volant !
Il n'est pas seulement un innovois égoiste au service de la bourgeoisie, roulant pour un délinquant ayant volé l'argent de Français - le voleur maire de Bordeaux Alain Juppé.
Alain Juppé voleur et
protecteur du maire délinquant
Alain Juppé .... secrétaire général (de 1988 à 1994) puis président (de 1994 à 1997) du Rassemblement pour la République(RPR) et président de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) de 2002 à 2004. Il quitte provisoirement la scène politique après avoir été condamné à de la prison avec sursis et à une peine d'inéligibilité pour prise illégale d'intérêts dans le cadre de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. (Wikipédia)

155 KM/H UN ASSASSIN DE LA ROUTE

Le maire du Havre est aussi un assassin de la route qui se permet de multiplier par deux la capacité meurtrière de son véhicule.
Se rendant à Paris vendredi, pour un motif familial, à bord d'une voiture de la ville, il a été arrêté par les gendarmes qui surveillaient avec des jumelles cette portion de l'autoroute limitée à 110 km/h, à hauteur de Tourville-la-Rivière, au sud de Rouen.Il roulait précisément à 155 km/h, la vitesse retenue étant de 150 km/h. 

En passant de 110 (vitesse maximale tolérée) à 155 km/h on augmente de 41% la vitesse du véhicule.

A 155 km/h L'ENERGIE CINETIQUE EST DOUBLEE

Mais il faut élever le résultat à la puissance deux pour connaître l'accroissement de violence du choc, l'accroissement d'énergie cinétique.
De 110 km/h à 155 km/h on multiplie par 2 l'énergie cinétique d'un véhiculer (155^2/110^2 = 1,99)
En effet, c'est le carré de la vitesse qui détermine la violence du choc.
Et une vitesse multipliée par 1,41 induira un choc 2 fois plus grand.
Et donc des dégâts doublés.

Mais la "justice" sera bonne avec Edouard Philippe.
Qui pourrait supposer qu'il risque grand chose
A partir de 30 km/h de dépassement, le conducteur encourt également une suspension de permis de 3 ans. (source)


UN SENTIMENT D'IMPUNITE GENERALISEE
 POUR LES VOYOUS DU DEPARTEMENT
LA RECTRICE DE ROUEN
SA COMPLICE CLAUDINE SCHMIDT LAINE
 DU RESEAU OMERTA76

 VOLAIT DANS LA CAISSE

Edouard Philippe est comme sa complice la Rectrice de Rouen qui volait dans la caisse.

La rectrice voyou de Rouen Claudine Schmidt-Lainé volait l'Education Nationale en même temps qu'elle protégeait les profs agresseurs d'enfants du Havre


Edouard Philippe est au-delà du bien et du mal.
Il n'a plus aucune barrière morale.

DIMANCHE 14 DÉCEMBRE 2014

Comme la Rectrice de Rouen, il protège les agresseurs du Havre – les profs qui tapent les enfants dans les écoles.
Edouard Philippe est , comme la rectrice voleuse , l'employeur de certains des agresseurs et leur assure l'impunité.
La rectrice, comme son prédécesseur, protège les profs agresseurs et organisent les persécutions des témoins de violences à enfants.
C'est un ATSEM de l'école Maternelle Varlin qui frappait en 2008 un petit enfant de 3 ans.
Protégée par une directrice - Véronique Combret qui justifiait les coups données par sa subordonnée en arguant - pour faire taire la témoin Julie Amadis - qu'elle-même, en tant que directrice d'école, en frappant un autre.... de 4 ans.
C'est le maire de l'époque, le colonialiste de droite Antoine Rufenacht qui avait étouffé le scandale.
Le procureur de l'époque avait lancé une enquête CONTRE la témoin mais avait fini par reculer face à ma riposte fulgurante : la chanson La Brute Soutient la Brute.


EDOUARD PHILIPPE ET OLIVIER JOUGLA
PROTECTEURS D'AGRESSEURS D'ENFANTS
 ET HARCELEURS INSULTEURS DE TEMOINS DE VIOLENCES

Mais cet Edouard Philippe, digne successeur du pourri gaulliste colonialiste Rufenacht - partisan de l'agresseur d'élèves José Laboureur , a récidivé en 2013 : c'est son complice l'avocat voyou devenu bâtonnier du Havre qui s'est porté en première ligne

Ancien adjoint au maire du Havre, Olivier Jougla n’était pas présent sur la liste d’Édouard Philippe lors de la dernière élection municipale. Entre ce poste et celui de bâtonnier du barreau du Havre, l’avocat du boulevard de Strasbourg avait choisi. L’an dernier, il avait déjà été désigné dauphin de Maître Carole Ben Bouali alors en exercice. Lundi, l’homme de 49 ans a été élu par ses pairs pour prendre les rênes durant deux ans, à compter du 1er janvier 2015. « Ça vaut tous les mandats politiques du monde », dit le nouveau bâtonnier qui apprécie déjà « la confiance » qui lui a été accordée. Sa mission va être ardue (Paris Normandie".
Ardue ?
Pas compliquer d'insulter les témoins de violences à enfants quand la presse ment au service des agresseurs

Paris Normandie me diffame sur Facebook (un anonyme scribouillard profère des imputations calomniatrices en titre contre Julie Amadis et moi)


par Yanick Toutain
l'Havrais Vérité


2/2/2015


Au Havre, le rédacteur en chef doit avoir ses entrées chez les juges du Tribunal correctionnel.
Si ce n'est pas le cas, on se demande COMMENT IL CONNAITRAIT le VERDICT

"DES ENSEIGNANTS DIFFAMES SUR UN BLOG"

Naturellement, ces imputations calomniatrices que j'aurais "DIFFAME" des enseignantes elles ne sont en aucune façon reliées avec aucun fait vérifiant ou démentant les propos étayés.





La partialité du titre "Des enseignants diffamés" des 3 journaux Paris-Normandie Havre Libre Havre Presse du même propriétaire est révélateur de la partialité de ces journaux depuis 1987 et leur refus d'enquêter sur l'escroquerie Thomson-Answare contre FIL et la CAMIF, leur refus d'enquêter sur les faits de violences de l'école Varlin en 2008, leur refus d'enquêter sur la protection des maires Rufenacht et Philippe aux agresseuses de Varlin, leur refus d'enquêter sur les procédures prescrites lancées par le procureur Nachbar en 2011 et 2014, leur refus d'enquêter sur les faux en écritures commis par le même, sur les faits de violences à l'école Valmy et 10 autres écoles, sur le harcèlement policier sur les témoins de violences, sur l'exclusion de la témoin des violences de 2008 (qui n'est plus "suspendue" mais "exclue 2 ans", refus d'enquêter sur les faux témoingnages des prétendues victimes de "diffamation", membres du groupe des 14 faux témoignages recueillis frauduleusement par l'adjointe Monique Béaur de l'ex-Inspecteur d'académie. Tout cela fait suite à leur refus d'enquêter sur le harcèlement du barbouze Jean-Marie Bourry, sa plainte classée pour diffamation. Y compris quand ce Jean-Marie Bourry fut débouté au Tribunal d'Instance du Havre. La Presse Normande garda le silence. Maintenant ils nous diffament.






Julie Amadis
prof anti-violences à enfants
victime du harcèlement
de la rectrice de Rouen
Claudine Schmidt-Lainé
Ce bâtonnier insulteur Jougla, complice de Edouard Philippe, aura un jour à répondre de deux comportements délictuels ; d'abord ses insultes et ensuite sa connaisances des agressions d'enfants à l'école Valmy.
On pourrait y ajouter l'article 40 du code de procédure pénale pour Edouard Philippe, informé des agressions dans les écoles du Havre.... et des faux en écritures pour les couvrir.......
Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs.
.... mais le procureur qu'il fallait avertir était l'auteur des faux en écritures - cf copie au dessus


La Presse havrais partiale et du côté des profs agresseurs n'a pas osé effacer mon commentaire. Mais sans jamais y répondre


Yanick Toutain ·

L'adresse de cet article (sur la barre du haut) permet de connaître la partialité de Paris Normandie et sa participation au COMPLOT de la RECTRICE de Rouen pour protéger les PROFS AGRESSEURS DU HAVRE
"des-enseignants-diffames-sur-un-blog"
Peut-on lire sur la barre d'adresse
http://www.paris-normandie.fr/.../des-enseignants...
En somme un article publié le 29 janvier 2015 connaît le résultat du délibéré du 25 février suivant......
.... un délibéré que mon adresse courriel de blog n'a toujours par reçu !!!!
http://lhavraisverite.blogspot.fr/.../la-rectrice-voyou...




DIMANCHE 14 DÉCEMBRE 2014


L'Havrais Vérité: Edouard Philippe,maire du Havre dirigeant UMP protège les enseignants agresseurs du Havre et laisse exclure une prof témoin de violences en 2008

par Yanick Toutain
14/12/14

L'ex-porte-parole d'Alain Juppé est peut-être un homme honnête dans ces fonctions. Il vient d'être placé dans le dispositif de Sarkozy pour les primaires de l'UMP. Il y sera peut-être un homme honnête/
Mais pour ce qui concerne les violences à enfants au Havre, il est de la plus grande malhonnêteté

LE MAIRE DU HAVRE REMUNERE UNE AGRESSEUSE D'ENFANTS DEPUIS 2008
UNE ATSEM AGRESSEUSE D'ENFANTS A L'ECOLE VALMY PROTEGEE PAR L'EX MAIRE ANTOINE RUFENACHT ET L'IA VOYOU PHILIPPE CARRIERE

Le prédécesseur d'Edouard avait continué à payer l'ATSEM aggresseuse d'un enfant de 3 ans à l'école Valmy du Havre... sans jamais tenir sa promesse de faire une enquête et de convoquer à la mairie la témoin d'une fessée violente sur un petit de 3 ans.
lundi 17 mars 2014L'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht a protégé 2 agresseuses d'enfants pendant 6 ans ! Son complice Patrick Deplanque (inspecteur Education Nationale) lance de nouvelles menaces soutenu par le réseau OMERTA Monique Béaur de Rouen




lundi 28 septembre 2015

L'Havrais Vérité: La rectrice voyou de Rouen Claudine Schmidt-Lainé volait l'Education Nationale en même temps qu'elle protégeait les profs agresseurs d'enfants du Havre

Julie Amadis
prof anti-violences à enfants
victime du harcèlement
de la rectrice de Rouen
Claudine Schmidt-Lainé




par Yanick Toutain
28/9/2015




Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)



APRES LE HARCELEMENT DE LA RENTREE 2013, JULIE AMADIS AVAIT ECRIT A LA RECTRICE DE ROUEN (extraits)



"...... cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.

- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans)."



LA RECTRICE VOLAIT DANS LA CAISSE :
LE PROCUREUR DE ROUEN LANCE L'ENQUETE CONTRE LA RECTRICE VOYOU


Pour les vols dans la caisse, commis par l'ex rectrice voyou de Rouen on est obligés de faire confiance au procureur de Rouen.
On va supposer que ce n'est pas un procureur voyou comme le procureur de Rennes - Francis Nachbar - ex-procureur de la République au Havre.
On va supposer que le procureur de Rouen Jean-François Bohnert n'est pas un menteur auteur de faux en écritures publiques, on va supposer qu'il n'a jamais été conseiller d'un dictateur africain - comme l'assassin Eyadéma du Togo, on va supposer qu'il n'a jamais commis d'agressions en Belgique contre une innocente en garde à vue, on va donc supposer qu'il n'a pas - comme son ex-collègue du Havre - été l'objet d'un signalement pour cette agression par le procureur du Roi belge auprès du Procureur Général de Reims.
On va donc supposer que Jean-François Bohnert dit la vérité
 "Nous sommes dans la sphère du détournement et l'enquête est fondée sur des faits d'abus de confiance, faux et usage de faux", a expliqué le procureur de Rouen, Jean-François Bohnert. (source Le Figaro)


Les notes de frais de l'ancienne rectrice de Rouen passées au crible

Midi Libre-il y a 2 heures
Voyages en avion, notes de restaurant, frais de représentation : les enquêteurs du SRPJ de Rouen vont devoir éplucher toutes les factures de ...
Rouen: enquête sur l'ancienne rectrice
Le Figaro-il y a 3 heures

Voyages en avion, notes de restaurant, frais de représentation : les enquêteurs du SRPJ de Rouen vont devoir éplucher toutes les factures de la rectrice qui aurait par exemple, selon Paris-Normandie, voyagé en classe affaires sur un vol Paris-Montréal, alors que l'Etat n'autorise que la classe économique. (France 3)

PROTECTRICE DES PROFS AGRESSEURS DU HAVRE

Mais cette rectrice voyou avait un comportement qui lui vaudra les foudres de la (vraie) justice au moins depuis le mois de novembre 2013.
Julie Amadis lui avait écrit pour lui signaler le harcèlement dont elle était victime de la part de l'inspecteur Patrick Deplanque - celui qui, depuis 2008 (au moins) a comme principale occupation la protection des profs agresseurs d'élèves dans les écoles

LE COURRIER DE JULIE AMADIS A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE


 Julie Amadis
Professeur des Écoles
Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013
XXXXXXX
76600 Le Havre
06XXXXXX
XXX@XXX


Madame la Rectrice de Seine-Maritime


transmis directement vu l'urgence
copie Mr le Directeur Académique
copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre
copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique
transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque

Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.

MENACES, SUSPENSION, EXCLUSION


La réponse à cet appel à l'aide ?
Une aggravation du harcèlement !

Julie Amadis exclue sans traitement pendant 2 ans ! OMERTA76 L'inspecteur d'académie Philippe Carrière punit la témoin des violences de 2008

par Yanick Toutain

ARRETE
ARTICLE 1 : La sanction disciplinaire de l'exclusion temporaire de fonctions pour une durée de deux ans est prononcée à l'encontre de Madame Julie Amadis à compte de la date de notification du présent arrêt.


Ce sont les deux complices de l'agresseur Léon Launay, les directeurs Patrick Clabaut et Brigitte Boniou qui avait été le relai du harcèlement orchestrée par la rectrice de Rouen







On espère que le Procureur de Rouen va élargir son enquête en intégrant à la fois l'article 40 du code de procédure pénale et l'article 222 13 du code pénal qui punit de 3 ans de prison les auteurs de violences légères dans les écoles



Le travail des policiers devrait être facilité par les investigations déjà entreprises en amont par ladirection régionale des Finances publiques (DRFIP) de Haute-Normandie. C’est cette administration qui a alerté la justice. L’article 40 du Code de procédure pénale dispose que « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs ».
L’achat en 2014 d’un billet d’avion aller-retour Paris-Montréal a conduit la DRFIP à s’intéresser de plus près à la comptabilité professionnelle de l’ancienne rectrice rouennaise. Alors qu’elle effectuait un déplacement professionnel au Québec pour participer à un colloque sur la problématique du décrochage scolaire, Claudine Schmidt-Lainé aurait réservé une place en classe Business alors que les textes administratifs prévoient que les fonctionnaires doivent voyager dans la classe la plus économique. « Le différentiel est d’environ 2 000 €. Cela peut ne pas sembler énorme, mais c’est une question de principe, de surcroît lorsque le fonctionnaire est un haut fonctionnaire... Forcément, les services fiscaux ont « gratté », et ils ont constaté d’autres choses qui semblent, à première vue, troublantes... », poursuit la même source.
Le « détournement de fonds publics » est puni de dix ans d’emprisonnement et d’une amende d’un million d’euros. (Source Paris Normandie qui a participé par l'insulte à la campagne de la rectrice)



jeudi 21 mai 2015

L'article 222-13 du Code Pénal interdit formellement les fessées, les claques et les punit de 5 ans de prison si elles sont "légères" Le Conseil de l'Europe réclame un texte qui existe déjà !

Une ATSEM de l'école maternelle
Varlin au Havre a battu un enfant
En 2008. Le maire Antoine Rufenacht
 l'a laissée en poste.
Comme l'a fait Edouard Philippe
Deux barbares que nos juges
révolutionnaires condamneront

par Yanick Toutain
21/5/2015
"
"J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves."
extrait de la lettre de Julie Amadis à la Rectrice Claude Schmidt-Lainé
Ce courrier lui valu une sanction : un avertissemert
Qui fut suivi d'une exclusion pour deux ans



"Quand Julie Amadis a été convoquée par Monique Béaur, adjointe de l'Inspecteur d'Académie de Rouen Philippe Carrière elle a reçu un avertissement de cette barbare qui rigolait de la mention du Conseil de l'Europe"


NI LA RECTRICE
 NI L'ADJOINTE MONIQUE BEAUR
 NI LE DASEN PHILIPPE CARRIÈRE
 NI L'INSPECTEUR D'ACADÉMIE DU HAVRE SERGE TILLMANN
 NE DEMANDÈRENT à JULIE AMADIS
 LE NOM DES ECOLES OU
ONT ETE COMMISES DES VIOLENCES A ENFANTS
 DEPUIS 2008.
ILS NE VEULENT PAS SAVOIR LA VÉRITÉ



Est-ce que le Conseil de l'Europe déraille ?

La sanction est tombée. Le Conseil de l’Europe – l’organisme européen de défense des droits de l’homme – estime, dans une décision rendue publique mercredi 4 mars, que le droit français « ne prévoit pas d’interdiction suffisamment claire, contraignante et précise des châtiments corporels »De ce fait, elle viole l’article 17 de la Charte européenne des droits sociaux dont elle est signataire, qui précise que les Etats parties doivent « protéger les enfants et les adolescents contre la négligence, la violence ou l’exploitation ».
Aucune amende n’est prévue, mais le symbole est important. Le Conseil de l’Europe attend que les Etats condamnés mettent leur législation en conformité. Cette décision ouvrirait par ailleurs la voie à une condamnation par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), selon les associations qui mènent campagne pour l’interdiction de la fessée. « Des plaintes seront déposées », prévient Gilles Lazimi, médecin et coordonnateur de la campagne contre les violences éducatives de la Fondation pour l’enfance.
Le Monde

Est-ce que les anti-fessées sont des analphabètes ?
Ou comme Edwige Antier - qui sait très bien qu'elle ment - des hypocrites ?
L'article 222-13 du Code Pénal ne souffre aucune interprétation

Article 222-13
Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises :
1° Sur un mineur de quinze ans ;

2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur.
(...)
Les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende lorsque l'infraction définie au premier alinéa est commise sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur. Les peines sont également portées à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende lorsque cette infraction, ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours, est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances.


Au lieu de militer pour que les juges voyous cessent de boycotter l'article 222-13, de militer pour DEGAGER les procureur Nachbar qui persécutent les témoins de violences à enfants, les Recteurs et les Inspecteurs d'Académie comme ceux de Rouen ou de Nantes qui protègent les délinquants, voici qu'on nous invente une inexistence de la loi !!

Abolir la fessée, c’est une étape vers plus de démocratie

La France s’est fait rappeler à l’ordre le 4 mars par le Conseil de l’Europe, qui a considéré «qu’aucun des textes mentionnés par le gouvernement français n’énonce l’interdiction expresse et complète de toutes les formes de châtiments corporels infligés aux enfants» et qu’«une certaine ambiguïté subsiste quant à l’existence d’un "droit de correction" reconnu par la justice». Le droit français est ainsi en violation de la charte sociale européenne révisée.
Absurde ! C'est 5 ans de prison pour les parents agresseurs !
Méconnaissance des droits de l’enfant.
Méconnaissance .... de l'article 222-13 !  C'est 5 ans de prison pour les parents agresseurs !
 La décision du Comité a suscité de nombreuses protestations. Certains revendiquent le droit des parents à donner les châtiments corporels, nommés génériquement par le terme la fessée, ou prétendent que la fessée n’est pas nocive. «Je conteste au Conseil de l’Europe le droit de me dire ce que je dois faire avec mes enfants» (un homme politique). D’autres, en positions d’experts, désapprouvent la fessée mais disent que «prôner une loi est une absurdité sans nom, et affaiblit le rôle du parent»
Elle existe déjà ! C'est 5 ans de prison pour les parents agresseurs !
Pour la secrétaire d’Etat à la famille, une loi n’est pas nécessaire, mais il faudrait faire la promotion d’une éducation sans violence. Quelques personnalités, dont la pédiatre Edwige Antier et le député Europe-Ecologie-les Verts (EE-LV) François-Michel Lambert, ont approuvé la décision du Comité européen. Les protestations témoignent d’une méconnaissance des droits de l’enfant, des textes internationaux et des études scientifiques.
Mais ces gens camouflent l'article 222-13...
Sans doute le trouvent-ils trop.... sévère !!!
Rappelons qu’en 2009, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU, dans son observation faite à la France, notait «une nouvelle fois avec préoccupation que les châtiments corporels, en particulier à la maison, mais aussi à l’école, restent très répandus, notamment dans les départements et territoires d’outre-mer». Il recommandait de nouveau à la France d’interdire explicitement les châtiments corporels dans tous les contextes, et de promouvoir le principe d’une éducation sans violence. La France s’est bornée à répondre que le code pénal interdisait les violences légères sur l’enfant, sans reconnaître le problème posé par la jurisprudence légitimant le droit de correction.
Le BOYCOTT d'une loi ce n'est pas une JURISPRUDENCE, c'est un comportement DELICTUEL !
Les effets des châtiments corporels. Plus de 150 études en ont montré les effets nocifs à court et à long terme. Ils augmentent le risque de survenue de mauvais traitements, la fréquence et la sévérité des troubles mentaux, de l’anxiété, de la dépression, de l’usage d’alcool et de médicaments, et sont associés à un moins bon développement cognitif. On observe uneassociation linéaire entre la fréquence de la gifle et de la fessée et la prévalence sur la vie des troubles anxieux, de l’alcoolisme et des problèmes de comportement et de violence conjugale chez l’adulte. Il n’y a donc pas de différence qualitative entre «mauvais traitements» et «fessée».
C''est ce que dit la loi puisqu'elle punit de 5 ans de prison les "violences légères" commises par les parents !
A contrario, l’arrêt des châtiments corporels a des effets positifs. En Suède, une quinzaine d’années après la loi les interdisant et apportant un soutien aux parents, aucun enfant ne serait plus mort des suites de violence familiale, le nombre de procès pour maltraitance d’enfants a diminué, ainsi que le pourcentage de jeunes condamnés pour vol (-20%), pour viol (-48%) et la fréquence des suicides (-20%). Et les parents suédois ne sont pas devenus plus permissifs. L’interdiction des châtiments corporels constitueune prévention efficace des violences graves envers l’enfant.
Pourquoi mentir alors ?
Pourquoi ne pas réclamer l'application de la loi ?
Et pourquoi ne pas dénoncer la ministre qui tape ses propres enfants ?

JEAN-JACQUES BOURDIN"vous avez déjà donné une fessée ? " 
NAJAT VALLAUD-BELKACEM :
"Oui ! (...) Oui ! Ca m'est déjà arrivé. (...) Mais je l'ai regretté aussitôt après ! (...) Oui ! Mais… (...) Je pense que je suis comme tous les parents. "
JEAN-JACQUES BOURDIN
 "est-ce que vous êtes favorable à l'interdiction de la fessée ?"
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"Honnêtement ma position n'est pas faite sur ce sujet ! Je… (...) 'évidemment je suis opposée aux châtiments corporels dès lors qu'ils portent atteinte à la dignité…  (...) "
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"Est-ce qu'il faut l'interdire par la loi ? C'est justement là que j'ai un petit doute, est-ce que c'est à la loi de se mêler de ça ? Non !"
JEAN-JACQUES BOURDIN
"Non. C'est interdit dans 18 pays d'Europe, j'ai vu, hein ?"
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"C'est vrai ! C'est vrai, c'est vrai.  (...) Je dis que ce n'est pas évident en tout cas."

MERCREDI 21 MAI 2014

La ministre Najat Vallaud-Belkacem qui donne des fessées à ses enfants de 5 ans milite pour empêcher une loi interdisant ces actes barbares ! C'est une agresseuse d'enfants qui est ministre des femmes ... et des enfants ! 




"Oui, j'ai déjà donné une fessée [à l'un de mes enfants]. Et à chaque fois, je l'ai regretté. (interview par Jean-Jacques Bourdin ce mercredi 21/5/14)


Sur le plan anthropologique, les châtiments corporels de l’enfant sont associés à la stratification sociale en plusieurs classes ou castes, à une structure de pouvoir autoritaire, à la violence envers les femmes, et à la fréquence de la guerre et de l’homicide.
Quant à l’action publique, une étude effectuée en 2007 dans cinq pays européens ayant soit interdit les châtiments corporels avec une campagne d’information (Suède et Allemagne), soit interdit sans campagne d’information (Autriche), soit fait une campagne d’information sans interdiction (Espagne), soit fait ni l’un ni l’autre (France) a montré que l’interdiction et l’information doivent être associées pour modifier les comportements parentaux, et sont alors efficaces. La simple promotion de l’éducation sans violence n’a donc pas montré son efficacité.
Mensonge pur et simple : l'ex-procureur du Havre en 2008 m'avait fait interroger par ses flics pour un article anti-violences à enfants
En France, ceux qui comme Julie Amadis sont témoins de violences dans les écoles sont persécutés !

141° jour d'exclusion d'une prof des écoles pour avoir dénoncé des violences à enfants


mardi 20 mai 2014


Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)

Claudine Schmidt-Lainé comme Philippe Carrière
 aura des comptes à rendre à la vraie justice
 pour sa protection aux enseignants
 agresseurs d'enfants
C'est plusieurs mois après ce courrier de novembre 2013 que les délégués élus des parents de l'école Valmy informèrent Julie Amadis qu'il existait un instituteur professeur des écoles qui tapait 3 enfants cette année. Puis que d'autres témoignages d'adultes montrèrent que ces violences étaient une pratique datant de plus de... 20 ans !L'enseignante suspendue pour..... témoignage comprit alors l'origine du harcèlement qu'elle subissait depuis septembre 2013.

UNE RECTRICE PROTECTRICE
DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS D'ENFANTS

(...)
Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.
Julie Amadis




Le parallèle avec les violences envers les femmes. La violence du propos«une fessée n’a jamais fait de mal à un enfant» apparaît quand on la transpose aux femmes. Qui oserait dire qu’«une gifle n’a jamais fait de mal à une femme» ? On accepte qu’un parent inflige à un enfant vulnérable et dépendant une violence qu’on ne tolère plus envers une adulte, surtout depuis la reconnaissance des violences conjugales commencée dans les années 70.
De nombreux lecteurs qui se renseignent sur Google sur comment fesser des femmes ont la surprise de tomber sur mon article


Comment inclure les claques et la fessée dans l'éducation d'une femme (un article dont il faut d'urgence lire l'original)

"si vous châtiez votre femme tout en restant aimant et juste,
vous ne devriez pas vous préoccuper des témoins
 et de ce qu'ils pourraient penser."  (étape 2)
un article présenté (et un peu modifié
 pour des raisons pédagogiques)
par Yanick Toutain


"Etape 6 D'abord, calmez-vous.
Si vous êtes en colère, n'essayez pas
 de donner une correction à votre femme.
 Dites-lui que vous allez y réfléchir
 un certain temps et donnez-vous
 le temps de vous calmer
pour ensuite réévaluer la situation."
illustration provenant du texte original
prohibant l'utilisation d'accessoires
pour la fessée.
"Etape 10 Donnez-lui un avertissement.
 Si vous pensez ne pas avoir
 été assez clair dans un premier temps,
 vous pourriez vous expliquer,
mais ne donnez pas un avertissement après l'autre
et vous attendre à ce que la femme soit conciliante.
Elles savent toujours comment faire pour vous avoir à l'usure
une fois que vous avez cédé.
 La femme doit parfaitement comprendre
 qu'il n'y aura qu'un avertissement, un point c'est tout.
 Si vous procédez ainsi, elles obéiront après le premier avertissement
et si vous leur donnez dix avertissements,
elles ne vous prendront probablement jamais au sérieux".
(...) vous devez vraiment faire très attention
 quand vous corrigez votre femme ;
soyez juste, soyez clair et assurez-vous
 de bien comprendre ce qui se passe ;
vous ne devriez pas changer d'avis
une fois que vous avez décrété : « cette fessée, tu l'as bien méritée ».


Voici une version à peine modifiée (seuls deux mots ont été modifiés) du texte original. Ce texte est tel qu'il aurait pu circuler dans les années 50-60.... si Internet avait existé
Les signatures du texte original sont les suivantes : "Modifiée par WikiHow Traduction, Chmuller, Team FR et 1 autre

"
AVERTISSEMENT : LES AUTEURS DE L'ARTICLE ORIGINEL ET CEUX QUI DIFFUSERAIENT DE TELS CONSEILS SONT ET SERONT PASSIBLES DE POURSUITE PENALES. L'article 222-13 ne restera pas longtemps un objet de musée pour juges poussiéreux rampant sur (pour et avec) des parquets barbares !


Une relation de propriété. Ajoutons que le droit de correction parentale autorise le parent à faire un acte violent sur son enfant, mais pas sur un enfant qui ne serait pas le sien : le code pénal s’applique alors. La suspension du droit général à l’intérieur de la famille traduit donc une relation de propriété sur l’enfant, comme naguère sur l’épouse, le domestique ou l’esclave. Le long processus démocratique commencé à la fin du XVIIIe siècle avec l’interdiction des supplices et des châtiments corporels de l’adulte a ensuite protégé les épouses à la fin du XXe siècle, et doit désormais entièrement protéger les enfants. Comme l’ont déjà fait plus de vingt pays européens. La prochaine audition de la France au Comité des droits de l’enfant de l’ONU est prévue en janvier 2016.
Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, université Paris Descartes, chef de service de la maison de Solenn, Maison des adolescents de l’hôpital Cochin
Un article sur le sujet va paraître dans la revue «l’Autre, Cliniques, Cultures et Sociétés», www.revuelautre.com
Marie-Rose MORO Professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, université Paris Descartes, chef de service de la maison de Solenn, Maison des adolescents de l'hôpital CochinTHIERRY BAUBET Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, université Paris-XIII Sorbonne Paris-Cité et DANIEL DELANOË Psychiatre, anthropologue, université Paris-XIII Sorbonne Paris-Cité


Ces gens, au lieu de réclamer une loi qui existe déjà, feraient mieux
1° De faire connaître l'article 222-13 au lieu de le camoufler
2° De faire campagne en faveur des profs et éducateurs qui sont réprimés pour avoir fait des signalements de violences
3° De dénoncer publiquement tous les hauts-fonctionnaires, juges, procureurs qui, au mépris de la loi, protègent les agresseurs
4° De dénoncer parmi ceux-là ceux qui ajoutent le harcèlement, les menaces et les sanctions dans le but de protéger ces agresseurs.

Après la visite menaçante de l'inspecteur Patrick Deplanque - qui protégeait les deux agresseuses de 2008 de l'école Varlin, Julie Amadis avait écrit à la Rectrice




Quand Julie Amadis a été convoquée par Monique Béaur, adjointe de l'Inspecteur d'Académie de Rouen Philippe Carrière elle a reçu un avertissement de cette barbare qui rigolait de la mention du Conseil de l'Europe



Gaëlle Dupont 


journaliste au Monde
n'a JAMAIS écrit d'article sur la répression subie par Julie Amadis